Alex Aster

En à peine 50 pages, je savais d’emblée qu’il s’agissait d’une bonne lecture. L’autrice nous propose un univers plutôt complet, une palette de personnages plutôt intéressants et puissants (avec des dons que j’ai beaucoup aimé découvrir), le tout en entremêlant ingénieusement descriptions et actions. Sans s’en rendre compte, on dévore les 600 pages. Pour autant, quelques points sont à souligner et notamment le fait que certains éléments ne sont pas très originaux ; l'univers, la romance (triangle amoureux) ou certains traits inhérents aux personnages (hello le caractère versatile de l’héroïne !), peuvent relever de clichés. En revanche, ces parties sont contrebalancées par d’autres. Prenons le cas de la romance. Oui, certaines choses ne sont pas trop cohérentes et peuvent sembler trop rapidement mises en place. MAIS, cet arc narratif ne prend jamais le pas sur le reste de l’histoire et cela ne m’a pas empêché d’en apprécier la lecture. Enfin, un rebondissement énorme survient vers la fin du récit, qui est très bien amené et apporte une nouvelle dimension à l’histoire ; on peut le voir venir, mais à nouveau, même dans ce cas, cela ne m’a aucunement empêché de passer un bon moment et de refermer le livre avec un grand sourire.

Coup de coeur ❤

J'ai adoré le fait que finalement rien ne se passe comme on pourrait le prédire. On va de rebondissements en rebondissements,de sentiments contradictoires en aventures, on est vite pris dans ce jeu d'aventure addictif.

Ma lecture finie j'arrêtait pas d' y penser et j'avais envie de relire certains passages. C'est à ça qu'on reconnaît une bonne lecture non ?

Il m’a fait de l’œil toute la semaine de mon hospitalisation, je l’ai lu dès ma sortie.



J’ai bien aimé le monde, les personnages et l’histoire que nous raconte Alex ASTER. Tout est bien pensé et ecrit. J’ai beaucoup aimé le personnage principale, Isala, la reine des Sauvages, à travers laquelle on vit l’histoire. Elle va devoir gagnée la compétition, si elle veut libérer son peuple de la malédiction.

On va la voir évoluer avec les croyances que lui ont inculqué ses préceptrices. Elle sera partagé entre son rêve de liberté pour elle et son peuple et les mensonges de qu’on lui a servie toute sa vie.



La fin m’a surprise et je suis pressé qu’Alex ASTER et LUMEN nous offres la suite pour voir comment l’histoire va évoluer.



Et que dire de l’objet livre en lui-même… il est juste sublime. Lumen a, une fois de plus, su contenter mes attente. Il est sublime, sur le visuel et également sur le toucher. Il faut savoir que, dès que c’est possible, je prend les livres au format relié, ce que j’ai fait, cette fois encore, mais j’avoue que la couverture du broché a presque réussi à m’avoir.



Allez-y, vous passerez un super moment !!

Présentée comme une œuvre inspirée des merveilleuses fantasy de mon époque telles que Hunger Games de Suzanne Collins, j’étais plus qu’excité à l’idée de plonger dans l’univers d’Alex Aster. Malheureusement et bien que certains élogieux avis confirmaient mon intérêt, d’autres plus réservés comme celui de Tachan m’ont davantage refroidit. Néanmoins et grâce à Audrey et sa proposition de lecture commune, j’ai pu découvrir à mon tour ce premier volet me laissant satisfait de ma découverte mais sans plus, au contraire de cette dernière qui a adoré son incursion et dont voici la chronique.



Il faut déjà bien admettre que lors des premiers chapitres, j’ai fortement ressenti l’inspiration de la série à succès de Suzanne Collins sur notre romancière. Avec ses accents à la Hunger Games, j’ai eu énormément de difficulté à me plonger pleinement dans cet univers pourtant si enchanteur et visuel. Il m’aura fallu attendre une bonne première partie pour, qu’enfin, Alex Aster se détache et s’émancipe malgré les nombreux codes du genres restant présents tout du long. Pour autant, je ne peux nier que l’auteure réalise un travail pertinent et réussi tant son œuvre se déguste et se lit avec une redoutable facilité. Néanmoins et malgré ses attraits et cette séduisante fluidité, il est vrai que je dois admettre avoir trouvé sa plume assez scolaire et, finalement, assez plate. Sans réel relief ni autre profondeur, j’ai réalisé une sympathique immersion manquant d’un brin d’investissement et d’intérêt, cependant.

