Citations de Antoine Ozanam (113)
Vous savez, dans un scénario, la véracité doit s’effacer devant l’efficacité.
Je m'arrange avec ma conscience pour avoir une vie décente.
Comment encore parler d’un homme dont la devise est « scission « ?
- Bien, je te raccompagne parce qu'en plus, à minuit, ce bolide se transforme en potiron…
- En potiron ?
- Tout à fait, la citrouille, c'est pour les gros modèles.
-Ce que nous vivons ne ressemble pas à l'image que j'ai d'une vie de commune épanouie.
-Tu aurais voulu que cela soit comme dans les histoires que te racontait le vieux chaman?
-Il y avait plus de noblesse dans les sentiments.
-Et tu ne t'es jamais demandé pourquoi les histoires s'arrêtent après l'union des personnages?
-C'est une réponse facile.
-On ne peut pas toujours vivre la passion. Surtout quand on doit accomplir autre chose en même temps.
-Je suis désolé, mais je ne vois pas pourquoi.
Le lundi et le jeudi, avant le boulot, c'est réservé à la pêche dans la Truckee river, le mardi et vendredi aux mêmes heures, il voit Debra, sa maîtresse. Le reste de la semaine, il est en famille.
Aujourd'hui, c'est un mardi. Alors, il n'y a rien de plus normal à ce que cette jeune personne vienne le rejoindre sous la douche.
D'ici une heure, il sera bien frais et dispo, prêt à faire régner la justice. Mais demain, son immuable planning en prendra un coup.
D'ici un mois, tout ce qui vient d'être dit sera à jeter à la poubelle.
Tu parles, un marin sans bateau, c'est rien qu'un cul de plomb.
Non mais dites donc, vous vous croyez peut-être bien placé pour me faire la morale ? espèce de vieux machin qu’arrive même pas à faire la conversation à une dame quand il a la chance d’en croiser une.
- Sache que je fais ce que je peux pour sauver tes fesses ! Alors, t'es gentil, tu t'achètes deux trois neurones et tu réfléchis à ce que j'ai dit à ton paternel.
Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil.
Quand la nuit devient sombre
On voit sous les ponts de Paris
Se glisser comme une ombre
Les pauvres gueux, les sans-abri
Enveloppés dans leurs guenilles
Ils étouffent leurs sanglots
Ils s'en vont, les sans-famille,
S'endormir au bord des flots
Et sur la croix de pierre
Grelottant de fièvre et de faim
S'endorment les Jean Misère
Les parias du genre humain
Quand, tout à coup, un grand bruit
Les pauvres hères poussent ce cri :
"La rafle ! La rafle !"
C'est la chasse qui commence
Sauve-toi, pauvre gibier !
Sans égard pour la souffrance
Le chasseur est sans pitié
"La rafle ! La rafle !"
Voilà les policiers
Non, ce n'est pas la misère
C'est quelque chose de plus affreux
C'est le carnage, c'est la guerre
Où s'entretuent des malheureux
On se massacre sans s' connaître
On s' tue sans savoir pourquoi
C'est pour l'opinion d'un maître
Ou sauver le trône d'un roi
Et grisé par la poudre
Le soldat chante comme un fou
Se moquant de la foudre
Il s'endort sur un caillou
Quand tout à coup, sans grand bruit
La camarde pousse ce cri :
"La rafle ! La rafle !"
C'est la chasse qui commence
Chair humaine devient gibier
Sans égard pour la souffrance
La mitraille est sans pitié
Elle rafle, elle rafle
Tous nos petits troupiers
- Monthéhus -
N'essaie pas de me la faire... Je suis connecté avec les Dizhis. Votre poison coule dans mes veines.
Je pense que tu es un goujat. Aucun homme bien comme il faut ne rappelle sa promesse à une femme...
- Tu en connais beaucoup des gamins de notre âge avec un garde du corps toujours derrière eux?
- N'importe quoi ! D'abord Dan n'est pas mon garde du corps, c'est mon chauffeur. Et puis avec le boulot de mon père, il est plus prudent que je ne rentre pas seul.
- Depuis quand travailler dans le poisson est un boulot à risque ?
Il est temps d'en finir avec les guerres périodiques et les boucheries humaines.
Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités.
-En 1887, il avait 17 ans. C’était déjà un tombeur et il avait encore un regard naïf et frais. Je pense même que c'est avec ce voyage qu’il a arrêté d’avoir ses yeux pleins de rêves et d’avenir.
Les mémoires se rouillent.
Elle se tient devant toi et plus rien n'existe.
L'amour est le meilleur des médicaments, même si parfois la pilule est dure à avaler.