B. A. Paris

BA Paris va mettre à rude épreuve vos nerfs, c'est à nouveau un roman difficile à poser sans en connaitre le dénouement. Il fait monter votre tension à son paroxysme. La peur aussi nous envahit avec cette présence ressentie par Alice entre les quatre murs de cette maison.



Alice a du mal à quitter son cottage de Hallerstone, c'est tout ce qui lui reste depuis le décès de ses parents et de sa soeur Nina, dans un accident de voiture. Léo, son petit ami depuis un an la persuade qu'il a trouvé la maison idéale au sein du cercle de Finsbury. Ils vont franchir le grand pas et vivre enfin ensemble. Cette résidence privée, sécurisée aux 12 maisons identiques est un paradis. Si Alice aime Léo elle n'aime pas cette maison. Les voisins n'ont plus ne semblent pas l'apprécier surtout Tamsin, une ex-mannequin. Quand elle apprend, que dans sa nouvelle demeure un meurtre a été commit sur une certaine Nina - thérapeute - et surtout que Léo lui a caché cette information volontairement, son sang ne fait qu'un tour. Elle se met en quête de la vérité avec l'aide d'un étrange détective qui lui assure qu'une erreur judiciaire a été commise en accusant le mari de la victime. Les langues se délient et si la vérité se trouvait au coeur même de ce cercle ? Alice saura-t-elle faire la part des choses, Nina n'est pas sa Nina. le danger est palpable, mais ne semble pas la dérouter. Sa peur ne fait que grandir.



Un roman à dévorer rapidement, attention il vous plonge en apnée et ce n'est que du plaisir. n'hesitez pas à faire un tour sur le blog pour la chronique plus développée
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Un livre qu’on m’a donné et qui dort depuis un bail dans ma PAL. Pour être honnête je n’ai jamais eu envie de lire ce livre, le thriller domestique c’est pas trop mon truc ou alors il faut vraiment que ça soit très très poussé (genre Christian White). Je profite de #marsaufeminin pour le sortir !



De quoi ça parle ? « Centralia, État de Washington. La vie d’Owen Maker est une pénitence. Pour s’acheter la paix, il a renoncé à toute tentative de rébellion.

En attendant le moment où il pourra se réinventer, cet homme pour ainsi dire ordinaire partage avec son ancienne compagne une maison divisée en deux. Il est l’ex patient, le gendre idéal, le vendeur préféré de son beau-père qui lui a créé un poste sur mesure. Un type docile. Enfin, presque. Car, si Owen a renoncé à toute vie sociale, il résiste sur un point : ni le chantage au suicide de Sally ni les scènes qu'elle lui inflige quotidiennement et qui le désignent comme bourreau aux yeux des autres ne le feront revenir sur sa décision de se séparer d’elle.

Mais, alors qu’une éclaircie venait d’illuminer son existence, Owen est vite ramené à sa juste place. Son ADN a été prélevé sur la scène de crime d’un tueur qui sévit en toute impunité dans la région, et ce depuis des années. La police et le FBI sont sur son dos. L’enfer qu’était son quotidien n’est rien à côté de la tempête qu’il s’apprête à affronter.»

Alors je pense que ma chronique va être courte, je n’ai pas 15000 trucs à dire sur ce roman.

Je n’ai pas trouvé ça mauvais, mais je n’ai pas non plus trouvé ça bon !

Il y a des points positifs quand même, l’écriture est très simple, beaucoup de dialogues ce qui rend la lecture vraiment facile. Le roman se présente en jeu de temporalité passé / présent ce qui fonctionne généralement assez bien chez moi. Sauf que là sur la fin j’ai eu l’impression que l’autrice n’avait pas si bien géré et le passé devenait presque du présent, bref ce n’était pas top top !

Après j’avoue que j’avais envie d’avoir le fin mot, je l’ai lu d’une traite parce que vraiment c’est très simple à lire, pas prise de tête et même moi et mes problèmes de concentration on a réussi !

Je ne me suis pas attaché aux personnages, Grace m’a gonflé, Jack je n’en parle même pas !!!

Ah si j’ai beaucoup aimé le personnage de Milly, mais alors c’est quoi cette façon de la faire parler sérieux ? J’ai une tante trisomique elle n’a jamais parlé comme un bébé faut pas pousser ! Je ne sais pas si ce problème vient de l’autrice ou de la traduction mais c’était vraiment gênant !

L’histoire est assez banale, c’est du vu et revu … Bref un thriller domestique complétement basique !

Je ne le conseille pas forcément sauf aux gens qui adorent ce style et qui y trouveront leur compte. Pour les gros lecteurs de thriller ça risque de faire un flop !

