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Critiques de Aurélie Chaney (16)
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Club N°54 : BD non sélectionnée

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Le récit d'un combat pour prendre sa place dans un monde d'homme, les avocats, profession réservée à l'époque... de la difficulté d'acquérir un droit...



Vincent

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Le parcours d'une jeune femme déterminée et féministe qui va devenir professeure et avocate et qui sera la première à plaider en France.



Intéressant rappel du chemin parcouru concernant le droit des femmes.



Morgane R.

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Le sujet est intéressant mais le traitement est trop laborieux rendant la BD longue à lire....



Nicolas

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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Une BD intéressante et édifiante qui retrace le destin de Jeanne Chauvin qui, si elle n'a pas été la première femme à prêter le serment d'avocate en France, a été la première à plaider.

Ce roman graphique revient sur le parcours de cette de femme de tête qui a bravé les préjugés de son temps pour atteindre ses buts.

La majorité de l'ouvrage est consacrée à son parcours du combattant avant sa prestation de serment et donne, ensuite, un aperçu succincts de quelques unes de ses affaires.

C'est sympathique et intéressant mais c'est toujours un peu effrayant de voir d'où on vient...

Toutefois, je regrette que cette BD soit si manichéenne et manque de nuances. Je trouve également qu'un petit dossier à la fin de l'ouvrage, consacré au reste de la vie de Jeanne Chauvin aurait été un atout.

Le dessin est mignon, tout en courbes, avec une jolie mise en couleurs.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Merci aux éditions Marabout et à Babelio pour ce roman graphique reconstituant le parcours de Jeanne Chauvin, première femme à plaider en France.



L'objet livre est superbe, des couleurs pastelles pour raconter l'émancipation des femmes et leur accès outre à l'instruction à des métiers jusque là réservés aux hommes notamment un domaine qui a eu bien du mal à s'ouvrir : le Droit !



Pour ma première chronique de l'année, je suis ravie qu'elle porte à la fois sur une opération Masse critique mais aussi sur un domaine qui m'est familier, le Droit.



C'est donc grâce à Mme Chauvin que j'ai pu mener des études de Droit mais surtout eu la possibilité réelle d'exercer dans un tribunal si j'en avais exprimé le désir.



Certes la France est arrivée bien après de nombreux pays dont les états Unis, ou les pays nordiques mais près de 30 ans après les premiers, enfin les droits des femmes avançaient et celui de prêter serment puis de plaider étaient acquis.

Alors, le livre met en exergue qu'il s'agit d'un privilège pour les nantis, la bourgeoisie (15000 francs en 1900 ce n'était pas à la portée de tout le monde).

En outre, les mentalités évoluaient et Jeanne Chauvin évoluait dans un milieu acquis à sa cause. Son frère, Émile, premier soutien : avocat et élu de seine et marne. Une mère qui ne faisait pas de différence entre ses enfants.



La magistrature française était un peu rancunière et à une semaine près, elle a privé Jeanne Chauvin d'être la première femme à prêter serment; qu'à cela ne tienne, elle serait la première à plaider.



Petit bémol sans doute réel dans l'histoire de Jeanne Chauvin vue de la fenêtre d'une femme née à la fin des années 70 : ce graphique met en évidence l'absence de vie amoureuse, maritale ou de mère de famille et évoque un regret pour Jeanne. On a le sentiment que pour gagner son droit au prétoire, elle a du renoncer à celui d'avoir une vie de famille. C'était sans doute vrai à l'époque.



Mais quelle femme ! Après les salles du palais de justice, elle avait pour ambition d'exposer ses aquarelles en dehors du Palais dans les musées.



Au travers de Jeanne Chauvin, on découvre aussi les associations qui oeuvraient pour nos droits futurs. Le journal entièrement féminin dans l'équipe rédactionnelle mais pourtant bel et bien adressé à tous.



Une lecture qui nous rappelle que des femmes ont lutté, parfois entourées d'hommes qui comprenaient l'évolution et l'équité. Elle nous rappelle aussi que rien n'est acquit (les Femmes plaidaient à Rome des siècles avant le code Napoléon qui a bien contribué à la perte de droits pour les femmes en en faisant un objet).



Un graphique que je recommande.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Fin du XIX° siècle, Jeanne Chauvin, après de brillantes études, demande à occuper la fonction d’avocat, ce qui lui sera refusé parce qu’elle est une femme. Quelques années plus tard, grâce à la loi tout juste votée, elle devient la deuxième femme à prêter serment et la première à plaider. C’est son combat qui est raconté dans ce roman graphique.