La faute avant tout à une héroïne qui peine à briller à côté de l’envergure réalisé quand au monde imaginé par l’auteure. Celui-ci m’a plus que convaincu et j’ai trouvé plus qu’admirable et éloquente la place que prend l’univers dans lequel gravite notre héroïne au sein de l’intrigue principale. J’apprécie quand un lieu prend vie et j’ai été plus que servi de ce côté. Pour autant, j’admets que j’aurais apprécié que cette ambition se transpose sur la construction réalisée quand à notre jeune héroïne en devenir Isla.



Esquissée telle une véritable combattante ainsi qu’en une fine concurrente, je m’attendais à découvrir un protagoniste des plus captivant et séduisant à suivre dans ce dangereux périple où seul les plus forts semblent survivre dans ce jeu de faux-semblants et autres complots alors que ce fut tout simplement l’inverse. En effet, Isla subit plus que celle-ci agit et sa passivité m’a plus d’une fois frustré et rebuté. Ainsi, c’est en compagnie de ses acolytes et lors de nouvelles rencontres que ce personnage prendra davantage de relief et de profondeur. Cette mise en valeur est avant tout est surtout dû à la complexité et l’intensité des nombreuses relations dessinées en cours d’intrigues. Si certaines peuvent paraître prévisibles, d’autres m’ont assez surpris et je reconnais volontiers avoir adoré l’aperçu de la, certes tardive, évolution d’Isla. Les derniers chapitres m’ont ainsi plus que convaincu et il est indéniable que j’aurais été davantage séduit si toute l’œuvre d’Alex Aster bénéficiait d’une telle intensité. Pour le reste, Lightlark manque cruellement de singularité et se révèle un premier volet assez peu audacieux par moments malgré sa tonalité sympathique qui saura séduire les amateurs du genre.



C’est pourquoi et sans se révéler des plus désagréable à parcourir, ce premier volet me laisse tout de même sur ma faim tant il aurait pu se dévoiler bien plus profond que l’œuvre que j’ai découvert et ce, malgré un univers séduisant et vivant, ainsi qu’une prose entraînante. Pour le reste cela manque de singularité et d’ambition malgré des dernières pages davantage établies.
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Une île qui n'apparaît qu'une fois tous les cent ans pour une compétition dans laquelle s'affronte les 6 monarques des 6 royaumes pour résoudre lenigme de la Prophétie et briser la Malédiction qui pèse sur leurs royaumes... mais pour cela, l'un d'eux doit mourir et sacrifier son peuple pour que les autres puissent survivre.



Isla est la reine des Sauvages. Née sans pouvoir, elle a été élevée dans le plus grand secret et entraînée dans l'art du combat et de la séduction. Le Centennal approche. Elle ne pourra compter que sur elle même car autour d'elle, tout n'est que mensonges et faux-semblants.



J'aurais adoré adorer ce roman... j'ai englouti les 600 pages en quelques jours seulement mais le début m'a laissé perplexe (j'ai passé clairement 100 pages à me demander "CEST QUOI CE BORDEL JE COMPRENDS RIEN"), puis 400 pages à me dire "OKAY CEST BON. JE VOIS OÙ CA VA", et en effet, j'avais bien vu où ça allait (pas de surprises à la fin...) et les 100 dernières à me dire "BON ALLEZ ON FINIT, ON SAIT JAMAIS".



Un tome 2 est prévu mais ce sera sans moi... trop déçue vu tout le tapage qu'on en faisait.

Comme beaucoup, la version collector m'a vampirisée ! J'avais déjà repéré la version classique en me disant "pourquoi pas". Finalement, j'ai craqué.

Je trouve ce livre assez compliqué à noter. L'univers a un potentiel énorme : oui, il reprend des thématiques déjà abordées (mais comme 90% des romans de nos jours), les mêmes codes, etc.. Là où l'histoire tire son épingle du jeu, c'est en développant des atypies : les malédictions, les rois/reines qui s'affrontent... Ce livre mérite une chance pour ça, l'écriture est assez sympathique, et les personnes peuvent être attachantes.

MAIS ! Il y a quand même de grosses lacunes qui me font douter sur ce livre :

- le développement est assez sommaire, on dirait que l'autrice ne sait pas où elle souhaite aller. C'est assez difficile de comprendre son univers, beaucoup de détails sont bancales du coup certains éléments ne sont pas cohérents.

- On devine facilement les "surprises", à part la révélation de Grim à la fin, tout était tellement évident que ça m'a réellement ennuyée.

