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Citations de Catherynne M. Valente (72)


Catherynne M. Valente
Naturellement, une bibliothèque n'est jamais complète. C'est ça la beauté de la chose! Nous cherchons toujours un livre à ajouter à notre collection.
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"Bien des lumières, douce enfant, naissent dans la pénombre."
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Les chaussures créent la voie que tu suis. Change de chaussures, tu changeras de voie.
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Les rêves gardent le cœur en vie, de même que les vieux soupers ennuyeux gardent le corps en vie.
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Dans le mariage comme à la guerre, on doit découper ce que les gens disent, comme un gâteau, et ne manger que ce que l'on peut digérer.
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"Je sais que tu ne le pensais pas, quand tu as dit que je t'appartenais." La grande bête fit doucement claquer sa queue rouge. "Mais je pourrais t'appartenir. Et tu pourrais m'appartenir ! Tous ces jeux merveilleux auxquels nous jouerions !"
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quand une boite est fermée, on ne peut savoir ce qu'elle contient, ainsi on peut considérer qu'elle contient tout, parce que, en fait, elle pourrait contenir n'importe quoi ; tu comprends ? Mais quand on l'ouvre, on affecte son contenu. Observer une chose la change, c'est la loi, on n'y peut rien.
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Je te souhaite le meilleur de ce qu'on peut espérer, et rien de pire que ce à quoi s'attendre.
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Ainsi, mieux vaut être fort et cruel que juste. Au moins, l'on mange mieux. Et notre moralité dépend davantage de l'état de notre estomac que de notre nation.
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p.360.

et puis, qu’est-ce que le monde sinon un ring de boxe où les sots et les diables lèvent les poings ?
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La Terre, ma chère, est globalement trapézoïdale, vaguement rhomboïde, elle ressemble légèrement à un tesseract et se montre très grincheuse quand on la caresse à rebrousse-poil!
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L'odeur de l'amour est difficile à décrire, mais si vous pensez aux moments où quelqu'un vous a serré dans ses bras et vous a protégé, vous vous en souviendrez aussi bien que moi.
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Il était une fois une fille appelée Septembre qui gardait un secret.
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La guerre se fait toujours hors de vue, ou alors elle choque les gens et il faut arrêter sur-le-champ.
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Comme le savent toutes les mères, les enfants courent plus vite que les baisers.
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Quand tu nais [...] ton courage est neuf et propre. Tu es assez brave pour affronter n’importe quoi : descendre un escalier en rampant, prononcer tes premiers mots sans craindre que quelqu’un te trouve stupide, fourrer des choses bizarres dans ta bouche. Mais en vieillissant, ton courage attire des saletés, des sortes de croûtes, de la terre, la peur, la conscience que de mauvaises choses peuvent survenir et la connaissance de la douleur. Le temps que tu sois à moitié adulte, ton courage remue à peine tant la vie l’a encrassé. Alors, de temps en temps, il faut le nettoyer et le remettre au travail, sinon tu ne seras plus jamais brave.
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Une carte de rationnement dit : Nous vous avons alloué telle portion de vie. Ou encore : Voici telle portion de mort que nous tiendrons à l'écart de votre porte. Mais plus maintenant. Désormais, elle annonce : À Leningrad, il n'y a qu'une quantité limitée de vie. Ou encore : La seule chose qui n'est pas rationnée, à Leningrad, c'est la mort.
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Les fermiers veillent toujours à ce que leurs fils aient peur des jolies filles, afin qu'ils ne quittent pas trop tôt le foyer ; alors, ils leur racontent qu'une belle femme a noyé le cousin de l'ami de leur frère dans un lac, non pas parce que ce porc le méritait, mais parce que les belles femmes sont mauvaises, et souvent des sorcières. Et peu importe qu'elles n'aient jamais demandé à être belles, ni à naître dans un lac, ni à vivre éternellement, ni à ignorer que les hommes ont besoin de respirer tant qu'ils n'ont pas cessé de le faire.
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Comment le savent toutes les mères, les enfants courent plus vite que les baisers. La vitesse d'un baiser est, en fait, ce que le docteur Jachère aurait appelé une constante cosmique. La vitesse des enfants, elle, n'a pas de limite.
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p.31.

Si l’univers doit être partagé entre voir et ne pas voir, pensait Maria, je préfère voir.
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