Ni bon, ni mauvais, juste banale et dispensable. Après si vous avez l’occasion de le lire ma foi vous pouvez tenter mais ça ne vaut pas le coup de l’acheter neuf même en poche !



Note 6/10

Alice et Léo sautent le pas, ils achètent une maison pour vivre ensemble. Ils emménagent dans un quartier résidentiel haut de gamme et sécurisé. On sent dès le début qu'Alice n'est pas à l'aise avec ce choix de maison, mais elle veut faire plaisir à Léo. Et quand elle apprend que la précédente propriétaire a été assassinée, son malaise grandit. Elle ne pourra rester dans cette maison sans découvrir la vérité.

L'ambiance m'a fait penser à Desperate Housewives, dans ce quartier où tout le monde se connaît, mais avec beaucoup de non-dits. Alice va essayer de lier une amitié avec ses voisines, mais sans forcément trouver sa place. La narration est à la première personne, du point de vue d'Alice. On suit ses pensées, ses doutes. J'ai pu m'identifier à elle assez facilement. Dans cette ambiance tendue, les suspects et les mobiles s'enchaînent. Il y a peu d'action, tout repose sur les déductions et les hypothèses. Ce roman est habilement construit, l'auteure nous fait soupçonner tout le monde, et personnellement, je n'ai pas deviné le coupable avant la fin.

J'ai apprécié ma lecture, bien que certains points manquent de crédibilité à son sens. On aurait pu avoir la même intrigue, mais sans autant de révélations. Pour moi, le trop est l'ennemi du bien.

Trop, c'est trop ! Si ce thriller psychologique se lit facilement, je n'ai finalement ressenti que peu d'empathie pour le personnage central, car j'ai jugé le trait un peu trop forcé et les ficelles un peu trop grosses, que ce soit pour la richesse de cette jeune femme, ses symptômes de démence précoce, la beauté de son mari ou la gentillesse de sa meilleure amie ... tout semble exagéré, caricatural et trop prévisible. Quant à la façon dont l'héroïne découvre la vérité, là ça dépasse toutes les limites !

Bref, une lecture qui s'oubliera assez vite et une auteure vers laquelle je ne retournerai pas.

B.A. Paris est une autrice que je voulais découvrir depuis un moment. Eh bien voilà qui est chose faite avec ce tout nouveau roman et je ne suis pas déçue, car j’ai passé un bon moment en compagnie de la plume de l’autrice. Soit, il ne faut pas s’attendre à des meurtres à répétition, à du glauque et à du sang à volonté, car nous sommes ici dans un thriller domestique, mais ça ne m’a pas empêché d’apprécier, même si c’est un style que je lis beaucoup moins.



On commence avec un prologue écrit en italique. Nous sommes dans le cabinet d’un psychothérapeute qui reçoit une de ses patientes. Nous avons beaucoup de descriptions de la patiente et du cabinet et nous suivons leur discussion. Notre thérapeute pose une question à sa patiente « Savez-vous ce que disait Henry David Thoreau ? » et la réponse est une magnifique citation que j’ai beaucoup aimée et que j’ai trouvée tellement vraie: « Le bonheur est comme un papillon, plus on le poursuit et plus il nous échappe. Mais si l’on s’intéresse à autre chose, alors il vient se poser doucement sur notre épaule. »



Ensuite, vient le premier chapitre. Nous suivons l’emménagement de Léo et Alice à Londres, au Cercle Finsbury, une résidence où tout est calme. Mais ce calme ne va pas durer, je vous rassure. Sinon à quoi bon lire un thriller ? Alice découvre visuellement ses voisines et voisins tout en rangeant ses cartons, elle ne peut s’empêcher de regarder par la fenêtre. Ce roman est raconté à la première personne du point de vue d’Alice. Du coup, on a l’impression que c’est elle qui nous fait les descriptions des lieux et nous pouvons nous les imaginer sans soucis. Les descriptions sont vraiment au top, que ce soit le décor ou les autres protagonistes, on a l’impression de tout visualiser.



Petit à petit, Alice et Léo vont faire la connaissance de leurs voisins en commençant par Maria. Mais Alice va se rendre compte que Léo n’est très enthousiaste à l’idée de faire la rencontre de leurs voisins et que Tasmin, dont nous allons faire la connaissance petit à petit, est aussi assez distante. Alice entend certaines paroles qui font mal et, tout comme elle, nous cherchons à comprendre pourquoi Léo et Tasmin ont ce comportement. Finalement, Alice et Léo reçoivent leurs voisins et tout se passe plus ou moins bien… sauf pour ce mystérieux individu qui n’était pas invité à la fête et qui n’a fait qu’y passer. On se pose déjà énormément de questions et l’autrice nous en rajoute !