- Le triangle amoureux, même si on se doute qu'elle va terminer avec l'autre (on s'ignore, on est distant et puis BAAM)... Au départ ça ne me dérangeait pas car le premier "couple" était sympa, il y avait de la sexitude et de l'alchimie

- La résolution de l'histoire est trop rapide, il n'y a rien de WAOUh, j'étais déçue.

Pour terminer, le caractère d'Isla, c'est un peu 50/50, je ne sais pas si je l'apprécie, elle est trop versatile.

À voir le tome 2...

Une romantasy très agréable à découvrir et dont les pages se tournent très rapidement. Les personnages sont intéressants et auraient mérité une découverte plus poussée. La suite permettra sans doute de les découvrir plus profondément, du moins je l’espère.

L’intrigue est bien menée mais on sent trop vite quels personnages cachent des secrets et les trahisons qui en découleront, cependant le pourquoi reste un plot-twist bien imaginé.

Isla reste une héroïne badass très agréable à suivre et je lirais la suite avec plaisir dès sa sortie !


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Quel roman ! Sans même parler de la beauté du livre-objet, je suis totalement subjuguée par la richesse et l'intelligence du récit. Embarquée dès les premières pages, par une plume qui en plus d'être addictive, nous place en totale immersion dans un univers fascinant, avec une intrigue et des personnages captivants. Chaque pause de lecture était un supplice, je n'avais qu'une envie : y retourner. Le plus fort c'est cette facilité de l'autrice à me bluffer, j'avais beau pensé avoir découvert quelques éléments, aussitôt je m'apercevais que j'étais dans le faux. Du coup, de surprises en déconvenues, aucune de mes prédictions ne s'est trouvée juste... Et ça c'est bon ! Reste à attendre (très impatiemment) la suite...

👑⚔️🫀🏰🥀



 Tome 1 : Lightlark - Alex Aster - Lumen - 23/03/23 - 600 pages - 17€ - 13+



🎶 Still Alive - Demi Lovato 🎶



3,75/5 ⭐️



🌹✨Hey ! ✨🌹



Je vous retrouve pour vous parler du livre qui m’a fait sortir de ma toute 1ère panne de lecture ( 🥲 ) et qui va être très difficile à chroniquer car : le concept est incroyable, la réalisation bcp moins … 😅



Points ✅ : 

* Nan mais sérieux le concept ?! Une compétition sur l’île de Lightlark opposant 6 souverains qui ont chacun une malédiction différente et bcp de secrets … Pour que l’un gagne et obtienne des pouvoirs incommensurables, l’un d’eux doit mourir … et condamner son peuple avec … 👑💃

* Des secrets, des complots politiques, de la royauté, une romance ( triangle amoureux et ennemies to lovers ), des trahisons, des retournements de situation … mais que demander de plus ?? 🕺🕺

* Isla est une Reine qui m’a vraiment fait penser à Raiponce / Perséphone, elle est empreinte d’une certaine douceur, vulnérabilité et surtout innocence et pourtant elle est supra badass, pleine de vitalité, de force et ne rêve que d’une chose : la liberté 💃

* Tous les perso sont en soi dingues ( les fanarts sont WAW ) 🥂

* Une écriture assez jolie, addictive et juste assez de suspens pour que l’on soit intrigué, que l’on ait envie d’en savoir plus sur la flore et l’Histoire de Lightlark. 🏰

* Des protagonistes masculins sombres et mystérieux, qui portent littéralement le poids de leur royaume sur leurs épaules ( ça c’est sessy ) 🫣

* nan mais j’sais pas juste la créativité et l’imagination qu’il a fallu pour créer l’univers les malédictions et tout le tra-la-la y’a vraiment possibilité de faire qqch d’incroyable dans les prochains tomes 🤔



Points ❌:

* Une écriture alambiquée si on peut dire où on commence un début de phrase tourné dans un « certains sens » pour finir dans un tout autre sens ce qui rend au début et à certains moments la lecture difficille 😶‍🌫️

* Ça manque de construction de PARTOUT🫠 : 

* les perso : seuls 3/6 sont développés et encore on a des psychologies assez clichées et on reste bcp sur les apparences … ( Cléo la peste, Oro le Roi valeureux mais épuisé, Grim le ténébreux … ) 😫

* le worldbuilidng : en 600 pages on avait le temps d’aller plus loin dans les détails je trouve 🔍

