Midam

Excellent album, qui fait à nouveau la part belle aux Blorks, bien souvent victorieux malgré eux.



Manque de chance pour notre petit barbare, qui n'y arrive toujours pas, se faisant bien souvent arrêté/détruire à un centimètre de la sortie.



Et que dire de la Princesse captive qui lui apporte bien souvent une aide ... malheureuse, et mortelle.



Bref, du tout bon !!!!

Midam mélange quelques gags du Petit Barbare avec ceux (majoritaires) de Kid Paddle. Rien de transcendant, mais l'humour décapant est toujours bien là.



Mention super pour les deux intérieurs de couverture. En début d'album, on a la constellation de Kid Paddle. Et en fin d'album, on a une présentation un peu différente, intégrant le Petit Barbare, un Blork et la Princesse.

C'est évidemment répétitif... mais c'est tellement bon...



Une planche, un gag, une façon de mourir bêtement.



Le petit barbare trouve un sabre laser, génial. Mais devant le Blork, il cafouille, récupère le manche du sabre, l'allume et se fait transpercer car il le tient à l'envers.



Ou parfois, le petit barbae tue la princesse, ou meurt à cause d'elle. Oups... clairement. Comme quand le panneau métallique qu'il escalade bascule et projette la princesse contre le rocher d'en face. Ou quand elle ramasse les perles de son collier que le petit barbare essaime pour ne pas se perdre dans le labyrinthe. Etc. C'est non-sens bien souvent, mais les geeks et fans de jeux de fantasy sur PC ou console se reconnaissent...

Moins riche et moins variée que la série des Kid Paddle, cette suite raconte surtout des fins de jeux évidemment toutes plus trash les unes que les autres ; on lit l'album avec une impression de répétition, même si on sourit à la créativité des auteurs.

Dans cette spin off de la populaire série 'Kid Paddle', nous retrouvons (brièvement) Kid, Horace et Big Bang qui se préparent à un marathon du jeu vidéo 'Barbarian Anthology' où un petit barbare doit (tenter de) sauver une charmante princesse en dézinguant un maximum de monstres...où, en tout cas, essayer. En effet, notre héros virtuel, par bétsie, par maladresse où suite à une difficulté imprévue, va systématiquement se retrouver face au "Game over" titre.

Evidemment, ce n'es pas toujours très fin mais c'est très distrayant et j'admire l'imagination de Midam car malgré le fait que ça soit toujours la même finalité, ce n'est pas lassant ni vraiment répétitif.

Bon, personnellement, je préfère Kid Paddle à Game over mais ça reste très sympa à lire.

Grrreeny est jeune tigre qui, après s’être baigné dans un lac radioactif, en est ressorti tout vert. Depuis, Grrreeny sort ses griffes contre les braconniers et les pollueurs de tous poils. La surconsommation, la facture énergétique incontrôlable, la fonte des glaces, la déforestation, la nécessité du tri sélectif, les animaux en voie de disparition… les combats à mener sont nombreux et le petit tigre, bien aidé par ses amis, n’hésite pas à donner de sa personne pour faire triompher les causes qu’il défend.



Avec cette série écolo aux gags en une planche, Midam, créateur de Kid Paddle, ne donne pas dans l’humour gentillet et politiquement correct. Son tigre en colère manie l’humour noir et force est de reconnaître qu’il ne fait pas bon être un trafiquant d’animaux sauvages dans la jungle de Grrreeny ! Son coté enfantin le pousse à s’interroger avec une certaine naïveté sur le monde qui l’entoure et l’incite à ne pas tenir un discours catastrophiste sur l’environnement. Cet engagement écologiste mené parfois en dépit du bon sens fait tout le sel de la série. Ainsi, Grrreeny n’hésite pas à insulter un arbre puisqu’on lui a dit que pour soigner la nature, il fallait la traiter !



Drôle, facétieux sans jamais être pompeux, nul doute que le petit tigre écolo de Midam saura s’attirer la sympathie des petits et des grands lecteurs.








Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..

Un très bel album de Kid Paddle !

Le mix est parfait entre ses aventures morbides, en famille, en train de jouer aux jeux vidéos, ainsi que quelques pages dédiées au petit barbare.

Une très bonne mixité cette fois donc, et des gags qui fonctionnent très bien aussi.



Bref, un bon moment de lecture pour les jeunes, et les moins jeunes !

