Charles Berbérian

Un trait épatant, pour une histoire qui l'est un peu moins? Quel caractères!..

La série des Monsieur Jean est tout simplement un pur bonheur. On voit évoluer dans un graphisme des plus agréables et contemporains, un personnage qui pourrait être un des nôtres, ami ou voisin.... Merci et encore !

Des voyageurs de retour qui partagent leurs souvenirs de séjour équitable lors d'une soirée diaporama. Un homme d'influence nommé Alban Ninque (Alain Minc ?) qui n'hésite pas à demander au 1e ministre de débloquer des fonds pour aider la communication du groupe Fofal Tina (Total évidemment) en plein dans la tourmente écologique. Au passage, comme d'autres, il saura se remplir confortablement les poches. La France d'en haut qui baigne dans le dédain et la corruption, la France d'en bas face à ses paradoxes de consommation juste et de réflexes quotidiens.

Tout débute par cette soirée diapo sur un voyage au Chiroubistan. Quelques pages, et une chute cynique et révélatrice de l'absence de communication entre les peuples y compris dans ce contexte de tourisme de bonne volonté. On pense que l'album est découpé en saynètes indépendantes les unes des autres. Mais ce sont plutôt des chapitres qui mettent en scène des personnages que l'on retrouve.



Le riche Alban Ninque, expert en corruption éhontée, qui ne souffre d'aucune ironie de la part d'une jeune journaliste. L'avantage d'avoir beaucoup d'argent c'est qu'il va pouvoir se venger, y compris en introduisant des chevreuils au Bénin, sans souci de déséquilibrer l'écosystème.



Avec plein de détails farfelus et d'autres beaucoup plus réalistes, les auteurs nous donnent à lire une France actuelle, une France d'en haut qui fait face à de fortes pertes financières et trouve là l'opportunité de s'enrichir en gonflant les déficits et en quémandant une aide de l'Etat. Deux ans qu'est paru l'album et il flotte comme un air d'actualité...

(...)


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Sacha est un gros chat, compagnon d'un musicologue misanthrope. Autour de lui, une flopée d'autres chats ou qui croient l'être, de chiens, d'oiseaux errants en quête de nourritures terrestres et spirituelles. Autour de lui aussi, des hommes et des femmes qui, sans le savoir, recherchent la même chose dans un Paris sombre et difficile. Vous ne connaissez pas le trait et l'univers de Charles Berberian. Il est temps. Élégance, sensibilité, profondeur... un régal de roman graphique.

Monsieur Jean s'installe avec Cathy et leur fille, et pour cela doit déménager.



Un album de Dupuy et Berberian classique, avec lequel on passe un moment agréable dans leur univers.

Grâce aux auteurs de B.D.Dupuy et Berberian, le lecteur revisite l'évolution de la vie quotidienne et des paysages, des années 1920 à nos jours. Un livre composé de trois volets (la rue, l'appartement, la campagne) et de quatre arrêts sur images à quatre périodes différentes (années 20, années 50, années 70 et années 2000). Où les plus jeunes découvriront que non, le téléphone portable n'a pas toujours existé, que les horodateurs sont nés dans les années 1980, qu'avant les lecteurs mp 3 il y avait des gramophones et que la France entière n'a accès à l'eau courante que depuis les années 1980, et beaucoup d'autres choses encore...



La suite sur mon blog de littérature jeunesse : http://autraversdumiroir.blogspot.com/2011/08/comment-cetait-avant-de-dupuy-et.html
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Une série d'une grande maturité.

D'album en album, Monsieur Jean évolue et gagne en maturité. De jeune trentenaire célibataire, il est devenu père, après sa rencontre avec Cathy, et le voilà maintenant prêt à s'intaller en famille.

À travers les différents caps de la vie de Monsieur Jean, Dupuy et Berberian portent un regard amusé et tendre sur notre quotidien et nous renvoient à nos propres interrogations avec humour et tendresse, avec un trait fin et délicat qui sied à merveille avec les interrogations de l'anti héros qu'est ce Monsieur Jean .