* la romance : très peu de piques, les sentiments ne se développent pas progressivement on passe de rien à tout d’un coup donc ça ne permet absolument pas de s’attacher aux perso ❤️

* le rythme : c’est un coup lent, un coup rapide je me suis donc parfois ennuyée légèrement 🏃‍♂️

* les plots twists : mal amenés et assez logiques …  🎆



En bref, une très bonne lecture pop corn que je recommande totalement pour ceux qui veulent commencer la fantasy / romantasy ou pour sortir de sa panne de lecture ! 🍿



💗🌸✨



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Dès le début de la lecture l’écrit montre de nombreuses longueurs, un rythme lent malgré une ambiance à la Hunger Games que laisse supposer le résumé. la plume est fluide, tout à fait accessible mais ne m’a pas permis de me plonger dans l’histoire.





Les personnages sont à mon sens peu exploités, on ne sait globalement que ce qu’ils sont au moment du centenal sans autre approche. Isla m’a paru d’un caractère très changeant, voire incohérent. Les échanges sont pauvres et pas forcément bien amenés.



Le world building bien qu’étant intéressant reste beaucoup trop sommairement expliqué, il aurait pu être tellement plus détaillé et susciter un intérêt et un attrait pour le lecteur. Les plot- twist se voient venir de tellement loin que ca en es ennuyant et gênant. Certains aspects m’ont paru évident dès les premiers chapitres. Résultat j’ai fini par lire en grande diagonale.



Ce roman est pour moi mal construit, pas suffisamment exploité sur de nombreux points. C’est un peu comme ci il n’était pas passé par une étape de correction et d’amélioration. Une déception sans conteste.

Je suis très mitigée sur cette lecture. L’univers est intéressant. La plume est relativement fluide. Je dis relativement parce que certains passages ou certaines phrases étaient un peu alambiqués. Dans un univers déjà complexe, ça n’arrangeait rien. Le personnage d’Isla ne m’a pas entièrement convaincue. Elle peut être à la fois futile, à la fois avisée, tout comme faible et inutile, puis résolument forte la seconde suivante. C’est un personnage dissonant à mon sens et c’est dommage car elle peut être très intéressante. Je n’ai pas non plus aimé ces descriptions inutiles et épuisantes des tenues d’Isla dans le détail. On a compris qu’elle mettait des tenues osées qu’elle n’assume pas mais qui sont censées représenter son peuple et ce qu’elle est. Il était vraiment inutile de les décrire toutes, enfin pour ma part, j’ai trouvé ça ennuyant, mais bon. Sur l’intrigue, c’est pas mal du tout, rien de nouveau sous le soleil, mais pas mal. Le souci est que l’univers est complexe, et on enchaîne les imprécisions, les incohérences, les hasards qui tombent à pic. A la fin tout se précipite, je voulais essayer de comprendre et analyser mais je n’ai pas réussi, donc j’ai abandonné et juste lu sans chercher à faire les liens et les connexions avec ce que nous avions appris au cours de l’histoire. Peut-être que ça aurait mérité une sorte de glossaire. C’est un livre qui méritait presque que je prenne des notes au fur et à mesure. Si je n’avais pas une pal plus haute que la Tour Eiffel, je le relirais pour essayer de démêler ces zones d’ombre, ces malédictions et leur chronologie. J’ai cela dit bien apprécié les personnages de Grim et Oro. Cela dit, je pense que je lirai la suite pour avoir le fin mot de l’histoire.

Un super roman de fantasy avec un fond de romance. Une compétition pleine de complots. J’ai mis du temps à m’en remettre, j’ai continué à y penser un certain temps après avoir tourné la dernière page.



Cette aventure est complètement dingue. Tous les mystères soulevés ont été utilisés. Rien n’est laissé au hasard et j’adore ça ! J'ai eu beaucoup de soupçons sans savoir où ils pouvaient mener. C'est super bien ficelé ! Ça a un petit côté Hunger Games assez sympa. Les soupçons s'enchaînent et s'en mêlent tellement que si je suspectais les bons personnages, je n'ai pas su deviner le vrai complot, ni son ampleur. J'ai été totalement scotché ! Moi ! Quel bonheur ! Une vraie pépite !



Je n’ose pas trop parler des personnages de peur que mon analyse vire au spoil. J’ai apprécié suivre Isla et ses découvertes. J’aime bien Azul, même si je n’ai pas su quoi penser de lui jusqu’aux révélations finales. Céleste, Grim et Cléo ont su m’intriguer. Oro, c'est mon chouchou ; ce roi bourru m'a tout de suite fait rêver !



