Alistair Maclean

Un bon, un vrai roman de guerre !

Amorce un peu abrupte, mais faisant allusion au Commando des Salopards lu récemment, certes plaisant, mais le fait qu'un salopard (Hitler),veuille faire assassiner un autre salopard (Goering), grâce à un ramassis de salopards (le commando des salopards justement) fait un assemblage disons déplaisant qui n'aide pas à accrocher aux personnages.

Mais avec Alister Maclean, l'idée de détruire une batterie de canons allemands terrifiants sur une ile méditerranéenne, afin de tenter de sauver près de 1200 vies est bien plus "sympa".

Ajoutez à cela des personnages accrocheurs, une infiltration improbable, des ennemis omniprésents et la crainte d'être trahis fait des canons de Navarone une lecture agréable.

L'intrigue, la tromperie, l'imitation et le déguisement sont toute la vie du capitaine de vaisseau James Jensen. Ce soir, il n'est qu'un marin simple et bourru. La lueur des étoiles scintille sur le galon doré de ses pattes d'épaules.

Il a convoqué le capitaine Keith Mallory pour lui confier une mission.

Douze cents soldats britanniques, bloqués sur l'île de Khéros, seront morts, blessés ou prisonniers d'ici la semaine suivante s'ils ne sont pas évacués avant cela.

Et pour rendre possible cette évacuation, il faut réduire au silence les deux canons rayés de 228 mm qui couvrent les abords des deux détroits envisageables.

Tous les moyens possibles ont été tentés : le "Sybaris croiseur de 10000 tonnes a coulé en 5 minutes et n'a laissé que 17 survivants, les commandos de la marine royale lancés dans une attaque amphibie de grande envergure ont été presque tous massacrés, des hommes du Service Spécial envoyés comme saboteurs ont simplement disparus, les attaques aériennes sont sans résultats car trop périlleuses.

La mission confiée à Mallory, et à son commando composé du caporal Miller, californien d'origine irlandaise, de l'enseigne de vaisseau Stevens, spécialisé en explosifs, de Casey Brown, sous officier télégraphiste et d'Andréa, lieutenant grec depuis longtemps sous les ordres du capitaine Mallory, est de, avec l'aide de la résistance grecque, pénétrer la forteresse imprenable de Navarone, puissamment défendue par une garnison mixte d'allemands et d'italiens et de faire sauter les deux formidables canons qui menacent le détroit de Maidos.....

Ce roman est, avec "H.M.S. Ulysses" et "Le dernier passage", sûrement un des meilleurs ouvrages d'Alistair MacLean. C'est un livre de guerre mais il y souffle un vent d'aventure qui le fait sortir du genre.

C'est un grand livre et l'adaptation cinématographique qui en a été faite, si grandiose qu'elle soit, n'occulte en rien l'éclat du roman et lui rend un bel hommage mérité.

1944 dans l, archipel Grec une lutte sans merci oppose les anglais aux garnisons Allemandes.

A navarone, les allemands ont installé une batterie lourde qui nemace les convois alliés.

Impossible d, envoyé l, aviation a cause de la proximité de la ville de la ville de mandracos.

Les alliés vont envoyé un commando de marine, mais les allemands prévenu vont les massacrés presque tous.il vont envoyé des hommes du service spécial par parachute.qui par comble de malçhance vont tombé au mains de l, ennemi.mais malgré tout les alliés on juste un semaine pour evaquie les douze cents hommes qui se trouve sur l, Île de kheros.

Mais l, opération ne pourra réussir que si les canons de navarone sont détruits. Le haut commandement va envoyé un groupe de quatre hommes sous le commandement de mallory.un machistral livre , qui sera adapté au cinéma 🎬 en 1961 avec Gregory peck , Anthony jguin et David Niven dans une admirable production tout aussi réussie.si vous avez aimé le film, découvrez la version originale.🚗👍

un avion et prît dans le blizzard,, et va s, écrasé pré d, une base météo.les hommes vont trouvé neuf survivants, mais aussi le pilote au crâne fracturé, et trois cadavres.

a peine les rescapés ramené à la base que se pose, le problème de la survie.les vivres sont insuffisantes, pour attendre des secours, et l, émetteur et hors d, usage.le docteur Mason, et l, esquimau jackstraw décidé de rejoindre la base

d,uplavnik en tracteur avec leurs voyageurs.qui compte au moins deux tueurs parmi eux.et c'est

ainsi que va commencé un inquiétant voyage jusqu'au dénouement.👍

La mission de l’équipage du sous-marin nucléaire américain « Dolphin » qui quitte son port d’attache en Ecosse pour le grand Nord est à la fois simple et compliquée, comme souvent en pareil cas. Simple : il s’agit de « récupérer » les scientifiques présents dans la station Zebra, suite à un incendie… Compliquée dans la mesure où l’intervention est d’une urgence extrême vu les températures observées en Arctique, et que l’incendie est probablement criminel.

