Christie Golden

C’est un livre que j’ai acheté d’occasion sans en avoir particulièrement entendu parler. Il ne fait pas partie de la saga Assassin’s Creed, c’est une sorte de spin-off. J’avoue que je ne maîtrise pas particulièrement l’univers de base, et c’est quelque chose qui a manqué un peu selon moi : l’intrigue est bien présente, mais je trouve que le résumé de l’univers est trop court, voir inexistant, et j’aurais aimé en savoir plus pour peut-être mieux comprendre. 🤔



Malgré tout, au fil de l’histoire, les effets secondaires de la machine sont mis en avant ainsi que d’autres détails, mais tout se passe surtout avec l’ancêtre de Simon, Gabriel Laxart. 🛡



Même s’il y a un côté romanisé et de fiction, c’est une belle leçon d’histoire sur Jeanne d’Arc. Je ne connaissais rien d’elle, si ce n’est son nom, ses voix et sa mort tragique, mais ce récit m’a permis de mieux connaître son histoire particulièrement intéressante. 🤓



Mais ça a peut-être été un petit point négatif : il y a une intrigue générale, bien sûr, mais c’est plus de l’histoire que du divertissement selon moi.
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Très bonne fictions d'Assassin's Creed, qui se passe du côté des Templiers, pour changer ! On apprend beaucoup de chose au sujet des Templiers, de la façon dont ils voient les Assassins, et de l'utilisation de l'Animus et ses effets secondaires. Il faut cependant bien suivre pour bien comprendre, car j'ai trouvé l'histoire un peu compliquée vers la fin. Ce n'est pas le premier Assassin's Creed que je lis, et j'apprécie énormément ces fictions, qui m'apprennent des choses sur l'Histoire, et me donnent envie de lire d'autres fictions historiques.

Salut les Babelionautes

Peu familier de jeux vidéos je me suis régalé a lire cette Novélisation du jeu Assassin's Creed inspirée surtout du film, que je n'ai pas vu non plus.

Donc c'est s'en à priori que je me suis plongée dans ce récit mêlant la Science fiction et la Fantasy.

Callum Fynch, un condamné à mort, échappe a son destin pour servir les buts cachés et tant convoités de l'Ordre des Templiers, localiser dans l'Andalousie de 1491 un artefact, sensé éliminer la Violence en supprimant le Libre Arbitre de l'Humanité.

On y suit son parcours, qui tout en faisant semblant de collaborer, cherche un moyen pour s'enfuir.

Il trouvera de l'aide auprès d'autres personnages, qui comme lui, n'aspirent qu'a se sortir des griffes des Templiers.

Ce court roman me donne envie de découvrir les autres tome écrient par Oliver Bowden et la BD d'Éric Corbeyran

Assassin’s Creed est la novélisation du film éponyme, lui-même tiré de la célèbre franchise de jeu vidéo. L’œuvre met en scène Callum Lynch, un condamné à mort qui tombe aux mains d’Abstergo, et donc des Templiers, bien décidés à retrouver dans les souvenirs de son ancêtre Aguilar l’emplacement de la Pomme d’Eden, un artefact qui renferme le code génétique humain et permet de contrôler le libre-arbitre.



Une lecture intéressante, qui apporte bon nombres d’éclaircissements et d’éléments nouveaux par rapport au film. La psychologie de Cal est davantage développée, et on en apprend surtout plus sur les autres Assassins, notamment grâce aux chapitres spéciaux à la fin du livre, qui présentent leurs aïeux.



En revanche, je suis partagée sur Sofia. Si j’ai apprécié le lien subtil que le roman établit entre les Assassins et elle (dommage que, en l’absence de suite au film, il n’aille pas plus loin), j’ai trouvé la romance avec Cal superflue, et surtout…



Je crois qu’au moment de me plonger dans ce récit, ce que j’en attendais le plus, c’était une explication logique au revirement final de la jeune femme. Eh bien… Il y a une explication. Logique, je n’irais pas jusque-là. L’auteur pouvait difficilement accomplir un miracle, et c’est par conséquent aussi mal amené que dans le film.



Sofia est la principale responsable du dénouement. Elle avait parfaitement conscience de ce qui allait se produire, et elle n’a rien fait, absolument rien, donc se transformer soudain en impitoyable antagoniste assoiffée de vengeance… Non, désolée, ça ne tient pas, même pour les raisons que ce roman tente de mettre en lumière.