Rappeler que les femmes ont dû lutter longtemps pour tenter d’avoir les mêmes droits que les hommes est plus que nécessaire. Les deux auteurs le font avec sérieux, méthode et pas mal de légèreté et d’humour, notamment lié à la vivacité, au dynamisme et à l’optimisme de leur héroïne. Il est assez drôle de lire les arguments des hommes, toujours les mêmes sur la prétendue fragilité des femmes, sur leurs rôles d’épouse, de mère et de ménagère qui doivent primer sur leur épanouissement professionnel et personnel.

J’avoue que je ne connaissais pas l’histoire de Jeanne Chauvin et ce roman graphique est là pour pallier à mon ignorance, à celle de beaucoup et pour rappeler à ceux qui la connaissaient combien elle a dû faire face à l’hypocrisie, la mauvaise foi des hommes.

Très facile d’accès, coloré, au dessin clair et expressif, c’est un ouvrage à lire et faire lire.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

"Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang" m'a plongée dans l'histoire méconnue mais ô combien passionnante de la première avocate à plaider en France, Jeanne Chauvin. Jeune femme brillante et déterminée, elle prête serment en 1900, bravant tous les codes de l'époque pour accéder à un métier traditionnellement réservé aux hommes.



Dès ses premiers pas dans le monde de la justice, Jeanne Chauvin se heurte à de nombreuses difficultés et préjugés. Mais son courage et sa ténacité lui permettent de s'imposer et de se faire une place dans ce milieu dominé par les hommes. Ses combats incessants pour l'égalité des sexes et son engagement en faveur de l'émancipation féminine en font une figure emblématique de son époque.



Au fil des pages, j'ai découvert le parcours hors du commun de cette femme d'exception, sa persévérance face aux obstacles et sa soif de justice. Les illustrations soignées et détaillées m'ont plongée au cœur de l'action, me transportant dans le Paris du début du XXe siècle et me faisant vivre les moments forts de sa vie.



"Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang" est un roman graphique captivant qui met en lumière une figure historique méconnue mais ô combien inspirante. A travers le destin de cette pionnière du féminisme, on se rappelle que la lutte pour l'égalité des sexes est un combat de tous les jours, un combat qui trouve ses racines dans le courage et la détermination de femmes comme Jeanne Chauvin.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Jeanne Chauvin, première femme avocate à plaider en France.

Jeanne passe avec brio son baccalauréat et continue ses études de droit. Volontaire, courageuse, intelligente, rien ne semble l'arrêter, sauf qu'en 1900 les femmes doivent rester à la maison et s'occuper d'un mari et d'enfants.

Elle décide de se battre pour revendiquer sa place dans un monde d'homme.

Une très belle BD qui nous fait découvrir les combats menés par des femmes dans le monde patriarcal.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Jeanne Chauvin est une jeune femme brillante et déterminée. Elle prête serment en 1900, époque où le rôle des femmes est de tenir sa maison et d'élever les enfants. Elle fût le première femme à plaider en 1901. Son combat et son engagement en faveur de l'émancipation des femmes n'ont jamais failli.

Aurélie Chaney, au scénario, avocate durant 7 ans au barreau de Paris et Djoina Amrani co-scénariste et dessinatrice, nous livrent ici le portrait d'une femme remarquable « effacée » de l'Histoire, comme tant d'autres.

En 1886, il fallait avoir du caractère et de la détermination pour obtenir son baccalauréat en tant que femme, aucun collège de jeunes filles ne préparait à cet examen. C'est donc seule avec sa mère que Jeanne Chauvin le prépara.

En 1890, après avoir obtenu deux licences, en droit et en lettres, seule femme à nouveau parmi des hommes, elle prépare une thèse sur « Les professions accessibles aux femmes ». C'est en 1892 qu'elle soutient sa thèse et devient la première femme doctoresse en droit. En 1897, désirant prêter serment pour être avocate, elle est déboutée car cette profession n'est accessible qu'aux hommes. Elle va alors entrer en campagne au travers de la presse pour faire changer la loi, aidée par son frère Emile, député, qui, en 1889 dépose une proposition de loi autorisant les femmes à plaider. La loi sera votée à l'Assemblée Nationale puis en 1890 au Sénat. Par une mesquinerie de l'Ordre de Avocats, Sophie Balachowsky-Petit, jeune russe mariée à un avocat parisien prêtera serment avant elle, mais Jeanne sera la première femme à plaider.