Toute en finesse, la série que Dupuy et Berbérian consacrent à l'adolescence nous fait entrer dans le monde d'Henriette, une gamine complexée et sensible. Touchant.

C'est une BD à ne pas trop prendre au sérieux justement, contrairement à la mention "un livre sérieux de Fluide Glacial" qui apparaît sur la couverture. Les planches sont belles, les couleurs vives et le trait soigné, mais les anecdotes, les histoires, sont beaucoup moins profondes que les aventures de M. Jean.
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Henriette est une petite fille ronde, mal dans sa peau, et qui rêve de devenir écrivain. Pas mal, mais sans plus. Je m'attendais à mieux.

En 1940 Charlotte Perriand architecte et désigner, ayant travaillé avec le Corbusier, est approchée pour être conseillère dessinatrice en arts décoratifs auprès du ministère du commerce extérieur. Et contrairement à ses prédécesseurs elle remet en cause tout le travail effectué avant afin de s inspirer de la culture japonaise et créer du nouveau en s inspirant du vieux .

Le graphisme de ce roman graphique est très simpliste se limitant à un design épuré comme sûrement l œuvre de Perriand. Je pense que c était la volonté principale de l auteur et c était une bonne idée sur le papier mais pour moi le ressenti face à l ouvrage n est pas là. Ça ne m à pas réellement parlé.

Concernant le fond de ce roman graphique, je trouve que ça manque de consistance. Le dossier interview est alors nécessaire pour compléter ce sujet beaucoup trop léger pour moi.

J'étais assez curieuse de savoir ce qui pouvait se cacher derrière ce titre. J'avoue que j'ai eu du mal à voir un réel fil conducteur. Les thèmes/ histoires se suivent mais ne se ressemblent absolument pas (ce qui en un sens est intéressant, mais empêche malheureusement d'avoir une cohérence d'ensemble). Les dessins également sont extrêmement différents d'une scène à l'autre cela m'a donc semblé assez décousu et comme un assemblage de différentes publications n'ayant pas grand chose à voir les jns les autres.

Un peu déçue de cette lecture - j'ai cependant bien aime le sursaut européen qui m'a rappelée bien des souvenirs !

Un magnifique ouvrage qui interroge les origines et qui dépeint si bien le Liban. J'ai adoré les dessins, les interrogations, les petits moments de l'enfance qui restent gravés à tout jamais dans la mémoire. Une pépite très émouvante, où plane l'image du frère disparu.

La mise en scène est subtile, les planches sont joliment composées. À chaque époque, sa couleur.
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Objectivement j’imagine que l’on peut dire que c’est une BD de qualité mais je n’ai pas trop accroché. J’ai apprécié la technique du dessin et j’ai cru reconnaître l’écriture particulière des contes ou des récits mythologiques.



Les personnages sont antipathiques, ils sont froids mais encore une fois je reconnais la pâte particulière des récits épiques.



J’ai apprécié les notes de l’auteur sur sa démarche, l’histoire, la critique des colons qui ont volé les œuvres d’art et le réinvestissement de l’histoire de Gilgamesh par les différentes formes d’art.



Avis mitigé. Mais contente de l’avoir découvert.

Emile est un loser pathétique, sa femme l’a quitté et il vit chez ses beaux-parents avec son fils, dans les Côtes d'Armor. Il aurait voulu être joueur de rock, mais il est employé dans une agence immobilière et son patron est un connard… C’est alors que Boris (son vrai nom est imprononçable pour nous) entre dans sa vie pour y mettre un sacré bordel. Ça me fait toujours marrer, les histoires d’extraterrestres qui débarquent parmi nous. C’est plutôt “Paul” que “E.T.”. C’est burlesque, totalement rocambolesque, on s’attache à ces héros pathétiques. Le graphisme est brut, en noir et blanc, au crayon, les pages sont assez grisâtres, un peu trop raide, un peu trop brut, pas très alléchant, j’aurais apprécié quelques petits moments de poésie, de lyrisme, c’est trop uniforme dans l’ensemble. C’est loin d’être un coup de cœur, mais c’est tout de même, par son côté rocambolesque, une lecture très distrayante.