Quand Grrreeny était petit, il s'est baigné dans un lac radioactif. Depuis, il est devenu tout vert, d'où son nom. Son père grogne dans la jungle pour montrer son mécontentement. Lui ne veut pas se limiter à ça. Donc avec ces potes de la jungle, il fait plus et va plus loin. Quand des braconnier débarque et ils lui règlent son compte. Pourquoi les animaux ne pourraient pas se délecter de sa viande et utiliser sa peau pour faire des objets? Bien que cela s'adresse à des enfants, les scénaristes ne font pas dans la demi-mesure. Mais tout n'est pas de cet acabit. On reste sur quelque chose de classique avec une page et un gag. Les références à des catastrophes écologies sont nombreuses comme le réchauffement de l'eau, la pollution, l'essor du plastique, la surconsommation... Parfois pour faire bouger les lignes, il faut toucher ce que les gens aiment plus que tout comme le football. "Manifestation contre la déforestation. La forêt est massacrée. A chaque seconde c'est la surface de 3 terrains de foot qui disparaît. Bougez-vous. Venez nombreux". Les codes sociaux et les clichés sont très bien maitrisés. Les enfants peuvent très bien comprendre les gags tout comme les adultes. D'ailleurs, une lecture familiale est chaudement recommandée. Vous pourrez discuter de l'importance de la biodiversité. Un sujet pas si banal qui mère bien quelques interrogations. Au moins, il ne sera pas nécessaire de mettre la tête d'un chasseur empaillé dans votre salon.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

D'excellents gags comme d'habitude. Midam creuse profondément le sillon de l'amitié entre Kid Paddle et Horace... Ils vont au cinéma en essayant d'aller voir un film interdit aux moins de 18 ans... et grâce à Horace, ils terminent devant Rikiki... ou ils se font jeter...



Ils se retrouvent au luna park à essayer de nouveaux jeux, non sans avoir d'abord potassé le sujet à la bibliothèque. Par exemple quand le jeu vidéo met le joueur dans la peau d'un ténia... L'imagination de Midam semble sans limite.



Mon gag préféré est le cadeau de fête des pères: une tête de blork, avec ce petit mot de Kid: les trombones sont dans le cerveau. Autre gag tendre et hilarant: quand le père explose le gérant d'une attraction de la fête foraine avec la dernière balle du bazooka... admiration totale et respect éternel de Kid qui "découvre" son paternel. Mentionnons aussi les planches à pain "monstres"... "ne te plains pas" dit le père à sa fille, "tu n'as que des vers! moi j'ai du dégueulis!"...

Cette bande dessinée brosse une époque où l'obsession des jeux vidéos passait par des salles spécialisées. le trio de copains accros et les adultes dépassés qui apparaissent dans chaque gag sont franchement givrés, et l'inventivité des gags nous amènent à sourire souvent et rire franchement parfois.

Ça à un peu vieilli, mais je redécouvre la série en rangeant la chambre de mon fils, et ça vaut le coup.

Aller voir un film "enfants non admis"... mon aîné de 10 ans en rêve... surtout depuis qu'il sait que je suis un grand fan du genre. Il guette la signalétique à la télévision, et récemment il a jeté son dévolu sur Le Dernier Train pour Busan, un classique récent.



Voir Kid Paddle et son pote revêtir un imper et tenter de passer le guichet... cela me fait toujours marrer. C'est sans doute régressif, mais je m'en fous.



A côté de ces quelques gags sur le retour de la momie, on retrouve les grands gags de Kid Paddle, comme le rôle du père à mi-chemin entre fantasme et (banale) réalité. Le père, bien cliché, m'amuse toujours. Il fait de son mieux, mais c'est tellement décalé par rapport aux souhaits de son rejeton. Finalement les gags les moins satisfaisants sont ceux qui viennent en droite ligne de Game Over, avec un accent sur la spécificité guerrier/princesse... c'est un peu trop cliché et caricatural, avec la princesse typiquement "blonde". Mais cela reste bon enfant.

Ce Game Over fait partie de mes préféré!!!

les histoires sont vraiment drôle et remplie d'action!!!

Je le conseille au fans de Game Over!!!

Bonne lecture!

Nouvelles parties, nouvelles chances d'arriver à... on ne sait pas trop, mais ça n'a aucune importance puisque de toute manière notre petit barbare, ne le dite à personne surtout, ne franchira aucune épreuve !



Game Over narre les aventures comiques d'un petit barbare imberbe, malingre, le menton fuyant, armé d'une massue aussi grande que lui qui défie à longueur de gags d'innombrables pièges et adversaires plus vicieux les uns que les autres. La construction des histoires est simple et surtout, furieusement attendue : la mort du personnage... affreuse, sanglante, perverse, malchanceuse, puissamment drôle. Game Over parce que le dit personnage n'est autre que le héro du jeux vidéo dans lequel Kid Paddle, jeune adolescent également sorti des crayons de Midam, est passé expert. Game Over pour rappeler que jamais une planche ne se termine confortablement pour le petit barbare. Finir un niveau, tuer un boss ou sauver la princesse ne sont ici que des prétextes pour poursuivre un seule et unique quête... trouver la mort la plus atroce, la plus inattendue, la plus hilarante. Hilarante, la bande dessinée de Midam ne l'est pas toujours et ce n'est pas grave. Parce que, dépourvu de texte, son travail se lit vite, le lecteur n'a pas le temps de digérer une déception que déjà il s'esclaffe du gag suivant, ravi de l'inventivité de l'auteur. Finalement, pourvu que Midam ne manque jamais de jetons pour lancer une nouvelle partie du petit Sisyphe digital !



Un troisième album qui met particulièrement la princesse en valeur et conséquemment pose la question, au combien existentielle : la solitude ne vaut-elle pas mieux qu'être mal accompagné ?

