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Critiques de Bruce Wagner (8)
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Toujours L.A.

Un bon roman, satire très drôle de l'univers hollywoodien, avec ses personnages pittoresques, parfois très attachants, d'autres fois déroutants. Si l'histoire stagne à certains moments, ce roman reste très plaisant.
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Toujours L.A.

L'histoire avait pourtant bien commencé. Les affres d'Hollywood étaient bien mis en avant. Les personnages avaient beaucoup de potentiel. Pourtant au fil de la lecture, on s'ennuie, on se lasse. une histoire trop longue et stagnante.

Bref, un ennuie total...
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Dead stars

Attiré par ce bouquin dont Bret Easton Ellis à fait l'éloge il m'a été impossible d'en poursuivre la lecture après 60 pages. Style désastreux, intrigue insupportable malgré quelques bonnes idées, glauque pour glauque, malaise extrême.

J'ai pour habitude de toujours finir un livre mais sur ce coup je n'ai pas pu.

Peut-être un problème de traduction ?
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Toujours L.A.

Ouvrir ce livre, c'est compter le nombre de signatures prestigieuses pour nous le vendre en force : « préface inédite de James Ellroy », commentaire de Bret Easton Ellis, critique élogieuse de Salman Rushdie, caution de deux réalisateurs - David Cronenberg et Oliver Stone – présents dans les rabats de la couverture (pour l'édition première chez Sonatine).



Vendu comme un grand roman noir sur le monde impitoyable de Hollywood, Toujours L.A. est écrit par un scénariste qui signe là sa première œuvre romanesque. Name-dropping à toutes les pages, personnages déjantés et amoraux, perversité, stupre, miroir aux alouettes de la célébrité, pas de tabous et surtout pas de scrupules.



Bruce Wagner est donc scénariste. Juste retour des choses, l’histoire de Toujours L.A. a tout du scénar qui a été refusé et que l’auteur a jugé bon de transformer en roman. Dans la jungle de Los Angeles, trois personnages emblématiques des multiples visages de la célébrité se croisent. Becca, dont la ressemblance troublante avec Drew Barrymore lui permet d’exercer en tant que sosie de cette dernière et qui, en attendant son heure de gloire joue les figurantes-cadavres dans des épisodes de Six feet under. Kit Lightfoot, jeune premier qui doit interpréter le rôle d’un handicapé mental dans le prochain film de Darren Aronofski. Et Lisanne, assistante personnelle de célébrités, dont la vie sexuelle et sentimentale chaotique n’a d’égal que sa passion pour le New Age tendance sectaire. Ces personnages qui vivent dans trois sphères différentes du système hollywoodien vont se croiser, puis retrouver leurs destins liés de manière inextricable. Dans cette course effrénée à la célébrité, qui va en sortir avec le moins de casse ?



Mais le bon scénariste ne fait pas pour autant le bon romancier. Ecrire pour le cinéma, ce n’est pas la même chose qu’écrire un roman, tout comme une bonne image en littérature n’est pas forcément exploitable à l’écran. Toujours L.A. est un roman laborieux, mal construit et surtout écrit avec le minimum d’efforts possibles tant du côté épaisseur des personnages que… de l’écriture tout simplement. Il n’y a rien à sauver, c’est encéphalogramme plat (à noter que l’ont peut trouver dans ce roman parmi les pires scènes de sexe en littérature). La déception va grandissante au fil des pages, exactement comme une bande-annonce géniale donnant lieu à un film raté. Et ça dure plus de 500 pages.



L’ironie, c’est d'avoir placé les accroches de deux romanciers qui ont sans doute le mieux écrit sur Los Angeles et le monde du showbiz. James Ellroy tout d’abord avec L.A. Confidential et Bret Easton Ellis avec Glamorama.



Il existe assez d’œuvres sur le sujet plus essentielles à lire ou visionner. Il en ressort que Los Angeles n’en finit pas de fasciner et d’apparaître comme une ville tentaculaire qui peut broyer autant que magnifier ceux qui s’y accrochent. Comme le disait James Duvall dans le film Nowhere de Gregg Araki « L.A. is like nowhere. Everybody’s live here is lost. »
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Dead stars

Voilà un roman qui promettait beaucoup et qui déçoit énormément. Tout dans ce livre m'attirait, mais l'auteur, en voulant tellement appuyer sur le côté satirique, passe complètement à côté de ses thèmes. Une grande déception pour un roman qui a tout de même reçu un très bon accueil.
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Dead stars

4 e de couverture prometteuse. Pourtant le style est insupportable. Effort monstre pour parvenir à la fin du premier chapitre. Impossible de continuer.
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Dead stars

A travers cette satire du culte de la célébrité, Bruce Wagner joue avec la typographie et la mise en page, défie les règles de la ponctuation, détourne des références de la pop culture et invente au passage quelques mots (les "kansurvivants", notamment).


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Toujours L.A.

Puissant. Un univers qui vous entraine, beaucoup de rythme, un vrai bon moment.
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