Arnaud Druelle

... J'ai été captivée de la première à la dernière page par ce roman jeunesse. L'Enfant-Pan nous plonge dans les origines d'un conte que je connais par cœur et qui a bercé mon enfance. Je me suis très vite attachée à Peter et son univers. Arnaud Druelle a écrit, non pas une histoire pour de jeunes enfants, mais bien un roman pour des adolescents qui ont déjà vu et revu Peter Pan. Il n'hésite pas à mettre ses personnages en péril et à jouer avec nos nerfs ! Il faut être courageux et téméraire pour partir dans cette aventure qui vaut vraiment le détour. Alors si vous aussi, vous êtes curieux de suivre Peter comme vous ne l'avez jamais vu, de partir explorer des contrées inconnues, faites preuve de bravoure car aucun ne sera épargné dans cette épopée palpitante ! À lire, relire et rerelire !
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Mon Disney favori a toujours été Peter Pan, j’essaye toujours de le regarder régulièrement (ce n’est pas comme si je l’ai déjà vu un milliard de fois n’est ce pas). Mais c’est un dessin animé qui m’a toujours fasciné dès la première fois que je l’ai vu. Ces personnages, cet univers sont si chers à mon coeur. Je ne m’en lasse pas et je ne m’en lasserais jamais. Vraiment jamais. Je pourrais passer mes journées entières à le regarder que ça ne me dérangerais pas c’est pour vous dire à quel point j’aime cet univers. J’aime beaucoup également, découvrir les films ou les réécritures de Peter Pan. C’est vraiment quelque chose qui me fascine et qui me plait énormément.



Lorsque j’ai vu cette sortie, je savais que ce roman était fait pour moi! Et quand j’ai vu le formulaire de Gulf Stream pour postuler pour une service presse je n’ai pas hésiter. Et par chance j’ai été sélectionné! Je remercie énormément les éditions Gulf Stream d’ailleurs pour l’envoi. Le jour où je l’ai eu dans ma boite aux lettres j’étais comme une enfant à Noël. Je trouve que le roman est absolument magnifique. La couverture est beaucoup trop jolie, même à l’intérieur à chaque début de chapitre, c’est tellement beau. Même si on ne juge pas un livre à sa couverture et bien ça joue tout de même énormément. Et ici la couverture est sublime et il faut souligner le travail éditorial de folie!



Vous l’aurez compris, L’enfant Pan est une réécriture de Peter Pan. Nous allons suivre le personnage de Peter. Il est placé à l’Oiseau Blanc, une école privée pour garçons, après être passé devant le juge.. Un jour il est injustement accusé d’avoir incendié l’infirmerie de l’école.. Il se décide à s’enfuir avec l’aide de deux petites fées direction le Pays-de-Nulle-Part. La bas tout est possible et c’est avec son nouvel ami qui va vivre toutes ses aventures. Voler grâce à la poussière de fée, nager avec les néréides, sillonner la montagne à dos de centaure et j’en passe. Mais Là bas, un ennemi rôde.. Le capitaine du Jolly Roger n’a qu’une envie: faire couler le sang du Pan..



Les romans qui se passe à Londres dans les années 1880, je suis complètement fan. Alors quand en plus de ça c’est avec l’univers de Peter Pan je ne pouvais qu’être comblée! Je ne vais pas vous cacher, je suis complètement fan de cette lecture. J’ai adoré du début à la fin et je l’ai lu d’une seule traite tant j’ai été embarqué dans cette histoire. C’était fascinant à lire, j’ai pris énormément de plaisir et je suis ravie d’avoir pu le lire et j’en garde un très très bon souvenir. J’ai pu découvrir la plume d’Arnaud Druelle, c’est son premier roman et je dois dire que j’ai énormément apprécier sa plume. Une plume fluide et addictive et surtout, une plume très belle à lire. C’était vraiment très agréable à lire et à découvrir. On est plongé dans le roman et franchement c’est dur de le lâcher. Comme je le dis un peu plus haut, personnellement je l’ai lâchée après avoir tourné la dernière page.. C’était vraiment une lecture géniale bien trop courte à mon goût.



