Et une dose de testostérone, une !
Sous la garde de son père, le jeune Mikey disparaît en forêt. Un an plus tard, au même endroit, la police retrouve une espèce de culturiste déguisé sur le thème Donjons&Dragons. Il prétend être Mikey. Pour lui 20 ans se sont écoulés ; il aurait été renvoyé dans son monde de naissance afin de chasser 5 traîtres. Son père le croit, son frère l'aide, mais sa mère refuse de céder à cette mascarade. S'ensuit une violente croisade durant laquelle il faudra découvrir si toute la vérité à été dite...
Birthright est le premier comics que je lis sur ce thème, et pourtant le scénario ne me semble avoir rien d'original, et trop virilliste. Il est pourtant bien mené et un personnage féminin intéressant apparaît enfin à la toute fin de ce premier volume... A voir avec la suite ?
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Ce tome fait suite à Homecoming (épisodes 1 à 5) qu'il faut avoir lu avant. Il contient les épisodes 6 à 10, initialement parus en 2015, écrits Joshua Williamson, dessinés et encrés par Andrei Bressan, avec une mise en couleurs d'Adriano Lucas.
Mikey et Brennan Rhodes sont toujours en fuite. Ils se sont mis à l'abri dans une caverne pour passer la nuit. Mikey cauchemarde, se souvenant de moments difficiles dans le monde de Terrenos. Brennan le réveille et lui demande de lui parler du Seigneur Roi Lore. Pendant ce temps-là, Aaron Rhodes (leur père) est toujours en salle d'interrogatoire, où il voit passer sa femme Wendy, avant d'être pris en charge par l'agent Kylen de la NSA (National Security Agency).
L'opération camping offre la possibilité aux 2 frères de se remémorer le temps passé, Brennan observant la marque de Nevermind sur l'épaule droite de Mikey. Ailleurs les mages encore en vie décident de conjurer un Diviner pour exterminer le représentant du seigneur roi Lore sur Terre (à savoir Mikey Rhodes).
C'est avec plaisir que le lecteur voit arriver le deuxième tome de cette série Image, parce que l'existence d'un deuxième tome dépend de l'accueil des lecteurs, et n'est donc pas assurée. Ce tome reprend à l'instant où le précédent s'était arrêté, et le scénariste continue d'entremêler la quête de Mikey Rhodes (assassiner les 5 mages présents sur Terre), avec des retours dans le passé et l'explication des motivations des uns et des autres, ainsi que de leurs stratégies. L'idée d'intégrer des éléments d'Heroic Fantasy (épée, magie, créatures fantastiques) sur notre Terre est bien mise à profit, à la fois dans l'intrigue, mais aussi dans les images.
En feuilletant rapidement les pages, le lecteur constate qu'Adriano Lucas a défini une palette de couleurs spécifiques pour les manifestations les plus spectaculaires de la magie. Il y a en particulier l'utilisation d'une teinte rouge vive pour le ciel, mais aussi des teintes bleues pour certaines entités surnaturelles, et du vert fluorescent pour la végétation. Néanmoins il restreint l'usage de ces couleurs à l'intrusion du monde de Terrenos sur la Terre. Sinon, les couleurs utilisées pour Terrenos, ou la Terre sont assez proches, ce qui permet aux personnages d'exister dans un monde ou dans l'autre sans y déparer.
Sur la couverture du premier tome, le lecteur pouvait déceler une influence manga dans le visage du Brennan (le jeune garçon), avec un petit côté Marc Silvestri. Dans ce deuxième tome, ces influences se font beaucoup plus discrètes jusqu'à disparaître, au profit d'images qui privilégient la dimension descriptive, plutôt que les lignes de mouvements. La densité d'informations visuelles est renforcée par la complémentarité aboutie entre les lignes tracées et les couleurs, ces dernières assurant à la fois fonction de contraste entre les différents éléments, celle d'exhausteur de volume, et aussi celle d'installation d'une ambiance chromatique pour une séquence, ou une action donnée.
L'artiste effectue un impressionnant travail sur l'apparence des différents personnages. La plupart ont une stature normale, ce qui fait ressortir la carrure impressionnante de Mikey Rhodes, comme étant justement exceptionnelle. Il sculpte les manifestations de Nevermind (l'entité parasitant le corps de Mikey), pour des formes dérangeantes, empruntant à la fois aux fluides et aux organes humains. La faune de Terrenos est agréable à découvrir (avec une monture pour Mikey qui évoque un cousin des chocobos), ainsi que l'apparition épisodique d'un animal terrestre (un ours très imposant, au moins un grizzli).
