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Citations de Alistair Maclean (87)


Nous ne débarquerons à Khéros que si nous anéantissons Navarone
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Soixante kilomètres avant Budapest, un passager clandestin assomme les deux policiers qui fouillent un camion arrêté par un barrage routier. Il fuit, mais des chiens repèrent sa piste. Il se rend. Un certain colonel Szendrô survient et le conduit au siège de la police politique hongroise, l' A.V.O.
La mission de Michael Reynolds, agent de l'Intelligence Service, va-t-elle s'achever avant même d'avoir commencé ? Il devait prendre contact avec le mathématicien anglais Jennings pour le ramener - de gré ou de force - dans son pays natal. Entraîné à l'est à la suite du chantage classique (enlèvement des proches), Jennings s'est laissé persuader qu'il ne peut oeuvrer pour la paix qu'en deçà du rideau de fer...
Toute la Hongrie ne plie pas docilement sous le joug de l'A.V.O. Un réseau de résistance s'est organisé. Szendrô en est un des chefs avec le général Illyurine, alias Jansci. Grâce à eux, Reynolds peut enfin joindre Jennings, mais la partie est loin d'être terminée, car l'A.V.O. veille sur le précieux savant. Reynolds connaîtra bien des angoisses et des tortures avant d'accomplir son "dernier passage".
(quatrième de couverture de l'édition de poche parue en 1968)
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Et il a tout emporté... ma patience et mon courage pour aller plus loin.
Sinistré.
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Mission accomplie, nous rentrions chez nous, et le soulagement, la joie qu’éprouvaient les marins à la pensée de retrouver la terre ferme, étaient quasi tangibles. L’ambiance était devenue presque gaie.
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C'est l'histoire d'un bateau engagé dans une lutte sans merci, chargé de protéger une des lignes vitales du ravitaillement de l'Angleterre contre les attaques sous-marines et aériennes.
C'est aussi l'histoire de plus dangereux des voyages : un convoi vers la Russie.
C'est par dessus tout l'épopée d'un équipage conduit jusqu'à la limite de l'endurance humaine ; la lutte d'une poignée d'hommes contre les éléments et tous les procédés diaboliques de la guerre moderne.
(quatrième de couverture du volume de poche paru en 1973)
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Le commandant Jensen regarda Mallory.
- quelle impression cela vous fait il d, avoir douze cents vie entre vos mains capitaine Mallory.
- pourquoi moi ?.
- vous parler le grec comme un grec, vous parler l, allemand , vous êtes un saboteur habile.
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Anéantis les canons de Navarone. Mais les héros d'Alistair MacLean, s'ils ne manquent pas de lauriers, n'ont aucun droit au repos. A l'instant où leur terrible mission prend fin, le bombardier de la suivante roule déjà sur la piste.
Morts de fatigue, Keith Mallory, Andréa et Dusty Miller - plus trois jeunes sergents casse cou - sont aussitôt parachutés sur les hauts sommets d'une Yougoslavie déchirée par l'occupation allemande.
A eux six, ils sont chargés d'attaquer purement et simplement le pays afin de persuader Berlin de transférer ses meilleures divisions d'Italie en Yougoslavie, ce qui permettrait aux alliés d'enfoncer enfin la ligne "Gustav" et le périmètre d'"Anzio".
Mais il ne s'agit pas tant de faire symboliquement tomber l'ennemi dans le panneau que de l'y engloutir bel et bien, corps et armes, sans lésiner sur le cataclysme. Si le Führer aime le grand spectacle, nul doute qu'il appréciera dans le sens voulu. Car les hommes qui réduisirent au silence les monstrueux canons de Navarone savent eux aussi faire du bruit.
Du tonnerre, ce serait pas dire.
(quatrième de couverture du volume de poche paru en 1972)
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Les vainqueurs et les vaincus avaient fait main basse sur tous les objets de valeur, l’or, les pierres précieuses, les tableaux de maître, les actions.
