Midam

12 tomes déjà, et un peu toujours le même principe, des histoires en une page d’un petit barbare de jeu vidéo qui ne parvient jamais à sauver la princesse, avec toujours le même humour noir et burlesque, de l’humour gore pour ado. Je me dis toujours que je vais finir par m’en lasser, mais même si certains gags sont parfois en dessous, l’envie d’ouvrir ces albums ne faiblit pas, je doit avoir encore un peu de jus d'adolescence dans les veines. Dans cet album, le petit barbare meurt 24 fois, et est une fois transformé en chat, la princesse meurt 16 fois et est une fois transformée en monstre, un carnage, d’accord, mais un carnage plutôt comique.

PS : Encore une très belle double page de garde sur le principe d’”Où est Charlie ?”

Toujours un plaisir de retrouver notre barbare maladroit accompagné de la princesse. Chaque album se ressemble plus ou moins néanmoins à chaque fois ça fonctionne. Une suite de gags avec au final une mort absurde de Kid Paddle ou de la princesse qui si ils ne nous font pas toujours rire à gorge déployée nous tirent forcément un petit sourire.

Assurément, Rap incident rencontrera le succès auprès des ados.

Je l'avoue de suite, Kid Paddle et Game Over sont mes petits plaisirs coupables. Débordantes d'humour gore et souvent loufoque, chaque lecture d'album apporte ses moments de rire. Silence of the lamps, le 18ème tome de la série principale ne déroge pas à la règle et nous offre une succession de sketches où le jeune gamer renouvelle sans cesse ses blagues.

Toujours très colorés, les graphismes apportent un peu de gaieté et de lumière en cette période automnale.

Un nouvel album à dévorer.

Ouais, bof, bof...franchement je ne comprends pas ce que peut trouver mon mari à ces bandes dessinées. Pour les ados, passe encore (quoique l'humour soit on ne peut plus lourd mais bon, soit) mais en ce qui me concerne, j'ai beau essayer de rire, cela ne marche vraiment pas. Le seul personnage qui me paraît assez intelligent dans cet album comme dans les autres que j'ai découvert par erreur est la sœur de Kid mais elle n'apparaît que trop rarement à mon goût.



Pour le graphisme, cela passe encore pour de la littérature jeunesse avec des caricatures assez originales mais pour le fonds, je crois que ce sera irrémédiablement mon dernier effort pour essayer de comprendre ce genre d'humour. Très peu pour moi, merci. En revanche, je le conseillera néanmoins à mes ados en bibliothèque (surtout ceux qui ne lisent que ça) car je retiens au moins un mérite de cette bande dessinée : si elle peut attirer les plus jeunes à lire, alors c'est déjà ça et c'est même beaucoup !

Avis aux enseignants :



Si vous tenez à intéresser vos élèves, à les motiver, il est plus que temps d’adapter les problèmes que vous leur soumettez ! Les baignoires qui fuient, font fuir l’attention des élèves, les trains qui arrivent en retard, c’est complètement dépassé… Heu… Pour les trains en retard, bien que cela reste d’actualité, cela n’intéresse que modérément les élèves, sauf si, par « chance », leur prof est dedans…



Reprenons : vous voulez que vos élèves se passionnent pour les mathématiques ? Alors, proposez-leur des problèmes qui leur parlent ! Vous vous plaignez qu’ils passent trop de temps devant les jeux vidéo ? Retournez l’arme du crime contre eux ! Non, je ne vous demande pas d’acheter une kalachnikov et de… Non ! Non ! Pas question ! Enfin, pas encore… Pourquoi ne pas leur soumettre un bon petit problème ? « John William Rambo doit libérer un camp de prisonniers américain situé au Nord Viêt-Nam et gardé par un bataillon de 159 soldats. Pour ce faire, il dispose d’un fusil d’assaut M-16, et 21 chargeurs de 30 balles. Une rafale de 5 balles neutralise 3 soldats… »



Voilà qui bouleversera vos méthodes d’enseignement et amènera les plus distraits à suivre vos leçons car ils y trouveront enfin un intérêt !



