Citations de Charles l`écrivain des Gémeaux (52)
Tes yeux étaient des étoiles, que me jalousaient toutes les Voies lactées...
Même si j'avais su dès le début que t'aimer serait une erreur, je l'aurais fait quand même...
Je sens la mort me saisir mais ce qui m'effraie le plus, n'est pas mon présent qui s'éteint, mais notre futur que j'emporte avec moi...
De tes lèvres, tu as embrassé mes doutes et ils se sont changés en certitudes...
Je pense que, dans votre détresse, vous étiez devenu insensible aux sentiments des autres. Vous pensiez la vie tellement injuste envers vous, que vous mettiez tous les autres dans le même panier. Il faut que vous sachiez que le plus grand mal qu’on puisse faire à quelqu’un, c’est de cracher sur ses sentiments.
La vérité effraie toujours ceux qui se plaisent dans le mensonge…
Le plus difficile quand on décide de changer, c’est de changer l’image que les gens ont de vous…
L'espoir réside en ceux qui le cherchent
Ce sont nos blessures qui nous rendent uniques... Aujourd'hui, j'apprends la résilience, comme on apprend à marcher : un pas à la fois...
— Vous allez enfin me dire bonjour ? me demanda-t-elle sur un ton plus qu'amical.
Cette question me révolta.
— Vous le trouvez bon, le jour ?
Une réponse que je n'aurais pas donnée il y a de cela trente minutes.
Elle esquissa un bref sourire avant de poursuivre :
— Le jour est toujours bon, le tout est de savoir apprécier le goût qu'il a.
"La veille, toute la nuit, et ce durant des jours, le vent glacial et meurtrier du Yukon, avait une fois de plus démontré aux yeux des Hommes, toute l'étendue de la cruauté de mère Nature: la femme-neige, vêtue de son linceul blanc, nous avait enlacé de tout son souffle et de tout son amour."
Il y a dans le coeur des portes qu''il ne faut ouvrir que si on est vraiment sûr de vouloir les passer.
Je vais le dire haut et fort. Tu es l'être suprême. Tu peux réveiller l'instinct animal de l'homme, et l'éteindre quand tu veux. Tu peux donner la vie, comme tu peux la retirer. Tu peux donner l'espoir, comme tu peux le reprendre. Alors, pourquoi te cantonnes-tu au second rôle? Pourquoi laisser à ce monstre d'avarice tout ce dont tu es propriétaire?
Mais personne n’osait sortir pour se mesurer au froid-prédateur, qui attendait patiemment dehors, les griffes profondément ancrées dans la neige et les crocs à l’air, guettant aux portes des maisons ses prochaines proies l’air affamé.
Ma mère me serra davantage contre elle, avec mon petit frère dans ses bras. Je voyais les mains de ce petit être d’à peine dix mois, greloter sans arrêt. Je revois ses yeux fermés par la fatigue, ses paupières cristallisées par le froid, et ses petites lèvres fendues par la faim.
La veille, toute la nuit, et ce durant des jours, le vent glacial et meurtrier du Yukon, avait une fois de plus démontré aux yeux des Hommes, toute l’étendue de la cruauté de mère Nature : la femme-neige, vêtue de son linceul blanc, nous avait enlacé de tout son souffle et de tout son amour.
Entassant, sur son passage, des dizaines de cadavres désespérés.
Chaque jour, cette nuit revient en moi comme un cauchemar…
Même aujourd’hui, je me rappelle encore comme si c’était hier…
Ce sont nos blessures qui nous rendent uniques…
Aujourd’hui, j’apprends la résilience, comme on apprend à marcher : un pas à la fois…
Si la distance a raison des cœurs, c'est qu'ils n'ont jamais été proches...
L'amour est certes la mort du devoir mais moi, mon devoir est de t'aimer...