L’histoire est non seulement intéressante mais elle est en plus complètement fascinante! Dès le début on est pris dedans. On essaye de repérer toutes les petits références à Peter Pan, enfin perso c’est ce qu’il m’est arrivé durant ma lecture. J’attendais chaque signe qui faisait que. J’étais beaucoup trop euphorique tout au long de ma lecture. Et je dois dire que cette réécriture m’a vraiment beaucoup plus. Elle est était très interessante à découvrir et surtout, cette réécriture je l’ai trouvé tout bonnement parfaite! Une lecture addictive mais surtout une lecture hyper touchante. J’ai vraiment été touché par les mots, les situations choisies. C’est une lecture qui restera un bon moment gravé en moi. Pour tout vous dire j’ai déjà envie de le relire alors que je l’ai lu début du mois! Si vous aimez les réécritures ou tout simplement vous êtes curieux, je ne peux que vous le conseiller. C’est le premier roman de l’auteur et franchement il nous offre un roman de grande qualité!



J’ai adoré les différents personnages du roman. Je les ai trouvé tellement profonds et touchants. Surtout celui de Peter, j’ai adoré ce petit bonhomme qui n’a clairement pas eu une vie facile. Son personnage est parfaitement bien travaillé. Tout comme les autres également. Ici ce n’est pas l’univers de Peter Pan tel qu’on le connait dans le Disney, où tout est beau, on s’amuse etc. Non, ici, il y a cette dimension dramatique qui rend toute l’histoire bien plus émouvante. On assiste aux origines du Peter Pan, l’histoire originale est bien gardé, on a ce petit garçon qui refuse de grandir, de devenir adultes puisqu’il ne veut pas devenir comme eux. Et quand on voit ce que ce Peter a subi, on ne peut que le comprendre.. J’ai adoré le personnage d’Egon également. Qui au final a une place essentielle dans l’histoire de Peter. J’ai eu tellement de peine concernant ce personnage mais je n’en dis pas plus, je ne veux pas vous spoiler.. C’est un personnage très touchant également.



Ce livre est pour moi parfait de A à Z. Sans aucune exagération de ma part, vraiment. Et pour une premier roman de la part de cet auteur, je dois franchement avouer que c’est un roman de pure qualité. Tout est parfait, la plume est fluide, addictive et super prenante, l’univers est parfaitement bien travaillé et construit, les personnages également, ils sont touchants. Cette réécriture qui nous parle des origines de Peter Pan est une vraie merveille que je vous conseille à tous. Foncez le découvrir, vous ne serez pas déçu!
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Ce roman jeunesse m'a donné envie de le découvrir grâce à sa couverture. Regardez tous ces personnages! Durant ma lecture, je me suis éclatée à revenir plusieurs fois sur la couverture pour repérer les personnages.



Et concernant l'histoire, c'était vraiment très chouette! C'est plus jeunesse que ce que j'ai l'habitude de lire mais l'intrigue et l'univers sont vraiment bien construits et imaginés. Le récit ne manque pas d'intrigues et de rebondissements. Les créatures fantastiques y tiennent une place importante pour mon grand plaisir. 



Forcément, j'ai adoré le lien entre Silas et le loup.



Le personnage de Silas est d'ailleurs très attachant de par sa différence, sa gentillesse et son envie de bien faire pour les autres et bien sûr, de trouver sa place.



Un premier tome plutôt sympathique au sein d'un univers de fantasy médiévale, de personnages attachants et apportant de belles valeurs (l'amitié, l'acception des différences, le respect...). Il captivera avec envie les jeunes lecteurs comme il m'a captivé moi. Et surtout, il pose la base d'un univers riche et palpitant donnant envie de découvrir le 2e tome.

Pays de Galles. Par une nuit tragique, Yana voit son père et sa mère mourir et son petit frère se faire enlever par une drôle de créature, un gubbin. Evidemment, personne ne la croit. Mais dès lors, elle n'aura de cesse de le retrouver... Un jour, des Tziganes viennent s'installer à côté du village et font se réveiller les vieilles peurs, les vieilles haines... Parmi eux, Azko, un jeune garçon courageux et sa grand-mère chamane. C'est alors que la brume envahit la région. Commence alors une aventure haletante, pleine de surprise et teintée de magie. J'ai adoré ! Vivement la suite et fin dans le 2ème tome !