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...Il n'y avait pas de haine de l'ennemi. La connaissance est le prélude de la haine, et ils ne connaissaient pas l'ennemi. Ils le maudissaient, le respectaient, le craignaient et le tuaient s'ils le pouvaient ; s'ils ne le faisaient pas, ce serait lui qui les tuerait. Les hommes ne se voyaient pas non plus comme se battant pour le roi et le pays ; ils comprenaient la nécessité de la guerre, mais refusaient de camoufler cette nécessité sous un ardent patriotisme simulé ; ils faisaient simplement ce qu'on leur ordonnait, car s'ils ne le faisaient pas, ils seraient collés contre un mur et fusillés. L'amour des parents, oui, il comptait, mais pas beaucoup. Il était naturel de vouloir protéger les siens ; mais c'était là une équation dont la valeur variait avec le facteur de la distance. Il était un peu difficile pour un homme blotti dans la niche couverte de glace de son Oerlikon, au large des rives de l'île aux Ours, de se figurer qu'il protégeait ce cottage couvert de roses, dans les Cotswold... Mais quant au reste, les haines nationales synthétiques et le mythe soigneusement entretenu du roi et du pays, ils ne sont rien lorsque l'homme se trouve à la dernière minute de l'espoir et de la résistance ; car seules les simples émotions humaines fondamentales, les sentiments positifs que sont l'amour, le chagrin, la pitié et la détresse peuvent faire franchir à l'homme cette dernière limite.
(pages 307-308)
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Toujours pas de réponse. Il arrive que les cordes vocales n'obéissent plus lorsque l’esprit sait, avec une certitude accablante, qu’une seule seconde le sépare de l'éternité.
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Il y en a qui boivent pour oublier le passé. Moi, je bois pour oublier l’avenir.
Toute la différence est là.
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Les assassinats faits d’hypocrisie, de calomnie, de vacherie faisaient tellement
partie intégrante de la vie courante de tous ces gens qu’on ne pouvait jamais
savoir où finissait la vérité, où commençait le mensonge. Le seul point à peu
près sûr, c’était que la vérité cessait très rapidement.
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Vous ne pouvez comprimer en deux années les changements naturels de vingt siècles : ni l’esprit ni le corps ne sauraient le supporter. On peut l’essayer, évidemment, et l’élasticité et la résistance de l’homme sont telles, qu’il parvient à le tolérer… pour des périodes extrêmement brèves.
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Dans la nuit, un vrombissement de moteur d'avion domine soudain le sifflement du blizzard. Le docteur Mason et ses deux compagnons, l'opérateur radio Joss et l'esquimau Jackstraw, aperçoivent avec stupeur un grand appareil de transport qui décrit des cercles autour de leur base.
Comment a-t-il pu s'égarer aussi loin des itinéraires classiques pour se trouver en difficulté au cœur du Groenland ?
En pénétrant dans l'appareil qui s'est posé brutalement sur le ventre, Mason découvre neuf passagers hébétés, une hôtesse de l'air évanouie, un pilote au crâne fracturé et trois cadavres.
A peine a-t-il ramené les rescapés à la base géophysique que se pose la question cruciale de la survie : les réserves de nourriture sont insuffisantes pour attendre des secours impossibles à demander car l'émetteur radio du poste, bousculé par l'hôtesse, est hors d'usage. Maladresse ou sabotage ?
La mort du pilote, étranglé au cours de la nuit, ne laisse aucun doute là-dessus.
Mason et l'esquimau décident de rejoindre la base d'Uplavnik en tracteur avec ces voyageurs tombés du ciel qui comptent au moins deux tueurs parmi eux
Et c'est ainsi que commence une semaine hallucinante dans l'enfer glacial de l'Arctique......
(quatrième de couverture du volume de poche paru en 1972)
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L’amour pour l’ennemi ne devrait pas sortir des livres qui en parlent. Il devrait rester enfermé dans ces pages, dans les pages de la Bible. Il n’y a qu’un fou qui puisse avoir l’arrogance, le courage ou la stupidité d’essayer de mettre ses principes en pratique.
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Si des gens se haïssent et se craignent assez, des choses terribles peuvent arriver.
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Une vie entière dans la Royal Navy ne s’oublie pas aisément.
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Je suis docteur, pas détective. Je ne sais rien des qui, où, quand, pourquoi. Ce que je sais, c’est qu’un homme meurt pendant que nous bavardons.
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Pour identifier un poison, il faut soit être capable de faire une analyse, soit observer l’effet du poison sur la victime. La plupart des poisons ont leurs symptômes particuliers et évoluent toujours de la même façon.
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Il y a plus d’empoisonnements par accident que par homicide volontaire.
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