À part les questions qui nous trottent dans la tête autant que dans celle d’Alice, tout se passe bien pour notre couple. L’autrice nous explique même à un moment comment ils se sont rencontrés. Enfin, c’est le début et ce n’est pas trop long, c’est juste le temps de faire connaissance avec tous nos protagonistes et après tout démarre. L’autrice distille crescendo et avec brio un peu de suspense dans l’histoire pour que le lecteur puisse avoir envie de continuer et puisse toujours se poser plus de questions. Enfin, vient la révélation principale. Dans la charmante maison qu’Alice et Léo occupe, il y a eu un meurtre. Alice ne savait rien de ce meurtre avant d’emménager et se renseigne pendant que Léo travaille et elle découvre que lui le savait mais qu’il voulait à tout prix cette maison-là, du coup il lui a caché.



Et c’est là que tout va commencer, on va se mettre à douter de Léo avec Alice et on va lui en vouloir. D’autant plus que certaines choses vont énormément perturber Alice et on ne peut que la comprendre. L’autrice va nous montrer qu’un mensonge peut en cacher bien d’autres et qu’il peut détruire un couple à jamais. Alice n’arrive plus à faire confiance à Léo même après avoir discuté avec lui. Elle s’imagine tellement de choses et, nous aussi, on pense même avoir trouvé qui a assassiné Nina dans leur maison. Et puis, tout comme Alice, on va se mettre à suspecter tout le monde et on va s’imaginer que n’importe qui peut être l’assassin. On va découvrir des choses chez l’un et chez l’autre qui peuvent le rendre suspect et on va devenir méfiant. L’autrice va nous mener en bateau, nous mener vers une piste puis l’autre et on va émettre des milliers d’hypothèses.



Bon, il faut avouer que la rencontre de Thomas, le détective privé, va aider à nous mettre sur des fausses pistes avec Alice. C’est le seul en qui on a confiance, car il est vraiment là pour aider notre protagoniste principale. Il va lui rendre visite pour l’aider dans son enquête, car Alice est décidée à aller jusqu’au bout et à prouver que ce n’est pas Oliver qui a tué sa femme, Nina. Alice et Thomas sont tellement motivés que nous les suivons avec beaucoup d’entrain et nous voulons nous aussi savoir. Sans compter qu’Alice pense recevoir des visites nocturnes… Elle n’en est pas certaine jusqu’à ce qu’on ait la confirmation que quelqu’un rentre tous les soirs chez elle pendant qu’elle dort. Voilà un mystère de plus à résoudre, même si on se doute qu’il est lié à l’assassinat de Nina. Et puis, nous arrivons à la révélation finale et là, j’avoue que je suis restée bouche bée tant j’ai été scotchée par ce dénouement, j’ai tout imaginé sauf ça. L’autrice m’a complètement bluffée.
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Alice, l'héroïne, est au pays des merveilleuses apparences : un prince charmant qui a peut-être un peu trop besoin de sécurité, de nouveaux voisins peut-être trop accueillants, un deuil un peu trop simple, une nouvelle complicité un peu trop discrète pour un meurtre trop vite classé. Voici donc les ingrédients de ce page-turner assez efficace. C'est une lecture qui ne demande pas grand chose et c'est justement le reproche que je pourrais lui faire : tout ça manque d'épaisseur. Il faudrait des personnages plus consistants et créer une véritable atmosphère (il y a peut-être trop de dialogues au détriment du récit) pour me donner envie de lire d'autres ouvrages de l'autrice.

Merci à Netgalley et aux éditions Hugo Publishing pour cette lecture.

Les 100 dernières pages étaient une succession de rebondissements ! Une chose est certaine, on ne peut pas lâcher une seconde "Défaillances" ! D'ailleurs, si vous avez aimé ce roman, vous aimerez aussi sans aucun doute "Derrière les portes" de B.A. Paris.

En rentrant chez elle par une route de montagne, Cass voit une voiture stationnée et s'arrête un peu plus loin. L'orage s'intensifiant et sans réaction de la part de la femme assise dans la voiture, elle se décide à se dépêcher de rentrer.

Le lendemain, les infos annoncent la mort de cette femme qui s'avérait être une connaissance. Cass commence une descente aux enfers, en plus de sa culpabilité grandissante des appels anonymes viennent s'ajouter au tableau. Elle en est certaine quelqu'un l'a vue et sait qui elle est ...

