Anaïs Vanel

Tout quitter.. c’est ce dont on a tous peur et envie à la fois car c’est revenir à l’essentiel, se retrouver, se redonner une chance. C’est apprendre à surfer sur le quotidien houleux d’une vie à 100 à l’heure… c’est renaître tout simplement!



La Mer.. c’est ne faire qu’un avec l’eau, c’est vivre, c’est se surpasser, c’est méditer. C’est avoir l'intuition du bon moment et savoir qu’on est juste au bon endroit 🙏



C’est un chemin initiatique entre mer et feu.. une lecture poétique, méditative qui fait du bien. J’espère qu’elle arrivera au bon moment comme pour moi !

Habituée à aux livres axés sur développement personnel, je n'ai pas été transportée par ce recueil autobiographique. J'ai trouvé l'ensemble trop léger, décousu dans sa construction (une tranche de vie par chapitre, des brèves parfois très courtes)... La forme m'a, en quelques sortes bloquée, pour être totalement embarquée dans ce voyage intérieur et pour capter le parfum des embruns. Dommage

Ce roman m'a vraiment touché car je me suis beaucoup reconnue dans les pensées d'Anaïs, j'aime ce qu'elle aime, et cette vie pour laquelle elle a tout plaqué, c'est vraiment ma vie de rêve. Du surf, du skate, voir l'océan tous les jours, vivre à ses côtés et sentir les embruns tout au long de l'année. Et c'est d'ailleurs la couverture de ce roman, qui représente une surfeuse devant l'océan qui m'a séduite sans même lire le résumé. 🌊



Ce que j'ai beaucoup aimé dans ce roman, c'est le format, et pourtant j'ai trouvé ça assez spécial au départ. Effectivement c'est spécial, c'est comme si tous les jours Anaïs avait écrit quelques lignes. Ce sont des souvenirs, des sentiments, des pensées... Les pages ne sont pas pleines, l'écriture représente tout au plus la moitié d'une page. 🌊



En lisant ce roman, je suis complètement sortie de ma zone de confort car je n'ai pas l'habitude de lire des romans un peu "philosophiques" mais avec celui-ci j'ai beaucoup aimé. 🌊

Il est demandé d’écrire un commentaire constructif…

Ne sachant pas , par manque de vocabulaire littéraire probablement, ce que cela veut dire, je ne ferais que donner mon avis….



Tout quitter   est un petit livret comportant environ 170 pages imprimées sur 1/3 de leur surface.

Je ne ferais pas de commentaire quantitatif à ce sujet.

L’autrice y relate l’abandon de son ancienne vie pour une vie meilleure faite de surf et de béatitude.

Et d’un peu d’écriture bien sûr , cela va sans dire.

Bref…un tout petit bouquin bien à la mode feel good très tendance depuis quelques temps…

Plutôt malin , sachant remuer nos souvenirs enfantins, nos ressentiments de « c’était mieux avant ( surtout le avant du temps où nous étions jeunes et vifs. ) », nos désirs enfouis de liberté …etc , etc , etc…un brin opportuniste et jouant sur la fibre écolo / bobo…quand je vous dis qu’il est malin ce petit bouquin..



Mais bon , pas de quoi péter 3 pattes à un canard comme on dit chez moi dans le sud-ouest.

Tout du moins dans le domaine littéraire.

Gentillet sans plus.



Mais ce n’est que mon humble avis et comme on dit : ce n’est pas parce que tu n’aimes pas qu’il faut en dégoûter les autres !!!

Comme dirait mon camarade Bazart :

Vite lu ( et pour cause . . . ) vite oublié.

Mais peut-être ne suis-je pas un grand sensible.

Et un piètre rédacteur vu le temps qu’il m’a fallu pour pondre ce petit commentaire.

De plus il s’agit de mon premier commentaire tout comme il s’agit de son premier livre . Nous essaierons donc d’être indulgents



À vous de voir.

