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Citations de Beverly Jenkins (103)


Penser au manque d’amour dont elle avait souffert était encore trop douloureux, et elle ne connaissait pas assez Logan pour lui révéler ses secrets.
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Il avait une maîtresse, donc il devait la considérer comme un amusement. Mais elle avait sa fierté, et elle voulait un homme qui ne la voie pas seulement comme une femme avec qui jouer.
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Dans son monde, le sexe opposé était représenté par des hommes à l’allure de gentlemen, comme Tillman ou le père de Kaye. D’accord, Tillman était un faible. Mais s’il l’avait demandée en mariage, elle aurait accepté car c’était le genre d’homme bien élevé qui était censé plaire aux femmes.
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En fait, elle trouvait que ses baisers étaient bien plus agréables que ses leçons de conduite, mais elle garda cette opinion pour elle. Il avait suffisamment la grosse tête, inutile d’en rajouter.
Au bout d’un moment, ils arrivèrent au bord de la rivière. À l’endroit même où elle s’était réfugiée la veille après lui avoir lancé une pierre.
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Mariah savait que les baisers pouvaient mener à ça, mais Kaye ne lui avait jamais parlé des battements de cœur, ni des champs de fleurs sauvages.
Comment allait-elle pouvoir soutenir le regard de Logan ? L’affolement de son cœur allait-il cesser ? Seigneur, il fallait l’espérer. Car pour le moment, elle n’avait qu’une envie : le rappeler auprès d’elle et lui demander de l’embrasser encore.
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Elle était si séduisante qu’il aurait voulu la renverser sur le lit et passer la journée à lui faire l’amour. Mais il devait partir. Il avait déjà perdu une bataille contre lui-même.
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Je voudrais vous aimer dans un champ de fleurs sauvages, sous le soleil et sous la brise. Puis vous posséder la nuit à la lueur des rayons de lune. Mais je ne peux pas…
Mariah poussa un gémissement, ses jambes se dérobèrent. Il lui entoura délicatement la taille de son bras et la plaqua contre lui. Ce contact les fit chavirer. Mariah ne s’était jamais sentie aussi faible, Logan n’avait jamais goûté à des lèvres aussi douces. Elle aurait voulu demeurer indifférente, mais ses lèvres s’ouvrirent et elle lui offrit sa bouche.
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Mariah sentit ses genoux se dérober. Le désir brûlant qui filtrait dans sa voix sembla la transpercer. Ses seins se gonflèrent, ses lèvres s’entrouvrirent. Son cœur battait à tout rompre, mais elle s’obligea à respirer calmement. Aucun homme ne lui avait jamais parlé ainsi, et elle savait qu’il pensait ce qu’il disait.
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Quel genre d’homme emmenait sa maîtresse dans un lit et se retrouvait incapable de… l’honorer ? S’il n’avait pas été aussi furieux, il aurait été mortifié. En fait, il était soulagé qu’il fasse nuit, car il n’aurait pas pu soutenir le regard de Valencia.
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Les lois n’étaient pas favorables aux femmes, qui ne pouvaient garder le contrôle de leurs biens. Aussi, elle craignait qu’un mari ne mette la main sur ses affaires et ses propriétés.
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L’idée que Mariah Cooper n’était pas veuve, qu’elle était une jeune fille innocente, l’emplissait de joie. En règle générale, il fuyait les vierges comme la peste. Mais la pensée qu’il pourrait être le premier à initier cette petite provocatrice lanceuse de pierres au royaume du plaisir rendait ce projet de séduction encore plus tentant.
Donc, il devait partir. Il espérait qu’une visite à Valencia dissiperait l’ensorcellement dont il était victime. Il trouvait insensé d’éprouver un désir aussi violent pour une femme qu’il ne connaissait que depuis deux jours.
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Il connaissait peu de femmes qui accepteraient de quitter la sécurité d’une maison et de traverser le pays sans savoir ce qu’elles trouveraient de l’autre côté. Pourtant, Mariah l’avait fait, et la petite souris s’était transformée en femme exceptionnelle. Il aurait voulu en apprendre davantage sur ses relations avec sa mère, mais il décida de remettre ses questions à plus tard. Pour le moment, il avait besoin d’absorber tranquillement la nouvelle, et aussi le fait qu’elle était aussi innocente qu’elle en avait l’air.
