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Citations de Imagerie d’Épinal (19)


« Heureux celui qui s’humilie, honte à celui qui s’exalte », dit l’apôtre en apparaissant dans sa majesté surnaturelle. Et sautant en croupe derrière le cavalier qui n’était autre que Saint Georges, ils disparurent.
Éloi brisa son enseigne.
— Maître, vous faites bien, lui dit un passant, car il n’y a réellement de maître sur maître, de maître sur tous, que Celui qui dispose de la foudre et tient en ses mains la vie de tous les hommes.
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Florine ouvrait sa fenêtre et chantait :
Bel oiseau bleu, couleur de temps
Vole, vole à moi promptement. (p24)
L’OISEAU BLEU
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La Barbe-Bleue n’ayant pas d’héritiers, sa femme hérita de ses biens, et en profita pour marier sa sœur Anne à un jeune homme qui l’aimait depuis longtemps. (21)
LA BARBE BLEUE
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Dans une ville considérable deux hommes demeuraient porte à porte. L’un conçut contre l’autre une envie si violente que celui qui en était l’objet résolut de s’éloigner.
Il se retira dans la capitale du pays, où il possédait une belle maison avec un beau jardin et une cour dans laquelle se trouvait une citerne abandonnée.(p9)
L’ENVIEUX ET L’ENVIÉ
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Cherchez deux autres clowns ?.
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Tout à coup, l’ogre se mit à flairer à droite et à gauche disant :
« Je sens la chair fraîche ». Sa femme lui répondit que c’était probablement le veau qu’elle venait de tuer.
Mais l’ogre flairant plus fort, alla droit au lit, en tira les pauvres petits et s’apprêtait à les égorger quand il se ravisa et dit à sa femme de leur donner à manger et de les coucher.
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J’ai quitté notre montagne
Un gros bâton à la main :
On me mettait en campagne
Pour aller gagner mon pain
Avec ma mie, * Ma marmotte en vie.

Fallait suivre un diable d’homme
Qu’était venu racoler,
Et toujours il hurlait comme
Un loup pour me fair’ marcher
Avec ma mie, * Ma marmotte en vie.
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Au cours de notre exploration, comme je venais de tuer un singe et que le chien et Jack s’élançaient vers ma victime, un petit frère de celle-ci se laissa tomber sur la tête de mon garçon et se prit à tirer sur les cheveux avec frénésie.
Je mis vivement fin au supplice, et Jack, qui était sans rancune, soigna si bien le jeune singe qu’il en fit en peu de temps son compagnon assidu et son meilleur ami.
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Un événement singulier, qui semble devoir causer la mort de notre héros, lui permet au contraire de revoir sa famille. Un aigle ayant enlevé la petite maison, s’envole vers la mer : mais attaqué par d’autres aigles, il laisse tomber sa proie. Un navire anglais, qui passait par là recueille Gulliver et le ramène dans sa patrie.
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La belle princesse Florine était fille d’un roi puissant. La mère de Florine étant morte, le roi son père se remaria. La nouvelle reine avait une fille mais horriblement laide et qu’on appelait Truitonne, parce que, pour comble, elle était toute tachetée de rouge comme une truite.
Un jeune roi voisin, le roi Charmant, désirant se marier, vint alors à la Cour. La nouvelle reine lui proposa sa fille Trui-tonne : mais bien qu’elle l’eût parée des plus brillants atours, le roi Charmant refusa et demanda la main de Florine. La reine et Truitonne pensèrent d’abord en périr de dépit.
Puis elles s’ingénièrent à écarter Florine, faisant répandra sur son compte des bruits calomnieux. (p22)
L’OISEAU BLEU
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Il y avait au pays de Zouman, dans la Perse, un roi dont beaucoup de sujets étaient grecs. Ce roi avait la lèpre et personne ne voulait l’approcher.
Un jour arriva à la cour, un médecin nommé Douban. Quand il eût appris la maladie du roi et son abandon, il se fit présenter à lui.
Sire, lui dit-il, je m’engage à vous guérir sans médecine. Le roi répondit, si vous faites ce que vous dites, je vous promets de vous enrichir
Le médecin Douban se retira chez lui et prépara le manche d’un mail, qu’il creusa, et dans lequel il mit certaines drogues qu’il connaissait. (p26/27)
HISTOIRE D’UN ROI ET D’UN MÉDECIN
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Aladin était un pauvre et bon jeune homme, vivant bien pauvrement avec sa mère du produit de leur travail.
Un jour un magicien, oncle d'Aladin, vint le chercher et l'emmena à la campagne à l’entrée d’un jardin enchanté, lui ordonnant d'aller chercher une lampe qui s’y trouvait.
Aladin étant parvenu sur les indications du magicien à s’emparer de la lampe, s'égara et ne put retrouver l'endroit par lequel il était entré.
Après bien des heures il trouva enfin une issue, et ne revoyant plus le magicien, il rapporta à sa mère la lampe. (p21-22)
ALADIN ET LA LAMPE MERVEILLEUSE
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Il y avait jadis à Bagdad un jeune homme nommé Abou-Hassan qui avait fait le vœu singulier d’inviter chaque soir à souper avec lui le premier étranger qu’il rencontrait sur le pont de la rivière Le Calife Haroun-Al-Rachid avait coutume de quitter sa cour de temps en temps et de parcourir la ville déguisé en marchand pour apprendre par lui-même ce que pensait le peuple de son administration. Ce fut lui que certain soir le hasard fit le convive d’Abou-Hassan.

Au cours du souper, le Calife ayant demandé à son hôte s’il était ambitieux, celui-ci lui répondit qu’il n’avait jamais rêvé qu’une faveur, celle de posséder seulement un jour le pouvoir du souverain à l’effet de récompenser et punir certaines personnes de sa connaissance : qu’autrement il était parfaitement satisfait de son sort. L’idée plaisante d’exaucer ce vœu vint alors au Calife et à cette fin, il mêla habilement un narcotique à la boisson du jeune homme. (p14-15)
ABOU HASSAN OU LE DORMEUR ÉVEILLÉ
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Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir, disait la pauvre femme ? Je vois deux cavaliers, mais ils sont encore loin (p18)
LA BARBE BLEUE
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Grand’mère que vous avez de grandes dents ? c’est pour te manger ! (p12)
LE PETIT CHAPERON ROUGE
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Grand’mère que vous avez de grands yeux ? c’est pour mieux te voir mon enfant ! (p11)
LE PETIT CHAPERON ROUGE
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Grand’mère que vous avez de grandes jambes ! c’est pour mieux courir mon enfant. Grand’mère que vous avez de grandes oreilles ! c’est pour mieux écouter mon enfant. (p11)
LE PETIT CHAPERON ROUGE
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Ali-Baba était un pauvre homme qui, avec ses trois ânes, allait tous les jours à la forêt chercher du bois qu’il apportait à la ville pour le vendre.
Un jour, il vit venir de son côté une troupe de voleurs. Il grimpa sur un arbre touffu pour se cacher et compta les voleurs : il y en avait quarante. (p3)
ALI-BABA ET LES QUARANTE VOLEURS
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[...] les devinettes étaient imprimées sur pierres lithographiques et coloriées aux pochoirs mécaniques.
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