Le récit est clair et concis. Le dessin tout en finesse à l'aquarelle aux couleurs très douces avec cet effet de touches de peinture apporte une atmosphère passée qui donne l'impression de regarder de vieilles cartes postales. Les costumes et les décors sont extrêmement bien travaillés et reflètent parfaitement l'époque.

Ce roman graphique, très instructif sur Jeanne Chauvin pionnière du barreau de Paris, met en lumière la contradiction des textes de lois de l'époque qui permettaient aux femmes d'étudier le droit mais ne pouvaient pas exercer le métier d'avocate.

Voici une biographie très agréable à lire qui nous en apprend beaucoup sur une grande dame, parmi tant d'autres oubliées de l'Histoire, qui a lutté pour l'émancipation des femmes.

« Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024. Je remercie Lecteurs.com ainsi que les Editions MARAbulles pour cet envoi. »

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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

J'ai acheté ce livre dans le but de me renseigner le plus possible sur le monde du droit, et ce livre ne m'a pas déçue

Les illustrations son très jolies et l'histoire est bien écrite.

Je pense que même si on n'est pas forcément passionné par le droit, on peut totalement apprécier ce livre.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Bande dessinée instructive et intéressante.

J'avoue que je ne la connaissais pas, et travaillant dans le monde de la justice, j'ai été contente d'apprendre son histoire et son combat.

A travers cette BD, on voit bien l'évolution historique de la féminisation de la profession d'avocat, qui était pourtant voué à l'échec au début.

Chaque évolution même infime est une victoire et d'ailleurs on le comprend dans ce roman graphique, c'est aussi un premier combat avant un plus gros encore, celui de l'ouverture du droit de vote aux femmes. Tout se fait par étape, ce qui est à la fois navrant mais aussi honorant pour toutes ces féministes qui ont été heureusement si déterminées.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Le style est très joli et coloré, l’histoire permet de faire revivre Jeanne Chauvin qui a été un peu oubliée dans l’histoire, ainsi que ses combats et de ceux de tant d’autres femmes.



Cette BD est pourtant très convenue, très chronologique, peu explicative – et si on peut apprécier les extraits d’interviews insérés dans la narration, je n’ai pas trouvé tous les choix utiles ; soit ils n’apportaient pas grand-chose, soit n’étaient pas suffisamment exploités, dans tous les cas ils faisaient un peu tache au milieu.



Quant au dessin, s’il est mignon, joli, un beau choix de couleurs. Mais il est parfois difficile de différencier les personnages entre eux, il m’est arrivé plusieurs fois de confondre Chauvin avec d’autres femmes dans les cases, et seul Alfred avec ses cheveux blonds détonnait par rapport aux autres.



C’est un bon début d’approche anecdotique, ou sous la forme d’une grosse vignette de la vie d’une féministe française.



Merci à Babelio et à Marabulles pour leur confiance.

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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Jeanne Chauvin, encore une icône de la lutte des femmes pour l’égalité avec les hommes. Un combat de longue haleine pour pouvoir exercer le métier qui lui a été enseigné. Car oui, en 1887, les femmes avaient enfin le droit d’aller étudier le droit à la Sorbonne, mais non : elles ne pouvaient pas encore le pratiquer. Imaginez donc le sacrilège de pouvoir prétendre au rôle de magistrat pour une femme ?! Rien que de s’inscrire fut une aventure en soi, avec les regards réprobateurs de ces messieurs préférant voir ces dames aux fourneaux avec les enfants à gérer que sur les bancs universitaires…

Aurélie Chaney dépeint avec brio la vie de cette femme déterminée en parallèle avec son frère qui entra à l’université pour apprendre le droit en même temps qu’elle. Lui, on lui imagine déjà une carrière politique, Jeanne, elle, doit se montrer moins studieuse en classe pour ne pas troubler les élèves masculins… Une des scènes surprenantes de cet album mis en relief par Djoina Amrani.

Un graphisme aux courbes légères, fluides, qui sied aux biographies d’époque. Le siècle des lumières, l’ouverture d’esprit envers les femmes – mais attention : pas pour tout ! Les teintes pastelles jouent également un rôle pour s’imprégner de cette période d’avant-guerre où les femmes combattaient déjà pour s’émanciper…

Le duo d’artistes ne manque d’ailleurs pas de mettre en avant les différentes relations professionnelles de Jeanne Chauvin, avec le groupe militant de l’Avant-Courrière, dont la présidente était Jeanne Schmahl, le journal exclusivement féminin La Fronde, dirigé par Marguerite Durand, … mais aussi l’homme de loi Belge Louis Frank qui la soutiendra contre vent et marées dans ses démarches juridiques pour enfin pouvoir prêter serment puis exercer le métier d’avocat.