Andrei Bressan se montre tout aussi convaincant dans sa manière de représenter le comportement des individus. Il réussit à trouver le ton juste pour les mouvements et les expressions de Brennan Rhodes, encore un jeune garçon, ce qui n'est pas à la portée de tous les dessinateurs. Il sait également trouver les nuances justes pour transcrire les postures particulières d'une femme enceinte. Sa mise en scène fait état de sa compétence en la matière. Les scènes de dialogue bénéficient d'un plan de prise de vue tel qu'elles ne sont pas statiques, le lecteur pouvant regarder le paysage, où les gestes des personnages. Les scènes d'action dégagent toute la force qu'on en attend, tout en restant lisibles, et en conservant des arrière-plans. S'il faut vraiment être tatillon, il n'y a qu'une séquence (une bataille aérienne mettant en jeu un hélicoptère) où le coup porté à l'épée nécessite une forte augmentation de la suspension consentie d'incrédulité, et dans laquelle le pilote et son passager s'en sortent comme par magie.
Joshua Williamson se montre très habile dans sa construction narrative, ménageant un suspense, tout en donnant régulièrement de nouvelles informations au lecteur. Amener des épées et de la magie dans le monde réel se révèle toujours délicat en termes de dosage. Pas assez : les pauvres barbares et autres soldats moyenâgeux tombent rapidement sous les balles. Trop : les mages diverses et variés se jouent des armes technologiques en un tour de main. Ici le scénariste importe peu d'éléments de Terrenos, mais les place dans un environnement sauvage peu peuplé. Du coup malgré leurs capacités magiques, ils ne peuvent pas trop perturber l'ordre naturel des choses.
L'autre difficulté pour le scénariste réside dans la dynamique du récit. Au premier abord, Mikey se retrouve dans la position du représentant d'un méchant sorcier (Lore), vraiment très méchant. Mais à ce point de l'histoire, la confrontation entre le bien et le mal n'est pas encore à l'ordre du jour. Le récit échappe à cette dichotomie simpliste par le positionnement des personnages, et le flou sur la situation réelle de Mikey Rhodes (revenu de Terrenos après une quinzaine d'années d'absence). Williamson joue avec son lecteur en qui se demande à quel point Mikey est perverti par Lore, et le degré d'irréversibilité. Du coup, la situation peut basculer d'un côté comme de l'autre, à chaque nouvelle péripétie.
Le suspense est rendu plus intense par la connaissance parcellaire de ce qu'a vraiment vécu Mikey pendant ces années à Terrenos, et par la découverte progressive que les événements l'ont changé. Le personnage échappe ainsi à la motivation primaire de "Il est méchant parce qu'il est méchant", pour passer à un comportement évolutif, en fonction des événements auxquels il a participé. Cette approche narrative laisse espérer que le méchant de l'histoire disposera lui aussi d'une psychologie dépassant cette même motivation primaire, lorsque son tour viendra.
Au cours de ces 5 épisodes, Joshua Williamson consacre donc la majeure partie des pages, à étoffer la relation entre les 2 frères (avec pour effet de développer le personnage de Brennan), à distiller plus d'informations sur le passé de Mikey (ce qui le rend plus complexe), et à évoquer fugacement les autres forces en présence (ce qui laisse supposer un environnement et un historique étoffés). Du coup le lecteur regrette un peu qu'il n'y ait pas plus de place pour les parents de Mikey, ou pour Rya (son amie).
Le premier tome de cette série proposait un départ courageux, à défaut d'être original, avec une intrusion du genre Sword & Sorcery, dans les États-Unis d'aujourd'hui. Ce deuxième tome confirme l'adresse des auteurs pour utiliser les conventions de ce genre dans une histoire pleine de suspense qui défie les clichés du genre. Ils savent faire exister leurs personnages au-delà de simple marionnettes sans âme. En particulier les 2 frères présentent des caractères différents, façonnés par leur histoire personnelle, et leur histoire commune (avec un paradoxe amusant puisque le plus jeune frère occupe maintenant la position d'aîné).
Le scénariste a conçu une intrigue dans laquelle les révélations sur le passé et le comportement des principaux personnages font apparaître que leurs motivations ne peuvent pas être réduites à l'altruisme ou la méchanceté. De son côté, Andrei Bressan montre au lecteur des personnages à l'apparence graphique bien différenciée, évoluant dans des environnements consistants. Il est aidé par Adriano Lucas qui complète les dessins avec une mise en couleurs à la fois organique et conceptuelle, renforçant les volumes des surfaces des éléments représentés, mais aussi la cohérence des lieux, et la logique des manifestations surnaturelles.
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il contient les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2014/2015, écrits par Joshua Williamson, dessinés et encrés par Andrei Bressan, avec une mise en couleurs d'Adriano Lucas.