Il n’en demeure pas moins plaisant à lire, d’autant qu’il a le mérite d’être moins répétitif que les novélisations des jeux, trop calquées sur leur mécanique. Je le recommande à ceux qui ont apprécié le film ou qui voudraient découvrir cette histoire même sans l’avoir vu.
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Novélisation du film Assassin's Creed, lui même inscrit dans la continuité des jeux vidéos du même nom, ce roman de Christie Golden séduira surtout ceux qui sont familiers de l'univers. On y suit le destin de Callum Fynch, un condamné à mort qui est sauvé par l'Ordre des Templiers pour aller localiser dans l'Andalousie de 1491, le lieu de l'artefact tant convoité par l'organisation…

L'histoire est rythmée et l'écriture très cinématographique de Christie Golden nous plonge vite dans l'ambiance. On se laisse entraîner par les différentes péripéties et la lecture est plaisante et intéressante. Ayant joué aux jeux vidéos j'ai eu plaisir à retrouver sous un format différent l'univers Assassin's Creed.
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Ayant adoré le film je me suis offert ce livre. Je n'ai absolument pas été déçu. C'est exactement le film. En le lisant je revivais les scènes du film.

Dixième volume rassemblant les comics de Buffy. Cette fois ce sont trois histoires se déroulant durant la quatrième saison que nous découvrons ici.



"Reprenons la nuit" :

Une série de meurtres sur le campus, un démon insectoïdes qui rôdent, une conférence sur le viol...on imagine à peu près là où les scénaristes ont voulu en venir, mais c'est bien trop bref et surtout trop brouillon pour que l'histoire soit prenante. On l'oublie aussitôt lu.

Les dessins par contre sont plutôt bons.



"L"Heure du crime" :

C'est dans ce comics que l'on découvre "la terrifiante confrérie féminine" annoncée en quatrième de couverture...où l'art d'attirer le lecteur par des boniments !

En effet, il s'agit simplement de trois "nunuches" qui invoquent un cafard afin que l'une d'elles entre dans la confrérie...(Bon dis comme ça, c'est sûr ça parait très ridicule, mais je suis pas très loin de la réalité...).

Pour autant, ça passe, malgré une ou deux incohérences dans le récit. Les dessins sont sympa et au final, ça ressemble plus à une scène pré-générique qu'à une histoire à part entière.



"Le Sang de Carthage" :

Voilà un comics que j'attendais de lire avec impatience. Tout d'abord parce qu'il s'agit d'une histoire complète et bien développée et puis parce que Lucy Hanover fait sa guest-star et c'est une tueuse que j'ai bien aimé croiser dans divers romans comme "La trilogie de la Porte Interdite" ou encore "Immortelle".



Mais de quoi ça parle ?

Buffy commence à douter de ses capacités à concilier sa vie d'étudiante à sa vie de Tueuse lorsqu'elle élimine malencontreusement le gardien d'une vieille entité démoniaque.

L'histoire vaut le coup, surtout qu'elle s'intéresse à divers personnages ainsi qu'à leurs relations. On retrouve donc le Scooby Gang, Spike, Lucy et cie aux prises avec leurs passés respectifs et les problèmes actuels.

Comme annoncé en introduction du tome, il y a trois sortes de dessins, ceux habituels propres aux comics de Buffy qui sont plutôt réussis, ceux plus sombres évoquant le passé de Spike et rappelant un peu les comics se focalisant sur le couple Spike & Dru, et enfin les dessins plus "manga" illustrant l'enfance d'Alex et Willow. Ces derniers sont sans doute les plus agréables de par leur originalité, leurs couleurs douces et leur style collant parfaitement au récit.



Donc une longue histoire où l'on retrouve une grande partie du casting que l'on aime mais aussi des guests tels que Lucy Hanover, où l'on explore un peu plus le passé de certains personnages, notamment l'enfance d'Alex et Willow (à ne pas rater !) et où l'on retrouve tous les ingrédients de la série : magie, combats, problématiques personnels, démons, vampires etc.

Un très bon épisode (et 2 petits qui sont plus 'oubliables") qui approfondit les personnages (avec des flash-back de très bonne qualité) et cette saison 4!

Un indispensable pour tous les fans de Buffy!

Très bon livre. Bien écrit comme tous ceux que Christie Golden a écrit pour le jeu World of Warcraft. On s'attache vraiment aux personnages, à leur destin.

Une certaine connaissance du jeu en ligne World of Warcraft peut etre utile mais pas indispensable je pense pour lire ce livre

LE livre indispensable pour tous les fan du plus celebre des MMORPG. Il permet de bien comprendre les bouleversement géopolitique du monde d'Azeroth intervenu lors de la dernière extension de ce jeu. Le livre est de plus tres bien écrit, et même si les non initiés risque d'avoir du mal a tout bien saisir il reste un bon livre de fantasy dans le mesure où le monde est un monde relativement classique.

