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Critiques de Christophe Dabitch (158)
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La colonne, tome 1

Délié, mobile, étourdissant, son trait est corrosif : il déjoue les pièges de l'emphase pour mieux enfoncer le clou de cette aventure dramatique, si irrésistiblement évocatrice d'une époque.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Mauvais garçons, tome 2

Cette bédé conte les aventures de deux "chiens fous", des jeunes garçons un peu perdus dans leur vie, dans un petit village en Andalousie. Le premier est un "Gitan qui n'aime rien", sombre et mélancolique ; l'autre est un Français qui est descendu vers le Sud par amour pour la danse et le chant flamenco.

Mauvais garçons est une bande dessinée au rythme plutôt lent. Ce n'est pas une histoire à proprement parlé, avec un début, des péripéties et une fin, mais plutôt le portrait de deux jeunes passionnés sous le soleil brulant de l'Andalousie. Ces deux-là boivent du mauvais whisky, se battent, tombent amoureux et cueillent des olives, mais surtout ils chantent. Cette bédé est riche d'extraits de poèmes andalous, toujours présentés en bilingue français/espagnol, graves et superbes.

Le dessin vient illustrer à merveille l'ambiance flamenco, à la fois triste et lumineuse. Les nuances de sépia et le talent du dessinateur valent le coup d'oeil et on sent le souffle chaud de l'Andalousie en lisant ces pages.

Pour ma part Mauvais garçons est une série de bédés que je trouve magnifique. Des dessins superbes au service de portraits joliment présentés à travers des dialogues savoureux. Le message étant que le flamenco, avant d'être un chant et une danse, est d'abord un art de vivre.
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Abdallahi, tome 1 : Dans l'intimité des terres

Je m'y connais trop peu en BD pour commenter la qualité graphique, mais j'ai trouvé l'ambiance africaine bien restitué avec des moments sombres (la nuit, la maladie) et de vrais moments lumineux, voir trop et donc aveuglant (l'arrivée à Tombouctou).
Lien : http://histoire-de-lectures...
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La ligne de fuite

Atypique et surtout... poétique ! Fin XIXème siècle, à Paris, Anatole Baju dirige "Le Décadent", magazine littéraire où sont publiés des faux d'Arthur Rimbaud. Adrien, héros de ce récit, est l'auteur de ces faux. Rongé par un sentiment de culpabilité, il part à la recherche de Rimbaud, et surtout à la recherche de lui-même.

Très belles illustrations. J'ai cependant du mal à rentrer dans l'univers de la poésie.
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Le passeur de lagunes

Comment peuvent se fondre aussi bien deux différentes manières de percevoir et raconter le monde ? Christophe n’a pas de doutes : à son avis, le secret est de « travailler avec la liberté de l’autre ». De cette façon de deux écritures - une en mots, l’autre en images - peut naître une troisième écriture, qui se cristallise dans les pages de la bande dessinée.
Lien : https://actualitte.com/artic..
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Le passeur de lagunes

Polar en forme de sombre balade vénitienne, « Le Passeur de lagunes » est avant tout un magnifique récit initiatique, plein de silences et de fureur.
Lien : https://www.ouest-france.fr/..
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Le passeur de lagunes

Si le rythme aurait pu être plus nerveux par moment, le choix d’un polar « au long cours » semble parfaitement assumé par les auteurs, préférant creuser avec subtilité et équilibre les thématiques politiques et les affres personnelles du jeune héros.
Lien : http://www.bodoi.info/le-pas..
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Mauvais garçons (Intégrale)

Sortir de sa zone de confort, bonne ou mauvaise idée ? Pour cette BD du mardi, l'idée n'a pas été brillante. En même temps, je n'avais déjà pas été emballée par L'âge d'eau, également de Benjamin Flao. Mais j'aime donner une deuxième chance, surtout qu'ici on part sur du contemporain. J'aime son dessin en dehors des visages, donc ça aurait pu ! Mais on retrouve la vulgarité des personnages, et le manque de fil rouge passionnant pour moi. Je ne pense tout simplement pas être le public cible, et c'est ok ! Pas de regret, j'ai tenté !
Lien : https://sorbetkiwi.fr/index...
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Abdallahi, tome 2 : Traversée du désert

Même ressenti que pour la première partie, les illustrations, les visages et couleurs sont magnifiques et reflètent très bien l'Afrique mais j'ai trouvé le scénario assez plat et parfois peu compréhensible. La partie sur Tombouctou est très courte alors que c'est le but du voyage.
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Jeronimus, tome 3 : Sur l'île

Parce que j'avais lu Abdallahi et que j'avais été surprise par l'histoire et les dessins, j'ai voulu récidiver avec une BD de Christophe Dabitch.

