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Citations de Barbara Cartland (743)


Leur amour imprègne cette maison. C'est cet amour que je veux chez moi, dans ma vie. Autrement, je préfère rester vieille fille.
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C’était son oncle qui la faisait trembler. Elle l'entendait déjà aboyer rageusement, comme un chien furieux, exigeant des explications. Elle imaginait le ton qu’il prendrait pour l’interroger : soupçonneux, ricanant, coupant net ses réponses pour l’embarrasser, la démonter, traquer ses points faibles.
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— Si j’étais plus jeune, ma jolie, je vous prendrais dans mes bras et je vous embrasserais jusqu’à ce que nous en perdions tous les deux le souffle !
Marina ne se laissa pas impressionner. Elle fixa le baron droit dans les yeux avant de déclarer :
— Mieux vaut ne pas prendre de risques, cher ami, car cela risquerait de tourner mal.
— Pourquoi donc ?
— Parce que je suis sûre que vous n’aimeriez pas échouer lamentablement dans un jeu auquel vous étiez certainement un maître... autrefois.
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Vous n’êtes pas seulement ici pour vous battre, mais aussi pour vaincre. Cela signifie que vous devez protéger votre propre personne et également la vie de vos hommes; Apprenez-leur que tout est dangereux sur ce territoire. Derrière chaque arbre, chaque buisson, chaque rocher, il y a peut—être un soldat ennemi qui risque de les tuer. C’est à nos hommes d’anéantir les Français, et— non l’inverse. Vous devez garder cela dans un coin de votre esprit, nuit et jour, et ne jamais l'oublier.
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Ils mangeaient si rarement de bonnes choses alors qu'ils
étaient précisément à l'âge où les sucreries et la nourriture ont le plus
d'attraits. Et elle était triste de ne pouvoir mieux les gâter. Aussi,
lorsqu'il lui vint à l'esprit qu'elle aurait peut-être dû offrir des fraises à
sir John, elle repoussa cette idée bien vite. Tout ce que Myra venait de
leur raconter au sujet du château de Gulliver lui durcissait le cœur. « Il
n'a pas besoin de fraises. Il a tant de choses, et mes petits en ont si peu. »
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Les sœurs Shefford étaient différentes de toutes les femmes qu'il avait rencontrées.Leur beauté ne l'impressionnait pas spécialement: il était habitué à voir de jolies femmes. Mais il était souvent la proie d'intrigantes à la recherche d'un mari. Jamais il n'avait rencontré la franchise et la spontanéité de Myra, sa naïveté et son innocence. Jamais non plus, il
n'avait rencontré une jeune fille telle qu'Anne... Et il se mit à penser à elle.
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À la pensée de devoir quitter le château, son cœur se déchirait. Ah, que n'aurait-elle donné pour pouvoir passer toute sa vie ici ! Pour voir, l'hiver venu, la neige blanchir les landes, tandis que de grands feux pétillaient dans les cheminées. Pour décorer un immense arbre de Noël dans le hall. Pour jouer avec des enfants sur les pelouses, les jours de beau temps...
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Pour les grandes puissances européennes, il est essentiel que le destin de la Turquie demeure indépendant de celui de la Russie. La Russie est une véritable épine dans le pied de l’Angleterre en ce qui concerne la question des Indes et de l’Afghanistan.
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Les hommes âgés se laissent souvent prendre au charmant piège de la jeunesse.
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Quoi de plus agréable, en effet, que le jeu de la séduction ? Un jeu excitant, raffiné, réservé aux fins esprits. Il comparait cette sensation à celles qu’il éprouvait lors de ses parties de chasse. Traquer un gibier, le suivre prudemment, patiemment et, enfin, épauler le fusil et tirer. C’était pour lui une source de joie inestimable, irremplaçable. La chasse, tout comme la conquête d’une femme, lui procurait une satisfaction qui l’emplissait d’orgueil, le laissait fourbu mais au comble du bonheur.
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Elle ne se rendait nullement compte que c’était justement son apparence jeune, timide et innocente qui la rendait irrésistible pour les hommes. Ils tournaient autour d’elle, non seulement parce qu’ils la croyaient très riche, mais parce qu’elle avait l’air un peu perdue et paraissait avoir besoin d’être protégée.
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Aucun homme, si riche soit-il, ne peut s’empêcher de vouloir l’être davantage et, ce qui est plus important, il veut être épousé pour lui-même, et pas pour ce qu’il possède.
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« Le meilleur de soi-même », C’est ce qu’on appelle aussi les bonnes manières. Ce sont les signes extérieurs de la bonté de l’âme.
Les manières, comme le vêtement, sont le reflet de notre personnalité. Beaucoup de gens comprennent l’expression « L’habit fait le moine » de travers et s’imaginent, à tort, qu’il suffit de faire manières pour devenir gentelman.
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Il la contempla longuement puis, sans un mot, la serra contre lui et l'embrassa.
Depuis leur premier baiser, elle n'avait cessé d'appeler cet instant de ses vœux et de ses prières. Comme la première fois, son cœur se mit à palpiter et d'étranges vibrations la parcoururent.
