Agnès Martin-Lugand

Pour connaître de nouveaux auteur c'est bien aussi

J'ai découvert François d' epenoux ainsi et je viens de lire quasi tou ses livres mon préféré c'est le vieux.....

Par contre des auteurs que vous aimez bien peuvent vous décevoir mais 5€ un livre avec une bonne action qd vs prenez le train c'est mieux qu'un magazines et ensuite vous le donnez,je ne garde plus aucun livre ,je fais tourner prêt, don boîte à livre.

Encore un livre que j'ai dû lire avec une boîte de mouchoirs à proximité

Agnès Martin Lugand sait me toucher. Ces personnages sont justes, on pourrait les croiser

J'ai adoré Maddie, j'ai aimé la force de l'amour

Une très belle histoire comme toujours

La destinée est parfois cruelle, la vie, nos choix, nos expériences nous forgent, font de nous ce que nous sommes.

 

Une remise en question, des doutes induits par un trop plein de non-dits, de sentiments accumulés, il faut être maitre autant que l’on peut de choisir la direction vers laquelle avancée. Le changement est difficile mais l’aboutissement une révélation.

 

On dit que le temps guérit les maux, et parfois il édifie le constat d’une vie, il révèle une vérité longtemps faussée. Pousser les nuages et laisser entrer la lumière salvatrice à une éclosion peut tout changer.

 

C’est émouvant, le texte est sublime, il m’enveloppe de douceur, de réalités, une explosion de tendresse mais également tranchant de réalité maladive et destructrice. C’est aussi percutant, ce choc des personnalités entre le doux, le protecteur et le manipulateur malsain, narcissique et l’égoïsme à son apogée se font face.

Cette histoire, c’est aussi l’amour inconditionnel d’une mère, d’une femme, un imbroglio sentimental comme une tempête dévastatrice. Le temps ne se rattrape jamais, il se construit, il se prend au vol, vivre est ce qu’il y a de plus précieux. Cela peut être puissant, destructeur et réparateur.

 

Je suis passée par tous les stades émotionnels, l’autrice m’a percuté avec ce récit vrai, réel qui a fait écho en moi. Il révèle à la fois le meilleur et le pire, l’amour ravageur et l’amour le vrai, le beau.

La fin est divine, bouleversante, je n’en attendais pas moins !

Agnès Martin-Lugand ne cessera jamais de m’impressionner.

Je suis tombée amoureuse de cette petite pépite, de ces personnages qu’on a envie de découvrir encore et encore.

La datcha est pour moi un endroit paisible où il y règne sérénité et bonheur. Merci merci merci pour ces 341 pages de douceur.

Ceux qui l’ont lu savent combien certains passages ont été difficiles, Madeleine est en fin de vie, sa famille et ses amis la soutiennent, l'accompagnent au mieux, sa fille Lisa est très présente, à tel point que l’abandon à venir nous submerge d’émotion.



Lisa aimerait tout savoir de sa mère tant qu’il en est encore temps, temps qu’elle peut tout entendre de sa voix, elle ne veut pas de surprise après son décès, pas de question sans réponse, c’est ainsi qu’elles décident de partir dans cette maison de vacances qui héberge les meilleurs souvenirs d’enfance de Madeleine, mais aussi son plus grand amour.



Là-bas nous allons découvrir son autre vie, remplie de musique, d’amour, d’intensité, une vie interrompue un jour et enfouie au plus profond de son âme.



En parallèle, on rencontre Joshua, ancien pianiste au succès reconnu, qui vit seul et terré dans sa maison au bord de l’eau, jusqu’au jour où son fils Nathan arrive pour remuer ses tourments bercés par l’alcool et les médicaments.



Joshua et Madeleine sont liés, c’est déchirant de voir que lui voudrait en finir avec la vie alors qu’elle aimerait pouvoir vivre plutôt que mourir.