Je l'ai dévoré. La fin nous laisse avec un certain suspense qui donne vraiment envie de découvrir la suite. Bref, j'ai adoré !
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Le Centennal est une compétition qui se déroule tous les cent ans, elle a pour but de briser les malédictions lancées il y a cinq siècles. De ce fait, l'archipel de Lightlark ressurgit à chaque Centennal.



Isla Calys, jeune reine des sauvages, malgré sa peur est motivée d'en finir avec ces malheurs. Son peuple, caractérisé par la beauté, a été contraint de tuer les personnes dont ils tombaient amoureux et de se nourrir de cœurs humains. Elle en est persuadée, l'amour est un sentiment inatteignable pour elle et pour les siens.



Cependant, dans cette compétition meurtrière s'annonçant être la dernière, la Sauvage ne s'attend pas du tout à tomber amoureuse...



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Dès que j'ai ouvert les premières pages, j'ai été transporté dans l'univers que l'autrice a construit. Il est extrêmement bien développé et imaginé.

La plume d'Alex Aster, par ailleurs, nous laisse en haleine tout le long du récit, on ne sent pas du tout les six cents pages du roman.

Elle a très bien su alterner surprises, rebondissements et plot twist (j'étais tellement choquée que ma mâchoire touchait le sol)

En conclusion, Lightlark est un coup de cœur phénoménal !

Une prophétie.

Six souverains.

Une île qui sombre.

Il n’en suffit pas plus pour que Lightlark vous embarque dans un monde hallucinant.





Je l’ai enfin lu et je suis sortie de cette lecture complétement abasourdie. Manipulations, secrets, quêtes, épreuves, 100 jours pour dénouer une prophétie vieille de cinq siècles. Isla Calys en est l’héroïne principale. Un petit bout de femme projetée dans la cour des grands. Impulsive, déterminée, malicieuse, maladroite, Isla est profondément touchante. C’est avec un plan qu’elle arrive sur l’île et rien ne pourra la détourner de ses objectifs. Elle affronte chaque épreuve avec force et courage. Telle une quête initiatique, elles façonneront une nouvelle Isla qui sera prête à affronter la vérité.





Ce premier tome se lit avec envie. Il est bien difficile de l’arrêter. Une plume simple et hyper addictive pour une histoire qui ne laisse aucun répit. De nombreux rebondissements qui prendront sens à la fin. Des personnages captivants et d’autres pour lesquels il est difficile de ressentir de l’empathie. Une petite romance mais légère qui prend tout son temps et même là vous serez surprises.





Ce livre est une véritable claque. L’univers construit est d’une richesse surprenante et il est aisé de se le représenter. Pour conclure, le final donne envie de connaître la suite.





Un livre qui réunit tout ce que j’aime de la fantasy : de l’action, des rebondissements, de la manipulation, des amitiés, des mensonges, des vérités cruelles, un peu d’amour et un enjeu crucial !
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J’ai failli arrêter ma lecture à la première page. L’incipit in média res s’ouvre sur l’héroïne,Isla qui revient dans sa chambre après une escapade avec sa baguette astrale. L’on évoquait des flaques d’étoiles également et un squelette -j’ai cru qu’il s’agissait encore d’un élément de fantasy mais après réflexion c’était simplement la signification première du mot à prendre dans son sens littéral ( c’est là que je me suis dis que je lisais vraiment trop d’imaginaire) J’avais ouvert le livre par ennui, par paresse, un de ces jours suaves où l’on ne fait rien mais où l’on veut quand même faire quelque chose. Donc face à ces informations inconnues, ces moments où l’on sait qu’il nous faudra nous approprier tout un univers de fantasy, je me suis découragée et je n’ai pas réouvert le livre.

Jusqu’à ce que, un jour où je m’ennuyais particulièrement et n’avais aucune autre ressource, je ne finisse par lui redonner une chance. Et franchement je m’en félicite.



Lightlark avait une puissance que j’avais sous-estimée.

Elle n’est pas dans ses personnages,elle n’est pas dans l’univers,elle n’est pas non plus dans le style pour des raisons que j’expliciterai après.