Comment ? Vous me demandez des sujets pour les filles ??? Quelle drôle de demande ! Elles ont voulu l’égalité… Elles l’ont ! Hop ! Même sujet pour tout le monde ! Qu’elles revêtent un treillis militaire et elles adoreront ça ! Et puis, rappelez-vous que l’armée a dû mal à recruter ! Donc, pas de chômage en vue pour celles et ceux qui adopteront le doux métier des armes…



Critique :



Quand Kid Paddle est apparu, en 1993, dans le magazine « Spirou », ce fut une véritable révolution dans l’univers de la BD pour enfants. (Dans ma classe, il est vite devenu une référence !) Très vite, les enfants en âge d’école primaire, les huit, douze ans, vont s’identifier à ce personnage de leur âge, fou de jeux vidéo et de films d’horreur, confondant allègrement l’univers du réel avec celui des aventures sur console. Mais les enfants ne sont pas les seuls à s’intéresser au Kid ! Bien des adultes s’éclatent (rien à voir avec Daesh) en découvrant les gags inventés par Midam, de son vrai nom Michel Ledent, dessinateur belge qui dut attendre la naissance de Kid Paddle pour connaître la notoriété. Il faudra attendre 1996 pour que le premier album voie le jour.



Le 6e tome, Rodéo Blork, ne se distingue pas foncièrement des autres numéros. C’est une grande récréation pour petits et grands grâce aux gags imaginés et dessinés avec talent par Midam et mis en couleurs par Angèle.



Alors, si l’invasion des Xio ne vous fait pas peur, partez à la découverte des aventures de Kid Paddle !

Voilà un moment que je n'avais pas ouvert un album de Game Over. Je retrouve le petit guerrier, le personnage de jeux vidéo dans ses aventures morbides, d’humour noir, non sans un certain déplaisir. En une page, sans paroles, il tente de sauver la princesse, et n’y parvient jamais. C’est un peu toujours la même chose, mais il y a toujours quelques idées sympathiques et drôles.

Des gags inventifs et délirants qui déclencheront de vrais éclats de rires. Un peu destiné aux geeks et gamers quand même.

Allez, encore une petite cure d'humour noir pour bien démarrer la semaine, gore et drôle, avec un dessin expressif, comme d'habitude... Bon, un peu répétitif, c'est vrai, alors à savourer par petites doses.

Il y a en plus le plaisir des pages de garde où l'on trouve une petit jeu "Trouve le petit barbare !"

Je ne m'en lasse pas, un petit Game Over de temps en temps, de l'humour noir pour jeunes ados, avec un dessin expressif, avec du sang qui gicle, des boyaux, des monstres pustuleux, des pièges infernaux... Mais qui sait, peut-être qu'un jour le petit barbare parviendra à sauver la princesse.

Mon fils adore cette BD. Bon, comme c'est une BD muette avec des gags tarte-à-la-crème ça lui permet de bien la comprendre sans avoir à lire (il a 6 ans). J'imagine que le comique de situation répétitif a quelque chose de très jouissif pour lui... et pour les auteurs. Pour ma part, j'ai trouvé trop dans la variation sur le même thème. Je trouve que le gag a souvent du mal à se diversifier pour atteindre le "game over" final attendu.

Je vais le remettre dans la bibliothèque de mon fils, ça ne doit plus être pour moi.

Une BD de Kid et ses amis qui jouent aux jeux vidéos et il perdent tout le temps avec des morts hyper drôles!



Une BD que je lisais avant, c'est une BD sans parole mais avant j'adorais ne rien devoir lire!

Game Over est déjà un classique de l'humour Gore pour jeunes ados. Peu de texte, une fin toujours horrible, un humour noir omniprésent, ça fonctionne. Mais voilà, au bout du 7ème album, ça commence sérieusement à tourner en rond, si la découverte du premier volume m'avait emballé, à chaque fois que j'ouvre un autre volume, j'ai l'impression de relire le même.

Game over... la sentence tombe alors que, bien souvent, la sortie est toute proche. Les adeptes de jeux vidéo connaissent cette frustration. Les gamers connaissent cela, quand on s'approche du terme du jeu, on fait parfois la petite bourde de trop, on pèche par excès de confiance... Un moment d'inattention et bardaf, c'est l'embardée.



Dans ce premier tome, les auteurs emmènent Kid Paddle et ses amis dans l'univers des monstres à dézinguer, des princesses à sauver et des pièges à éviter.



Mais mes gags préférés ce sont ceux "in real life", quand on a les trois loustics dans le canapé, avec chips, boissons, le regard vissé sur l'écran. Puis le paternel rentre et l'espace d'un instant on imagine qu'il nettoie les tripes de monstres en les roulant autour de son bras... Ou l'épisode de la sauvegarde pour une pause-pipi bien méritée... C'est toujours bien vu. On en redemande.

Game over, c'est ce qui arrive à chaque page à notre héros, l'avatar de Kidpaddle, même quand il croit s'en être sorti. PAF . GAME OVER.

La pauvre princesse - un peu gourde -, qui l'accompagne n' a pas beaucoup plus de chance et souvent elle est victime du petit barbare qui croit bien faire en voulant sauver sa princesse.

