Citations de Benjamin Lacombe (270)
Eh ! niño, tou té fiches de nous, tou as déjà joué !
L'air qui circule dans mes veines à l'odeur de ta peau
Le voyage semblait interminable. Le silence était si lourd que l'on pouvait entendre battre les ailes des papillons.
La chatte avait une technique sans pareille.
Elle léchait ses pattes du coude aux coussinets
Puis les passait derrière ses belles oreilles,
Plusieurs fois, sans discontinuer.
"Ne fais pas ça !" lui disait-on tout le temps.
"Tu vas nous faire tomber la pluie sur le coin du nez !"
Elle s'envole alors dans les aventures extraordinaires de Philéas Fogg, légère comme un oiseau à bord d'une montgolfière.
Sa mère le serra dans ses bras et son père lui dit :
'- C'était beau, fiston !'
Et, dans leurs yeux, pour la première fois, il lut de la fierté.
Me voici donc reine du plus beau royaume du monde et pourtant ma chère maman ne cesse de se plaindre que je porte la coiffure trop haute et la toilette trop saillante.
Titotu met toute son âme pour se dégager. Lorsqu'elle y arrive, elle tommmmmbe dans le vide et atterrit sur le dos contre un rocher pointu. Aiiiiiiie !
Titotu pleure de tout son coeur car sa carapace est fêlée, brisée, cassée.
A la récrée, Cerise s'assied sur le banc au fond de la cour, son roman sur les genoux : " Les livres sont décidément plus intéressants que les enfants !"
Elle s'envole alors dans les aventures extraordinaires de Philéas Fogg, légère comme un oiseau à bord d'une montgolfière.
Elle raconte à Lisbeth son exceptionnelle lignée et le destin de ces femmes qui ont été persécutées parce qu'elles étaient trop ambitieuses, trop intelligentes, trop belles ou... trop rousses. En vérité, elles ont été persécutées parce qu'elles étaient différentes.
Lisbeth et sa grand-mère partagent maintenant un précieux secret. Les sorcières se doivent d'être discrètes sur leur véritable nature et d'exercer leurs dons en catimini.
«C’est ainsi que Naoko apprend le jour de ses quatorze ans qu’elle doit quitter son foyer pour cette immense et grouillante fourmilière de Kyoto.»
L'homme ne cède aux anges et ne se rend entièrement à la mort que par l'infirmité de sa pauvre volonté.
Ces regards, en vérité, sont ceux de l'inquiétante étrangeté qui masque et contient les drames de l'éternel féminin dans sa souffrance.
Enfin, ne vous fiez jamais aux apparences, elles sont souvent trompeuses.
Et rappelez-vous que l'histoire est sans fin tant que le don est transmis.
« Pour créer son propre paradis, il faut puiser dans son enfer personnel » .
Il faut croire que le puits était très profond ou alors la chute d'Alice était très lente, car, en tombant, elle avait tout le temps de regarder autour d'elle et de se demander ce qu'il allait se produire.
Ceux qui rêvent éveillés ont connaissance de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis.
"Eleonora"
Ce mystère est bien plus grand que celui des trous dans l'emmental !
La vérité est que cette vie et généralement tout le dix-neuvième siècle me donnent des nausées. Je suis convaincu que tout va de travers.