Silas est un jeune garçon qui a été recueilli par sa marraine, Elfyne, qui est envoûteuse dans le royaume de Casteldaure. Mais en réalité il vient de la forêt de Sombreloup, la réalité de son identité a été cachée pour le protéger, car il est le fils de l’ancien dirigeant, Grand Loups Blanc, qui a été violemment destitué par Alcyon qui s’est désigné chef de meute à sa place.

Une très belle couverture et un bel objet livre, comme toujours avec l’éditeur Gulf Stream qui apporte un soin particulier à la fabrication de ses romans.

Malheureusement, et à rebours de tous les autres avis, j’ai eu du mal à être séduite par la façon de raconter de l’auteur. Je ne l’ai pas toujours trouvé très crédible, même pour un roman jeunesse, j’ai eu du mal à croire à l’histoire et à m’attacher aux personnages. Ceci dit j’ai quand même trouvé des qualités au récit, dont l’ambiance est travaillée et qui n’est pas dénué d’humour, ainsi qu’à l’intrigue, riche en péripéties. Par contre, comme souvent dans ce genre de roman, il y a pas mal de vocabulaire, ce qui peut rendre la lecture un peu complexe pour les plus jeunes, je le conseillerais donc plutôt à partir de 9 ans.

Le jeune Peter est placé dans une école pour garçon. L'Oiseau Blanc permet aux jeunes garçons perdus de se préparer à devenir des hommes. Mais Peter ne se sent pas à sa place dans cet établissement, il ne veut pas grandir et trouvera bien un moyen de s'en aller ! Il ne pensait pas que l'occasion se présenterait de si tôt mais deux petites fées sont bien décidées à l'emmener loin d'ici, au Pays-de-Nulle-Part... Qu'est ce que Peter va y découvrir ?



Une bien jolie lecture, ce roman nous présente les origines de Peter Pan ! J'ai beaucoup aimé la plume douce et précise de l'auteur ! Cette revisite sous forme de préquel est enchanteresse et très touchante. On y découvre les beautés mais aussi les dangers d'un pays merveilleux à travers de nouveaux personnages, pour notre plus grand bonheur.



J'ai aussi apprécié l'époque dans laquelle l'histoire s'inscrit, on est à la fin des années 1800 et l'auteur nous présente toutes les difficultés que cela comporte. Il reste très inscrit dans les représentations de l'époque et nous fait faire un bon vertigineux lorsqu'on vole jusqu'au Pays-de-Nulle-Part !



Je n'avais jamais lu de revisites de Peter Pan et ça a été une magnifique découverte !

Un second et dernier tome aussi prenant que le premier. Un jeunesse divertissant, original et addictif.

On découvre en profondeur un monde menacé dès plus complexe. L'ambiance y est nomade, dangereuse et parfois festive. Aventure, action, quête, magie noir, secret, trahison. La plume est efficace, fluide et belle. La fin est bouleversante et triste car je ne m'y attendais vraiment pas...

On découvre de nouveaux personnages intrigants et attachants. J'ai aimé retrouver nos jeunes héros aux vécus difficiles 🙂

Après avoir adoré L’enfant Pan, il fallait absolument que je lise le crépuscule des urmes qui est le prequel du premier roman de l’auteur. Alors déjà que je trouvais ça dingue que l’auteur arrive à imaginer comment Peter est devenu l’enfant Pan, je trouve ça juste incroyable qu’il arrive à remonter encore plus loin, avec la naissance d’Egon, l’enfant Pan avant Peter 🤯



On se retrouve plongé au Pays de Galle en 1856 dans une nuit glaciale où les parents de Jane se font tuer et que son petit frère encore nourrisson est enlevé…



Des années plus tard, dans le même village, un groupe de Tziganes vient s’implanter quelques jours dans la forêt à côté, suscitant la crainte des villageois



C’est bien à partir de ce moment là que tout commence, la crainte engendre la haine, les villageois veulent se révolter, l’oncle de Jane pense que ce sont eux qui ont massacré sa famille, mais en attendant Jane et Louise sont sauvées par Azko, jeune tsigane, contre Marcus le fils du Maire.



Jane apprend de Ma’Peshan, la plus vieille personne du groupe tsigane, voyante et diseuse de bonne aventure, qu’elle peut retrouver son frère ! Mais une brume épaisse avec des ombres monstrueuses sème la panique dans le village et tue pratiquement tout le monde.



