Arnaud Alméras

Voici une sympathique histoire d'aventure qui pourra plaire aussi bien aux jeunes lecteurs qu'aux enfants dyslexiques! Qui ne rêverait pas d'entrer dans l'histoire de son livre? C'est ce qui arrive à Sidonie et Arthur, transformés en super-héros le temps d'un manga. Mais il ne suffit pas d'être doté d'une tenue et d'armes pour vaincre tous les démons! Manquant d'entraînement, les deux amis vont devoir affronter bien des difficultés et se montrer à la fois malins et solidaires.



Comme dans un jeu vidéo, ils doivent venir à bout de deux ennemis intermédiaires (le Bloc de Colère et le Croqueur d'Os) avant de se retrouver face au Maître des Démons. Si la victoire finale est un peu facile, j'ai trouvé intéressante l'idée que le jeune Arthur, emballé par le pouvoir du cristal ("Je me sens très fort, habile, puissant!") rechigne à réintégrer "une vie banale où je me sens toujours un peu nul". Heureusement tout est bien qui finit bien, et ils auront même gagné un ami!
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Sidonie et Arthur sont transportés dans un manga fraîchement emprunté : Le Cristal de Sorcellerie ! Le titre a son importance puisque les deux amis vont justement devoir retrouver ce cristal volé à la sorcière Uma-Yaba par un homme-crapaud devenu le Maître des Démons grâce au pouvoir de cet artefact. La mission est dangereuse, mais ils n’ont pas le choix s’ils veulent rentrer chez eux, la sorcière n’acceptant de les aider qu’en échange de son précieux cristal. Uma-Yaba va alors doter chacun d’entre eux d’un équipement : ce sera une armure de samouraï et un sabre pour Sidonie, et un costume de ninja et les armes qui lui sont associés pour Arthur.



Nous suivons donc nos jeunes protagonistes dans leur aventure qui sera ponctuée de rencontres plus ou moins sympathiques. Nous sommes dans un livre jeunesse, les méchants sont donc assez caricaturaux, mais cela n’est pas gênant d’autant que j’ai adoré le personnage de la sorcière, un peu plus nuancé, qui n’est pas sans rappeler le mythe russe de la Baba-Yaga que j’aime beaucoup.



Sidonie et Arthur, au cours de leurs péripéties, se feront un allié inattendu et quelque peu mystérieux. Ont-ils d’ailleurs eu raison de lui faire confiance ? Ce sera à vous de le découvrir, mais ce qui est certain, c’est que ce personnage apporte un peu de mystère à l’intrigue.



Le livre est très rythmé et les événements s’enchaînent les uns après les autres sans aucun temps mort. Ce point devrait permettre de conserver l’attention des jeunes lecteurs durant toute la lecture d’autant que les illustrations en grand format facilitent vraiment l’immersion dans le récit. Elles possèdent, en outre, un côté manga qui apporte du crédit à l’idée que nos deux protagonistes ont été transportés dans l’un de ces ouvrages. Quant aux style tout doux et tout en rondeur de l’illustratrice, Myrtille Tournefeuille, il dégage beaucoup de charme.



Miss Samouraï et le Ninja Bleu fait partie de la collection Flash Fiction des éditions Rageot destinée à susciter chez les enfants récalcitrants à la lecture, ou peu habitués à pratiquer ce loisir, l’envie de lire. Tout est donc mis en place pour rendre l’ouvrage plaisant à lire : texte aéré, livre rythmé, présentation en début d’ouvrage des principaux personnages et de leurs caractéristiques, quelques illustrations, un vocable simple, des phrases courtes, et un peu d’humour. Un cocktail qui devrait plaire aux jeunes lecteurs, mais aussi à certains adultes qui aiment à retomber en enfance !



Pour conclure, Miss Samouraï et le Ninja Bleu est un roman plein de peps porté par deux personnages attachants qui forment un beau duo. Rempli d’action, de magie et agrémenté de belles illustrations, il devrait séduire les jeunes lecteurs aimant l’aventure.
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Un petit bijou de délicatesse et de tendresse.

omment?", un album qui va permettre de dialoguer avec les plus jeunes, de mettre des mots sur un sentiment durant cette période.