L'histoire se passe de nos jours dans une petite ville des États-Unis. Aaron Rhodes est en train de jouer au baseball dans une clairière, avec son fils Mikey. Pendant ce temps-là, Wendy (la femme d'Aaron, et la mère de Mikey) prépare la fête d'anniversaire de Mikey, avec l'aide de Brennan, leur fils aîné. Aaron ayant frappé un peu fort, la balle se perd dans les bois, et Mikey va la chercher. Il ne reparaît pas, et son père ne le retrouve pas.
Un an plus tard, Mikey est toujours porté disparu, les soupçons ont pesé sur Aaron qui se rend responsable de sa disparition. Wendy a entamé une procédure de divorce et a déménagé. Brennan supporte mal l'alcoolisme de son père et les accusations des autres lycéens. Aaron, Wendy et Brennan sont contactés et emmenés dans l'agence locale du FBI. Dans la pièce réservée aux interrogatoires, un énorme colosse donne des réponses bizarres. Il dit s'appeler Mikey Rhodes, et avoir vécu dans une autre dimension de type Heroic Fantasy, où le temps s'écoule plus vite.
Au sein de l'éditeur Image Comics, Robert Kirkman dispose de sa propre branche éditoriale appelée "Skybound", au travers de laquelle il publie les séries dont il est l'auteur, et de temps à autre une série d'autres auteurs (comme par exemple l'excellente "Manifest destiny", à commencer par Fauna & Flora). Il a donc choisi de publier "Birthright".
Le premier épisode pose rapidement le point de départ. Mikey Rhodes a grandi dans un univers parallèle, sur un continent appelé Terrenos, où il a été pris en charge par Rook qui voyait en lui le messie prophétisé par les textes. Rook l'a confié aux bons soins de Rya et Shavo pour qu'ils le chaperonnent. Le récit propose de suivre à la fois les événements au temps présent (alors que Mikey est revenu après qu'un an se soit écoulé pour les membres de sa famille), et l'apprentissage de Mikey dans cet univers de Fantasy.
La narration installe donc confortablement le lecteur dans un récit qui semble sur des rails. Effectivement la déliquescence du noyau familial après la disparition du fils a bien lieu, avec une suspicion infâmante pesant sur le père. Mais tout cela se passe très vite (avant la fin du premier épisode) et les créateurs ne s'appesantissent pas trop dessus.
La réapparition de Mikey ne surprend guère puisque sinon il n'y aurait pas eu d'histoire. Ça ronronne tranquillement et pourtant ça ne reste pas sur les rails, ça ne suit pas la direction prévue. Sans dévoiler les surprises, il est quand même possible de dire que le récit sort le lecteur de sa torpeur et le maintient sur ses gardes. Il y a la fois les conventions attendues du genre Fantasy (combat à l'épée, gros monstres pleins de dents, races de créatures magiques), et à la fois un scénario qui sort de la route toute tracée.
Andrei Bressan et Adriano Lucas forment une équipe artistique bien coordonnée. Le metteur en couleurs réalise un travail qui ajoute un peu de volume aux formes, qui établit une ambiance lumineuse pour chaque scène, allant de sombre (tout en restant lisible) à de très belles lumières en journée, en passant par la lumière artificielle discrètement blafarde.
Bressan réalise des dessins réalistes, naturalistes sans obsession photographique, avec une légère exagération des expressions des visages (mâchoire crispée et lèvres retroussées pendant les affrontements physiques) qui insufflent une vitalité agréable dans les personnages.
Le soin apporté aux dessins par Bressan rend la lecture immersive à souhait, avec une sensation très agréable de se déplacer en forêt, d'entrer dans la chambre abandonnée de Mikey, ou encore de faire des achats dans une station-service. Il y a à la fois un niveau de détails qui rend ces endroits tangibles, mais aussi un léger degré de simplification qui rend les images très faciles à lire.
Bressan utilise la même approche graphique pour les séquences se déroulant dans le monde de Terrenos. Le décalage provient bien sûr de l'absence d'éléments technologiques, et de la présence de créatures merveilleuses. Par contre, la nature possède cette même qualité de consistance permettant au lecteur de se projeter dans ces environnements. Bressian prête la même attention aux détails de ce monde légèrement médiéval, avec des tenues vestimentaires spécifiques, cohérentes entre elles dotés d'accessoires, avec des monstres à la morphologie étudiée (par opposition à des morphologies génériques), et des bâtisses à l'architecture cohérente avec l'absence de technologie.
La narration visuelle de Bressan apporte des éléments d'information qui vont au-delà de la simple représentation de ce qui est en train de se passer. Les images montrent l'état d'esprit des personnages, ainsi que leurs émotions. C'est par les dessins que le lecteur prend conscience de la situation extraordinaire d'Aaron Rhodes qui a retrouvé son fils, mais qui en plus partage des aventures avec, en ayant le même âge. Les dialogues n'évoquent pas cet aspect du retour de Mikey, par contre les dessins le montrent avec habilité.