L’auteure sait nous décrire avec intensité les sentiments de l’un et de l’autre, comme d’habitude vous ne ressortirez pas indemne de cette lecture, bouleversante, poignante, prenante.



C’était pour moi une lecture compliquée mais rapidement la romance a pris le dessus sur la souffrance de Madeleine et de Lisa.

Je me suis plongée dans ce livre sans attente particulière car je ne connaissais rien à l’histoire ni à son auteur, un membre de ma famille me l’a offert en pensant qu’il pourrait me plaire. J’ai alors découvert une histoire touchante, humaine et feel good qui nous montre que même si la vie n’est pas facile, elle vaut la peine d’être vécue, qu’on peut toujours se reconstruire. Le début m’a beaucoup fait pleurer, ce qui m’a aider à entrer dans la détresse du personnage et de découvrir sa reconstruction intérieure. Ce livre ma beaucoup fait pensé à « la delicatesse » de David Foenkinos qui aborde le même sujet de reconstruction de soi même dans une période de deuil.

On suit ici l’histoire de Diane qui a perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. Cet incident va complètement briser la vie de Diane, qui va rester seule, en essayant de combattre le remord et la tristesse chaque jours et qui décide de s'exiler en Irlande.

C’est un livre que je recommande si vous recherchez une littérature à la fois douce et poignante sans prise de tête.

Conseil : m’unissez vous d’un mouchoir pour les premiers chapitres !

Celui-ci est le deuxième livre que je lis de cette auteure, une belle histoire malgré ce terrible événement qui survient. Pour ma part je me suis vite projeté dans l’histoire, j’avais un peu de mal à arrêter de lire. Un peu déçu de l’évidence des événements qui vont se passer entre Ava et Sacha, de la meilleure amie qui est présente puis qui finalement disparaît dans l’histoire et qu’on ne lui accorde plus trop d’intérêt.

Je reste de nouveau déçu sur une fin trop vite amené comme le précédent roman d’Agnes que j’ai pu lire, je trouve qu’elle est apporter comme ça et hop basta fin du roman dommage…

Comment une bonne vivante comme Yaël peut devenir aussi coincée ? Peut-on changer à ce point ? Passer d'un extrême à un autre ? S'obstiner autant pour tomber au fond du trou me paraît impensable. Mais si l'amour peut détruire, c'est aussi lui qui nous répare.



Même si le changement d'attitude brusque des personnages m'a laissé perplexe, la plume d'Agnes Martin-Lugand m'a convaincue.

Insipide et mièvre. Niveau Harlequin.

Le personnage principal (Hermine) atteint un tel niveau de geignardise que cela a très vite crée un désintérêt pour la lectrice que je suis.

La trame de départ est bonne, mais mal exploitée. Les mêmes idées se suivent à longueur de paragraphes, seuls les mots changent. De fait, les pages se suivent et se ressemblent. Dommage, car le cadre choisit par l'auteure pour développer l'histoire de la Datcha, d'Hermine et des autres a tout pour plaire.

Je mets 1 étoile pour les personnages de Macha & Jo et leur belle histoire d'amour, mais pas plus.

Bref, vous l'aurez compris : je n'ai pas été séduite.

J’en attendais beaucoup plus de ce livre. J’aurais aimé plus de profondeur , j’ai le sentiment d’une histoire inachevée et c’est bien dommage.Cependant je ne peux pas dire que j’ai détesté car j’ai passé un bon moment. Je lirais le tome 2 pour voir si je persiste avec l’autrice.

Diane perd son mari et sa fille dans un accident de voiture. Un an après elle prend la décision de partir vivre en Irlande où elle va tenter de se reconstruire.

La plume d'Agnès Martin-Lugand sait retranscrire les émotions les plus simples, celles que nous pouvons tous ressentir dans notre vie ordinaire.



J'ai beaucoup aimé suivre Ava dans ses tentatives pour redonner le goût de vivre à Xavier, son mari accidenté. Et ses tentatives de résistance à l'attirance coupable qu'elle éprouve pour Sacha.