Une bande dessinée sur le passage de la trentaine qui raconte plusieurs petites histoires autour du personnage de Monsieur Jean. C'est attachant, poétique et humoristique. Une BD classique comme l'est un Larcenet. Les nuits blanches offrent une l'occasion de rêves fantaisistes qui répondent aux tourments très intellectuels du protagoniste.

Le concept est simple et forme un savoureux cocktail. Il m’a complètement séduit.

« Chants d’amour » est divisé en quatre tomes qui regroupent quatre nouvelles écrites par huit auteurs et autrices différentes.



Le premier tome est titré « La rencontre », le deuxième « Le secret », le troisième « Clash » et le quatrième étant titré « (Happy) end ». Il est nécessaire, bien sûr de les avoir tous et de tous les lire, pour comprendre les nouvelles.

Ce sont quatre histoires d’amour sur le thème du coup de foudre et de la discorde, chacune écrite à quatre mains, par un binôme auteur / autrice, dont l’un ou l’une commence le récit et dont l’autre en écrit une suite. Chacun.e mettant en valeur un des personnages de l’histoire initiale, en y ajoutant aussi son propre style et en veillant à une belle continuité et harmonie.



La première histoire « Nerver gotta Let you down » brillamment commencée par Fanny Salmeron, que j’ai découverte à l’occasion et continuée par Arnaud Le Guilcher, un romancier que j’ai aussi découvert et apprécié.

Eva est une jeune fille de seize ans qui s’ennuie dans le camping où elle accompagne ses parents tous les ans. Plus intéressée aux jeux qu’aux garçons, elle va cependant rencontrer Sacha. Les deux jeunes gens seront attirés l’un vers l’autre.

Cette rencontre est-elle un hasard ? ou est-ce le plan diabolique, d’un pacte que Sacha a signé avec un groupe de jeunes gothiques désœuvrés ?

Mais le jeune homme tombe amoureux d’Eva et son challenge sera très dur à relever...



La deuxième histoire « Near love expérience » est commencée par Denis Parent, bien imaginatif et continuée par Claire Barré.

Claire qui fut vraiment très inspirée, par ce récit bien « alambiqué », par ce voyage traumatisant pour les deux personnages du roman. L’auteure était dans son élément.

C’est l’histoire de Simon Sorreau qui s’écroule d’un infarctus dans un jardin. Marie Sherrer, une ravissante chirurgienne, qui passait à ce moment, le sauve in extrémis. Elle l’opère en lui implantant un cœur artificiel et disparait.

Simon va alors bientôt voir d'étranges scènes où il se retrouve à vivre dans la peau de la chirurgienne qui l’a sauvé. De désagréables sensations vont voir le jour, comme lorsque Simon va sentir les coups que Marie reçoit de son mari violent et jaloux.

Mais ce phénomène prend de l’ampleur lorsque Marie apprend à Simon qu’elle a la sensation aussi de vivre en lui, qu’une permutation extraordinaire s’est opérée. Les deux amants vont finalement se retrouver. Leur rapprochement charnel va se révéler fascinant et très déstabilisant aussi.

Et leur vie sera totalement bouleversée...



La troisième histoire « Les tourtereaux du 127 ». Elle est commencée par Anna Rozen et continuée par Charles Berberian, excellents et bien en phase tous les deux.

Cette fiction raconte la rencontre entre la jolie Elvire, qui s’ennuie dans la vie et dont son appartement vient de prendre feu et Vladimir son voisin, un garçon très doux, très attiré par la jeune femme.