Un livre une nouvelle fois passionnant, écrit par Christie Golden, qui arrive à nous emporter dans ses histoires. Les élémentaires de feu, d'eau, d'air et de terre se déchaînent. Thrall, grand chef de la Horde, se voit quitter son peuple pour aider tout Azeroth. Pendant ce temps, des esprits complotent en secret. J'ai adoré le personnage de Anduin Wrynn, prince de Hurlevent, qui a seulement treize ans nous préviens que la paix viendra grâce à lui.

Le cataclysme est proche.........Aile-de-mort arrive.......tous sera détruit.....le monde d'Azeroth ne sera plus jamais le même......



(Livre qui dévoile l'intrigue liée à la sortie de la troisième extension de Blizzard)

livre trés sympathique !



Amoureux du jeu à vos bouquins !!

Je pense que ce titre est le moins abouti des livres de Christie Golden. Pourtant, ce livre est un bel objet: belles illustrations en couleur sur du papier glacé, cartes représentant les différents villes où se situent l'action. Cependant, j'aurais aimé que l'auteure y glisse un glossaire contenant les races des différents peuples ainsi que des éléments pour les non initiés du jeu. Naturellement, ce tome permet de retrouver une fois de plus l'univers de Warcraft avec des héros fascinants mais le charme s'est peut-être rompu pour moi avec ce roman car je n'ai pas retrouvé cet engouement que j'avais pour les titres précédents où l'auteure avait su exploiter son talent en employant les émotions des personnages à leur paroxysme. Malgré tout, j'ai lu ce livre très rapidement car on s'attache à des personnages comme Thrall ou Cairne Sabot de Sang et bien d'autres encore.

une histoire plutôt sympa pour se replonger dans l'univers du jeu et du film.

Un moment de détente

Un livre lu il y a quelques années mais duquel je garde un très bon souvenir :

Une héroïne qui, abandonnée par sa mère, se retrouve au service de la famille royale. Mais son destin semble tout tracé et se révèle à elle progressivement... Son dessein est plus grand qu'elle ne le pense. De belles scènes, des personnages forts et tout en nuances, très bon livre de fantasy jeunesse.

L'un des meilleurs de la collection Luna, plein de magie de fantasy et de dragon! Pourtant le début commence par l'existence d'une pauvre enfant qui vit dans la misère pour basculer rapidement une fois qu'elle aura pris confiance en elle dans un tourbillon de feu. La fin est très émouvante, même si c'est le premier tome d'une saga, on peut le lire indépendamment car la suite s'essouffle très vite.

Ravenloft est un des univers du jeux de rôle Donjons et Dragons. Bien que conçu, au départ, comme autonome, il fut progressivement relié aux autres mondes du jeux (les Royaumes Oubliés, Dragonlance et Greyhawk principalement). Et si ce rattachement pris du temps c'est surtout parce qu'il est relativement différent des autres (très fantasy) car il est davantage orienté horreur et épouvante. Les morts-vivants et autres loups-garous y sont les créatures dominantes, bien qu'elfes, gobelins ou orcs peuvent y trouver leur place.



Il y a trois caractéristiques indissociables du monde de Ravenloft :



- divisé en plusieurs domaines, chacun d'entre eux (ainsi que le monde dans son ensemble) est entouré par les Brumes, qui sont théoriquement infranchissables mais capturent, à l'occasion, des créatures des autres mondes pour les projeter n'importe ou dans l'espace et le temps de Ravenloft. Seuls les Vistanis (les Gitans de ce monde) sont capables de les traverser.



- Chaque domaine est contrôlé par un Sombre Seigneur, à la fois gardien et prisonnier de ses terres, et toujours tourmenté par l'objet de son désir, pour lequel il a commis des atrocités.



- Les Sombres Puissances (dont on ne sait pas grand chose) sont les véritables maîtres de Ravenloft, modelant cet univers à leur guise et n'y attirant que des êtres ayant succombé au mal.



Du point de vue littéraire, Ravenloft c'est également une série de romans, tous publiés chez Fleuve Noir, dont "le Vampire des Brumes" est le premier. Il met en scène deux personnages emblématiques de la franchise ; Jander Etoile-Solaire (un elfe originaire des Royaumes Oubliés, devenu vampire) et Strahd von Zarovich, le Sombre Seigneur du domaine de Barovie.



Alors certes, stylistiquement, ça ne vole pas très haut, mais l'autrice respecte parfaitement le canon "ravenloftien" et, par le développement du personnage de Jander, insuffle une dose certaine de romantisme, inhabituelle dans les autres romans issus des univers de Donjons et Dragons. La tentative d'illustrer la double temporalité (celle des vampires immortels et celle des mortels qui les combattent ou les côtoient sur plusieurs générations) est louable mais pas toujours une franche réussite, à cause de transitions trop abruptes. L'ambiance "gothique" est plutôt bien rendue même si j'aurais préféré davantage de descriptions. Evidemment, tout le monde connait les contraintes de pagination de Fleuve Noir...