Et si on en parlait?



L'album, avec des retours d'émotion de jeunes personnages antropomorphes pour témoignage, nous permettra aussi de faire le tour des désagréments ou des avantages à rester à la maison pour les enfants qui l'ont vécu.

Gage que si il existait une version adulte, elle ne ressemblerait pas à ça.



C'était "incroyable", "Pénible", "Sympa", "une chance", "Inquiétant", d'apprendre que l'école est fermée, qu'il y a un gros virus qui circule et qui est dangereux, d'être tous le temps avec ses frères et soeurs, de passer du temps avec les parents, de les voir triste aussi...



Un titre qui sera à ranger dans l'Histoire, finalement, pour se souvenir et se rappeler ce qu'était le Confinement.

En effet, tous les enfants ne l'ont pas vécu de la même façon mais on en revient, le titre se veut évidemment rassurant sur des événements qui bouleversent le rythme du quotidien très douillet.



Les grands lecteurs penseront peut-être à une chose traumatisante, comme eux sans doute l'on vécut.

Comment réagiraient des enfants qui ne peuvent pas aller à l'école pour cause de tempête de neige? Cela arrive et c'est en général embettant, il faut rattraper les devoirs.

Ce n'était peut-être pas si grâvd?

Ceci nous demandera de nous replacer à la hauteur des jeunes lecteurs.

Ce contexte était peut-être étrange, curieux, puisque contrairement à de la neige jusqu'aux genoux et dans la figure, un virus ne se voit pas.

Des masques anti-contamination, oui, en revanche.



Ne pas pouvoir jouer avec les copains comme avant et se tenir la main, c'est ennuyeux, ne pas pouvoir visiter la famille, c'est triste au bout d'un moment.

Une drôle de période pour les enfants où il fallait croire sur parole sur quelque chose qu'ils ne pouvaient pas vérifier à moins de risquer très malade.

Le Confinement, finalement, c'est un peu pour eux un parcours initiatique de patience qui aura fait grandir sans doute les enfants mais les adultes aussi.

Le Duc Fabrice des Ormeaux n'a pas vraiment de goût pour les choses qui ravissent son père. Celui-ci aime la chasse, les guerres et la bonne chère, sans doute. Fabrice aime ses perruques et ses moustaches.



Le père voudrait un successeur qui aime les choses "masculines"... et la princesse aimerait que l'on s'intéresse à elle.



Fabrice se voit doté d'une épée magique. Selon la disposition du pommeau, elle fait tout réussir à celui qui la porte, ou tout échouer... Voilà donc Fabrice qui suit à la lettre les diktats de cette épée... Sauf qu'elle n'est pas magique et que Fabrice dévouvre alors que la vaillance et le courage sont en lui, sans besoin d'artifice.



Un conte qui permettra aux enfants de prendre confiance en eux (ou pas, vu que la confiance ne s'acquiert sans doute pas juste par un artefact)...

Bonne idée une petite sorcière sympathique comme héroïne d'une série de Premières lectures.

Je ne connaissais pas encore Amélie Maléfice, mais ce n'est pas gênant bien entendu de commencer par cet opus, le troisième de la série.



Pour les tout débutants, il est prévu que l'enfant ne lise que les bulles. Mais le reste du texte est écrit aussi gros, il va pouvoir rapidement en lire un peu plus.

Histoire et dessins sont amusants.

Amélie est en CP : Classe de Potions (!)

Et le but de la potion du jour, c'est l'apprentissage (ultra rapide !) de la lecture.

Ça va donc vraiment parler aux jeunes lecteurs.

Mais Amélie est un peu distraite, et sa potion va plutôt donner le fou-rire.

Une histoire classique et sans surprises, mais bien adaptée.
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Une histoire gentillette et déjantée qui a beaucoup plu à mon fils, même si le ninja est rose !

Ce livre fait clairement carton plein... J'aime quand papa... et on découvre toute une série de situations toutes plus tendres les unes que les autres, mais rocambolesques aussi. Et chaque fois mises en scène avec des animaux...



J'adore papa lion qui se fait mettre des bigoudis... mes enfants adorent la baguette chaude dont papa donne le bout, ou les descentes à luge.