L'auteur nous sert ici un thriller psychologique angoissant à souhait. Tout y est meurtre, culpabilité, paranoïa, trahison. On a vraiment l'impression de perdre pied avec Cass. Un très bon thriller que je n'oublierai pas de sitôt

Pas de grand intérêt pour ce livre.

Intrigue complètement saugrenue, répétitions à outrance, écriture scolaire, et dénouement complètement improbable.

Le titre et le résumé étaient plus prometteurs que le contenu.

J'ai été déçue, et je ne pense pas réitérer avec cet auteur.

S'il y a bien un livre qui mérite de se trouver dans la catégorie "suspense psychologique", ce serait celui-ci! Tout au long de l'intrigue, on plonge dans les pensées, doutes et impressions des personnages principaux, Livia et Adam. L'épouse rêve depuis toujours d'une belle fête d'anniversaire pour ses quarante ans, en place de celle pour son mariage qu'elle n'a jamais eue. Adam, son mari, est prêt à tout pour la satisfaire et va donc donner son maximum pour la combler, mais ce que chacun ignore, c'est que l'autre se trouve face à un dilemme... Le Dilemme ou l'art des non-dits et la mécommunication, porté à son apogée par cette auteure!

J'ai vraiment apprécié cette lecture et découvert une auteure si talentueuse que je me suis ruée vers ses autres titres, également prometteurs. Merci mille fois aux éditions Hugo Thriller pour cette belle révélation!

Un roman psychologique qui m'a énormément touché. Tout ce qui concerne les violences domestiques m'insupportent vraiment. Et j'évite de les lire parce que ça me met dans tous mes états. La violence psychologique est celle qui fait le moins parlé, le plus vicieux, le moins visible. Elle commence à faire parler mais je ne trouve pas que ce soit suffisant malheureusement. J'ai tenu bon jusqu'au bout, je dois dire que ça en valait la peine. Les allers-retours dans le passé permettent de mieux comprendre comment ce couple en est arrivé là. Je le conseille vraiment.

Moins aimé que les 2 premiers un peu farfelu et pas réaliste

Très bien

Bien

Une fois de plus BA Paris nous gâte et nous régale d'une fiction familiale aussi prenante que dramatique et terriblement bien écrite. Difficile d'arrêter sa lecture sans connaitre le dénouement. Quand il est survenu dans une ultime affirmation ou plutôt devrais je dire confirmation, j'ai été totalement ébranlée. Ensuite vient les dernières explications et je n'ai pu m'empêcher de pleurer pas seulement face à ce dilemme, mais... je ne vous en dirai pas plus. je vous laisse découvrir mon avis complet sur le blog
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Il s'agit d'un thriller psychologique et j'ai adoré. Les chapitres sont courts avec une alternance passé/présent dans la première partie et une alternance entre les personnages ensuite.

J'ai beaucoup aimé cette histoire de poupées russes qui apparaissent au fur et à mesure de l'histoire.

Le dénouement est super même si je l'avais deviné environ 70 pages avant la fin c'est à dire juste avant le début de la troisième et dernière partie.

J'avais déjà lu deux romans de B À Paris que j'avais bien aimés car très addictifs. J'ai trouvé en revanche Le dilemme assez poussif. Le livre se déroule sur deux jours et on voit évoluer un couple dont la femme prépare une fête grandiose pour son quarantième anniversaire. Son compagnon veut lui faire la surprise de la visite impromptue de leur fille qui fait ses études à Hong-Kong. Mais rien ne se déroule comme prévu et l'annonce d'un crash aérien sur un vol qu'aurait pu prendre leur fille va être le grain de sable qui va parasiter l'événement. Le père est au courant, pas la mère. Faut-il lui annoncer ou laisser la fête se dérouler puisque rien n'est encore certain ? Les chapitres alternent entre les pensées de l'homme et celles de la femme. L'idée de départ était bonne mais voilà ça tourne en rond jusqu'à devenir ennuyeux. Les dernières pages, celles du dénouement, rachète légèrement le reste du roman. Elles sont assez émouvantes. Mais vous l'avez compris, il n'est pas urgent de se précipiter sur ce livre de B À Paris.

Surprenant, piégeant.

écriture lourde et sans aucun style. Histoire invraisemblable ( quel mari peut cacher un tel secret à sa femme? ), personnages sans caractères et mièvres. Le seul point positif est qu'on a envie de connaitre ce qui s'est réellement passé.

Ce livre nous tiens en haleine. L’histoire ce passe quasi exclusivement dans la maison ce qui ajoute un truc en plus. On ce demande tout le long comment ça va se finir, honnêtement l’histoire et la façon dont le livre est mit en place change de ce que j’ai l’habitude de lire et j’ai vraiment beaucoup aimer.