Néanmoins, l'ensemble se lit bien, l'action n'est pas si présente que ça, l'accent étant avant tout mis sur le développement de la relation entre von Zarovitch et Jander, relation que l'on pourrait qualifier d'ambiguë (de même que le personnage de Jander, archétype du vampire tourmenté). Pour qui aime l'univers de Donjons et Dragons, c'est un agréable divertissement, qui amène une rupture avec les traditionnelles aventures de fantasy, où magie et combats prédominent.

Avant toute chose, je tiens à dire que je ne suis pas du tout joueur et que je ne connais pas le jeu Battlefront II, ni même le contenu de l’histoire.


Les seules choses que j’avais vues avant même de lire ce roman, sont les magnifiques gameplay, haletants.



Le roman, avec cette magnifique couverture, allait-il être à la hauteur ?



C’est en tous cas ce que laissais imaginer le premier chapitre, très rythmé dont l’action se déroule lors de la bataille de Yavin 4 et la destruction de l’étoile de la mort. Fan de la trilogie classique, j’ai été servi !

Mais finalement le récit prend une tout autre tournure au fil des pages. Moi qui pensais lire un roman de « pilotes » au même titre que la série X-wing ou plus récemment les récits de l’escadron Alphabet, voilà que Christie Golden nous offre ni plus ni moins un roman d’espionnage militaire.

La surprise passée, le roman se révèle être un vrai plaisir de lecture. On se concentre sur quelques personnages seulement et une mission au long cours. On ne s’éparpille pas en plusieurs intrigues entremêlées, comme souvent avec les romans de la saga.



[…]



On se surprend à se prendre d’affinité pour des impériaux qui servent un sysème fasciste et barbare, endoctrinés, et pourtant notre regard et nos jugements critiques s’attardent sur ce petit groupe de rebelles (qui a échappé à la destruction de Jedha a priori) plus violent encore.



C’est plutôt bien ficelé et on s’attache rapidement aux personnages. L’autrice maitrise l’univers et nous le fait savoir avec de multiples clin d’oeil à Rogue One et à Clone Wars.



Une chose est sure, j’aime toujours autant l’écriture de Christie Golden. Très efficace tant dans la description que dans les actions. Elle nous plonge très rapidement dans un univers, un contexte et nous tient la main jusqu’au bout.


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Il y a bien longtemps dans une cuisine lointaine très lointaine ....

Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous, Ewoks, et autres Zabrak, aujourd'hui avec Alfred et mes Wookiees nous vous proposons de savourer BATTLEFRONT II L'ESCOUADE INFERNO de Christie Golden, chez les éditions  Pocket, dans la catégorie Pocket Imaginaire.



Au menu donc rien de tel que de reprendre les personnages du jeu éponyme, sorti le 17 Novembre 2017. En y ajoutant les ingrédients qui ont donnés naissance a L' Escouade Inferno. C'est à dire un peu voir beaucoup d'ordres du Général Versio, des missions pas toujours simples et surtout une bonne grosse dose d'Iden.



Alors maintenant mon Alfred nous passons en vitesse lumière, nous vous disons tout sur cette lecture.  Nous avons été enchantés de retrouver Iden, Del et Hask, ces personnages emblematiques de L' Escouade Inferno mais aussi de faire la connaissance de Seyn rapidement évoquée dans le jeu. L' action se déroulant entre l'explosion de la Première Étoile de la Mort et le jeu, nous nous sommes plus de découvrir le point de vu de l'Empire durant cette période, mais également de retrouver des mentions de Saw Gerrera, et de l'épisode De Rogue One. Toutefois nous avons été un peu déçus par les missions confiées à l'Escouade Inferno, moins grandioses que durant le jeu, et du grand final. Nous nous attendions à plus d'actions et plus de révélations fracassantes. Finalement nos espoirs ont été douché. A moins que toutefois il y est un roman sur ce personnage qui est resté trop secondaire pour nous. 

Dans l'ensemble s'était un roman savoureux auquel il a manqué un "je ne sais quoi ".


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L'Escouade Inferno est aussi surprenant que plaisant. Se détachant quasiment de l'action, on a surtout affaire à un roman d'espionnage centré sur la psychologie de ses personnages qui sont bien travaillés. Un roman qui doit beaucoup au style très efficace de Christie Golden qui propose une approche différente d'un univers que l'on aime tant. Dommage que l'ouvrage ne soit pas mieux rythmé.
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