Citations de Aiden Thomas (85)
« Peut- être que tu te sens vieille et que tu veux rester jeune à tout jamais, comme ce Peter Pan. Peut- être que tu veux t’enfuir avec lui au Pays imaginaire. »
Un sourire naquit sur ses lèvres.
Wendy leva les yeux au ciel.
« Très drôle. »
- (…) La possibilité de la célébrité et de la gloire ou d’une mort imminente ne fait pas exactement ressortir le meilleur chez les gens.
>Teo à Aurelio, page 449
À quel moment le journalisme devient-il du harcèlement?
- Si tu passes ton temps à t’occuper des autres, qui s’occupe de toi ?
Moi, je trouve les gens bien plus effrayants que le noir. Une personne très dangereuse pourrait se tenir face à toi sans que tu le saches.
Exactement. La deuxième étoile à droite, et tout droit jusqu’au matin.
Les ombres sont faites de toutes les parties négatives de nous-mêmes. Elles se nourrissent des mauvaises pensées, de la peur, de l'inquiétude, de la tristesse et de la culpabilité.
-T'as pas dit ça... tu as vraiment dit ça ? demanda-t-elle avant de lancer les bras en l'air. C'est typiquement un dialogue de début de film d'horreur et toi, tu balances ça à la face de l'univers !
Les pensées négatives peuvent dévorer quelqu’un et dissiper toute sa joie.
« Tu écoutes ma musique de merde ?
- Mmmh »
« C’est comment ?
-Toujours de la merde ».
Yadriel avait un jour demandé à sa mère pourquoi ils n’enlevaient pas toute la douleur à quelqu’un de triste. Elle lui avait répondu qu’il était important de laisser les gens éprouver du chagrin et pleurer la perte d’un être aimé.
Si un jour tu me refais une peur pareille, dit-il d’une voix essoufflée, c’est moi qui te tuerai, Julian Diaz.
«— Non mais, sérieux ? Vous pouviez pas me prévenir que j’étais debout dans un cercueil ? aboya Julian, haletant.
— Chhht ! siffla Yadriel.
— Je dois être couvert de poussière de morts, là…
— Tu vas nous faire repérer ! » le mit en garde Yadriel.
Julian secoua les bras, renfrogné. Il siffla un tssk entre ses dents avant de marmonner : « Ça craint… » Il plongea les mains dans ses poches. « Où est mon téléphone ?
— Avec ton corps, probablement », lui répondit Yadriel, ne sachant pas trop comment le lui dire avec ménagements, mais la mention de son cadavre parut agacer Julian plutôt que le perturber.
Pour que l'ombre se nourrisse d'eux, ils doivent être conscients.
Le monde est à toi, Wendy, d'accord ?
Ce n'est pas pour rien que les ombres sont attachées aux gens. Ce sont des créatures maléfiques. Pas comme les fées, qui mettent le bazar parce que ca les amuse. Les ombres sont faites de toutes les parties négatives de nous-même. Elles se nourrissent des mauvaises pensées, de la peur, de l'inquiétude, de la tristesse et de la culpabilité.
Moi, je trouve les gens bien plus effrayants que le noir. Une personne très dangereuse pourrait se tenir face à toi sans que tu le saches.
Je n’ai pas peur du noir […] Je me méfie de ce qui s’y cache.
« Tu les as trouvés, Wendy, chuchota sa mère dans ses cheveux. Ils sont à l’abri. »
Si ç'avait été une erreur, son lapsus était plus révélateur que ses excuses.(page 202 )
Pourquoi Yabriel devait-il toujours absoudre les gens de toute culpabilité?
Il ne voulait pas être compréhensif.
Il n'avait pas en lui la force de pardonner, cette fois-ci. (page 203)