Un Anglais, Carpenter, à ses dires spécialiste des engelures se présente à l’embarquement … En route pour Zebra, les incidents se multiplient à bord…



« Destination : Zebra station polaire » est un remarquable roman d’aventures - on ne parlait pas de thriller à l’époque - tel que sait en écrire Alister MacLean, et qui se lit quasiment d’une traite, tant on est captivé par une intrigue particulièrement haletante où les personnages ne sont pas toujours ceux qu’on croyait de prime abord… En pleine guerre froide sur fond d’affrontement de Services Secrets, une vraie grande bouffée d’air frais venu du Nord ...

Le « Morning Rose » est un très vieux rafiot, en fait un ancien chalutier recyclé en cargo, qui croise dans l'Arctique, très au nord, non loin du Spitzberg. A la barre, on trouve le capitaine Imrie et son second, Mister Stokes, deux vieux loups de mer qui carburent l'un au whisky et l'autre au rhum. A bord, en plus d'un équipage réduit, voyage toute une équipe de tournage rassemblée par Otto Gerran, un producteur dont la société est en perte de vitesse et même en quasi-faillite. Le but de l'expédition est une terre perdue au nord du nord, appelée « L'ïle aux Ours ». Mais la tempête se déchaîne. Presque tous les passagers souffrent peu ou prou du mal de mer. Au cours d'une tournée effectuée dans les cabines pour réconforter les malades, Marlowe, le médecin de l'équipe, découvre l'un d'entre eux, Antonio, le maquilleur-costumier, mort empoisonné sans doute dans d'atroces souffrances. Et ce n'est que le premier de la liste...

« L'île aux Ours » se situe aux confins du thriller et du roman d'aventures maritimes tant la mer y est présente. Tout se passe à huis clos d'abord sur le « Morning Rose » puis dans le baraquement principal de l'île. Si on y ajoute un style narratif basé principalement sur les dialogues, on se trouve en présence plus d'un livret théâtral que d'un roman à proprement parler, ce qui ne serait pas gênant en soit si cela ne tournait pas parfois un peu trop au verbeux et au verbiage. Les personnages sont tous assez haut en couleur, voire à la limite du caricatural. Et qu'est-ce qu'on boit sur ce bateau ! Toutes les occasions, toutes les émotions sont autant de prétextes à vider des verres de rhum, tafia ou whisky. L'intrigue est intéressante et démarre plutôt bien. L'ennui c'est qu'elle s'essouffle assez vite et que la fin n'est pas très surprenante. Que peut venir faire une équipe de tournage en plein hiver avec juste quelques heures de lumière par jour, sur une île perdue proche du pôle nord, sûrement pas réaliser un film, le lecteur s'en doute tout de suite... Et le reste, avec les histoires de trésor de guerre nazi, est à l'avenant. Donc, en conclusion, pas vraiment le meilleur texte de l'auteur des célèbres et très réussis « Canons de Navarone ».


Lien : http://etpourquoidonc.fr/

Il ne s’agit pas ici de sorcières prêtes à un sabbat nautique, C'est un système de forage en mer que l'on désigne ainsi. Plus précisément une unité flottante de production, dans le domaine du pétrole ou du gaz, arrimée au fond de la mer par un faisceau de câbles tendus qui limitent les mouvements verticaux dus à la houle. Dans le roman cette plateforme très contestée par les autres organisation pétrolières sera la cible à abattre.

Le docteur Carpenter est admis à bord du Dolphin, sous-marin nucléaire à contre-cœur par le commandant Swanson qui s'est vu imposer sa présence. Il est d'autant plus réticent que l'expédition qu'il entreprend à partir d'une base écossaise est des plus secrète. Elle doit permettre de rallier la station polaire Zebra où vient de se produire un terrible incendie. La couche de glace de la banquise rend l'intervention délicate. Le sous-marin pourra-t-il remonter à la surface? Ce que le commandant Swanson ignore c'est que Carpenter appartient au contre-espionnage anglais, que le commandant de la base est son frère, enfin que l'incendie est la conséquence d'un sabotage.

Premier livre d'Alistair Maclean que j'ai lu. Je l'ai bien aimé. Un bon petit livre d'aventure navale.

Un très bon petit roman d'espionnage à l'ancienne.

On est loin du style de Flemming (James Bond) que je trouve plutôt relâché ou de ses intrigues parfois à la limite de la vraisemblance. Ici, tout est hyper-réaliste et plutôt crédible. De nombreux détails techniques ou explications pratiques viennent nourrir cette vraisemblance, sans pour autant tomber dans l'excès des techno-thriller (type Tom Clancy) où la technique est trop envahissante.

Certaines scènes sont très violentes pour l'époque et les descriptions sont sans concessions. L'action est menée tambour battant. Le style d'écriture est soutenu et truffé de pointes d'humour très imagées, qui ne sont pas sans rappeler certains romans "hard-boiled" (ex. Adieu ma jolie - Chandler).

Il s'agit d'un des premiers roman du genre que j'ai lu étant jeune. Ce livre est maintenant très difficile a retrouver : pourtant j'aimerais le relire.



Ce roman est trés différents des autres de l'auteur (Les canons de navarone, l'ouragan vient de navarone et zebra station polaire)



Ce thriller m'avait vraiment marqué et qui pourrait être tout à fait d'actualité.

Un bon roman dont a été tire un grand film

Petite histoire sympa en VO

un livre de poche de alistair maclean

Ne vaut pas " les canons de navaronne"