Jane, Azko, Louise et Marcus sont pratiquement les seuls rescapés de cet horreur et ils entament alors un long voyage pour trouver de l’aide et surtout retrouver le frère de Jane



Ça faisait un petit moment que j’avais lu l’Enfant Pan et j’avoue qu’au début je n’avais pas tilté sur certains points puis après ce fut le déclic et j’ai vite compris comment tout cela allait se terminer.

Cependant, bien des choses entravent le chemin de ces enfants et je n’ai pas arrêté de me demander comment ils allaient faire pour s’en sortir !!



L’auteur a le don de nous faire stresser avec des retournements de situations phénoménales, des révélations délirantes et beaucoup beaucoup d’actions et de découvertes !



Pour moi se premier tome du prequel est une pépite surtout la fin 🫣 j’étais choquée ! 😭

Toujours aussi subjuguée par la plume et le récit d'Arnaud Druelle qui livre là une fin épatante pour son dyptique captivant. Avec moults rebondissements, révélations et autres scènes de combat, l'émotion n'est pourtant pas oubliée avec une part belle aux sentiments et des passages qui ne vous laisseront pas indifférents...

L’histoire de Peter, avant qu’il ne devienne Peter Pan.

C’est un livre qui me faisait envie, avec un concept plutôt intriguant, même si j’ai l’impression que le personnage est très à la mode cette année.



Le récit est découpé en deux parties dont l’une se passe dans un orphelinat où Peter est accueilli.

J’ai trouvé que c’était particulièrement long et pas du tout intéressant, les adultes ont une manière plutôt étrange de se comporter, les plus jeunes ont des réactions très extrêmes et j’en ai eu vite marre parce que l’intrigue se trainait énormément, sans beaucoup d’intérêt puisqu’on comprend vite qu’on ne va pas apprendre grand chose sur sa jeunesse mais que tout va se jouer plus tard.



L’histoire s’améliore un petit peu quand Peter arrive dans le Pays imaginaire. Il y a des lieux à découvrir, un univers nouveau à explorer, des nouveaux personnages et des concepts à intégrer. Mais c’est très relatif vu que dans l’ensemble je n’ai tout simplement pas aimé.

Ce n’est pas mal écrit mais ça ne m’a pas intéressée, et je me suis un peu forcée à finir vu que de toutes manières le livre n’était pas très long.



A noter qu’en plus j’ai du mal à voir à quelle tranche d’âge le récit peut s’adresser parce qu’il est à la fois très simpliste, avec des personnages assez stéréotypés, mais aborde quand même la pédophilie de manière pas du tout détournée et ajoute des sous-entendus à propos de Jack l’Eventreur qui ne seront pas du tout compris par tous.
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Après un prologue assez dur où nous découvrons le kidnapping d'un bébé, l'auteur nous propose dans un premier temps de suivre à travers une alternance de points de vue, Yana devenue Jane, la sœur du disparu ; Ainsi qu'Azko, un jeune Tzigane, jusqu'à leur rencontre inévitable. Cela permet de s'immerger progressivement dans l'univers proposé, de prendre ses marques. Ensuite, d'autres s'ajoutent à mesure apportant ainsi une certaine plus value et surtout une vision plus vaste de l'intrigue !



Les personnages sont intéressants, malgré leur jeune âge. En effet, par exemple, la détermination de Jane m'a épaté tandis que j'ai apprécié le caractère d'Azko. Au delà de leur personnalité, ils permettent de mettre en avant 2 communautés longtemps méprisée.

Néanmoins, je ne sais pas pour quelle raison, j'ai gardé une certaine distance. Je n'ai pas réussi à m'attacher à eux alors qu'ils ont vécu des choses difficiles. En effet, habituellement, cela aurait suffit pour que j'ai de l'empathie (que voulez-vous, j'ai une âme sensible lol). Parfois, c'est vrai que j'ai peut être eu l'impression qu'on tombait dans les extrêmes, notamment en ce qui concerne la naïveté de certains personnages... C'est peut-être pour cette raison...