Tout quitter. Le rêve de tout un chacun non ? D'où la présence de ce livre en haut de ma PAL. Et c'est avec la ferme intention de m'identifier à une héroïne qui a "osé" que j'ai ouvert le livre...Espérant trouver LA recette du bonheur sous l'oeil inquiet de mon compagnon !



Déception.



L'héroïne quitte son tumultueux métro-boulot-dodo pour se mettre au "bleu", en bord de mer, et s'adonner au surf qui va devenir une véritable obsession, afin de se libérer des chaînes d'un quotidien déprimant, d'une enfance à l'identité difficile et d'un travail oppressant.

Elle quitte tout et atterrit dans un appartement en bord de mer avec vue sur l'océan - la Sud. Tout cela commence mal pour moi car je n'ai pas ce type de bien. Bref.

Les jours passent, les saisons aussi, tout comme les pages du livre contenant une vingtaine de lignes chacune, pendant lesquelles nous suivons Anaïs à ses cours de surf, sous la douche, au petit-déj, ou dans un souvenir d'enfance...

Mais concrètement, rien ne se passe.



Je n'ai pas vibré un seul instant dans ce roman autobiographique.

Il paraît que "les routes les plus difficiles mènent aux plus belles destinations", mais là, à travers les pages, je n'ai ressenti aucune difficulté pour l'héroïne. Elle a tout quitté, et tout va bien. Tout est beau, tout est bleu, il n'y a aucun problème à l'horizon. Et c'est bien là le problème.



J'avais envie de voir un personnage évoluer, de le voir gérer de multiples situations à la "Into the Wild", j'avais envie de rencontres, d'évasions, de questionnements, de prises de conscience.

J'aurais aimé avoir la réponse à la question : comment tout quitter ? Mais ce ne fut pas le cas.



Ce roman qui a été vite lu, sera très certainement très vite oublié...

« Un jour, j’ai acheté un Berlingo. J’ai mis quelques cartons dans le coffre et je suis partie. J’ai pris la route comme ça. Après ma journée de boulot, comme on part en week-end. J’ai avalé les kilomètres, en écoutant King of the road, de Roger Miller. Et enfin. Les pins. Les dunes. Les embruns. L’appartement. j’ai éventré les cartons. Trouvé mon maillot de bain. Et je suis allé me jeter dans les vagues.” C’est l’histoire d’une fille qui change de vie. Au rythme des saisons et des vagues de la Sud, la grande plage près de laquelle elle vient de s'installer, Anaïs retrouve les souvenirs qui habitent en elle. Devant l'étonnante simplicité des choses, au bout, il y a la réconciliation avec soi.

Tout quitter, est-ce le retour au paradis fantasmé de l'enfance ? »

Dans ce livre autobiographique, l’auteure nous raconte son histoire. Comment elle a quitté Paris pour venir vivre au Pays Basque où elle se découvre une passion pour le surf et reprend goût à la vie.



La plume est poétique et les textes sont très courts, mais je trouve que le livre manque de finition. Premièrement, le livre n’est pas romancé, ce ne sont que des suites des plusieurs réflexions personnelles sur sa vie, découpées en 4 parties, représentant les 4 saisons. Les textes n’ont pour moi aucun lien.



L’auteure n’a pas su me transporter avec elle, néanmoins j’ai trouvé les passages sur son enfance intéressants. Beaucoup de thèmes sont abordés tels que le bonheur, l’estime de soi et l’aventure.



Ce roman a été pour une déception, je suis malheureusement passée à côté. Cela fait un petit moment qu’il était dans ma PAL que je pense que j’en avais espéré un peu trop. Mais si vous aimez les lectures rapides, légères, sur le développement personnel ou sujet similaire, ce livre est pour vous.