Elle est dans son enchaînement et son orchestration remarquable comme une machine que l’on aurait actionnée à la première page et qui n’aurait cessée de tourner de plus en plus vite et de plus en plus fort au fur et à mesure des pages. Il n’y a ni moments creux,ni détails superflus,tout est mis au service de l’intrigue, des événements de l’action jusqu’à la consécration finale qui est surprenante et que je n’avais pas du tout prédite pour ma part. C’est délicieux de ressentir les effets de cette machine bien huilée sur nous,lecteurs. Un prodige que je n’aurai pas réussi à accomplir, moi qui écris à l’improviste.

Et puis la tension est d’autant plus grande que l’enjeu est de taille: 1 souverain sur les 6 doit mourir,l’île de Lightlark dépérit et avec elle les peuples qui s’affaiblissent.

Dès le début nous nous faisons complices d’Isla, avec elle dans la confidence des secrets qu’elle cache,et avec elle torturée dans des situations où elle est en péril.

Nous suivons aussi ses interactions avec chacun des personnages et l’évolution de leur relation avec eux. L’auteur essaye toujours d’exploiter les 6 souverains pour qu’ils aient tous un moment, un passage consacré à la relation entre Isla et eux ce qui était parfois peu naturel. D’autant que chacun a un secret et une histoire bien précise,encore cachée pour quelques uns jusqu’à la fin du tome 1 . Par conséquent certains personnages,les souverains en arrière plan,étaient bien moins développés que d’autres. J’ai même eu l’impression de très mal connaître les deux protagonistes masculins de l’histoire, même s’ils ont des répliques,car on est au fait de leurs réelles motivations que bien tard dans l’intrigue à un moment où tout s’accélère. De plus j’ai trouvé qu’ils étaient borné à un rôle précis sans jamais explorer tous les recoins psychologiques du cerveau humain. Ils servent à quelque chose dans l’histoire, ils sont là pour ça,ils jouent un rôle comme des pantins bien articulés. C’est évidemment le principe d’un roman mais ce que je peux lui reprocher un aspect un peu binaire,les méchants,les gentils , un camp ou un autre,un personnage masculin comme ci un autre comme ça. Il n’y a pas vraiment de subtilités.

Quant à l’univers il est plutôt convaincant. Il y a des descriptions de l’île,des explications au bon moment mais je ne sais pas pourquoi je n’arrivais pas à m’imaginer l’ensemble. Les chambres,les différents châteaux,les rues de l’île ou les paysages ne me posaient pas problème mais quand il s’agissait de reconstruire le tout dans la tête tout me paraissait diffus et disparate. En outre les explications sont plutôt concises et si elles suffisent juste à la compréhension, elles ne sont pas assez fournies pour répondre à toutes les questions : quel est l’origine de l’île,comment la malédiction s’est vraiment produite et quelle était la vie avant celle-ci? Les questions principales sont abordées mais l’univers reste parfois un peu confus notamment dans le passé et l’origine de Lightlark et des royaumes en général.

Le nombre de lieu,de secrets et d’action sont parfois à la limite de nous noyer mais l’auteur arrive toujours à garder une ligne de toute même quand tout devient insoutenable.

C’est là la grande force du roman.

En bref un livre qui vous entraine,palpitant , un véritable page-Turner si vous cherchez une lecture rythmée et dynamique.

Lightlark m’a accompagné ces trois dernières semaines et j’ai été totalement séduite par le monde fantastique dans lequel il nous plonge. J’y ai retrouvé un mélange entre Hunger Games et Crescent City, un monde rempli de dangers, d’intrigues et de pouvoirs.

Un monde où la jeune Isla va devoir se battre contre tous, même contre son propre cœur, pour sauver son peuple.



Un peu de romance, un peu de fantasy, et le tour est joué !



Arrivée à la dernière page, j’étais même déçue de quitter cet univers si particulier. Le style est fluide, les personnages attachants et la dernière partie du livre est pleine de révélations. À conseiller à tous les fans du genre fantastique !

Je repars vraiment déçue par cette lecture. Et je pèse mes mots.



L’univers était pourtant prometteur : un jeu à la Hunger Games édulcoré, où six souverains doivent pour sauver leurs peuples sacrifier l’un d’entre eux.

On se perd un peu au début entre les différents mondes, comme dans toutes les fantasy, mais on s’en sort vite. J’aime l’idée des différents pouvoirs et surtout des malédictions pesant sur les souverains, toutes bien trouvées et originales.



Cependant, même si le potentiel était là, l’autrice n’a pour moi pas assez creusé les possibilités.

Le fait que je me sois ennuyée profondément pendant ma lecture a contribué à mon impression de manque de construction. La plume était à mes yeux sans saveur. Je n'y ai pas accroché, et me suis donc vraiment ennuyée.



