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Critiques de Aurélien Fernandez (28)
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Bougre de bonhomme a une maison sur la tête

Monsieur Bonhomme a une maison qui lui pousse sur la tête. Comme c'est un album on s'en étonne à peine. Il y a beaucoup de bruit du coup dans cette tête. Mais il ne faut pas que les autres soient au courant.... Rien dire, aller travailler comme d'habitude. Par contre il provoque pas mal de catastrophe, dit des choses bizarres... " Tout le vacarme sur sa tête !" Et là ce n'est plus possible. Il faudra qu'il s'explique.

Livre étrange, sur la maladie mentale, assez hermétique pour un enfant. Je l'ai trouvé dérangeant par la façon dont est traité le sujet, même si l'histoire se veut empathique.

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Fantôme fâché

Un petit format fort sympathique pour passer un bon moment de lecture en mode régressif.



Les strips sont plus ou moins drôles (question de sensibilité humoristique) et rendent l'album un peu inégal. A noter que plusieurs invités sont venus apporter leur contribution et pimenter les pages.



Dans l'esprit, c'est un peu un Mortelle Adèle pour adulte. Ici pas d'enfant un brin psychopathe mais un fantôme mis en scène dans des couleurs vives. On suit le quotidien parfois ordinaire de cet être fantastique ce qui crée un certain décalage surnaturel évidemment, car il faut bien payer les factures même si on est un fantôme ! Le découpage opéré pour les strips est bien adapté à la taille de la bd.



Lu dans le cadre du prix Orange de la BD 2024. Merci à Lecteurs.com et à Exemplaires Editions pour l'envoi
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Fantôme fâché

Les aventures de « Fantôme fâché » sort sur Instagram en 2019. C'est depuis devenu une saga, qui mélange quotidien banal, surnaturel et homicide volontaire, aimée et suivie par une communauté de 40 000 lecteurs.

Ce petit album 17x17cm au dessin naïf et épuré m’a laissé croire qu’il s’adressait à un très jeune lectorat. Il n’en est absolument rien. Ce petit fantôme fâché est un vrai psychopathe qui joue du couteau de cuisine à tour de bras et sème derrière lui une multitudes de cadavres. Hommes, femmes enfants, bébés personne n’échappe à sa folie meurtrière. L’hémoglobine coule à chaque page en même temps que s’amoncellent les cadavres quelque fois démembrés.

« Fantôme fâché » est la caricature d’une catégorie de personnes qui est ostracisée, maltraitée, rejetée pour ne pas correspondre aux injonctions et aux critères de la société, du système. D’où sa colère et sa fureur contre le monde entier.

Dans cet album, est abordée la notion de famille recomposée. Fantôme fâché va se choisir une famille dont l’apparence des différents membres aura tendance à déranger le commun des mortels : un zombie, une louve garou, et une jeune femme. Mais, même une famille choisie a des défauts ou fait ressortir les nôtres et Fantôme fâché ne sait plus que faire de sa colère , il ne peut la diriger vers ceux qui l’ont accueilli. Quand elle se retourne contre un propriétaire véreux ou un abject raciste, ne doit-on pas y voir le simple reflet de nos fantasmes et de nos pulsions les plus profondes ?

Un petit album qui donne à réfléchir sur la violence et les pulsions les plus profondes que chacun porte en soi mais qu’il a appris, ou pas… à réprimer.

De nombreux artistes « les invité.e.s » de Fantômes fâché ont dessiné chacun.e un épisode de cet album : Marc Brouillon, Sandrine Deloffre, Leslie Plée, Marie Spénale, Karensac, Boulet, Cy, Elosterv, Petit Pied, Sid, Sita et Chariospirale.



« Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024. Je remercie Lecteurs.com ainsi que les Editions Exemplaire pour cet envoi. »

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Histoire du Moyen Age : Mille ans de change..

Un ouvrage un peu plus long que la moyenne des ouvrages de la collection Quelle Histoire sur le Moyen Âge.



En plus de la composante thématique, les "vignettes" sont découpés chronologiquement. L'auteure est même allé jusqu'à faire la distinction entre haut Moyen Âge, Moyen Âge central et bas Moyen Âge. Chacune de ces parties est illustrée par une chronologie et une galerie de portraits des figures les plus marquantes (chacune) sur une double page en guise de synthèse.



L'autre point fort de cet ouvrage de jeunesse est qu'il ne se focalise pas uniquement sur le Moyen Âge en France mais consacre aussi quelques pages à ce qui s'est passé à la même époque dans d'autres pays et qui a influencé l'évolution de la période en France.