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Il la revit assise à califourchon sur lui, tandis qu’il prenait les pointes de ses seins dans la bouche. Pourquoi l’attirait-elle autant ? C’était incompréhensible. En général, il n’aimait pas les petites femmes. Cependant, celle-ci avait le don de lui faire perdre le contrôle qu’il exerçait d’ordinaire sur lui-même. Il éprouvait un étrange mélange de désir et d’irritation.
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Soulevant légèrement sa jupe, il insinua les doigts le long de ses cuisses. Quand il atteignit la vallée sombre et mystérieuse qui abritait sa féminité, sa chair était moite de désir. Il taquina doucement le bouton qui contenait la clé de son plaisir, et elle se cambra contre sa main avec un soupir alangui.
Alors, il l’attira au-dessus de lui et poussa en elle son sexe dressé, les mains plaquées sur ses hanches rondes. Elle émit un cri de plaisir et il sombra à son tour dans la jouissance, en criant son nom…
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Ses lèvres étaient entrouvertes, gonflées par les baisers. Il se pencha sur son cou et goûta à sa chair en inhalant son doux parfum. Elle se mit à trembler et soupirer, en proie à une passion naissante.
Il prit un moment pour capturer de nouveau ses lèvres, et se mit à explorer son corps. D’autres boutons cédèrent sous ses doigts, exposant sa peau nue. Puis il n’y eut plus que la dentelle de sa chemise et son corset pour protéger ses seins. Les
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Ce qui l’inquiétait, en revanche, c’était l’idée de devoir lutter contre elle chaque fois qu’elle se mettrait en tête de prendre le contrôle de la maison. Elle était terriblement déterminée. Rien ne l’arrêtait, pas même le fait de s’entailler les doigts sur un sommier métallique. Mais, Dios… elle était adorable. Et, dans le fond, c’était ce qui inquiétait le plus Logan.
Elle avait un corps de rêve, une bouche qu’il aurait aimé embrasser jusqu’au printemps… Ce qu’il était inutile d’envisager, étant donné le prix qu’il avait déjà payé pour son premier écart de conduite.
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Beaucoup de gens mariés n’ôtaient pas leurs vêtements pour faire l’amour, et mouraient sans avoir vu leur partenaire dévêtu. Quant à lui, il aimait dormir et faire l’amour tout nu. Les femmes dans le genre de Mme Cooper trouvaient sans doute cela choquant. Mais cela lui convenait parfaitement, ainsi qu’à celles qui partageaient son lit.
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Il avait beau avoir décidé de ne plus penser à elle, sa tête était pleine d’images concernant l’ardente Mariah Cooper. Il avait encore du mal à croire qu’elle avait osé lui donner un coup de pied. La plupart des femmes battaient sottement des cils quand il s’approchait d’elles. Aucune ne s’était essuyé les lèvres après qu’il l’eut embrassée. Certes, il l’avait provoquée. Mais c’était elle qui avait commencé, avec son impertinence et ses lèvres irrésistibles.
Il n’avait aucune explication logique à son comportement. Pourquoi l’avait-il embrassée ainsi ? C’était son insolence qui l’y avait poussé, voilà tout. Jamais auparavant il n’avait fait une chose aussi stupide. Elle était haute comme trois pommes, aussi légère qu’une plume, et cependant elle le défiait comme si elle était une Amazone de la reine Calafia !
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Elle s’était changée et portait à présent une jupe noire et un chemisier à manches longues qui moulait étroitement ses formes. Le sommier en fer était plus grand qu’elle, et elle avait visiblement des difficultés à le soulever, mais elle ne se laissa pas décourager et parvint à le déposer dans l’herbe. S’essuyant les mains sur sa jupe, elle entra dans la maison d’un pas décidé.
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Les seules joies que connaissait Mariah, c’étaient les livres qu’elle empruntait à la bibliothèque, et les œuvres charitables qu’elle faisait avec d’autres femmes à Mother Bethel, l’église épiscopale méthodiste africaine. Deux fois par mois, elles rendaient visite aux malades, aux enfants des orphelinats, et distribuaient de la nourriture et des médicaments aux nécessiteux.
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