Citations de Jim (383)
L'amour est un affrontement.
Chaque combattant est libre de choisir ses armes.
Les hommes adorent les poitrines des femmes.
Je les connais, les hommes. Ces mâles dominants. Sûrs d'eux. Grandes gueules. Impressionnants. Oui, ils m'impressionnent, je le confesse. Leur arme à eux, c'est l'arrogance.
La vie nous prend dans un étau ;
trop longtemps, je me suis moi-même ficelé dans une vie confortable, mais est-ce la vie que j'ai rêvé de mener ?
Est ce que les sentiments que l'on donne et que l'on reçoit seront assez forts pour qu'un jour on ne regrette pas de s'en être contenté ?
Ce sont deux mondes bien distincts, sans aucune porosité. Le monde du réel et ses codes bien à lui, et le monde des laissés-pour-compte, le monde des hôpitaux et des services de réanimation.
Il aura croisé quelques vies, peut-être même défait une histoire, qui sait ? Mais qui peut vraiment savoir la trace qu'on laisse dans la vie des autres ?
- Vous n'aimez pas beaucoup les femmes vous, hein ?
- Moi ? Je les aime trop !
- Trop les aimer, c'est mal les aimer, ça revient exactement au même.
- tu l'as trouvé sur un banc, il a été repris sur un banc, c'est la vie des livres Camélia!
Certains livres font voyager, d'autres voyagent tout seuls, ils n'ont besoin de personne!
Je m'éclaire longuement avec l'or que je trouve au fond d'une étreinte.
Lucien Becker
- Quel gâchis, est-ce qu'il y a quelqu'un sur cette terre qui couche avec la bonne personne ? Parfois, je me demande...
Peut-être que la nature même des vrais beaux moments, c'est qu'ils ne peuvent s'attraper en photo? Jamais?
"Extérieurement, nous allons paisiblement côte à côte, mais pendant ce temps-là l'air qui nous sépare est sillonné d'éclairs, comme si quelqu'un le fendait continuellement à coup de sabre."
Franz Kafka
Ce n'est jamais simple d'être heureux. Jamais.
C'est à l'instant où ils nous filent entre les doigts qu'on réalise que c'étaient de beaux moments.
- "Lire, c'est boire et manger. L'esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas." Victor Hugo, mon p'tit père ! Et toc ! Culture !
- Ouais, ben ton Victor Hugo, il n'avait pas un 120 pouces dans son salon, avec le son qui va bien et le canapé pile devant !
- Je travaille en tiers de temps en temps dans une petite maison d'édition qui cherche des plumes, à l'occasion... Ah c'est con, j'avais un boulot en or, je l'ai refilé à un bras cassé... Ecrire la bio de grands hommes, par exemple, ça pourrait vous intéresser?
- Euh... Je ne sais pas... Oui bien sûr, bien sûr oui, je peux faire ça! Ça peut être super intéressant , même!
- Cyril Lignac, vous connaissez?
Ah ça, pour se faire tatouer personne ne se plaint que c'est douloureux, mais dès qu'il s'agit d'avoir ses règles... là elles minaudent, les pleurnicheuses !
Je leur ferais tatouer " chochotte " sur leur front à toutes ces connasses moi, le tri serait vite fait, et toc !
Voilà, c'est la fin de ce live.
Retrouvez-moi demain à la même heure sur TIKTOK et INSTAGRAM pour un nouveau live de " Mamie dénonce, Mamie défonce ".
Demain, ce sera la journée militante pour un retour des mains au cul en entreprise, et croyez-moi ça va dénoncer sévère !
Ah ça, on savait s'amuser à cette époque !
J’ai entendu dire qu’on mourrait deux fois. Quand le cœur cesse de battre, et quand on arrête de prononcer ton nom.
Les histoires d'amour n'ont pas de cimetière...
Ce serait réconfortant pourtant, un cimetière où on pourrait aller faire le deuil de nos histoires d'amour passées...
On y inscrirait les dates de début, les dates de fin...
Certaines personnes n'auraient qu'une seule et discrète petite tombe avec deux prénoms gravés... Et d'autres couvriraient des champs entiers de pierres tombales avec autant d'épitaphes...
...Et moi ? Et toi, Romy...?
Est-ce que j'aurai une place dans ton panthéon des gens qui ont compté ? Qui peut répondre à cette question aujourd'hui ?
Je fais le chemin seul à pied.
Je traverse une partie de la ville.
Je me sens comme cette vieille femme --
Derrière chacun de ses sourires, elle m'a jeté sur les épaules tout le poids de son âge et d'une solitude trop dure à porter.
Je rentre chez Romy et moi
Je rentre chez nous.
C'est une douleur qui s'ajoute à la douleur,
la somme d'inconnus supplémentaires...
"Combien de jours sans elle
Combien de rues encore à traverser
Sans sa présence lumineuse ?
Combien de nuits ?"
Je n'ai pas les réponses.
Alors je lui parle
Je rythme mon pas
sur la cadence de son pas
Je me trouve un souvenir --
--- Et je rentre avec elle.
-- Vous n'aimez pas beaucoup les femmes vous, hein?
-- Moi? Je les aime trop!
-- Trop les aimer, c'est mal les aimer, ça revient exactement au même.
Je vous jure que je vais travailler l'acceptation... Je... Je m'sens tellement fatigué de lutter...