Voilà un roman qui promettait beaucoup et qui déçoit énormément. Tout dans ce livre m'attirait, mais l'auteur, en voulant tellement appuyer sur le côté satirique, passe complètement à côté de ses thèmes. Une grande déception pour un roman qui a tout de même reçu un très bon accueil.
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4 e de couverture prometteuse. Pourtant le style est insupportable. Effort monstre pour parvenir à la fin du premier chapitre. Impossible de continuer.
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A travers cette satire du culte de la célébrité, Bruce Wagner joue avec la typographie et la mise en page, défie les règles de la ponctuation, détourne des références de la pop culture et invente au passage quelques mots (les "kansurvivants", notamment).
Lire la critique sur le site : Lexpress
Si les garçons t’aiment déjà bien comme ça c’est cool, tu dois être vraiment belle, mais s’ils sont déçus que tu sois plutôt plate c’est juste vraiment dommage pour eux parce que l’unique raison pour laquelle les gens aiment les gros seins c’est qu’ils peuvent enlever le soutien-gorge et faire toutes sortes de choses avec eux, MAIS si tu portes un soutien-gorge pigeonnant les garçons seront encore plus déçus quand tu l’enlèveras parce qu’ils vont s’attendre à voir une belle paire de nénés, mais si tu portes un soutien-gorge normal au moins tu sais que tes seins sont réels et tu peux même le dire aux mecs si tu veux parce que c’est la vérité et ils ne t’aimeront pas que pour tes seins ;) en plus fais-moi confiance ce n’est qu’une question de temps avant que ton tour de poitrine arrive à du C sauf si vous avez des petits seins dans ta famille
Naturellement, les lois de Newton de la presse négative prévalaient et se vérifiaient dans le réel – le brouhaha de la censure se répandit à l’échelle nationale et le Premier ministre révolté bondit consciencieusement dans la mêlée. Mais l’artiste ne devait pas s’inquiéter, une célébrité venait lui apporter son aide (seconde loi de Newton) sous rien de moins que la forme de Cate Blanchett, capitaine d’équipe dans la prestigieuse poursuite du plus parfait tour de poitrine d’Australie.
Dans la conception globale des choses, cela n’a pas vraiment d’importance de savoir si vous avez vécu une heure, une année ou une centaine d’années – la durée de la vie humaine est un nuage de graffitis.
Quoi qu’il fasse, il n’avait aucune putain d’envie de se ramasser. (Jamais.) Il ne s’agissait pas d’une tocade de la quarantaine, c’était un acte d’amour, ou ça devait l’être, tout autant qu’un cri du cœur*. Mais le virus du doute l’avait infecté, et l’expérience prouvait que c’était une bestiole difficile à exterminer.
Vous avez gagné le droit de bénéficier d’un peu de temps supplémentaire pour donner un sens à votre vie. Parce que tout ce dont vous avez besoin c’est d’un peu plus de temps, pour voir – que la vie n’a aucun sens si ce n’est d’accomplir ce que vous aimez et d’aimer ceux que vous aimez.