Par ailleurs, vers le milieu du roman, j'ai ressenti quelques longueurs. Pourtant, il y a des rebondissements mais j'attendais davantage notamment pour la partie fantastique. Ce n'est qu'un tome 1 mais j'ai besoin d'éléments de réponses ou ne serait-ce que de pistes. Ici, on en a quelques unes qui sont disséminés ici et là mais avec lesquelles on a du mal à faire le lien pour élaborer une théorie...



Pour conclure, c'est assez rare mais je ressors de cette lecture mitigée ! Je ne saurais dire si j'ai aimé ou non car il y a d'excellentes choses tandis que d'autres m'ont dérangé. A voir avec le tome 2 si mes sentiments évoluent au sujet de cette saga !
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J'ai beaucoup aimé ce premier tome avec un univers très sympa, une intrigue qui donne envie de continuer la duologie malgré quelques détails qui m'ont un peu moins plu.



Commençons par les points positifs. J'ai adoré l'univers qui est bien développé, l'histoire des Urmes et des ombres est très intéressantes et la suite promet une bonne aventure dans les autres mondes. J'ai aimé les détails et les explications des Tsiganes qui sont très peu représenté dans les livres. Leurs croyances, leurs façons de vivre et de penser sont bien détaillées dans le roman. Toute l'histoire et l'épopée des personnages est entraînante et addictive. J'ai hâte d'en apprendre plus sur les différents mondes et retrouver certains personnages notamment Azko que j'ai le plus apprécié. J'ai aimé l'intrigue sur Egon et Magnnus qui est la plus intéressante, j'ai envie d'en apprendre plus sur les êtres surnaturels de l'histoire et moins sur les 4 personnages principaux, quoique Marcus pourrait être intéressant vu la fin du roman.



Concernant les points négatifs, j'ai trouvé que les personnages n'étaient pas attachants, et même agaçants pour certains. J'ai trouvé Louise inutile, pas intelligente et très manipulable. La relation avec Rhyan est incompréhensible et inutile dans l'histoire. J'ai aimé toutefois les enfants qui sont protégés par le prince, cela fait forcément penser à Peter Pan. Autre point qui m'a perturbé, c'est la violence de certains passages. C'est un roman jeunesse qui peut être pour les ados de 12 ans, mais certains passages peuvent être perturbants surtout avec le policier. J'ai eu la même sensation que lorsque j'ai lu la scène difficile du tome 2 de la trilogie de la poussière. Certaines scènes sont inutiles pour l'avancer dans l'histoire et surtout pourquoi ne pas garder cet univers enfantin, mignon avec une belle aventure fantastique pour mettre des passages d'agressions aux personnages. C'est dommage.



Bref, j'ai aimé ce roman malgré ces quelques points. Le livre se lit rapidement et on a envie d'en savoir plus. En plus, la couverture est juste sublime à ajouté absolument à la bibliothèque !

« 𝙽𝚘𝚝𝚛𝚎 𝚎𝚛𝚛𝚊𝚗𝚌𝚎 𝚎́𝚝𝚎𝚛𝚗𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚊 𝚌𝚎𝚌𝚒 𝚍𝚎 𝚙𝚛𝚘𝚍𝚒𝚐𝚒𝚎𝚞𝚡 𝚚𝚞’𝚎𝚕𝚕𝚎 𝚗𝚘𝚞𝚜 𝚒𝚗𝚟𝚒𝚝𝚎 𝚊̀ 𝚟𝚒𝚟𝚛𝚎 𝚎𝚗 𝚙𝚑𝚊𝚜𝚎 𝚊𝚟𝚎𝚌 𝚕𝚊 𝚗𝚊𝚝𝚞𝚛𝚎. »



J’ai vraiment adoré cette lecture qui prône la tolérance et l’amitié au-delà des différences ❤️ C’était une lecture à la fois émouvante de par ses messages forts contre les préjugés, notamment envers le peuple Tzigane, mais aussi haletante grâce à une intrigue incroyable ✨



Tout d’abord, parlons des personnages. J’ai beaucoup aimé Jane, une jeune fille forte et au caractère bien trempé ! J’ai adoré son tempérament impétueux et son courage à toute épreuve dans sa quête pour retrouver son frère disparu. J’ai aussi été très touchée par Azko, qui a le cœur sur la main, malgré les moqueries et insultes incessantes auxquelles lui et son peuple sont soumis. Il est vraiment porteur d’un message d’espoir et j’ai adoré voir sa relation avec la nature et avec sa famille et notamment sa grand-mère qui était si mystérieuse et intrigante ✨