Bref, chacun y trouve son compte. Et c'est déjà très positif.



Mais ensuite, les enfants (avec papa) sont libres d'y aller de leur "j'aime quand papa..." en se laissant aller à toutes les divagations.



Evidemment, stimuler les enfants, ce n'est peut-être pas idéal pour aller dormir... et l'auteur y a pensé. L'avant-dernière page montre un papa qui lit une dernière histoire "et encore une autre et puis c'est fini"... puis on tourne la page et on a "et voilà maintenant, c'est fini", et mes deux loulous se couchent sans plus rien demander... Bref, le bonheur dans toute sa quintessence.

Gentillet, sans plus.

Calamity Mamie fait plein de bêtises, c'est bien connu !

Attention, spoiler ... mais bof !

Ici, elle commence par abandonner les enfants à sa garde devant une vitrine de Noël, pour revenir avec plein d'achats inutiles.

Puis son sapin s'écroule.

Puis elle intervertit tous les cadeaux de Noël.

Et enfin oublie d’enfourner le repas.



Mis à part que ça parle de Noël, et qu' à la période, on lit volontiers les histoires de Noël, ça n'amusera (peut-être) vraiment que les plus jeunes.



Et était-il indispensable à la fin, sur la mini biographie des auteurs, d'écrire "Dans la famille de Jean-Louis Besson, personne ne croyait au Père Noël."



J'essaie d'habituer mes petites à se préoccuper des auteurs après la lecture d'un livre ; savoir qui ils sont, si on a lu d’autres textes d'eux, etc ...

Je ne devrais pas me plaindre, je regrette habituellement que la plupart des livres jeunesse omettent de parler des auteurs.

Mais là, ça m'a un peu gênée, mes petites-filles se lisant les textes l'une à l'autre.

Aborder le sujet de la mort avec les jeunes enfants est souvent un moment délicat. Entre tristesse et incompréhension, la première fois que l’on est confronté au décès d’un proche, c’est une petite partie de son enfance qui disparaît… Dans cet album, nous tenons compagnie à une fillette qui vient de perdre son arrière-grand-mère. Dans sa petite tête trotte cette question existentielle : là où elle est partie, qu’est-elle devenue ? Il va s’en suivre une série d’hypothèses, parfois drôles, parfois tendres, qui illustrent à merveille l’innocence du regard de l’enfance… Nous devons ce joli texte poétique et bienveillant à Arnaud Alméras. Robin l’accompagne dans cette histoire avec des illustrations légères et des couleurs douces qui servent agréablement le récit.

Voici un catalogue de divers moments simples et bons qu’un enfant aime partager avec sa mère ou qui lui évoque sa mère à distance. La maman est ici pleine d’attention et de tendresse, prête à valoriser les expériences de son enfant et excusant ses maladresses, créant des situations où l’enfant est mis en condition d’apprentissage. Si le livre rappellera à certains l’esprit des actions de leur mère (si ce n’est la scène précisément croquée), il risque fort de faire regretter à d’autres de n’avoir pas la mère idéale de Moi, j’aime quand maman… Le graphisme à tonalité humoristique propose des personnages avec des têtes de divers mammifères ou oiseaux et un corps anthropomorphe. Chaque situation est portée par une ambiance colorée très spécifiquement adaptée à l’idée portée tant dans la page d’illustration que dans la page de texte. Cet album convient parfaitement à un lectorat de six à huit ans si le texte est utilisé (en lecture autonome par l’enfant ou avec l’aide d’un adulte), si l’on invite le jeune à seulement interpréter les images on pourra présenter les illustrations à des enfants de quatre à six ans.

Barbichu est un prof intraitable. On ne moufte pas au cours de Barbichu. Et quand il en a marre, il bricole. Il bricole quoi le McGyver du Collège? Il bricole une invention du feu de dieu... Une machine à détecter les bêtises. Le premier qui bouge, il terminera au plafond, pendu comme un sauciflard dans l'étal d'un boucher.



Oui, mais que se passe-t-il quand l'invention déconne? Eh bien, c'est à cela que le lecteur assiste dans un petit livre pour les enfants qui lisent déjà plutôt aisément et veulent se payer une bonne tranche de rire.