Un ouvrage utile pour comprendre le combat de longue haleine (qui n’est d’ailleurs pas terminé…) pour avoir les mêmes droits et privilèges que les hommes. Abordable à toutes et à tous, qui vous surprendra si vous ignorez le chemin parcouru pour que les femmes puissent, étudier, travailler et garder leur salaire (!!) alors qu’aujourd’hui, beaucoup de choses nous sont enfin acquises… à la sueur du front de ces femmes, comme Jeanne Chauvin, qui avait immanquablement « La plaidoirie dans le sang » !


Lien : https://sambabd.net/2023/10/..
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Cette bande dessinée retrace le parcours de Jeanne Chauvin, première femme avocate à plaider en France. Depuis l'obtention de son baccalauréat (préparé avec sa mère car les filles ne pouvaient pas le préparer dans les lycées réservés aux garçons), nous la voyons lutter pour obtenir tout d'abord le droit de s'inscrire en faculté de droit, puis de prêter serment pour être avocate (ne serait-ce qu'avoir le titre, sans même prétendre plaider au départ) et enfin de plaider. Je ne connaissais pas cette figure féministe et la bande dessinée permet vraiment d'apprendre des choses de manière plaisante. Le trait est simple et charmant, même si, comme l'a dit quelqu'un avant moi, on a parfois du mal à distinguer les différents personnages qui se ressemblent beaucoup.

Un ouvrage que je proposerai très certainement à mes élèves dans le cadre d'un chapitre sur l'émancipation des femmes.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Dodue et très esthétique, cette bande dessinée fouillée se dévore d’une traite !
Lien : https://www.madmoizelle.com/..
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Paris, 1886. La jeune Jeanne Chauvin déterminée à devenir avocate se lance à corps perdu dans des études de droit jusqu’alors réservées aux hommes. Brillante et déterminée, et après avoir obtenu son doctorat en droit et sa licence en lettres, elle prêtera serment en 1900 et sera la première femme, en 1901, à plaider en France. Une bataille qu’elle a dû mener de front pour forcer la porte des prétoires. En effet, la loi de l’époque n'autorise pas les femmes à exercer ce métier, réservé aux hommes. Il fallut attendre la modification de la loi (votée en 1900) pour autoriser les femmes licenciées en droit à être avocates.

Malgré une opinion mitigée et des railleries incessantes de la part d’hommes et de femmes, rien ne l’arrête. Après avoir présenté sa thèse “Les professions accessibles aux femmes”, et avec son doctorat en poche, elle enseigne dans les lycées parisiens pour jeunes filles avec un seul but : les encourager à choisir des carrières judiciaires.

De ses combats à ses engagements en faveur de l’émancipation féminine, en passant par son dévouement et ses grandes ambitions, Aurélie Chaney nous plonge dans la vie extraordinaire de Jeanne Chauvin. Dans le Paris de la Belle Époque, où il était mal vu de travailler, l’avocate - bien décidée à faire bouger les choses - s’est dévouée toute sa vie pour faire évoluer le droit des femmes. Un ouvrage nécessaire, qui revient sur les prémices du féminisme et prouve à toutes jeunes filles qu’il est important de se battre pour ses convictions.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Merci beaucoup aux éditions Marabout et à Babelio pour l'envoi de ce livre lors des Masses Critiques de décembre 2023.



Ce livre me faisait de l'oeil. Je n'y connais rien en Droit et encore moins sur ce chapitre de l'Histoire française et c'était une très bonne occasion pour découvrir l'histoire de l'héroïne.



Le format est sympa, les illustrations réussies et fonctionnelles, le découpage des chapitres permet de bien suivre l'histoire, racontée avec cohérence. Je pense que ce n'était pas forcément un pari facile mais il est réussi.



J'ai vraiment apprécié et mes filles de 10 et 12 ans tournent autour. Je pense qu'il peut plaire à tout le monde, dès 10 ans, homme ou femme.
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Jeanne Chauvin, la plaidoirie dans le sang

Plaidoyer joliment raconté et illustré pour sortir de l'oubli son héroïne, "Jeanne Chauvin. La première avocate à plaider en France" offre un bon moment de lecture qu'il serait dommage de bouder.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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