Encore une fois c'est un excellent ouvrage didactique et pédagogique qui permet aux enfants de découvrir cette période de l'histoire de manière ludique sans être gnangnan ni barbant en balançant moult concepts et idées mal expliquées. Si ça ne leur fait pas nécessairement aimé la matière, au moins ça ne les en dégoûte pas. Et par la même occasion, cela permet aux parents de rafraîchir leur mémoire, et même de l'enrichir.
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Histoire du Moyen Age : Mille ans de change..

Les textes courts et les illustrations simples contribuent à ne pas rebuter le lecteur. L'auteur n'hésite pas à tutoyer l'enfant et établit donc une grande proximité avec celui-ci.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Les bons gros bâtards de la littérature

Vous l'aurez compris, cette bd est un anti-manuel des auteurs de littérature. Vous saurez tout sur ces hommes qui osent tout, la débauche, la vulgarité, les maladies vénériennes, l'anti-sémitisme, l'inceste, l'homophobie, le meurtre... Peut-être pas tout car il faudrait bien d'autres tomes pour cela. Mais assez pour laissez de côté ce que vous avez appris à l'école sur ces auteurs si gentils et proprets sur eux. On prend plaisir à rencontrer François Villon, Alfred Jarry, Tolstoï, Ernest Hemingway, Voltaire, Bukowski, Mallarmé, Hugo, les frères Goncourt... et découvrir leur vraie personnalité. Aurélien Fernandez et Popésie trouvent toujours le juste équilibre entre véracité et humour avec une mise en page simple, claire et efficace. Les pages se tournent avec curiosité et envie. Surtout que l'on apprend toujours des choses tel Jean-Baptiste Botul, un personnage inventé par Frédérique Pagès et ces amis. Tous les ans, ils remettent un prix à des auteurs qui le cite comme s'il était une personne vraie. On félicite Bernard-Henry Lévy pour son livre sérieux "De la guerre en philosophie!" qui reçu le prix en 2010. Pourquoi résister à cette aventure livresque qui saura vous séduire surtout si vous aimez lire? 
Lien : https://wp.me/p1F6Dp-8uL
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Les bons gros bâtards de la littérature

J'en suis ressortie toute mitigée. En fait, ce livre est… bâtard. Il donne des anecdotes (Mon Dieu, on préfère pas savoir !) sur des auteurs que seuls les littéraires et érudits connaissent réellement, mais est écrit dans un style qui correspond à une frange de la population qui ne lit souvent pas. Donc, je ne sais pas bien qui est la cible. Et je trouve qu’on se moque un peu du monde (et des lecteurs, surtout) à laisser d'énormes coquilles dans un ouvrage censé être écrit par un professeur de lettres.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Un livre très original, graphique et très agréable à parcourir ; entre monographie, recueil humoristique et objet pop. L'occasion de découvrir une foule de faits peu glorieux et d'anecdotes parfois révoltantes sur des auteurs que l'on croyait au-dessus de tout soupçon. Honteusement jouissif !
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Les bons gros bâtards de la littérature

Je ne me souviens plus où j'ai entendu parler de ce livre, mais qu'importe. Comme j'aime beaucoup la littérature, tout ce qui s'y rapporte m'intéresse. Alors, découvrir certains aspects peu reluisants de la personnalité d'auteurs unanimement admirés, cela m'intrigue.

Dans leur préface, Aurélien Fernandez et Guillaume Plassans, le créateur de « Popésie, vulgarisation littéraire sur les réseaux sociaux », avertissent le lecteur : toutes ces pointures de la littérature « dont les noms résonnent aujourd'hui encore dans les salles de classe, dans les rues et dans les mémoires » ont peut-être quelque honteux secret à cacher, « mensonges, violence, insultes, sales coups ». Ils sont peut-être, dans la vie de tous les jours, bien éloignés des images auréolées que nous avons d'eux.

Le livre se présente, non comme une véritable bande dessinée, mais comme une sorte de pêle-mêle. Certaines parties de la vie de nos auteurs sont relatées sous la forme de dessins, comme celle de Villon, ou la querelle de Voltaire et Rousseau. Mais on aura droit aussi à de brefs textes illustrés, à des thématiques résumées en une case par écrivain, comme le plagiat, à des citations. Il y en a énormément, réparties sur tout le volume. Quelques personnages antipathiques, puisés dans des ouvrages très divers (Folcoche, Iago, Dolorès Ombrage, par exemple), des canulars ou supercheries littéraires viennent parfaire le tout.

L'ouvrage est donc très complet, bien documenté. Les auteurs précisent que certaines anecdotes peuvent n'être, en fait, « que de simples rumeurs transformées par les médisances et le passage du temps », car, même chez les « grands hommes », il y a des langues de vipères !