Kid Paddle aurait pu s’appeler King Paddle tant il est un pro des jeux vidéo. Mais c’est un gamin aux goûts un peu gores et à l’humour potache

Toujours pareil et pourtant à chaque fois surprenant, Kid Paddle est un vrai plaisir régressif. Jamais à court d’idées pour faire une bonne blague, prenant particulièrement pour cible sa sœur et détournant ses jouets à des usages totalement différents. Les gags fonctionnent parfaitement. L’album nous propose aussi quelques planches de Game Over, toujours aussi drôles et féroces. Enchainant des histoires courtes d’une page, on ne s’ennuie pas une seule seconde en lisant cette BD.

J’ai fini par vraiment m’attacher à cette bande de personnages un peu décalée et prend de plus en plus plaisir à découvrir leurs aventures. Vivement le prochain !

Il y a un effort de présentation pour ce 10e tome des aventures du petit barbare, couverture avec encre métallisée et page de garde avec un jeu du style “Où est Charlie ?” et déjà un premier gag cruel. le petit barbare, personnage de jeu vidéo, ne parvient jamais à trouver la sortie avec la princesse… Game Over, ça se termine à chaque fois de façon gore et violente, et c’est souvent très drôle. Midam excelle dans l’humour noir pour jeunes ados. Pas de paroles, un dessin expressif, c’est efficace. Le seul reproche qu’on puisse faire, c’est que c’est très vite lu et assez répétitif, j’aimais bien trouver les aventures du petit barbare entre les pages de Kid Paddle, ça variait et on passait à autre chose. Mais ne boudons pas notre plaisir, cet album a provoqué quelques bons rires.

C'est une bonne idée qui est exploitée dans cette nouvelle série artistique et mi-fantastique. Harding était là. Tout la question est de savoir quand. Le voyage dans le temps n'est qu'un prétexte à vivre quatre petites histoires originales avec des peintres plus ou moins célèbres.



L'idée exploitée au départ n'est pas nouvelle. Si on se souvient de la trilogie "Retour vers le futur", il était question de se servir d'un almanach qui donnait le résultat des courses ce qui présentait bien des avantages si on pouvait remonter dans le temps. Ici, il est question de tableaux de maîtres à acquérir pour pouvoir les revendre des millions dans les ventes aux enchères de Sotheby's. Qui se souvient que Van Gogh était pauvre et que ses toiles ne valaient absolument rien ?



La série prend une tournure humoristique alors que la fin s'avère plutôt dramatique. Du coup, on en retire un certain malaise. On sait que cette aventure va se poursuivre mais on se demande comment.



Je voudrais également faire remarquer que Midam qui est très connu pour sa série Kid Paddle et Game Over sort un peu des sentiers battus et j'applaudis cet exploit. Voilà un auteur qui sait se renouveler. Une bonne surprise donc.

Un enchaînement de gags en une page qu mettent en scène le Petit Barbare, avec de temps à autre l'apparition IRL de Kid et de ses amis. Notamment, une camarade gothique surnommée chauve-souris, et le boss du magasin de jeux vidéos qui demande à Kid et ses amis de tester les jeux.



De nombreux gags montrent le Petit Barbare heureux de terminer le niveau... jusqu'à ce qui'l se rende compte qu'il vient de dissoudre la princesse, de la décapiter, de l'encarter dans le mur... Quelques fois, c'est la coquetterie de la princesse (voire son besoin de se venger du Barbare) qui met fin à l'aventure.



Régressif et jouissif.



On signalera que ce tome (avec le précédent et le suivant) ont été financés via crowdfunding et contiennent pas mal de gags proposés par les lecteurs (et pour lesquels Midam paie 400 euros, dit-il).

Un Game Over de très bonne tenue. Globalement il se centre sur l'interaction entre le petit barbare et la princesse et sur les fins "chimiques". Il est pas mal question d'acides, de produits verdâtres et se répandant à gros bouillons...



On pourra regretter ou pointer quelques gags assez tendancieux mettant en scène la princesse. Elle apparaît gourde, superficielle et abusivement coquette... ce qui dans les situations extrêmes relève de la plus pure bêtise... Mais le petit barbare n'est pas en reste, il est macho, phallocrate et peu attentif à celle qu'il doit sauver. Par ailleurs, on sent aussi une tendresse certaines de Midam pour la princesse.

Un tome dont le titre montre que la BD ratisse parmi les adultes... un enfant ne comprendra pas l'allusion cinématographique. On tourne beaucoup autour des jeux de luna parks et du père de Kid Paddle. Les premiers gags sont un peu poussifs, mais ceux avec le paternel sont délicieux.



Comme quand Kid vise son père avec une fausse arme et lui dit quelque chose comme "avec un vrai rayon plasma tu n'aurais plus de tête" et que son géniteur lui répond "avec un vrai père, tu recevrais une fessée".

J'adore cette BD!!!

C'est la première que j'ai lu.

Elle est très drôle et il y a pas mal d'aventure!!!

Bonne lecture!!!