Habent sua fata naves ! Du simple radeau au romantisme des grands voiliers, des tragédies de la guerre aux transatlantiques de luxe, voici le choix de titres oü vous trouverez peut-être des idées de lecture.
Le retour d'Ulysse, qui voyagera pendant 11 ans sur terre et sur mer avant de pouvoir rejoindre son royaume d'Ithaque.
Un excellent, et très détaillé, résumé sur www.intellego.fr
Prix Pulitzer 1951.
La guerre du Pacifique à bord d'un dragueur des mines. En plein typhon, les officiers déposent le capitaine qui conduit le navire au naufrage. Le capitaine les traînera ensuite en cour martiale.
À bord d'un petit voilier qu'il a lui-même construit, l'auteur entreprend une croisière en Amazonie, en réalisant le premier tour d'Amazonie dans l'histoire de navigation de plaisance. Un récit passionnant, plein d'incroyables aventures.
La guerre navale. Pendant la 2 guerre mondiale,HMS Ulysses escorte un convoi vital allant à Mourmansk (USSR). Ce récit est inspiré par le sort tragique du convoi PQ17 qui a perdu 26 sur 37 de ses navires.
À travers le Pacifique sur un radeau.
La traversée du Pacifique (8 mille km) à bord d'un radeau en balsa pour prouver qu'un peuple ancien vivant autrefois au Pérou, a fait le même voyage pour s'installler en Polynésie.
Le premier Vendée Globe de Yann Eliès. Sur les 30 engagés, seuls 11 voiliers termineront la course. Après l'accident qui lui brise la jambe, il va frôler la mort, puis souffrir le martyr pendant 48 heures avant d'ëtre évacué par la marine australienne.
Le jeune Garneray s’engage sur un banal navire marchand pour faire le commerce le long des côtes de l’Inde. Mais cela ne se passera pas si facilement : mutinerie, naufrage, pirates et sauvetages miraculeux seront au programme.
Aventures maritimes. Histoire de la concurrence entre les vieux clippers (des bateaux à voile) et les navires à vapeur, qui font la route de Chine, pour gagner la course du thé, donc arriver les premiers à Londres avec leur cargaison de thé de Chine.
Remarque : Le titre est inexact à la base. Il faut lire "LA PREMIÈRE CROISIÈRE" -
je ne sais pas comment rectifier.
Récit autobiographique du voyage du Highlander, de New York à Liverpool.
Roman policier. Deuxième aventure de l'inspecteur moscovite Arcadi Renco, après "Parc Gorki". Renco est envoyé en rééducation sur "L'Etoile Polaire", un navire-usine qui croise dans le grand Nord.
L'auteur apporte des preuves que les grands voyages mythiques étaient dans la réalité possibles et réalisables.
En 1926, il appareilla d'Irlande sur un esquif en cuir, du Moyen Âge, ayant pour objectif de démontrer que le voyage de Saint-Brendan, au V siècle, fût certainement réel. Donc, 1000 ans avant Colomb. Un périple dantesque, passant par les Hébrides, les Féroé, l'Irlande et les eaux grenlandaises. Un récit d'une rare intensité.
À bord d'une galère semblable à celle des argonautes, Tim Severin et son équipage essaieront de refaire le même trajet que les argonautes trente trois siècles plus tard, en reliant les quinze cents milles séparant Volos, en Grèce, d?où était parti Jason, jusqu?à Poti en Géorgie, au débouché du fleuve Rhioni, l?antique Phasis.
Roman. XVII siècle, à Lisbonne, plusieurs personnes s'embarquent pour Goa, une ville mythique d'Orient. Un très beau récit d'aventures de 14 mois en mer (scorbut, fièvres et tempêtes).
Djibuti, en 1913. L'auteur achète un boutre, engage deux matelots et se lance dans l'aventure sur la mer Rouge. La pêche aux perles d'abord, puis surtout le commerce des armes. Ce ne sont plus que bagarres, poursuites, chassés-croisés entre trafiquants et policiers de la mer, tempêtes, etc.
"Une femme et son voilier à la recherche de la Terre sans mal".
Sur "Enomis", un petit voilier de 11m., elle parcourt pendant 13 ans les océans, en recherchant la Terre sans mal, qu'elle trouve enfin au pays des Guaranis, au bord du Rio de la Plata.
Journeaux intimes, vie en mer.
"Cap au sud vers Dakar. L'océan est tout bleu. Une légère houle nous berce. Je reprends mes tâches de routine comme après chaque appareillage ; d'abord la lessive. Cette fois-ci, j'en ai un grand panier. Ensuite, mes petits carnets de bord..."
Voyages en mer. On retrouve dans cet album les passionnés qui ont risqué leur vie depuis deux siècles pour battre des records de vitesse et d’endurance à travers l’océan.
Dans la série Beaux Livres, cet album recense les motifs qui poussèrent les européens à s'aventurer dans les coins les plus perdus du globe, ainsi que les hommes qui rendirent ces voyages possibles.
En 1843, à Honolulu, Melville s'engage sur un navire de guerre de la marine américaine.
Ce livre est une formidable évocation de la vie de bord, de ses risques et de ses fatigues, de l'esprit d'aventure et de la psychologie des hommes.