Intéressant donc de découvrir ce que pensent les « amis » de tous ces noms célèbres. Certes. Mais le hic, c'est que moi, je n'ai vraiment rien appris. En trente-trois ans d'enseignement, j'ai lu tout ce que je pouvais trouver sur les écrivains dont j'allais parler en classe. Car je sais bien qu'on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, et qu'on ne capte pas l'attention de son jeune public en l'assommant. J'ai donc puisé des anecdotes partout où j'en ai trouvé, en lisant des biographies (André Maurois, Claude Pichois, etc.) ou un gros volume présentant les écrivains à travers le regard de leurs contemporains.

Je pense que cet opuscule amusera les amateurs qui n'ont pas, comme moi, dévoré pendant des années tout ce qui pouvait enrichir leur cours et qui découvriront ici avec plaisir des histoires inattendues.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Hugo, Maupassant, Flaubert, Balzac, Zola, Rimbaud, Verlaine, Baudelaire, Aragon , Proust, Hemingway, Sand, Colette... et j’en passe... Autant de noms que tout le monde a croisés sur les bancs de l’école et que bon nombre de lecteurs ont approchés avec plus ou moins de passion. Ces hommes et femmes de lettres ont laissé une trace dans l’Histoire littéraire, ils sont devenus de grandes figures emblématiques à tel point qu’on en oublie parfois qu’avant d’être écrivains, ils étaient aussi humains... Ce qui veut dire qu’au delà de toutes leur qualités littéraires, ils pouvaient aussi avoir de gros défauts...



Racistes, mysogines, irrévérencieux, voire carrément vulgaires et obscènes, indisciplinés, colériques, voleurs, tricheurs, sans concession entre eux... Voilà le portrait décalé proposé dans ce livre d’un genre hybride, ni tout à fait BD, ni tout à fait recueil, dans un format proche du manga et du bullet journal en même temps.



Ce petit livre iconoclaste est divertissant car on aborde une facette méconnue et insoupçonnée des auteurs, celle que l’on n’enseigne pas sur les bancs de l’école. Il fait sourire, certaines anecdotes et citations sont cocasses et de petites clins pour œil avisés sont dispersés ça et là dans les dessins (Proust tire la tronche mais tient une madeleine, Maupassant shooté à l’éther voit un bébé marchant au plafond, comme dans « Trainspotting »).



Mais... (bah oui, il y a forcément un « mais »...)



Certaines anecdotes sont répétitives, on saute du coq à l’âne, l’ensemble manque de cohérence, même (surtout ?) pour un recueil. Tantôt on s’attarde sur un auteur pendant quatre pages, tantôt on cite un fait, une anecdote qui aurait eu tout son effet si seulement elle a avait été un peu plus développée.



Le dessin, en bleu et blanc, n’est pas particulièrement agréable, un peu trop basique et naïf, trop enfantin pour moi. Mais, ce qui m’a le plus gênée, c’est la volonté de mimer le langage « d’jeuns » (p. 12 : "Villon a cheminé du côté poétique street toute sa vie" ; p.55 : "Laurent ne cessa jamais de mette le zbeul" WTF ???). Je ne doute pas une minute qu’il s’agit là d’une tentative de communiquer efficacement avec le public cible de cet ouvrage : des ados dégoûtés de devoir lire des grands auteurs qui ne les intéressent pas. Ce choix stylistique est peut-être judicieux mais il frôle tout de même la caricature.



Bref, je reste un peu sur ma faim et mitigée après avoir quitté les « Bons Gros Bâtards de la littérature » mais je remercie tout de même Babelio et les éditions lapin pour ce petit moment de lecture décalée.

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Les bons gros bâtards de la littérature

Un livre assez plaisant et très rapide à lire, qui m'a permis de me rendre compte que j'en savais déjà un rayon sur la légende noire de la littérature française, car je connaissais déjà beaucoup de ces anecdotes.

Après, pour être honnête, les dessins simplistes de Fernandez en bichromie, qui ressemblent fort à ceux de Riad Sattouf dans "l'arabe du futur" n'apportent pas grand-chose de plus, à part quelques blagounettes qui ne sont pas à se tordre de rire.

Sympa, donc. Sans plus.
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Les bons gros bâtards de la littérature

C'est avec beaucoup d'ironie et d'humour, non exempt de respect (" il ne s'agit pas de lancer l'anathème sur des actrices et auteurs dont nous aimons passionnément l'œuvre, mais de porter un regard nouveau, décalé, surpris ou amusé, sur des épisodes - banals ou essentiels - de leurs vies ou sur leurs personnalités méconnues", préviennent Aurelien Fernández et PoPésie dans la préface), que ces deux lascars recensent les travers et les mots vachards de nos écrivain(e)s. Si l'antisémitisme de beaucoup, dont Anatole France, la mysoginie des frères Goncourt, de Baudelaire et beaucoup d'autres, sont bien connus, on y apprend quelques bizarreries, avérées ou fausses. C'est irrévérencieux, amusant. Les dessins en bleu et blanc, angulaires et faussement naïfs sont parfaitement en phase avec les textes. Ce livre fait partie du catalogue des éditions Lapin, ma foi très alléchant.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Un petit livre simple, sympa et drôle, rempli de citations et anecdotes bien trouvées sur nos plus grands noms de la littérature française. C'est simple et rapide à lire, bien pour se détendre et apprendre quelques pépites parfois un peu vulgaire sur les auteur.e.s de notre grande littérature française.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Démythifier les pontes de la littérature



Les auteurs ont choisi ici de dissocier les œuvres de leurs auteurs.

