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3.81/5 (sur 93 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Alice Winters a commencé à écrire des histoires dès qu'elle a été assez âgée pour coucher ses idées sur le papier. Elle aime écrire aussi bien de la romance que de la comédie ou de l'action avec une dominante LGBT+. Elle aime aussi lire, faire des balades à cheval et passer du temps avec ses animaux de compagnie.


Facebook : https://www.facebook.com/groups/AliceWinters/

Source : https://www.alicewintersauthor.com/
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
— Voici Finn Hayes. Pas la peine de se rappeler son nom. Quelqu’un va probablement le manger d’ici demain.
— C’est une proposition ? demandé-je. Parce que si c’est le cas, ça pourrait bien ne pas trop me déranger d’être mangé.
Il me jette un regard meurtrier tandis que la femme et l’homme blond se mettent à rire.
Je hausse les épaules et justifie :
— C’est toi qui fais des blagues en disant vouloir me manger. Je précise juste que je suis intéressé. Un petit grignotage n’a jamais fait de mal à personne.
Church grommelle quelque chose tandis que j’essaie de comprendre ce qui ne va pas avec mon cerveau pour le trouver si étrangement attirant. Je veux dire… vraiment ? Un vampire qui parle de ma mort et qui grogne quand je lui réponds, c’est attirant ?
Il est clair que mon manque de partenaire a fini par transformer mon cerveau en bouillie.
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— Si l’un de vous bouge, je le tue, grogne Jackson. Leland, sors d’ici.

— Je ne te laisse pas seul, répliqué-je en m’accrochant à sa chemise avec ma main gauche, juste parce que je veux sentir une partie de lui.

Même si ce n’est que ce qu’il porte.

— Je ne partirai que lorsque tu partiras avec moi.

— Très bien, couvre-moi. Les hommes d’Henry ne devraient pas tarder, répond-il.

— Je pourrais te couvrir toute la journée, dis-je.

— Ne me donne pas envie de te prendre dans mes bras quand je tiens ces hommes en joue, réplique Jackson.

— Très bien, mais Kenny s’y connaît bien pour attacher les gens. Il sait attacher les nichons, peut-être qu’il peut t’apprendre un truc ou deux.

— Je n’ai pas de nichons à attacher.

— Soit.

Les sirènes se rapprochent et du monde commence à envahir la maison. Jackson les dirige vers Hardek, qui essaye de ramper tout en essayant de ne pas se vider de son sang.
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Il s’étire le long de mon corps, faisant courir une ligne de baisers sur ma peau, me faisant frissonner de plaisir, tandis que j’aspire à le toucher en retour. Ses mains remontent le long de mes deux cuisses, taquinant la zone autour de mon aine avant que je sente la chaleur de son souffle sur mon érection. Je baisse alors les yeux pour regarder ses doigts glisser sur ma longueur pendant que sa langue s’enroule autour de mon gland. Un gémissement m’échappe, et je passe mes doigts dans ses cheveux, espérant pouvoir en ressentir plus mais sans vouloir l’éloigner.
Il plonge sur moi, me faisant lutter pour garder mes hanches immobiles quand tout ce que je veux, c’est m’enfoncer dans sa bouche chaude pendant qu’il me suce.
— Marcus… chuchoté-je.
Je ne suis pas certain de savoir ce que je veux dire.
Sa main libre court le long de ma cuisse et remonte jusqu’à mes testicules. Il les malaxe doucement tandis que je me tortille sous lui et que le plaisir me parcourt. Il y a bien trop longtemps que je n’ai pas été avec quelqu’un, et bien trop de mois que je veux être avec lui. Honnêtement, je commençais à me demander si quelque chose en sortirait un jour.
Mais je ne veux pas jouir comme ça. Il y a quelque chose que je veux, et je sais qu’il le veut également. Si seulement je pouvais l’en convaincre. Je l’attrape et tire sur ses cheveux.
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— Mmh… Laisse-moi y réfléchir.
Sa main se resserre sur mes cheveux. Il tire ma tête sur le côté, révélant mon cou. Il y pose sa bouche et suce ma peau. Pendant un moment, je me demande ce que ça ferait s’il me mordait. Ça ne me dérangeait pas quand ma sœur le faisait, mais personne ne m’a mordu depuis lui. Et il a fait en sorte que ça fasse mal. Cependant, même si Marcus fait le dur, je sais qu’il ne me ferait jamais de mal.
Lorsque je m’approche de lui, il lève la tête juste assez pour capturer mes lèvres, et avant que je ne puisse le toucher, il attrape mon poignet et le maintient contre le canapé. Malgré cela, j’avance, j’ouvre la bouche. J’en veux plus, toujours plus au contact de ses lèvres se déplaçant sur les miennes et me donnant l’impression que mon corps est en feu. Mon esprit s’emballe, ravi qu’il ait finalement cédé, impatient de l’attirer plus près, nerveux à l’idée qu’il se retire. Mais la façon dont sa langue s’enroule autour de la mienne me fait oublier tout cela jusqu’au moment fatidique où il s’écarte.
Bon sang, bon sang, bon sang. Je n’aurais pas dû essayer de le toucher. J’aurais dû suivre le mouvement.
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— C’est vrai. Parle-moi de toi, Jackson. Quelle est l’histoire de ta vie ?

— Je n’en ai pas.

Je porte mes mains à ma poitrine.

— Oh non ! Tu es amnésique ? Eh bien, Jackson, je suis là pour te dire que nous étions amants, mais après cet horrible, horrible accident de cire, tu m’as oublié.

Il lève un sourcil.

— De cire ?