Voir poqt insta : https://www.instagram.com/p/ChsLRi8q26s/?utm_source=ig_web_copy_link

Dans ce livre autobiographique, l’auteure nous raconte son histoire. Comment elle a quitté Paris pour venir vivre au Pays Basque où elle se découvre une passion pour le surf et reprend goût à la vie.



La plume est poétique et les textes sont très courts, mais je trouve que le livre manque de finition. Premièrement, le livre n’est pas romancé, ce ne sont que des suites des plusieurs réflexions personnelles sur sa vie, découpées en 4 parties, représentant les 4 saisons. Les textes n’ont pour moi aucun lien.



L’auteure n’a pas su me transporter avec elle, néanmoins j’ai trouvé les passages sur son enfance intéressants. Beaucoup de thèmes sont abordés tels que le bonheur, l’estime de soi et l’aventure.



Ce roman a été pour une déception, je suis malheureusement passée à côté. Cela fait un petit moment qu’il était dans ma PAL que je pense que j’en avais espéré un peu trop. Mais si vous aimez les lectures rapides, légères, sur le développement personnel ou sujet similaire, ce livre est pour vous.
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Ça fait des mois que "Le Nouveau monde" de Anaïs Vanel est sur ma table de chevet, j'aime profiter de la beauté de ses mots un peu chaque semaine, comme pour m'infuser de son voyage.

J'en dévore quelques pages poétiques et m’évade avant de reprendre mon quotidien. C'est un petit recueil à infuser pour bien en profiter !

Tout quitter pour se retrouver. Qui ne rêverais pas, comme Anaïs, de tout quitter pour reprendre de presque zéro. Tout quitter et prendre la route avec le minimum d’affaires personnelles. Se trouver, se retrouver, un sentiment de renouveau pour Anaïs qui pose ses valises sur une plage du sud ouest.



Une plage que je connais bien. La Sud, Hossegor. Une ville que j’aime tant. Pour me plonger au mieux dans son récit je m’y suis rendue et y ai lu entièrement son livre. Un roman atypique, composé de suite de petits textes, de pensées qui sortent directement du coeur.



Elle apprend à ne plus penser au temps, elle profite et se retrouve à travers le surf. Le temps que nous nous sentons obligé de prendre, obligé de remplir, de cocher des cases, de faire un maximum de choses en un minium de temps. Et si comme Anaïs nous profitions simplement, nous nous laissions porter, non pas par le temps, mais par nos envies, de petites choses qui font du bien, qui nous rendent vivants et heureux ?



Un roman qui fait réfléchir, réfléchir au but de notre vie, des sentiments, des envies, et surtout à la définition du bonheur, qui peut être assez simple.

Personnellement, je vois ma lecture comme deux parties: une descriptive qui m’a énormément séduite et une autobiographique qui m’a moins plu.



- ce qui m’a donc le plus intéressé est cette jolie plume descriptive. J’ai aimé ce côté observateur du quotidien, des choses simples. L’auteure décrit magnifiquement des moments banals avec des phrases courtes et saisissantes. C’est un de mes styles préférés: le fait d’énumérer en simples phrases ce que nous observons, nous aimons, nous ressentons... Ce livre fait parfois se remettre en question et fait méditer.



- l’auteure raconte aussi sa vie, son passé: le fait qu’elle soit adoptée, se remémore des sourires d’enfance. Ce côté-ci m’a moins intéressé. J’ai préféré découvrir sa nouvelle vie dans La Sud, son ressenti et les moments de vie qu’elle décrit. 
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Intriguée par la couverture et le titre, j'avais bien envie de découvrir ce livre. Pas vraiment un roman, plutôt un ensemble de réflexions qui relate la nouvelle vie d'Anaïs, éditrice parisienne qui du jour au lendemain part s'installer au pays Basque pour vivre de sa passion, le surf, et écrire...

