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Citations de Bertrand Puard (222)


Les livreurs se regardèrent un instant mais, puisqu’ils n’étaient pas des livreurs français ordinaires, c’est-à-dire vindicatifs, pénibles et très à cheval sur leurs conditions de travail, puisqu’ils étaient des hommes grassement rémunérés par Marc-Antoine, ils obéirent et déposèrent le piano dans la chambre de Sacha.
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Donnons-nous rendez-vous pour le dîner, à 6 heures. Je vais demander à Bécassine qu'elle nous prépare un kouign amann, un dessert typique de la région.
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Bien sûr, certains ne partageront guère cet état de fait. Ils diront que l'auteur exagère et cherche à faire peur, qu'il se sert de la nuit pour faire du style et remplir les pages.
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Le gamin ne faisait pas référence aux gardes, mais à son butin. Un butin bruyant ? Voilà de quoi exciter la curiosité de tout lecteur féru d'énigmes qui se respecte.
Telle fut la réponse de l'homme :
- Assommer,oui ! Mais tuer, alors non !
Et il se mit à rire à gorge déployée.
Son rire avait quelque chose du cri d'un corbeau.
Un présage, tout simplement.
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Espérons simplement que le lecteur n'aura pas été gêné par toutes les digressions de ce récit - ces "gaillardes escapades", comme disait Montaigne.
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Paris se recueillait tandis que la France pleurait.
Le président de la République Jean-Baptiste Tourre était mort.
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Ce qu'elles avaient vécu ensemble resterait lunetde ces parenthèses qui forgent un caractère plus sûrement que les minimes événements d'une vie ordinaire.
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Et, lorsque Caïssa laissa échapper une grimace de dépit, au milieu de la nuit, le vieil homme, comme un vieux sage, lui chuchota à l'oreille :
- Une passion n'est pas un bonheur.
Cette phrase la galvanisa.
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Toute oeuvre forte doit naître d'un manque ou d'une douleur. Ou bien elle n'est qu'accessoire.
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Écrire au milieu de la foule, sur les lieux mêmes de l’histoire, cela vous donnait de la spontanéité. Et c’était, hélas, ce que voulaient les lecteurs de The Shore ! Il n’y avait qu’à lire les lettres de compliments que recevait Paul Roden pour ses chroniques judiciaires !
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Elle continuait sa logorrhée. Elle rappelait à l’écrivain un des professeurs d’Eton que les élèves surnommaient « le Mégalo ». Il ne s’arrêtait jamais de parler de lui. Cela était un véritable supplice pour ses classes qui étaient obligées d’écouter à longueur d’année les tirades du professeur déclamées par ses soins.
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Que connaissait-il au monde du crime ? Et puis il se sentait bien incapable d’appliquer le style de ces pisseurs de copie qui emplissent les journaux à gros tirages. Lui, il se sentait à l’aise avec les longues descriptions, les belles envolées stylistiques, les intrigues amoureuses savamment entretenues... Mais écrire sur des femmes qui se font trucider par un sadique, c’était une autre paire de manches ! Il lui faudrait un homme de bon conseil, quelqu’un qui pourrait amorcer la pompe...
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C’est ce que les gens veulent lire... Tu as intérêt à me trouver un titre sacrément accrocheur et une histoire bien racoleuse... Tu as le choix, hein ! À Londres, ça ne manque pas, les monstres difformes, les éventrations et les pendus !
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Les sous-sols de Londres étaient pires que l’enfer... On y trouvait des passages secrets, probablement des cryptes remplies de fantômes et de spectres terrifiants...
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La voiture s'éloigna paisiblement.
Les feux arrière du véhicule se délayèrent sous les gouttes.
Pour devenir, au loin, de petits flocons.
Puis une lueur éphémère.
Puis plus rien.
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Je t'avais promis de reprendre ma plume, Mayenne. Me voici au rendez-vous.
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Un homme normalement constitué aurait crié sous l'effet de la douleur. Mais là, rien. Ce n'était pas pour rassurer Zacharie
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- Monsieur le ministre...
- Appelez-moi Jean-Paul, voyons, Thomas. Pas de chichi entre nous !
Le banquier leva les yeux au ciel. Encore un parvenu hissé en haut à forcé d’écraser ceux d’en dessous.
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- Je lui demanderai, à l’occasion, dit Neil en appuyant son front contre le haut du lecteur.
- Oui, mais il y a peu de chances qu’il te réponde. Avec lui, on obtient les réponses à ses questions, pas souvent aux nôtres...
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Au premier coup de tonnerre, le vide les happa tous les deux.
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