Citations de Christian Sundberg (202)
Dans notre expérience physique locale, la loi de l'attraction est une aide, en partie parce qu'elle nous permet "d'obtenir ce que nous craignons", ce qui favorise l'une des raisons d'être de notre univers : permettre aux individus de faire face à leurs peurs, et de les maîtriser.
P.68
L'univers physique répond aux intentions, pensées et croyances de l'individu et du collectif. L'intention a le pouvoir de "donner un coup de pouce" aux probabilités de déroulement de la réalité physique. Ces processus ne sont pas en conflit avec les lois de l'univers physique, elles en font partie.
P.68
L'expérience de la réalité physique devient manifeste grâce à des processus qui se déroulent dans des dimensions supérieures qui, elles-mêmes, sont à leur tour gouvernées par des lois naturelles qui leur sont propres.
P.67
L'"apprentissage" que vient faire l'esprit sur Terre n'est pas intellectuel, mais expérientiel. C'est un apprentissage de l'Etre par l'être.
P.66
La santé est notre état naturel d' Etre. Avec le temps, nous revenons toujours naturellement à la plénitude et à la santé, même s'il y a mort physique. Souvent, nous pouvons favoriser le processus de guérison en localisant et en lâchant nos propres barrières. Quand la vie peut s'écouler librement à travers nous, une guérison peut naturellement avoir lieu.
P.63
Métaphoriquement parlant, mourir c'est enlever une combinaison spatiale contraignante et retrouver la liberté de ce que l'on est réellement.
P.62
Nous faisons l'expérience de la souffrance, quand nous nous associons aux formes (pensées, histoires, croyances, objets, sensations, etc) et que nous "nous perdons" en elles.
p. 62
Les objets du monde ne nous procurent jamais une complète satisfaction, car ce que nous cherchons réellement est l'unité et la plénitude, qui sont inhérentes à notre être plus profond.
P. 62
L'intention aimante tend à produire une expérience joyeuse (elle est en concordance avec notre vraie nature) ; une intention craintive tend à produire une expérience négative (elle est en concordance avec l'illusion d'une séparation).
P.62
On ne vainc pas la peur en résistant à la réalité ou en créant des divisions, mais en faisant volontairement l'expérience de la réalité exactement telle qu'elle est.
P. 60
Afin d'être réellement un humain et d'en vivre la pleine expérience physique, nous avons besoin d'oublier tout ce que nous sommes par ailleurs. Le voile est le "mécanisme spirituel", ou peut-être même la "technologie de la conscience", permettant cela.
La paix ne sert pas juste à vous soulager profondément, elle vous permet aussi de regagner un pouvoir afin d'aider au mieux cette planète, car lorsque vous êtes connecté à ce qui est vrai (réellement vrai !), vous pouvez et allez aider à guérir le monde, de façon presque automatique. Sinon, quand vous êtes dans la détresse, vous êtes perdu puisque vous êtes une petite part du problème.
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Ne pas attribuer à la douleur une signification, ou une histoire, a un effet très puissant. (...) Quand on peut la voir comme une sensation plutôt que comme une histoire et qu'on lui permet pleinement d'être simplement présente, elle va avoir la capacité de partir d'elle-même.
Il y a une différence entre rejeter la réalité et décider d'agir sur la base de l'amour et de la présence, où que vous soyez, afin de remédier à une chose qui , comme vous le constatez, a besoin d'être guérie.
Cette dernière approche est en fait plus difficile à adopter car elle implique de ressentir pleinement, de rencontrer pleinement l'expérience, et d'accepter la responsabilité pour tout le désordre du monde en son entier, au lieu de l'accuser.
Nous sommes responsables de notre intention, qui est le mouvement primordial de notre être. Notre intention est soit basée sur l'amour, soit basée sur la peur, et elle donne naissance à toutes sortes de formes, dont les pensées et les actions.
Nous ne sommes pas nos pensées, nous sommes la conscience faisant l'expérience des pensées.
Le suicide n'est pas une porte de sortie. Il n'est pas un échappatoire : il faut encore se confronter à la peur ayant conduit à cet acte.
Quand nous agissons dans la joie, cela rappelle automatiquement aux autres la joie de leur propre être. En ce sens, l'amusement est en lui-même une forme de service.
Le pouvoir réside dans l'acceptation de l'absence de pouvoir.
Il n'y a pas de honte à ressentir la peur quand notre vie physique ou notre stabilité est menacée : reconnaître que nous la ressentons et que nous lui permettons de se manifester clairement est même un pas en direction de son intégration et de sa guérison à jamais.