Le 27 mars dernier, Le Pape François bénissait un satellite chargé de porter sa Bonne Parole dans les étoiles : Spei Satelles, de son petit nom (Satellites de l'Espoir), décollait depuis la base californienne Vandenberg. le Vatican l'avait confirmé : la machine contiendrait un livre avec la bénédiction urbi et orbi du 27 mars 2020, déclamée en pleine pandémie Covid
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Mieux vaut ne pas fréquenter l’église et être athée, si c’est pour haïr les autres et parler mal d’eux....
Première audience générale 2019
( Corriere della Sera)
L’homme est devenu avide et vorace. Avoir, amasser des choses semble pour beaucoup de personnes le sens de la vie. Une insatiable voracité traverse l’histoire humaine, jusqu’aux paradoxes d’aujourd’hui ; ainsi quelques-uns se livrent à des banquets tandis que beaucoup d’autres n’ont pas de pain pour vivre.
L'Amour est, au fond, l'unique lumière qui illumine sans cesse à nouveau un monde dans l'obscurité.
La recette du bonheur.
Vivre et laisser vivre
Se donner aux autres
Se mouvoir avec bienveillance et humilité
Jouer avec les enfants
Passer ses dimanches en famille
Aider les jeunes à trouver un emploi
Prendre soin de la création
Oublier rapidement le négatif
Respecter ceux qui pensent différemment
Rechercher activement la paix
Pape François
... En effet, Dieu, le Tout-Puissant, n'a besoin d'être défendu par personne et ne veut pas que Son nom soit utilisé pour terroriser les gens.
Document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune.
Le pardon, le pardon, il est très difficile de pardonner. Il y a une seule condition essentielle, cependant, sans laquelle jamais personne ne pourra pardonner. On ne peut pardonner que si on a reçu la grâce de se sentir pardonné. Seul celui qui se sent pardonné, peut pardonner à son tour. Je pardonne parce que, auparavant, j'ai été pardonné.
Pour un chrétien, commencer une nouvelle année ne veut pas dire seulement changer de calendrier ou acheter un nouvel agenda.
Le Nouvel An nous invite à nous arrêter un instant, à percevoir notre propre existence personnelle comme un parcours de croissance continue.
C'est seulement si nous sommes capables de stopper la frénésie et de trouver vraiment un court espace de réflexion, que les vœux ne seront pas des mots vides de sens, et que les toasts ne resteront pas des gestes éphémères, sans signification.
« Vivre, parler et agir sans violence, ce n'est pas baisser les bras, ni perdre, ni renoncer à quoi que ce soit. C'est aspirer à tout. »
Nous avons un Père. Très proche, qui nous étreint. Tous les soucis, toutes les préoccupations que nous pouvons avoir, abandonnons-les au Père : lui sait de quoi nous avons besoin. Mais ce mot, "Père", quel sens a-t-il ? Mon Père ? Non : notre Père ! Car je ne suis pas fils unique, aucun de nous ne l'est, et si je ne peux pas être frère, je pourrai difficilement devenir le fils de ce Père, puisqu'il est le père de tous. Le mien, certes, mais aussi celui des autres, de mes frères. Et si je ne suis pas en paix avec mes frères, je ne puis lui dire "Père" à Lui.
Je ne parle pas de la joie consumériste et individualiste si répandue dans certaines expériences culturelles d'aujourd'hui. Car le consumérisme ne fait que surcharger le cœur ; il peut offrir des plaisirs occasionnels et éphémères, mais pas la joie. Je me réfère plutôt à cette joie qui se vit en communion, qui se partage et se distribue, car "il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir" (Ac 20, 35).