Game over c'est drôle, inventif; saignant, trash aussi.

Un album qui m'a fait pouffer plus d'une fois. Les gags sont surprenants, ingénieux, et cruels.

C'est l'univers des jeux vidéos vu avec malice.

J'ai trouvé ce n° 12 très réussi. Barbecue royal .... un album tout feu tout flamme.

Un "best of best of" qui vaut le détour, et non seulement pour sa superbe couverture en relief, que je trouve particulièrement bien réussie.

Pour le contenu, une belle panoplie de gags, tous aussi drôles les uns que les autres, tant de Kid Paddle que du petit barbare des.jeux vidéo (Game Over).

Un chouette album donc pour ceux qui ne connaissent pas encore la série, et pour les fans de la première heure, un titre de plus à ajouter dans votre bibliothèque.

Encore 46 planches de délire autour de de fameux jeu vidéo dont on ne sort jamais. Princesse et chevalier sont unis dans un même élan mortifère. Quand ce n'est pas un Blork, c'est un rocher, un laser, un champignon, c'est un brin de fierté ou l'éternel féminin (vu avec bienveillance très #MeToo quand même).



Chaque gag déclenche en moi des torrents de larmes de rire et de la frustration aussi. Je n'ai effectivement jamais été accroc aux jeux vidéos. Je ne connais pas ce sentiment d'exultation, d'exaltation à l'approche du dénouement final, et de dépit et d'écoeurement quand on rate la dernière étape décisive...

Kid Paddle revient dans un nouvel opus pour mon plus grand plaisir. Ce gamin a l'humour douteux et avec des centres d'intérêts un peu gore est au cœur d'une série de petites histoires dans la veine des précédents albums. On y retrouve les personnages habituels, ses amis, son père, toujours aussi flegmatique, sa sœur, dont les poupées restent les principales victimes des expériences de Kid.

On retrouve également des planches "game over", toujours aussi drôles. Elles fonctionnent sur le même principe, mais il y a toujours de l'inventivité dans la conclusion des gags.

Ce dix-neuvième tome est dans la droite ligne de cette série qui offre un vrai moment de détente et d'humour. Que demander de plus.

Grrreeny est un tigre. Vert. Suite à une baignade dans un lac pollué, vachement pollué, Grrreeny est donc le seul représentant de son espèce. Trop craquant, ce petit tigre démarre un long combat, tout en gags, pour une terre plus propre, une terre plus verte, plus respectueuse, soucieuse des changements climatiques, des enjeux planétaires, de la fonte de la banquise... Et si cela signifie qu'il faut manger les braconniers et les fauteurs de trouble, eh bien il y aura de la viande au menu! Mais manger de l'explorateur non bio, n'est-ce pas dangereux pour Grrreeny?

On est dans l'humour noir façon Midam. Celles et ceux qui connaissent Game Over ou Kid Paddle ne sont pas déçus, à mon avis. Et j'en suis. Les autres risquent de passer un mauvais moment... surtout s'ils s'imaginent prendre la place du petit-déjeuner de Grrreeny ou de ses copains.

Reste que cette BD sans prétention au départ est un magnifique plaidoyer pour l'écologie et l'adoption de nouveaux modes de consommation. Les préoccupations climatiques sont au centre de cette BD. Et cela risque de faire mouche auprès de certaines "petites têtes blondes".

On passe donc du "consommer local" (l'explorateur perdu dans la jungle, par exemple...) aux ressources renouvelables. Du recyclage au drame du plastique pour les tortues de mer. Du braconnage à la détresse des ours polaires. Caustique, éducatif, plein de petites astuces et de gros gags qui tachent... Grrreeny est déterminé, ready and willing comme disent les Engliches. Voilà un chouette album d'un chouette petit héros moderne.

Nouvelles salves de blagues avec ce nouveau tome de Kid Paddle. Avec un humour qui ne fait pas dans la dentelle, Midam poursuit les aventures vidéo ludiques de son petit héros.

Si cette série de BD , n'est pas ma préférée, je replonge toujours avec plaisir dans les albums, qui offre une vraie bulle de légèreté. C'est drôle, bête et méchant, mais çà permet vraiment de passer un bon moment.

Kid Paddle comme sa famille n'ont pas pris une ride et nous offre encore une bonne tranche de rigolade.

Kid Paddle est un jeune ado , fan de jeux vidéos , il a des copains aussi passionnés que lui , une petite soeur qu'il adore embêter , un père qui a parfois du mal à le comprendre mais qui a beaucoup d'humour .

Très bon rendu de ces jeunes ado qui ne savent plus décoller de leur console .