— Je t’avais dit que c’était une mauvaise idée de t’épiler les testicules, lui expliqué-je en lui tapotant l’épaule.

Je presse un peu son bras pour voir si ma théorie sur ses muscles est avérée.

C’est le cas.

— S’épiler les testicules à la cire peut entraîner des pertes de mémoire ? demande-t-il sur un ton sceptique.

— Dans des cas particuliers.

Il secoue la tête.

— N’as-tu jamais interagi avec des êtres humains auparavant ? C’est pour ça que tu ne sais pas comment t’y prendre ?

Je lui souris tout en lui donnant un coup de hanche et en passant mon bras autour de lui.

— Je n’ai pas vraiment l’occasion d’interagir avec des gens très souvent, mais j’ai l’impression de tout déchirer lors de nos interactions.
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Je tourne rapidement la tête pour trouver ses yeux dorés fixés sur moi.
— Je suis encore dans les vapes. Je viens de me réveiller et j’ai pensé que ta touffe était sur mon visage ou quelque chose comme ça.
Il plisse les yeux. Il a dû s’installer sur le fauteuil inclinable à un moment donné, et remettre son crop top.
— Est-ce que… c’est normal pour toi d’utiliser la touffe des gens comme oreiller ? C’est ton truc ? demande-t-il, comme s’il était inquiet.
— Quoi ? grogné-je. Je n’ai pas l’air d’être le genre d’homme à se blottir contre un buisson pour faire une longue sieste ?
— Le principal problème est que mon chien ne ressemble pas à une touffe de poils pubiens.
Je regarde Artie, qui roupille toujours et qui occupe plus de place que moi sur le canapé.
— T’es sûr ?
— J’imagine que c’est ce que je mérite pour avoir montré de la gentillesse à un humain.
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— Stop ! Police ! Arrêtez-vous ! hurlé-je après lui.
Il n’a pas l’air de vouloir ralentir, au contraire, il me regarde anxieusement et accélère en s’engouffrant dans le parking. Il doit se diriger vers une voiture, il me faut donc m’assurer de l’arrêter avant qu’il ne l’atteigne.
C’est alors que monsieur Vampire Sexy me dépasse à toute vitesse, attrape les deux hommes, les traîne au sol et les y plaque bien avant que je ne puisse faire un pas de plus. Il les a même menottés avant que je ne les atteigne.
Il se retourne pour me regarder.
— Où étais-tu ?
— Moi ? demandé-je en m’indiquant du doigt. Je les poursuivais ! Tu es passé à côté de moi !
— Ils ont failli s’enfuir ! Tu aurais dû m’appeler.
— Je n’ai pas tes coordonnées, tu te souviens ?
— Je suis un vampire, tu t’en rappelles ? L’audition supérieure.
Ah, ça y est ! Le connard est de retour.
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— Je ne veux aller nulle part, Jackson. Je veux rester avec toi, tous les jours.

Il s’avance vers moi et pose ses lèvres sur les miennes. J’ai attendu si longtemps pour les sentir, et je n’aurais jamais imaginé que ça serait si formidable. Le premier baiser est doux, tendre et agréable. C’est un baiser si significatif, comme si me dire qu’il se sent concerné n’était pas suffisant et qu’il fallait qu’il me le montre. Je m’avance vers lui et ouvre la bouche. Sa langue y pénètre et touche la mienne tandis que je l’enlace et que je l’amène plus près de moi.

— Est-ce que tu vas me niquer ou te défiler ? lui demandé-je d’un ton taquin.

— Est-ce que tu vas gâcher la douceur de ce moment ?

Je lui souris, ce qui rend le baiser plus brutal.

— Peut-être, murmuré-je contre sa bouche. Je ne peux pas supporter trop de gentillesse. Ça me rend tout chose.
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Mais à présent que mon esprit n’est plus préoccupé par Rick et Natasha, je sens tout le poids de la pénombre. De ma vie entière, je n’ai jamais eu personne pour qui je comptais. Personne ne se préoccupait de me savoir à la maison ou pas. Oui, l’homme qui m’a appris à tirer me remarquait, mais j’étais un chien qu’il entraînait à chasser. En rentrant à la maison, je ne suis pas devenu le chouchou de la famille. On me mettait de côté jusqu’à la prochaine chasse.

Je ne connais pas vraiment Jackson, mais il m’a offert davantage de stabilité, de soin et de soutien durant la semaine et demie passée avec lui que je n’en ai reçu de toute ma vie.

Mais retourner avec lui voudrait dire abandonner tellement de moi. Il faudrait que j’abandonne tout ce pour quoi je me suis entraîné. Tout.

Et que deviendrais-je ?

C’est une pensée flippante.
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— J’ai du mal à dormir, et j’étais si fatigué ! me plains-je.
— Pourquoi as-tu du mal à dormir ?
Merde.
— Je ne peux pas m’empêcher de penser à toi et… les images de ton corps chaud comme la braise me tiennent éveillé toute la nuit. Je m’endors, et là, bam ! Tu es là, devant moi, avec ton pénis de rêve, mais à chaque fois que je veux le regarder, tu portes une ceinture de chasteté et elle est solidement fermée.
Marcus détourne le regard de la route afin de me fixer, ce qui me fait sourire jusqu’aux oreilles.
— Au moins, je ne t’ai pas dit ce que je faisais quand ces fantasmes te concernant m’empêchaient de dormir, ajouté-je.
Il grimace.
— Oh bon sang ! Non.
— C’est une réaction naturelle, Marcus. C’est la façon qu’a mon corps de me signifier que tu es un spécimen approprié.
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