Drôle, limpide, brillamment raconté et rehaussé de chouettes illus, un petit livre jeunesse tout à fait recommandable.

"Le manteau de mots" est une histoire pour tous les moments de la journée des tout jeunes.



Mais personnellement j'aurais envie, jeunes lecteurs, de le réserver à celui de l'avant dodo, celui bien sûr des petits capable de saisir.



Nous ne sommes pas dans du "bonne nuit les étoiles veille sur ton sommeil, t'es tu bien brossé les dents, as tu fait ton pipi?"



Il y a bien plus, une intention que les parents poseront peut-être sur eux en le leur lisant, pour qu'ils dorment à poings fermés et qu'ils sachent qu'ils sont là, qu'ils les aiment avant de clore les paupières. Qu'ils les aime avec des mots qui les accompagneront toute leur vie.





Imaginez votre petit de 5 ans, chers parents, se retrouvant dans chaque instant enfants/parents choisis ici, partagés par les auteurs.



Il y a là comme un secret, une vérité éclatante.





Te souviens-tu de ce que je te disais?



Quand tu me regardais avec tes yeux avec cette expression, quand tu réussissais quelque chose, de nouveau. Aujourd'hui encore, quand tu dors et que tu penses que tu es seul, que l'on repassera te regarder, contemplatif, rassuré d'un je ne sais quoi, il y a des mots qui sont posés là. "chut! Il s'est endormi."



Et peut-être les as-tu surpris, ces mots, à demi parti.





Les parents avoueront peut-être à leur enfants après cette lecture, abdiquant devant des yeux de petits Chapeauté captifs et intrigués (du coup, ils ne seront peut-être pas couché tout de suite tout de suite, désolé. Mais peut-être que le moment en vaudra la chandelle, que vous soufflerez quelques minutes plus tard).







Depuis que tu es petit, que tu n'avais pas l'âge de les comprendre, il y avait des mots.



Des petits, des banals mais des mots rien qu'à soi, chacuns pour des moments rien qu'à soi.



Et puis il y aura peut-être les "Quand je suis sorti de ton ventre, tu as dit quoi? Et le moment d'avant que je sois pas là, tu as dit quoi?"



Les petits s'attarderont probablement aussi sur leurs mots à eux, normal, puisqu'ils y étaient.







Quoi de plus rassurant, pour un enfant que cette belle prise de conscience, que cette belle déclaration d'amour de parents au travers de cette lecture.



Une belle allégorie dont le jeune héros de cette aventure d'une petite histoire quotidienne se vêt à la fin, équipé de son petit manteau de mots, le regard parental posé sur lui tandis qu'il part.



( ne pleurez pas encore, chers parents, il quitte juste la pièce de la maison et ce héros est encore tout petit).



Un album adorable et un beau témoignage imaginé.

Une histoire très amusante et agréable à lire : politesse, magie, un petit texte court.

Pendant toute la période où Émile est sous le coup de la magie de son père, de petites étoiles multicolores volettent autour de sa tête, ce qui à la fois égaie le livre et clarifie la situation pour les petits lecteurs.



Une collection pour lire à deux : l'adulte ou l'aîné lit le texte, et pour le débutant il y a les dialogues, en bleu et en gras. Une façon intéressante de débuter la lecture autonome.

Je comprends le but d'une telle collection, mais l'étiquette (quasi fluo !) CP niveau 1 me gêne.

D'abord, pas certaine qu'en fin de premier trimestre de CP, (c'est ce qui est prévu), tous les enfants soient prêts à lire des phrases pas toutes simples. Il me semblait que chaque enfant doit apprendre à son rythme, et je pense que ce genre d'indication met l'élève en situation d'échec, surtout si le parent insiste un peu.

Ensuite, ce roman pourrait être proposé à des enfants plus grands mais encore en difficulté de lecture, et là aussi, c'est un peu stigmatisant cette étiquette CP.

A l'inverse, un bon lecteur peut lire cette histoire à tout moment, car le texte lui-même est intéressant, mais la mention CP ne lui donnera pas très envie.

Bref, ce système de "cases" me gêne (à part pour satisfaire les tontons, marraines etc qui cherchent un cadeau !).