Alors que le lecteur se croit confortablement installé dans un récit d'Heroic Fantasy, avec des dessins sympathiques (n'ayant plus qu'à attendre la suite de combats qui mènera à la défaite du méchant roi-dieu Lore), il tombe sous le charme des pages séduisantes et expressives d'Andrei Bressia avec la mise en couleurs lumineuse d'Adriano Lucas. Ainsi porté par une narration visuelle avec une apparence aimable, il découvre que le scénario ne se conforme pas au schéma préétabli et que les dessins ne se cantonnent pas à un simple rôle de représentation littérale. Il ne reste plus qu'à attendre que le deuxième tome confirme cette bonne impression.
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Tome 4 à 6 :
Les tomes passent et le tout gagne en intensité et les personnages se développent.
Il y a certaines longueurs par moment pour parfois étirer jusqu'à la fin de chapitre, mais globalement Williamson ne manque pas d'idées pour son univers.
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Si vous aimez le gore, le trash plein d'hémoglobine et l'horreur alors vous allez être ravis par ce premier tome.
On y assiste à la naissance d'un parc d'attraction dédié à l'horreur et au sanglant.
Attention aux mascottes elles ne sont pas forcément ce qu'elle semble être.
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Devil Land. Un parc d'attraction sur le thème de l'horreur, où l'on vend son âme au diable, mais seulement pour rigoler... du moins, c'est ce que la plupart des gens croient. Que cache le fondateur du parc, Arthur Dante ? L'endroit serait-il hanté... ou habité par le Diable lui-même ?
Ce tome 1 rassemble les 4 premiers numéros du comics original. Il plante le décor dans lequel se situe l'action et nous présente la famille Dante, de joyeux lurrons festifs s'il en est : le père, Arthur, ne sort jamais, tandis que ses deux enfants, Halloween et Samhain, nés de son second mariage, ne font que se disputer. Il faut dire que Samhain pense surtout au parc, et a des méthodes assez conventionnelles pour le faire grandir en tant qu'entreprise... tandis qu'Halloween, précédée par une réputation sulfureuse, sait surtout se faire remarquer et faire parler d'elle. Il se dit également que la première femme d'Arthur a disparu sans laisser de traces. Bonne ambiance.
La BD donne envie d'en apprendre plus sur eux : comment Arthur fait-il prospérer son parc ? Que cachent les Dante ? On attend la sortie du deuxième tome pour, peut-être, avoir des réponses.
Autant vous le dire tout de suite : l'hémoglobine, le sang et la gelée de myrtilles coulent dans cette BD. Cependant, le dessinateur nous livre, dans ce tome 1, une poignée de moments gores répandus dans l'histoire ; en les espaçant de la sorte, il évite de donner l'impression d'un déluge de violence gratuite.
Si le dessin est parfois un peu inégal au niveau des visages des personnages, le reste est tout à fait maîtrisé et il y a une grande variété dans le style : on a, d'un côté, les mascottes du parc, d'apparence très cartoonesque et qui ne paraissent guère menaçantes, et de l'autre, des démons à l'apparence tout à fait atroce, très détaillée. Entre les deux, il y a le monde "réel", dans lequel évoluent les Dante et les autres personnages.
Bref, j'adhère complètement à cet univers et j'ai HÂTE de voir la suite.
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Je n'ai pas aimé du tout ce tome. Et je ne continuerai pas la suite.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui est très basique. Cela va à 100 à l'heure et je trouve les dialogues très pauvres.
Non vraiment rien à retenir de cette lecture.
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Tome 1 à 3
Alors que le dixième et dernier tome va sortir dans quelques jours, je me replonge dans cette série de Fantasy et le plaisir est encore là.
Le titre est vraiment surprenant par son univers, ce mélange entre fantasy et époque actuelle et par ses personnages vraiment différents.
La construction est assez classique pour le début, mais on peut tout de suite ressentir qu'il y a pas mal de potentiel dans cette série et dans son univers.
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Tome 1 à 3
Alors que le dixième et dernier tome va sortir dans quelques jours, je me replonge dans cette série de Fantasy et le plaisir est encore là.
Le titre est vraiment surprenant par son univers, ce mélange entre fantasy et époque actuelle et par ses personnages vraiment différents.
La construction est assez classique pour le début, mais on peut tout de suite ressentir qu'il y a pas mal de potentiel dans cette série et dans son univers.
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Tome 1 à 3
Alors que le dixième et dernier tome va sortir dans quelques jours, je me replonge dans cette série de Fantasy et le plaisir est encore là.
Le titre est vraiment surprenant par son univers, ce mélange entre fantasy et époque actuelle et par ses personnages vraiment différents.
La construction est assez classique pour le début, mais on peut tout de suite ressentir qu'il y a pas mal de potentiel dans cette série et dans son univers.
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