"En 1831, à vingt-deux ans, le jeune Charles Darwin part comme naturaliste sur le Beagle, qui doit faire un tour du monde de cinq ans, en s'attachant plus particulièrement à naviguer le long des côtes de l'Amérique du Sud en passant le cap Horn, puis revenir en doublant le cap de Bonne-Espérance. Ce voyage aura une importance décisive pour la formation de la pensée de Charles Darwin. "
« Victoire en solitaire » est un récit capital car il campe Tabarly à l’aube d’une très grande carrière et raconte ce qui fut la plus grande compétition à voile de tous les temps.
Histoire des bateaux, depuis l'Antiquité et ses puissantes galères jusqu'aux porte-conteneurs géants d'aujourd'hui en passant par le temps des abordages pirates et l'époque des paquebots transatlantiques.
L' ouvrage consacré aux 'coureurs des mers' : aventuriers, marins ou commerçants, les hommes qui ont en commun la volonté de dépassement pérpétuel qu'ils réalisent en parcourant les océans.
Le mariage avec la mer, le rôle vital de la Médaterranée, la machine de guerre vénitienne, la menace turque, une société fondée sur l'esclavage, la bataille de lépante ..
La course du Vandée Globe.
"Marc Guillemot nous livre le témoignage inédit d'un grand marin. Son ouvrage, très personnel, a le goût de l'aventure et la grandeur d'une leçon de vie. Il nous invite à partager les tourments intérieurs d'une aventure humaine et sportive unique. "
De 1850 - 1950, du déclin de la navigation à voile à l'essor de l'aviation civile, les bateaux à vapeur assurent la communication entre les continents.
Les parages terriblement dangereux du Cap Horn furent le plus important carrefour des routes maritimes mondiales. Les navires français s'y montrèrent les plus célèbres.
Contient : La véritable histoire de Moby Dick - Ma première campagne baleinière - Journal d'un chirurgien à bord d'un baleinier - La croisière du Cachalot - Sir A.Conan Doyle chasseur de baleines.
En 1816, ce naufrage au large de la Mauritanie, était de dimension égale à celui du Titanic. Le célèbre tableau de Géricault a beaucoup aidé à créer un mythe. Sur 150 naufragés, seuls 15 survivants arriveront à terre.
Le texte de la présentation du livre :
"Ce dimanche 19 octobre 1951, un jeune médecin de 28 ans quitte le port de Las Palmas aux Canaries. Direction : l'Amérique. Moyen de transport : un canot pneumatique. Matériel embarqué : une voile, deux avirons, divers instruments de navigation, un couteau, quelques livres. Provisions d'eau : néant. Vivres : néant. Objectif : prouver qu'un naufragé peut survivre plusieurs semaines en buvant de l'eau de mer et en se nourrissant de plancton et de poisson. Tout le monde le traite de fou. Objet d'un tapage médiatique sans précédent, il est aussi tourné en ridicule, et les mieux intentionnés cherchent à le détourner de ce projet suicidaire par tous les moyens. Téméraire, sans doute. Suicidaire en aucun cas : il a seulement pris une provision de barbituriques, au cas où il tomberait à la mer et ne parviendrait pas à rejoindre son canot, crânement baptisé L'Hérétique. Bombard n'est pas un masochiste. Il va souffrir le martyre pourtant, les pires angoisses, les tortures du soleil comme de la pluie. Et il réussira, atteignant La Barbade trois mois et trois jours après son départ. Il signe là l'un des plus grands exploits de l'histoire maritime, que nous conte ce récit ".
"Cet ouvrage ne se borne pas à raconter l'histoire de la Piraterie, il en traite comme d'une révolte, peut-être la plus extrême, en tout cas la plus longue qu'au comme l'humanité. Les figures ténébreuses et fascinantes qui sont évoquées ici - des Barbaresques aux Flibustiers, des Boucaniers aux écumeurs de la mer de Chine - accomplissent leur révolte à la fois dans l'Histoire et hors de celle-ci. Le pirate, ainsi que le fait revivre pour nous Gilles Lapouge, se dresse d'abord contre l'ordre qui régit la société, mais aussi contre l'image qu'il se fait de la condition humaine. Un texte déjà considéré comme un classique, par l'un des meilleurs écrivains de l'époque. "(Décitre)
Le naufrage qui modifia le cours de la Première Guerre mondiale. 2160 passagers embarquèrent à bord du RMS Lusitania le 1er mai 1915. 7 jours plus tard, seuls 703 demeuraient en vie... Parmi les survivants, un agent double français, bien placé pour connaître les tenants et aboutissants de ce torpillage.
"Carnets du cap horn Au début du XXe siècle, alors que la vapeur gagne partout du terrain, une partie du commerce maritime international demeure le monopole des grands voiliers, ces trois et quatre-mâts qui vont, à l'autre bout du monde, charger la laine d'Australie, le salpêtre du Chili, les blés de Californie ou le nickel de Nouvelle-Calédonie. Six à huit mois de mer pour un parcours de tous les dangers : tempêtes de la Manche, calmes tropicaux, latitudes rugissantes et glacées de l'océan Indien et du Pacifique Sud, icebergs et champs de glaces... Et surtout l'épreuve la plus impitoyable : le passage du cap Horn" (L'éditeur)