Par un concours de circonstances, ils se retrouveront tous les deux, dans un groupe de vieilles personnes, pour des vacances au Guatemala….

Elvire, qui est plus dans la dynamique, commence fermement à s’ennuyer parmi ces vieux qui la regardent parfois avec convoitise. Tandis que Vladimir, plutôt lymphatique, ravi de la compagnie de son amour, n’est pas affecté par ce manque d’activité, dans cet hôtel perdu au milieu de rien.

Le couple éclatera...



Enfin, la quatrième histoire « Zigzags » est commencée par Jérôme Attal et est continuée par la truculente Juliette Bouchet, que j’ai découvert grâce à ces présents « Chants d’amour ».

Dans cette fiction légère et moelleuse à lire, Victor Aumont, célibataire a un grand projet. Celui d’ouvrir une pâtisserie, au cœur de Paris, pour vendre sa spécialité ; des éclairs en forme d’éclair.

Un jour, son ami d’enfance, un joueur de poker, lui parle qu’un organisateur mystérieux. Celui-ci recherche un cuisiner pour faire un gâteau à l’occasion d’une soirée privée. Ce sera bien payé.

C’est ainsi que Victor se retrouve les yeux bandés, dans une voiture qui l’amène à cette soirée.

II sent à ses côté une présence, celle d’Olympe, une femme qui a aussi les yeux bandés. Chacun fera la connaissance de l’autre. Victor append qu’Olympe est la fille qui sera dans le gâteau. La soirée s’annonce très spéciale !

Le choc sera terrible, lorsque Victor ayant terminé son gâteau, découvrira la beauté d’Olympe lorsqu’elle entra dans la grosse pâtisserie.

Victor va tomber vite amoureux. Et c’est aussi à ce moment que les ennuis commenceront.

Olympe ne sera pas en reste d’ailleurs. Car la belle se révèlera plus mystérieuse et plus secrète que Victor ne le pensait.

Suite à un grave incident qui s’est produit à une de ces soirées, Olympe disparait…



Jérôme Attal, un auteur que je découvre, alterne l’écriture de ce récit avec Juliette Bouchet. Il est plein de verve et plein d’humour.

Quant à Juliette Bouchet, est m’a semblé encore très inspirée, avec toujours cette belle énergie à raconter. Elle excelle dans les bons mots, dans la répartie qui fait beaucoup sourire.

Mais le style si plaisant de l’épisode II changera de ton à l’épisode IV.

L’auteure terminera cette belle histoire d’amour, avec un style plus lyrique et poétique.

S’attardant sur les états d’âme de Victor, sur le manque sidéral créé par l’absence d’Olympe. Un homme qui ne peut se résoudre à oublier son amour perdu.

La fin sera bouleversante.

Le concept est simple et forme un savoureux cocktail. Il m’a complètement séduit.



« Chants d’amour » est divisé en quatre tomes qui regroupent quatre nouvelles écrites par huit auteurs et autrices différentes.

Le premier tome est titré « La rencontre », le deuxième « Le secret », le troisième « Clash » et le quatrième étant titré « (Happy) end ». Il est nécessaire, bien sûr de les avoir tous et de tous les lire, pour comprendre les nouvelles.

Ce sont quatre histoires d’amour sur le thème de la discorde, chacune écrite à quatre mains, par un binôme auteur / autrice, dont l’un ou l’une commence le récit et dont l’autre en écrit une suite, chacun.e mettant en valeur un des personnages de l’histoire initiale, et en y ajoutant aussi son propre style.



La quatrième histoire « Zigzags » est commencée par Jérôme Attal et qui est continuée par la truculente Juliette Bouchet, que j’ai découvert grâce à ces présents « Chants d’amour ».



Dans cette fiction légère et moelleuse à lire, Victor Aumont, célibataire a un grand projet. Celui d’ouvrir une pâtisserie, au cœur de Paris, pour vendre sa spécialité ; des éclairs en forme d’éclair.