Je le disais, l’intrigue est vraiment très prenante. Il y a beaucoup de mystère et l’ambiance est vraiment incroyable. On découvre en parallèle l’horreur de l’envahissement du village de Jane par les terrifiantes Ombrumeuses, l’histoire passionnante d’Egon et de sa destinée en lien avec l’Enfant-Pan (roman précédent de l’auteur que j’adorerais découvrir) et le terrible combat des Urmes de l’Ombre et de la Lumière. Bref, on retrouve tout ce que j’aime dans un bon roman de fantasy : magie, quête, mythes et légendes… Et une fin juste dingue et inattendue, qui augure d’un tome 2 à la hauteur de ce premier tome ❤️



Je tenais enfin à souligner le magnifique travail éditorial car ce livre est juste splendide !
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Un premier tome d'un YA haletant et sacrément original ! On va suivre Jane, qui a mystérieusement perdu son petit frère le soir de la mort de ses parents, qui va rencontrer un jeune homme Tzigane, Azko. Contrairement à tous les autres habitants, les tziganes ne lui font pas peur mais l'intéresse ! La grand-mère d'Azko va avoir une vision qui va changer leurs destins et les lancer dans une aventure qui les changera à jamais...



Le rythme est juste parfait : les pages se tournent toutes seules et malgré le fait que le livre soit court, l'action est définitivement présente. J'ai trouvé qu'on est à mi-chemin entre le jeunesse (vis-à-vis des tournures de phrases et champ lexical) et le jeune adulte car on passe par des moments très sombres, que j'ai adoré.



Les urmes, mystérieuses.. et toutes les autres créatures que l'on rencontre au cours de la lecture sont superbement décrites, et encore une fois très "mystérieuses" car on en découvre un peu petit à petit.



"L'auteur de L'Enfant-Pan explore cette fois la mythologie tzigane, tout en restant fidèle aux thèmes qui lui sont chers : magie, quête, destinée, nature et puissances obscures." ▶ c'est parfaitement résumé, j'ai trouvé le thème des tziganes, et la raison pour laquelle ils voyagent (en tout cas pour la famille d'Azko) très bien trouvés.



bref je recommande à fond, j'ai super hâte de lire la suite.

Lorsque Jane rencontre Azko, elle y voit l'opportunité de découvrir ce qu'il est arrivé à son frère, disparu dix ans plus tôt, et autant vous dire qu'elle saute sur l'occasion ! C'est donc ainsi qu'on rejoint Jane et ses amis au cœur du Pays de Galles du XIXe siècle dans une quête de vérité qui s'avère être bien plus profonde qu'ils ne l'auraient pensé...

Bien que les points de vue alternent continuellement, Jane reste le personnage qui se démarque le plus. Elle dénote dans cette campagne du XIXe pour bien des raisons : elle est anticonformiste, indépendante, un brin sauvage et n'a qu'un but : retrouver son frère. Parmi ses compagnons, c'est Marcus qui m'a le plus intrigué, notamment dû au fait que l'auteur profite de ce personnage pour aborder des sujets sensibles et nécessaire pour le jeune public.

Au fil de leur quête, nos héros se retrouvent dans une ambiance mystique, dans un monde peuplé d'esprits et de créatures merveilleuses, tout en rencontrant des personnages hauts en couleurs. L'écriture est fluide et légère, on avance vite et il est impossible de nier que l'épilogue rempli sa mission : on veut savoir comment ça se termine !

C'était mon premier livre de l'auteur, et sans vouloir trop m'avancer, je pense que celui-ci peut s'inscrire dans le même univers que son roman précédent ("L'enfant Pan"). C'est difficile de ne pas en dire trop : l'ambiance est très particulière, mêlant légendes et ésotérisme dans une quête pleine d'émotions et de vie, que je ne peux que vous conseillez.