J'ai été un peu gênée par certaines longueurs et redondances.

Un roman bouleversant d'émotions et d'amour que je ne peux que vous conseiller.



Dès le début, l'auteure nous plonge dans le monde sublime de Gary, celui de la mer, mais également celui de ses tourments.



Erin est le personnage qui m'a le plus touché. Malgré de nombreuses épreuves, elle se relève encore et toujours; c'est une battante.



La rencontre entre ces deux êtres liée au hasard (en partie) va bouleverser leur vie et leur faire réaliser qu'ils ont le droit au bonheur.

Le thème de cette année 2023 m'a plu: la planète.



Celle sans qui nous ne serions pas là, celle que nous faisons souffrir...



La nouvelle qui m'a le plus touché est sans hésitation celle de Karine Giebel qui met en avant les massacres des peuples vivant dans la forêt amazonienne.

Une fois n’est pas coutume, je me retrouve entre deux chaises. Il fallait que je le lise. Lire les auteurs dont les gens parlent, lire les succès, ce qui touche, ce qui fédère… ou pas vu le nombre de critiques négatives…



Dire d’un livre qu’il est mauvais quand on l’a lu en moins de 24 heures, c’est hypocrite… disons que c’est comme murmurer secrètement une chanson de Lorie en époussetant les 45 tours de Brel et compagnie.



Je partage les avis négatifs…

- L’histoire est vide : Dés le début on sait… à part l’arrivé surprise de… on connait le début, le milieu et la fin… Les oui et non… C’est dans les séries B, dans les films de noël, C’est vu et revu… et pourtant… Pourtant je me suis laissé bercé. Et j’en suis fier.

- L’histoire est remplie de clichés :( Felix et Edward) mais comme je le dis à chaque fois… les clichés existent parce qu’ils s’ancrent dans la réalité. Alors oui, je vois qui est Felix dans mon entourage, oui, j’ai un Edward… Donc en fait ca passe

- L’histoire manque un peu de tout, l’Irlande, le nord de la France, la Belgique… Pas vu la différence à part la bière ; de profondeur des personnages ; d’envolée poétique ; de vraisemblance aussi… Les réactions des protagonistes, la temporalité…



Quand je referme le livre, je sais que j’oublierai ce livre. Je sais que j’en garderai une image de littérature feel good pas désagréable, un livre de vacances… Un succès de librairie monté de toute pièce mais cela m’est égale.

J’ai malgré tout passé un bon moment de lecture. Je ne joue pas les snobs, les intello, les fatigués… Ceux qui ne lisent que pour se désespérer de ne plus être surpris.

J’ai bien aimé parce que malgré tout, j’ai été pris dans le rythme, parce que j’ai partagé un peu les émotions du personnage central et parce que parfois c’est juste agréable un petit moment de lecture simple et sans prise de tête.

Yaël travaille ! Sans relâche ! Chaque minute de son existence est entièrement consacrée à son emploi qu'elle aime plus que tout et pour lequel, elle est la meilleure.

Au fil des années, elle a délaissé sa famille et ses amis, pour ne plus être distraite de son travail.

Mais tout va basculer, le jour où Yaël retrouve par hasard Marc qu'elle n'a pas vu depuis 10 ans.



📘MON AVIS : Plus je lis les romans d'Agnès Martin-Lugand, et plus j'apprécie sa plume.

Et pourtant, ici, la tâche était ardue ! Comment s'identifier au personnage de Yaël ? Impossible pour moi ! En effet, Yaël est carriériste au possible ! Rien d'autre ne compte à ses yeux que son travail, sa réussite. Petit à petit, elle se retrouve seule, et ne s'en porte pas plus mal. Pour ma part, bien que le travail soit nécessaire, il est juste alimentaire et je ne me vois pas tout sacrifier pour lui. Donc, un personnage que j'ai trouvé détestable et pourtant !