Lecture très rapide, agréable mais qui me laisse un peu sur ma faim. Le thème est intéressant, j'ai aimé les passages revenant sur son enfance par exemple, mais le fait qu'elle semble pouvoir changer de vie si facilement, et surtout vivre en passant ses journées à faire du surf ou du skate semble assez déconcertant pour le commun des mortels...L'auteur est attachante, mais le livre ne me laissera pas un souvenir impérissable...tant pis !

J'abandonne la lecture en cours.

C'est un roman sur un choix de vie, la liberté.

Ce livre m'a permis de revivre certains souvenirs d'enfance.

D'apprécier la quiétude. C'est joliment écrit.

Mais la forme m'a perturbé, et certains passages n'ont pas été assez développés à mon gout de lectrice.

J'ai préféré les saisons du printemps et de l'été, ils m'ont davantage parlé.

En avoir marre et quitter le port, cela peut arriver à chacun. Qui n’a pas, un jour, rêvé d’aller voir ailleurs, de refaire sa vie loin du ronron, du boulot et des proches ? Une virginité nouvelle qui réclame une once de courage pour aller sans se retourner, sans saluer personne et sans calcul. Anaïs a fait le choix de se procurer une Berlingo et d’embarquer à bord le strict nécessaire. Après avoir avalé de nombreux kilomètres, elle s’est laissé séduire par les pins, les dunes et la mer. Un lieu idéal pour se raccommoder avec la vie et repartir de rien. Hymne à l’existence, « Tout quitter » apparaît comme une invitation au voyage, au droit de se régénérer plutôt que de se flétrir, à la nécessité de happer l’air pur et de se désenclaver du brouhaha des villes. Anaïs Vanel a été éditrice et se consacre aujourd’hui à l’écriture. A travers ce livre, elle se confie sur sa nouvelle vie dans le Sud et nous gave d’images enchanteresses qui procurent des ailes et nous murmurent d’oser la grande aventure. Un premier roman réussi à plus d’un point et qui sent bon le vent du large.

Anaïs Vanel a décidé de quitter Paris et de tourner la page, direction les dunes et les vagues. Encouragée par le coffre d'un Berlingo.



Le départ, les souvenirs d'enfance, la découverte du surf, le petit monde de la Sud, les échos de la vie passée... reviennent au fil des saisons dans ce roman aux allures de journal.



Tout quitter: quel programme ! En deux mots, tout est dit. Pourtant le récit d'Anaïs Vanel, sa fuite au bord de la Sud, je me suis plu à le faire durer, à le lire à petites doses, savourant chaque paragraphe.



Le ton est léger, poétique; centré sur le renouveau et la liberté, les mots font mouche sous leur apparente simplicité. Sans l'ombre d'un doute, une lecture qui fait écho.



On nous apprend à avoir de bonnes notes, à choisir une voie, un métier. A faire des concessions. Mais jamais à choisir un endroit où on se sentirait bien.


Lien : https://nahe-lit.blogspot.co..

Dans une période où les reconversions professionnelles, les changements de vie n'ont jamais été autant d'actualité (et ne m'ont jamais autant fait envie...), cette biographie d'Anaïs Vanel me semblait une lecture tout à fait adéquate.

L'intention est là. Dans Tout quitter, Anaïs Vanel plaque tout (quasiment) du jour au lendemain, quitte Paris pour Hossegor pour... surfer.

Cela paraît très réducteur comme résumé, mais malheureusement, c'est que j'en ai retenu, et c'est bien dommage, car le surf et moi, nous sommes très très éloignés.

Alors, oui il y a quelques métaphores sur son rapport au surf, à l'océan, un sentiment de plénitude, mais je ne m'y suis pas reconnue.

Vous me direz que ce n'est pas uniquement pour moi qu'elle a écrit son livre c'est certain, mais sur un sujet qui peut toucher de nombreux lecteurs, de manière consciente ou pas, de façon secrète ou très avouée, il me semble que l'axe qu'a emprunté Anaïs Vanel dans Tout quitter est trop réducteur.