Plus qu’une réécriture de Peter Pan, L’enfant Pan est un préquel qui ramène aux origines de Peter et à son arrivée au Pays-de-Nulle-Part. Le récit se divise en deux parties distinctes : la première introduit Peter, sa vie à Londres, ses difficultés et son aversion pour les adultes, la perte totale de confiance qu’il pourrait avoir en eux ; la seconde nous emmène au Pays-de-Nulle-Part, à la redécouverte d’un univers pas si éloigné de celui que le lecteur du roman de James Matthew Barry mais régit par d’autres règles. Si cette seconde moitié du livre m’a enchantée, ce fut moins le cas de la première que j’ai trouvé assez longue. J’ai peiné à lire la misère et la douleur d’un monde trop souvent injuste et cruel avec les plus faibles, un monde dans lequel trop d’enfants manquent d’amour et de nourriture.



Pourtant l’écriture d’Arnaud Druelle est habile et très visuelle ; agréables à lire, ses mots nous transportent dans l’univers qu’il dépeint avec force. Je pense qu’à ce moment de la lecture j’attendais un récit plus optimiste, plus à l’image des jeux de Peter Pan et des enfants perdus. Mais l’histoire prend un tournant différent une fois le héros arrivé au Pays-de-Nulle-Part et le texte bascule dans un univers fantastique qui s’approprie les codes du roman de Barry tout en les réinventant. C’est à partir de là que l’histoire m’a captivée et que je n’ai plus réussi à lâcher le livre jusqu’à l’avoir fini. Arnaud Druelle reprend tout ce qui fait le monde de Peter Pan : ses pirates, ses lagunes et sirènes, ses fées et leur poussière d’étoile… mais crée en même temps un nouveau monde dont l’équilibre fragile repose avant tout sur le temps, la façon dont il s’écoule et se renouvelle dans une boucle temporelle qui repose sur une balance affecté par le changement.



Au final, L’enfant Pan n’était pas le roman que j’attendais mais il n’en reste pas moins une très belle surprise que je recommande aux fans de cet enfant qui ne voulait pas grandir.
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On connaît tous le conte de Peter Pan : ce qui est intéressant est l'origine de Peter Pan qui découvre le monde imaginaire et ses origines. Les éléments du conte sont respectés (le merveilleux, les pirates...). Le plus dans cette histoire est le personnage de Peter : c'est avant tout un petit garçon qui affronte les dures réalités de la société avec les problèmes de violence liés aux enfants abandonnés. On comprend son refus de grandir et son envie de vivre dans un monde imaginaire : fuir la fatalité. Pourtant dans cette autre réalité, il doit faire face aussi à la trahison et à la mort, mais cette dernière est abordée différemment : elle est un renouveau. Le thème des pirates est vu comme une malédiction avec cette sœur devenue à son insu, capitaine des pirates. Une réécriture qui montre un autre Peter devenant Peter Pan.

J.M. Barrie donne naissance à Peter Pan en 1902 dans le livre The Little White Bird. On ne compte plus les réadaptations ou inspirations de ce conte ; celle d’Arnaud Druelle avec l’Enfant PAN, est un véritable coup de cœur qui retrace la vie du héro avant même d’en devenir un.



Le récit débute par une immersion à Londres, à la fin du XIXe siècle ou Peter Hakwson, orphelin, est placé à L’oiseau blanc (ça ne vous rappelle rien ? c’est le livre original de Peter Pan…). L’environnement londonien est palpitant entre société victorienne, pauvreté, abandon sentimental et divinement travaillé. La transition avec le Pays-de-Nulle-Part est douce ; un pays ensorceleur et accueillant. Le dépaysement est prometteur et enchanteur.



Arnaud Druelle a une plume inqualifiable, tantôt poétique, tantôt philosophique, toujours magique et inspirante. Il suit, de loin, les codes du conte ce qui lui vaut un style propre et épuré amplifié. Le récit est plutôt soutenu avec des chapitres très courts qui intensifient le rythme du voyage entre les pages. J’ai ressenti beaucoup d’amour pour les personnages crées de la part de l’auteur, des protagonistes dont la psychologie est recherchée. L’évolution des personnages, bien que certains ne souhaitent pas grandir, est subtile et émouvante.



Pour conclure, je dirais que cette lecture mène à réfléchir sur des thématiques sérieuses au gré de valeurs humanistes : nous ne naissons pas tous avec les mêmes chances dans la vie mais sommes maitres de nos destins respectifs ; la mort n’est pas forcement une fin, elle peut être synonyme de renouveau…



Valeur ajoutée : les nombreux clins d’œil à la version originale de Peter Pan très percutants.


