Citations de Barbara Cartland (743)
Comment se pouvait-il qu’elle ait trouvé le paradis, sous les frangipaniers, pendant un instant d’extase, pour le perdre le jour suivant, dans la forêt ?
Il souhaitait, comme bien souvent déjà, n’avoir jamais eu cette aventure avec la baronne van Heydberg, la seule femme attrayante parmi les dames d’honneur de la reine.
Les autres, toutes d’âge mûr, étaient lourdes, replètes, et évoquaient pour lui les puddings et autres bouillies informes qu’il avait toujours détestés dans son enfance.
Les Français trouvent toujours à redire ! Tout est soit extravagant, soit trop mesquin, jamais de juste milieu !
Il tenait beaucoup à jouir d’une tranquillité absolue quand il se couchait pour dormir, sans doute parce que c’était un homme dont le cerveau travaillait beaucoup, et il avait toujours veillé jalousement sur la paix de ses nuits.
Un roman d'amour à lire pour se détendre , qui fini bien comme souvent ces livres . Un peu de légèreté , de rêverie !!!!
Le tissu léger, vaporeux, semblait nimber Benedicta d'un voile scintillant. Le bustier à taille haute, semé de petites fleurs brodées vert et rose pastel, s'évasait en plis élégants sous la poitrine. En guise de parures, de simples rubans de velours blanc ceignaient ses poignets délicats et son cou de cygne. Elle avait négligemment jeté un châle de soie sur ses épaules.
C'était une tenue très fraîche, très printanière, qui exaltait sa jeunesse et son air de pureté. On eût dit une rose blanche tout juste éclose
Pour elles, il faut que je réussisse, se disait Andrina tout en terminant sa modeste valise. Elle avait choisi la plus petite de la maison pour éviter les frais à l'arrivée et décidé que trois ou quatre tenues légères suffiraient pour un séjour aussi bref. Elle porterait son manteau de voyage lors de ses sorties. Comme les sœurs Gunning, les trois sœurs échangeaient leurs toilettes. Cheryl et Sharon avaient contribué à la cause en mettant leurs vêtements, leurs bas et leurs chapeaux à la disposition d'Andrina, afin qu'elle se présentât aussi bien que possible.
Crois-tu que je sois aveugle au point de ne pas me rendre compte que chaque mois qui s’écoule m’éloigne un peu de cette jeunesse qui, pour une femme, est plus précieuse que l’or, les bijoux, le pouvoir, et le prestige ?
Les remarques que vous avez faites au sujet des femmes me font croire que vous êtes un homme insupportable, suffisant et vaniteux ; celles émises à propos de Hong-Kong correspondent exactement à ce que j’attendais d’un Anglais buté qui croit que la seule façon de prouver sa suprématie est d’écraser ceux qu’il a conquis par la force des armes.
N’avez-vous jamais pensé que tout irait mieux si notre nation traitait ces peuples étrangers avec davantage de générosité, de clémence et de considération ?
Sir John Pope-Kennedy fut le premier gouverneur de Hong-Kong à traiter les Chinois en égaux. Il fut aussi le premier à mettre en pratique le principe de non-discrimination des races, principe énoncé dans les instructions du gouverneur en 1886 seulement, mais bien antérieurement dans les lois concernant les colonies britanniques.
"Apres 40 ans une femme doit choisir entre sa silhouette et son visage. Choisissez le visage et restez
assise !" [ Barbara Cartland ]
Aux yeux de son père c'était une faute impardonnable que d'avoir son nom dans les journaux, en dehors de ces deux circonstances inévitables que sont la naissance et la mort !
Un Anglais, s’il est homme d’honneur, ne courtisera une jeune fille que si ses intentions sont honnêtes, que s’il compte lui offrir le mariage.
En Angleterre, monsieur, les hommes sont bien élevés.
Elle avait eu l’intention de le rabrouer, mais elle vit Raoul sourire. Ses yeux pétillaient.
Serait-il mal élevé de dire la vérité ? demanda-t-il. A vous voir, j’aurais cru que, plus que quiconque, vous apprécieriez la franchise.
Ce qu’un enfant ne connait pas ne lui manque pas.
Bon Dieu ! s’exclama le duc (s’adressant à Georgia), pour qui donc croyez-vous lutter maintenant ? Vous vous battez pour votre frère et le pays qu’il sert. Vous vous battez pour tous les hommes, les femmes et les enfants de cette île. Ne comprenez-vous pas ce que signifierait pour nous d’être vaincus par Bonaparte ? N’avez-vous donc aucune idée des souffrances, des privations, de la faim qui sont le lot des pays d’Europe actuellement sous la coupe du dictateur ? J’ai vu les paysans chassés de chez eux par l’ennemi, entassés au bord des routes, affamés, assoiffés, ne possédant plus que ce qu’ils portent sur le dos.
– Le Prince est mort désormais et il y a un certain nombre de tantes, d'oncles et de cousins à divers degrés qui vous accueilleraient avec joie.
– J'en doute. De toute façon, je ne leur pardonnerai jamais l'indifférence qu'ils ont témoignée à ma mère.
– Voyons, elle s'est enfuie avec votre père !
– Est-ce un crime ? répliqua vivement Tatika. Mes parents s'aimaient. Les Russes ne sont pas dépourvus d'émotion au point de ne pas comprendre ce qu'est l'amour !
– Et vous, le comprenez-vous ?
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Les villageois assis en rond regardaient une petite fille d'une dizaine d'années vêtue de la tête aux orteils de brocart et portant une tiare de fleurs.
Les musiciens jouaient et la fillette allait d'avant en arrière pieds nus dans une danse étrange qu'elle exécutait avec un visage dépourvu de toute expression.
Il avait lu que les filles de Bali étaient gracieuses, c'était exact.
Ce qui l'intriguait également était le fait qu'elles étaient pieds nus et que leur peau dorée n'était couverte que de colliers de perles qui se balançaient et miroitaient quand elles se déplaçaient.
" - Le dîner était parfait, Annie ! s'écria joyeusement Petula. Le commandant a tout mangé et a été vraiment très satisfait. Tu as réellement du génie !
- Il faut bien être une magicienne pour nourrir un homme affamé dans cette maison," répondit Annie, péremptoire.