Un jour, son ami d’enfance, joueur de poker, lui parle qu’un organisateur mystérieux. Celui-ci recherche un cuisiner pour faire un gâteau à l’occasion d’une soirée privée. Ce sera bien payé.



C’est ainsi que Victor se retrouve les yeux bandés, dans une voiture qui l’amène à cette soirée.

II sent à ses côté une présence, celle d’Olympe, une femme qui a aussi les yeux bandés. Chacun fera la connaissance de l’autre. Victor append qu’Olympe est la fille qui sera dans le gâteau. La soirée s’annonce très spéciale !



Le choc sera terrible, lorsque Victor ayant terminé son gâteau, découvrira la beauté d’Olympe lorsqu’elle entra dans la grosse pâtisserie.

Victor va tomber vite amoureux. Et c’est aussi à ce moment que les ennuis commenceront.

Olympe ne sera pas en reste d’ailleurs. Car la belle se révèlera plus mystérieuse et plus secrète que Victor ne le pensait.

Suite à un grave incident qui s’est produit à une de ces soirées, Olympe disparait…



Jérôme Attal, un auteur que je découvre, alterne l’écriture de ce récit avec Juliette Bouchet. Il est plein de verve et plein d’humour.

Quant à Juliette Bouchet, est m’a semblé encore très inspirée, avec toujours cette belle énergie à raconter. Elle excelle dans les bons mots, dans la répartie qui fait beaucoup sourire.

Mais le style si plaisant de l’épisode II changera de ton à l’épisode IV.

L’auteure terminera cette belle histoire d’amour, avec un style plus lyrique et poétique. Juliette s’attardera sur les états d’âme de Victor, sur le manque sidéral créé par l’absence d’Olympe.

Un homme qui ne peut se résoudre à oublier son amour perdu.

La fin sera bouleversante.

Une vingtaine de textes regroupés dans ce livre pour autant de réflexions sur des sujets traitant notamment de la physique.



Etienne Klein a écrit ces billets en 2016 pour le journal La Croix. Les voici compilé dans cette ouvrage réédité chez Champs. Et il nous invite à nous poser quelques questions que nous nous sommes forcément déjà posés ! Par exemple : pouvons-nous marcher sur l’eau ? On verra qu’en théorie, c’est possible. En revanche, pour la pratique, ça se corse. Je laisse le suspens entier !



L’auteur ose, tente des comparaisons pour le moins inattendues. Quel peut être le point comment entre l’origine de l’Univers et l’origine de … Tintin ? Bien évidemment, pour le physicien qu’est Etienne Klein, il paraitrait impensable d’écrire ce genre de livres sans évoquer une ou plusieurs fois le génie Einstein !



Lire ce livre vous fera certainement produire de l’énergie. Vous produisez quelques watts tous les jours. Suffisamment pour en savoir plus sur les réflexions des penseurs grecs sur les atomes. Ils étaient quand même bien inspirés. Bien sûr à cette époque, difficile de mener des expériences permettant de prouver leurs dires, mais le niveau de recherche était quand malgré tout très évolué pour l’époque.



Mais comment ont été acquises toutes ces connaissances ? La science peut-elle se contenter que de théorie ou d’observation ? Les deux sont bien évidemment très fortement liées et la démarche scientifique nous permet de savoir que nous savons (je vous inviterai à lire le chapitre à ce propos). Cependant, la recherche doit faire face à l’obscurantisme. Et il est quelque part inquiétant de voir une montée de ce dernier. On le constate aisément dans la période que nous traversons. Quel rôle doit donc jouer la science auprès du grand public ?



Mon avis : sur la forme tout d’abord, nous avons ici un livre qui se lit très rapidement, joliment illustré par Charles Berberian. Sur le fond, c’est plutôt agréable à lire. C’est une belle invitation à la réflexion et au dépassement de quelques préjugés. La lecture est très simple de par les billets assez courts.
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