Je ne me suis pas attachée à l’héroïne. Elle est tantôt dans le rôle de la victime incapable, tantôt à la minute suivante dotée de moult capacités extraordinaires ; sa personnalité entière m’a agacée. Elle est inconstante, ne tient jamais ses résolutions, et je l'ai trouvée assez immature.

Le triangle amoureux était à mes yeux abominable.

Grim est tant dans ce cliché du bad boy secret mais protecteur accourant dès qu’Isla l’appelle, que je ne m’y suis pas attachée non plus - alors que j’aurais pu.

Oro est lui dépeint comme le roi qui déteste Isla - alors que je n’ai jamais eu cette impression, c’est juste qu’il n’en a rien à faire d’elle -, mais bien sûr, il est amoureux d’elle en secret. Les clichés, je ne dis pas non, mais là, c'est trop.



La personne à laquelle je me suis le plus attachée est le roi Azul, en raison de son passé — mais encore. La meilleure amie d'Isla, Céleste, m'a paru soit trop fade soit vraiment agaçante. Somme toute, un gros flop au niveau des personnages.



Les twists de fin n'y ont rien changé et ont même empiré la situation : il nous manque des éléments, la fin arrive sans prévenir et trop vite, nous ne pouvons donc pas engranger tous les éléments.

Il y avait des passages très longs (décrire la moindre robe portée par Isla, vraiment ?), et d'autres méritant plus d'approfondissement – la fin, notamment, trop précipitée.



En somme, je n'ai pas du tout été séduite ; je ne pense pas me procurer la suite lorsqu'elle sortira, vu ma déception.

"Lightlark" a été un phénomène Tik Tok à l'étranger puis en France. C'est cette notoriété qui lui a permis d'être édité (en grande partie du moins).

Mais c'est également un titre qui a provoqué pas mal de polémiques.

Alors, mon verdict ?

Je comprends...et... ça va.



Commençons par les points faibles : c'est du déjà vu/lu ! En effet, il n'y a rien d'extraordinaire dans cette lecture. On a déjà tout eu dans d'autres romans, et parfois avec une écriture de meilleure qualité. Loin de "Hunger Games" (comprendre, que ce n'est pas vraiment une compétition à mort qui a lieu tous les 100 ans), cette fantasy va plutôt emprunter à ACOTAR (Un Palais d'Epines et de Roses).

Le plus gros problème ce n'est pas ce côté déjà vu, où même une écriture relativement passe partout. Le problème c'est que ce n'est, à mon sens, pas assez tenu : cela manque parfois de cohérence, d'explication, d'un univers suffisamment complexe et fouillé. Que ce soit les règles de l'univers en général, des lieux, des motivations ou même de la Malédiction, c'est parfois très bancal.



Exemple : les Sauvages peuvent vivre plusieurs dizaines, voir centaines d'années ? Apparemment. Ce n'est pas clairement dit. Bref, on sait que le peuple se meurt - de part leur malédiction on comprend que les naissances ne sont pas fréquentes - on sait à peu près comment. Et puis d'un coup, on apprend qu'ils "vieillissent" après avoir eu un enfant. Ca tombe comme un cheveu sur la soupe, cela n'apporte rien au récit sinon plus de questions car "pourquoi" ? Quel rapport avec le reste ? Du coup ils sont figés sans enfants ? Mais pourquoi certains s'effacent-ils quand même ?

Autre exemple : les pouvoirs sont transmis aux héritiers à leur naissance. Mais si cet héritier est sans pouvoir, où va-t-il ? Car il doit bien être allé quelque part puisque l'autrice dit que sinon tout le peuple meurt…



Ce ne sont pas vraiment des incohérences, mais ça manque d'une structure solide. Si on creuse un peu, on voit tout ce qui cloche.

Toutefois, ce n'est pas "mal écrit". Ce n'est pas révolutionnaire mais ça reste correct.



Côté positif maintenant ? Ce n'est pas si mal !

Et oui. Car ce que je lui reproche, ce sont des éléments que je repère et qui me gênent en grande partie car j'ai beaucoup lu de ce genre (adulte ou YA). Mais le public visé est un public plutôt jeune et qui n'a pas forcément déjà lu énormément de choses comme cela. On peut donc comprendre que les similitudes ne sont pas vraiment un soucis.