Il la presse contre lui. Ses lèvres était de plus en plus insistantes, plus exigeantes, plus possessives. Alors, au comble de l'émotion, elle entendit à nouveau les violons chanter dans son cœur. C'était la musique de l'amour, c'était l'amour devenu musique et source de vie!
Elle pouvait mourir désormais, plus rien n'avait d'importance: elle venait d'atteindre le paradis, de s'envoler vers les cimes enneigées où plus rien n'existe en dehors de l'amour.
Un siècle s'écoula...
- Je... vous aime, balbutia-t-elle. Comme vos baisers peuvent-ils être si merveilleux alors que vous ne m'aimez pas?
Pour toute réponse il l'embrassa encore.
Quand il la relâcha - longtemps, longtemps plus tard - elle avait les yeux pareils à des étoiles, les lèvres brûlantes et semblait irradiée par une lumière intérieure. Son visage tout entier exprimait l'amour.
- Je ne voulais pas que les choses en arrivent là ce soir, avoua-t-il.
- Je sais. Mais maintenant, tout m'est égal... même lord Marlowe.
- Hélas, il représente toujours une menace. Il faut que quelqu'un vous protège et je ne vois que moi pour cela.
- Oui, mais comment ferons-nous?
(...)
- oui, je vous offre ma protection, acquiesça-t-il, mais cette fois sur une base plus solide, comme un mari envers sa femme.
Elle n'en cru pas ses oreilles.
- Vous... vous me demandez de... vous épouser?
- Je n'ai pas d'autre solution. Je vous ai déjà compromise en dormant dans une chambre voisine de la vôtre et en vous portant dans mes bras, alors que vous étiez vétue d'une simple chemise de nuit.
- Je vous jure que je n'avais pas l'intention de... commença-t-elle, rougissante, en appuyant le front contre son bras.
- Moi, si! Je vous désirais, je voulais vous faire mienne.
- C'est pour ça que vous m'aviez changée de chambre?
- Bien sûr, avoua-t-il en la serrant de plus près. Oh! mon amour, nous aurions pu commettre l'irréparable.
- Et vous êtes... prêt à m'épouser malgré tout?
- Je vous aime!
- Oh... C'est vrai? C'est vraiment vrai?
- Je vous adore.
- Je n'arrive pas à le croire... Je vous aime passionnément, mais... je n'imaginais pas que vous puissiez m'aimer en retour.
- Si vous saviez combien! il me faudrait des années pour vous le dire.
- Dites-le-moi, je vous en prie.. dites!
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Elle lève alors son visage vers lui. Comme attiré par un aimant, il tourne la tête et, pour la première fois, observe de près ses yeux sombres aux paillettes de feu, ses lèvres pulpeuses. Un vertige le saisit. Pour ne plus affronter ce regard profond, ces yeux pareils à des lacs insondables, il préfère détourner les siens.
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Il avait toujours cru que l’ambition de toute jeune fille indigène était d’être choisie pour devenir l’épouse ou la concubine d’un chef.
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Toi et moi nous allons la modeler, la former, lui donner des cours. Et le jour où elle sera fin prête, où elle saura tout sur le bout du doigt, comment parler, comment bouger, comment se tenir, je parie qu’il ne lui faudra pas plus d’un an pour devenir une jeune fille accomplie à la beauté sidérante.
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C’était quelque chose de chaud et de merveilleux qui se répandait à travers tout son corps jusqu’à sa gorge, faisant trembler ses lèvres sous celles de lord Sheldon.
Jamais elle n’avait rêvé qu’une telle émotion pût exister. Un prodige merveilleux s’accomplissait en elle. Elle ne pouvait y opposer la moindre résistance. Elle était incapable de bouger, incapable de se détourner.
Elle sentit ses bras l’enlacer avec douceur, mais il lui était impossible de le repousser.
Vaguement, au fond de son âme, naquit la pensée que ce qui lui arrivait devait être une part de cette chaleur rayonnante qui lui manquait, cette couleur après laquelle elle soupirait, cette musique qu’elle avait perdue.
Tout se fondait dans cet éblouissement et ce miracle, qui devinrent ivresse parce que la bouche d’un homme avait capturé la sienne.
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Elle se rappelait avoir lu que les pharaons comparaient le Nil à une fleur de lotus : le cours du fleuve représentait la tige et son large delta les pétales épanouis.
Les falaises bordant le désert prenaient une teinte rose sous le soleil, une couleur irréelle, et Octavia comprit soudain pourquoi jadis les Egyptiens faisaient de ces régions le pays des dieux et des morts.
Parfois, entre les palmiers, apparaissaient les eaux sombres du grand fleuve nourricier. Qu’il devait être agréable de se laisser glisser au fil du courant sur une felouque à voile triangulaire ! C’est ainsi que voyageaient les habitants d’autrefois, puisque le Nil constituait leur seule voie de communication.
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On apprend beaucoup plus de choses en voyageant que dans les facultés...
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