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Je ne peux que vous communiquer mon amour pour ce roman. Peter Pan est un de mes contes préférés alors quand j'ai vu que ce roman avait été écrit, je ne pouvais que le lire. C'est difficile vous savez, quand vous vous lancez dans une lecture avec tellement d'attentes. Je ne voulais pas être déçue, je ne voulais pas briser le mythe que je me suis contruit autour du conte.



Pourtant dès les premières pages j'ai été plongée dans l'univers, dans les mots de l'auteur. J'aime beaucoup découvrir un avant ou un après, parce que ça donne une dimension plus concrète, un plaisir en plus et ce roman a tout pour plaire. Il est dans une dynamique tellement logique, un récit tellement profond et tellement agréable à lire. Chaque mot est un voyage vers Neverland, vers le pays de nulle part. J'aime beaucoup l'ambiance créée autour de Peter, le personnage est tellement attachant, tellement bien construit. On en apprend plus que les Pan, sur ce qui a mené notre Peter dans l'univers qu'on lui connaît. Il n'y a aucune fausse note, aucun battement d' aile de travers.



Cette histoire portait sur sa couverture toutes mes attentes et la quatrième page, une fois retournée pour de bon, m'a déboussolée et a dépassée toutes les attentes du début.

Après les jeux qui ont opposé les Crocs de Loup et Casteldaure, les tensions entre les deux peuples sont intenses.

La disparition d'Aëlyse, fille du Roi de Casteldaure, ne fera que mettre plus à mal leur entente.

Mais c'est sans compter Malragon le Rouge, endormi depuis plus de 700 ans et qui compte bien prendre enfin sa revanche sur le monde d'Ellondor...



J'avais beaucoup aimé le tome 1, qui s'était avéré addictif et plein de rebondissements.

Le tome 2 est dans la même veine !

On suit à tour de rôle les différents clans, passant de Casteldaure aux Peaux de poils (nouveau peuple déverrouillé lol, dont on apprend pas mal de choses), de Silas et ses amis aux Crocs de Loup... Ce qui permet de ne jamais s'ennuyer et d'avoir le point de vue de chacun, les nouveaux enjeux et ce qu'ils sont prêts à faire pour le bien du Monde d'Ellondor.

L'enlèvement d'Aëlyse met forcément à mal son père, Roi, et pourtant l'échange proposé va demander un grand sacrifice.

Mais bien entendu, Silas, Pépin et Mya ne vont pas rester les bras croisés. Il n'y a pas à dire, ce trio n'a pas froid aux yeux, on hésite entre de l'inconscience et une grande bravour de leur part. Pourtant ils n'hésitent pas à se mettre en danger pour leur peuple, parfois même plus que les adultes qui n'ont pas la même stratégie.

Ce qui m'a plu également dans ce tome 2 est la rencontre avec les Peaux de Poils, de nouveaux personnages s'ajoutent aux anciens, et je suis pourtant totalement à l'aise dans la lecture, alors que je me répète souvent mais sorti de 5-6 persos je me perds facilement mdr. L'auteur ne manque pas de détails pour qu'ils soient raccroché au wagon Ellondor avec fluidité, Monde qui nous réserve encore pas mal de surprises, j'en suis sûre.

L'apparition de Malragon le Rouge apporte forcément une nouvelle dimension au danger. En plus des désaccords entre les clans, lui, est là pour tout éradiquer. La noyremagie est donc très présente et là aussi on en apprend beaucoup sur tout ce dont est capable une personne qui la maîtrise. Spoiler alert : un sacré bazar. Entre autres : prendre le contrôle des esprits, même des plus forts, ressusciter des êtres abominables etc. Un vrai cocktail de plaisir !

La plume d'Arnaud Druelle permet une immersion totale, je n'ai pas vu le temps passé pendant la suite de cette aventure aux côtés de Silas et les siens qui m'a une nouvelle fois convaincue.

Bref, ça devient même une de mes sagas préférées dans le genre fantasy/YA. Ce qui est plutôt inédit parce que c'est loin de mes habitudes de lecture. Et c'est sûrement ce qui me plaît le plus : sortir de ma zone de confort et prendre autant de plaisir à lire.

Vivement la suite !

(Et une fois encore mention spéciale pour cette couverture de toute beauteyyyy)
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