Yaël saura-t-elle voir que l'essentiel ne réside pas dans son travail ?

Au fil des pages du roman, je suis néanmoins parvenue à m'attacher à cette femme d'affaires forte et pourtant emplie de faiblesses.

En effet, à force de s'imposer un rythme trop important, le corps de Yaël se rappelle à son bon souvenir, et la jeune femme voit son armure se fendiller ! En tant que lecteur et spectateur, on pressent l’inéluctable arrivé.

Contre toute attente, j'ai beaucoup aimé cette lecture, qui me conforte dans l'idée de ne jamais être carriériste. Et puis, l'autrice nous donne des nouvelles de personnages d'un précédent roman, et je trouve que ce parallèle est une très bonne idée !

Nouvelle mouture de 13 à table. C'est le onzième ouvrage de la série. J'ai commencé par la lecture de Le nouvelle de Philippe Besson. Et puis je me suis arrêté. J'ai mis du temps à m'y remettre. La nouvelle est pourtant un style que j'affectionne.

Cette saison encore, j'ai retrouvé des écrivaines et écrivains récurrents de la série. C'est toujours un plaisir de découvrir la manière dont ils auront traité le sujet, en l'occurrence cette année, J'ai 10 ans.

Finalement de l'ouvrage de cette saison, la nouvelle de Michel Bussi, j'ai 10 ans... demain, sort haut la main du lot. Elle m'a bouleversé. C'est ma préférée et elle me marquera longtemps. Même si elles n'arrivent à la hauteur de l'émotion que m'a procurée celle de Michel Bussi, je citerai néanmoins celles de François d'Epenoux, Karine Giebel, Agnès Martin Lugand et Romain Puertolas.

Agnès est une auteure que j'affectionne beaucoup. C'est en autre elle et ses romans qui m'ont donnés goût à la lecture ❣ Mais ce livre ne détrône8 pas mon coup de cœur : * Une Evidence * !

Pour être honnête j'ai eu de mal à me plonger dans ce roman. La narration à 2 voix m'a perturbée, surtout au début, je n'arrivais pas à me repérer. Malgré le manque d'indication, j'ai poursuivi ma lecture, l'intrigue s'est installée et j'avais hâte de terminer le récit pour connaître le dénouement. Au fils des pages on découvre les personnages, leurs vécus, leurs histoires, et leurs présent qui est très éprouvant ! J'ai beaucoup apprécié les personnages secondaires, très touchants et émouvants affrontant eux aussi les difficultés de la vie . Malgré ma déception du départ, j'ai aimé ma lecture.

On l'a abandonnée quand elle était petite la Gamine. Mais avec Jo et Macha, elle a retrouvé une famille. Des gens qui l'aiment et qui la protègent. Que va-t-il se passer maintenant qu'ils sont partis, eux aussi ? Comment va-t-elle survivre ? Qu'est-ce qu'on lui a caché ? Il ne lui reste qu'une chose à faire : continuer. Avancer. Travailler. Heureusement, il lui reste la Datcha ?



Une belle histoire dans un très beau cadre qui cependant me laisse sur ma faim. Peut-être était-ce trop lent, trop descriptif ? J'ai apprécié mais pas accroché.

Déjà 10 ans que des auteurs se réunissent pour produire un recueil de nouvelles au profit des Restau du cœur.

Naturellement, le thème retenu est « j’ai 10 ans ».

C’est donc autour du thème de l’enfance que se déroulent ces textes de qualité plutôt homogène.

Allier la bonne cause à la bonne lecture : que demander de plus ?

Bien entendu, l'histoire est jolie, les personnages attachants et l'écriture aussi fluide qu'agréable mais les ficelles sont énormes et les ingrédients d'écriture de l'autrice toujours un peu semblables: des personnages tourmentés qui se reconstruisent en un temps record... j'ai certes passé un bon moment mais cette lecture ne m'a ni bouleversée, ni totalement emportée....