Ce changement de vie, de métier, c'est à priori une envie d'écrire, de passer de l'autre côté, elle qui était éditrice à Paris. Je trouve ça finalement dommage d'avoir trouvé plus de détails sur ses pages des différents réseaux sociaux ou interviews que dans son tout premier livre autobiographique.

Pas une seule fois, elle ne le mentionne, pas une seule fois, on comprend que ses journées peuvent être aussi occupées par l'écriture.

J'ai tout de même apprécié le format, découpé en 4 saisons de l'année. J'ai aimé ces instants décrits sur des pages uniques, mêlant instants présents et souvenirs d'enfance.

C'est finalement dommage que je n'y ai pas trouvé autant de profondeur que ce que j'attendais.

N'aimant pas rester sur un goût de "trop peu", je lirai certainement son prochain livre, car je souhaite qu'il y en ait un second... on ne peut pas Tout quitter pour ne faire les choses qu'à moitié !

Ce livre est très original, c'est à la fois ce qu'on pourrait appeler un roman autobiographique, la narratrice ayant quitter l'édition pour vivre au bord de l'océan. C'est un peu son journal intime, c'est une suite d'instantanés de vie qui sont décrits avec beaucoup de justesse et de poésie. Il ne faut pas s'attendre à un récit empli d'aventures et de rebondissements. Non, ce sont juste des réflexions, des bribes de vie qui nous sont servis sur un plateau. Et c'est très beau et très agréable à lire.

La narratrice a décidé de réapprendre à vivre en goûtant aux petites choses très simples autour de nous au quotidien, à la nature, à tout ce que l'on ne voit pas quand on est pris par le travail quotidien. Ce texte montre avec des phrases courtes et poétiques qu'on peut tout quitter et tout reconstruire, que ça n'arrive pas qu'aux autres, qu'on a toujours le choix de le faire. Ce petit livre est facile à lire et on en ressort avec le sourire, de l'espoir et l'envie de profiter à notre tour de toutes les petites choses de la vie.

Dès que j’ai lu la 4 ème de couverture le résumé a directement retenu mon attention. Le sud-ouest, l’océan, les Landes.

Dans ce roman autobiographique Anaïs nous confie comment elle a pris son courage a deux mains pour quitter la routine « métro boulot dodo » de Paris et vivre la vie qu’elle a toujours idéalisée.

Lorsqu’elle était enfant elle est partie en vacances dans les Landes. Un camping. Les vagues. L’océan. Les rencontres. Elle nous transporte à travers ses souvenirs de vacances et son enfance.

Désormais elle habite au bord de l’océan et vit de son passe temps favoris : le surf. Elle nous partage ses joies, ses humeurs, ses rencontres, ses bonheurs, même les plus simples.



Vous dire que je n’ai pas aimé cette lecture cela serait vous mentir. Cependant, je reste un peu sur la réserve.. Je m’attendais à un texte plus approfondi, pour moi, certains thématiques sont abordées de manières trop superficielle et trop idéalisé.

Il n’empêche que ce roman est inspirant et nous amène à réfléchir.



Je retiens de ce roman que parfois il faut oser tout quitter et sortir de sa zone de confort. Même si cela peut paraitre effrayant, notre bonheur n’est pas forcément là ou l’on imagine.

Il est important d’avoir de l’ambition et de la détermination lors d’un tel changement.

Un titre très accrocheur tout comme la quatrième de couverture. J ai donc foncé et acheté ce livre alors que ma PAL s écroule. Mais quelle déception ! Je ne m attendais pas du tout à ça et je n'ai absolument pas accroché à l histoire ni à l écriture.

Un livre qui est écrit comme quand on écrit un journal intime

L'héroïne décrit tout ses souvenirs,ses envies,son amour pour le surf et la sud.

Se lit très facilement,le lire comme un carnet qu'on découvre les pensées d'une personne qu'on ne connaît pas et qu'on apprend à connaître au fil des pages