Et certains sont quand même de sacrés "bâtards" !



Une lecture distrayante et joyeuse qui s'appaire parfaitement avec les capsules magnifiques des Boloss des belles lettres de Jean Rochefort ou encore les Avez-vous lu les classiques de la littérature ? de Soledad Bravi.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Reçu pour Noël, en plus L'école des lettres (que j'avais lu sur Mâtin).



J'ai adoré. Il y a plein de choses que je connaissais mais plein de trucs en plus que je ne connaissais pas. C'est hyper varié, super bien fait et un bon complément à L'école des lettres!
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Les bons gros bâtards de la littérature

En amour, des grands auteurs étaient connus pour être de véritables tombeurs comme Victor Hugo par exemple. Quelques-uns ont même pratiqué l’amour en famille. C’est le cas de Colette qui a été l’amante du fils de son mari, fils qui était alors âgé de 17 ans alors que l’écrivaine en avait 47. Ceux qui n’ont pas eu de relations amoureuses épanouissantes en ont profité pour se mettre à l’écriture de livres coquins. Aussi le lecteur apprendra que La Fontaine n’est pas que l’auteur de fables avec des animaux…



A toutes ces petites anecdotes plus croustillantes les unes que les autres, on trouvera également des citations d’auteurs sur d’autres auteurs qu’ils ne peuvent encadrer, les vraies fins de certaines histoires (non, la petite sirène n’aura pas ses jambes et n’épousera pas Eric), ainsi qu’une dictée pas fastoche, celle de Prosper Mérimée, si vous souhaitez vous adonner à un exercice orthographique.
Lien : https://commedansunlivre.fr/..
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Les bons gros bâtards de la littérature

« Petits secrets, mensonges, violence, insultes, sales coups : derrière chaque grande femme ou grand homme de lettres, il y a (peut-être) un bon gros bâtard. » (p. 5)



Séparons la femme/l'homme de l'artiste, voulez-vous, et reconnaissons que certain·es de nos auteur·rices préféré·es étaient de drôles de zigotos. Meurtrier·es, voleur·ses, racistes, plagiaires, drogué·es, sadiques, provocateur·rices, misogynes, ivrognes, franchement libertin·es, il leur manque peu de vices. Les portraits dressés en quelques pages sont peu reluisants, les faits divers sont franchement révoltants ou navrants... mais on ne peut pas s'empêcher de hurler de rire. Nos zozos ont un sens aigu de la répartie ou de la pique, et il ne vaut mieux pas être dans leur ligne de mire !



L'intérêt premier de ce bouquin léger, mais très instructif, c'est qu'il calme mon admiration éperdue pour des auteur·rices dont je désespère d'égaler le quand je prends moi-même la plume. Oui, c'est mesquin, mais que voulez-vous, je n'ai pas le niveau pour être aussi odieuse qu'elleux !
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Les bons gros bâtards de la littérature

Une agréable lecture que cette compilation de bâtardises !

Une autre manière d'aborder la littérature, et de découvrir des aspects méconnus de la vie ou de l'œuvre de grands noms - majoritairement francophones.

La forme est très plaisante et allie épisodes biographiques sur quelques pages, focus sur des sujets donnés ou sélections de citations - et ça pique !



Un divertissement recommandable !



En bonus une dictée de bâtard.



Lu parce qu'attiré par le titre puis par le sujet.
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Les bons gros bâtards de la littérature

Prêts à désacraliser les grands noms ? A découvrir un monde de sexe, de drogues, d'insultes et de crimes ? Plongez donc dans cette bande dessinée révélant tous les secrets des vies intimes et privés des auteurs et autrices qui ont marqué l'histoire littéraire par leurs œuvres et heureusement pas par leurs comportements. Sans ne rien révéler, sachez que l'on se régale, que l'on est choqué, outré et que le plaisir est omniprésent du début à la fin.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Les bons gros bâtards de la littérature

Prétextant vouloir « dévoiler petits secrets et mensonges » et offrir « un regard nouveau décalé amusé et surpris », les auteurs des Bons gros bâtards de la littérature se limitent à aligner des citations chocs sans se soucier d’apporter un quelconque éclairage original ou personnel.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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