Je regrette aussi un peu, pour un livre destiné aux tout débutants, que les mots expliqués ne le soient pas sur la page concernée, même si le système de rabat est pratique.
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Lorsque Thomas et Rose voient leur maîtresse se faire enlever en plein milieu de la cour, ils n’hésitent pas une seule seconde, ils courent s’accrocher à l’appareil qui l’emporte. L’hélicoptère les emmène dans un lieu mystérieux où ils rencontrent Ongl, un grand méchant maléfique, qui a une dent contre Madame Martin, la maîtresse. À cause d’un dysfonctionnement, Thomas hérite de drôles de pouvoirs, il devient Super Lecture Boy… mais est-ce que cela l’aidera à vaincre le méchant ?!



L’histoire en elle-même tient la route même si j’ai trouvé l’histoire un peu bancale et sans grand intérêt. Les personnages ne sont pas assez creusés ou exploités. Malgré cela, j’ai apprécié l’humour et la belle amitié qui existe entre les deux enfants.



En conclusion, un livre jeunesse qui est trop simpliste à mon goût et qui ne présente que peu d’intérêt. Bien que l’ensemble soit cohérent, c’est un livre qui est vite lu, vite oublié…
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Avec un titre pareil, je ne pouvais pas ne pas découvrir ce gentil nouveau héros à la bouille si sympathique grâce aux illustrations de Clément Devaux! Je crois comprendre qu'on retrouvera Thomas dans de prochaines aventures, avec son pouvoir si surprenant...mais bien pratique!!



Une lecture facile, agréable et assez déjantée pour des premières lectures de romans. Le format, le ton et même les illustrations me font penser immédiatement à un "J'aime Lire", bon point! ;) A recommander dès 7-8 ans, pour le pouvoir magique de la lecture et les portes de l'imaginaire qui s'ouvrent alors.
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un joli livre où à chaque page un enfant - représenté en animal - explique ce qu'il aime avec sa maman.

On s'y retrouve forcément une fois ou deux et les enfants en rient ou en sourient.

C'est donc un livre à la fois amusant, réconfortant, encourageant -pour les parents - et qui nous parle de notre propre relation parent - enfant.



A lire avec différentes voix et à apprécier.

Il ne me reste plus qu'à trouver le même avec les papas, car apparemment il existe aussi.

Antonin est pris en otage par le lutin Fernal et le Docteur Morceau. Ce dernier va forcer les parents d'Antonin, deux grands scientifiques, à travailler sur son sérum d'éternité. Le Docteur Morceau réserve ainsi un terrible sort aux enfants du monde entier. C'est au tour d'Antonin de devenir un héros et de sauver ses parents et les enfants !



Voici un livre qui s'apparente à la fois à un roman et à un album mais aussi à la BD par son format. En effet, nous avons ici la folle aventure que va vivre Antonin, avec au passage quelques illustrations de Jacques Azam.



C'est un livre où il se passe énormément de chose : tout d'abord, Antonin revient de l'école avec un zéro en math et ça le fait moyen pour un fils de scientifiques. Puis en sortant de la bibliothèque, il se fait kidnapper par un vilain lutin. Il découvre alors l'endroit où se cache le Docteur Morceau. Il y aperçoit le résultat de ses opérations sur des animaux : des poussinges, des caméléopards, des kangourours, ... Avant d'arriver devant une machine bizarre avec au bout une coupe d'or. Même si le Docteur Morceau ne dévoile pas son plan tout de suite, Antonin voit que quelque chose cloche et il va tout faire pour s'échapper et tenter de renverser le plan du Docteur Morceau !



De l'aventure, des rebondissements et même une petite part de suspense se retrouve dans cette histoire. Le texte est accessible aux enfants à partir de 7 ans.

Je dois dire que j'ai moins accroché aux illustrations, qui me semble un peu brouillons. J'ai limite l'impression que le dessin a été réalisé par des enfants. Peut-être cela fonctionnera sur eux, mais cela n'a pas pris sur moi !


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Un chouette roman première lecture...
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Un roman première lecture très bien fait et dont la thématique fait mouche chez les petits...
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