Oui il y a mieux ailleurs, mais ce n'est pas mauvais non plus et je pense que la cible du roman y trouvera son compte.
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Je suis tombée amoureuse de ce livre après en avoir dévoré les derniers mots. Pour moi, il s’élève à la hauteur de ACOTAR tellement je l’ai trouvé génial. Ça fait longtemps que je n’avais pas découvert une fantasy aussi enchanteresse et aussi addictive et qui plus est, une dark fantasy (ce qui est très rare).

La plume est vraiment addictive à souhait. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et j’ai dévoré ces 600 pages en très peu de temps. Les pages défilent à une vitesse surhumaine lorsqu’on est pris dans l’engrenage des intrigues et des complots. C’est percutant et les émotions que l’auteure nous fait parvenir sont brutes et saisissantes de réalisme. J’ai été sincèrement touchée par les malheurs qui s’abattent sur nos personnages et leurs peuples respectifs. J’ai retrouvé quelques similitudes avec la trilogie Caraval ou encore avec celle de Hunger Games mais les ressemblances s’arrêtent très très vite. La survie devient la principale préoccupation de nos personnages, des jeux et des intrigues de cours viennent pimenter notre roman et beaucoup d’inconnus font leurs arrivées sans que rien ne soit dévoilé (du moins au début). Les rebondissements s’enchainent et là où j’aurais pu trouver des longueurs, le suspense et l’enquête au sein du roman viennent les occulter. Les rebondissements et les coups de théâtres commencent à devenir légion vers la seconde moitié du roman et ça s’accélère petit à petit. On veut toujours en savoir plus et à tout prix découvrir la vérité. Peut-être les trahisons qui reviennent très souvent et s’enchainent à tour de bras étaient-elles trop présentes ? Ça paraissait un peu lourd le fait qu’il y en ait autant… malgré tout, ça s’intégrait bien dans l’intrigue.

A part ça, j’étais vraiment enchantée d’avoir découvert l’antagoniste principal du roman dès le départ et dont il a fallu patienter longuement pour connaître l’identité. Heureusement, j’ai d’excellentes intuitions !

L’univers que l’auteure a créé est vraiment sensationnel et saisissant de réalisme. D’habitude, j’ai besoin d’une carte pour me repérer dans un monde fantasy et ça me semble une nécessité. Ici, je m’en suis passée et effectivement, il n’était pas nécessaire d’en avoir une.

Les descriptions s’étoffent au fil des chapitres. Tout ne vient pas directement dans l’esprit du lecteur pour le perturber et je ne me suis pas sentie dépassée par la richesse de l’univers. Tout venait se mettre en place doucement et les détails s’ajoutaient à ce que j’imaginais petit à petit sans que je me sente submergée et que j’oublie certaines choses. J’ai trouvé cette façon de faire très originale et assez étrange au début parce que ça me perturbait un peu de ne pas avoir tous les tenants et les aboutissants de l’univers d’un coup. L’univers est très vaste et mérite d’être approfondis, j’espère réellement que la suite arrivera rapidement pour que je puisse replonger dans ce monde grandiose.



Conclusion : Un coup de cœur absolu et une énorme satisfaction d’avoir découvert ce roman rapidement.

Ce roman a une grosse hyppe, en VO comme en Vf. Je l’ai lu en me tenant éloignée des attentes et des avis pour être le moins perturbée par les retours des autres !



Je me suis embarquée dans cette lecture sans attente particulière et avec comme unique objectif : passer un bon moment !



Pari réussi !



J’ai apprécié ma lecture sans pour autant qu’elle soit inoubliable dans mon esprit. J’ai bien apprécié le personnage de Ilsa à travers ses faiblesses et son histoire !



Nous avons un roman avec des « épreuves », des complots, des trahison et des malédictions !



Les épreuves m’ont un peu déçues car j’en attendais beaucoup beaucoup plus. La romance a su me plaire et m’intriguer!



Vraiment je lirais la suite car je suis curieuse de la suite des événements 😊.



Ce qui fait baisser la note, ce sont les problèmes de rythme. Certaines scènes sont trop longue et la fin est beaucoup trop rapide avec beaucoup trop de révélation d’un coup. Cela aurait pu être allongée selon moi !



(Je peux comprendre les déceptions car à mon sens les tiktok de l’autrice vendent un peu trop du rêve. Le mixte incluant Hunger Games, je ne l’ai pas spécialement vu. Vous passerez un bon moment si vous n’avez pas ce type d’attente en tête 😊)



Bref: une chouette lecture !
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