Là encore, je découvre une histoire vraie bien cruelle, une histoire de mutinerie que les auteurs associent ou comparent à l'histoire de nos sociétés capitalistes.

Sur la liste "arrêtons la procrastination, relisons."
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Jeronimus, tome 2 : Naufrage

Parce que j'avais lu Abdallahi et que j'avais été surprise par l'histoire et les dessins, j'ai voulu récidiver avec une BD de Christophe Dabitch.

Là encore, je découvre une histoire vraie bien cruelle, une histoire de mutinerie que les auteurs associent ou comparent à l'histoire de nos sociétés capitalistes.

Sur la liste "arrêtons la procrastination, relisons."
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Jeronimus, tome 1 : Un homme neuf

Parce que j'avais lu Abdallahi et que j'avais été surprise par l'histoire et les dessins, j'ai voulu récidiver avec une BD de Christophe Dabitch.

Là encore, je découvre une histoire vraie bien cruelle, une histoire de mutinerie que les auteurs associent ou comparent à l'histoire de nos sociétés capitalistes.

Sur la liste "arrêtons la procrastination, relisons."
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Abdallahi : Coffret en 2 volumes

Pris au hasard.

Fait-il bien les choses ?

J'ai découvert René Caillé, un aventurier du 19e siècle qui rêve de Tombouctou, qui fait plus qu'en rêver, qui veut être le premier blanc à y entrer et surtout à en revenir...... vivant.

Y arrivera-t-il ? Si vous êtes cultivé, vous savez. Sinon vous pouvez lire cette belle BD aux dessins que je ne sais pas décrire mais différents, comme peints, avec des traits doux, flous mais pas imprécis.

Bref une histoire dure superbement dessinée et colorée.
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Roi des Mapuche, tome 2 : Au royaume de Wal..

C'est beau, c'est efficace et étonnant parfois. L'artiste a un style unique, reconnaissable mais incroyable. Avec le Roi des Mapuche, il va vous en mettre plein les yeux. Le tout est mené à un très bon rythme qui fait que vous vous sentez emporté dans cette aventure et cette folie.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Roi des Mapuche, tome 1 : La traversée des va..

Son histoire et ses ambitions sont connus, mais la bande dessinée l’avait jusqu’à présent ignoré. Hasard de l’édition, deux albums se lancent dans les pas de ce curieux bonhomme qui décide de libérer les Indiens du joug du gouvernement chilien…
Lien : http://bdzoom.com/166939/act..
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Roi des Mapuche, tome 1 : La traversée des va..

Ce premier tome est un de mes coups de cœurs de cette année 2021. Une lecture que je vous recommande fortement.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Jeronimus, tome 2 : Naufrage

Amsterdam, octobre 1628. Une nouvelle vie commence pour Jeronimus Cornelisz. Embarqué à bord d’un navire commercial à destination de l’île de Java, l’apothicaire d’Haarlem espère laisser tous ses problèmes derrière lui. Chaque souffle dans les voiles du superbe trois-mâts l’éloigne un peu plus de ce cercle d’amis soupçonné d’hérésie et de cette pharmacie désertée par les clients depuis que son fils unique est décédé de la syphilis. Les intempéries, la gangrène, le scorbut et autres maux ont cependant vite fait de miner le moral des marins à bord du Batavia. La révolte gronde et chaque incident fait un peu plus de vagues … jusqu’à cette fameuse nuit du 4 juin 1629 !



Christophe Dabitch et Jean-Denis Pendanx poursuivent la triste biographie de Jéronimus, ce hollandais qui, frappé par le malheur et au bord de la ruine, tente de refaire sa vie à bord du Batavia, le navire de la célèbre VOC : La Compagnie néerlandaise des Indes orientales. Après avoir goûté à l’ambiance de l’Amsterdam du XVIIe siècle lors du précédent volet de cette trilogie, le lecteur retrouve le huis clos prenant qui s’installe à bord de ce navire batave ayant appartenu à l’une des entreprises capitalistes les plus puissantes qui ait jamais existé. Au fil des regards et des échanges verbaux qui nourrissent les complots, le récit va basculer et approcher très lentement ce point de non-retour nommé mutinerie. Alors qu’un ballet sournois à la fin inéluctable s’installe entre le Capitaine Ariaen, le Commandeur Pelsaert, Creesje et Jeronimus Cornelisz, le gouffre qui sépare les officiers des classes sociales moins privilégiées ne fait qu’augmenter les tensions au sein de l’équipage. Si la maladie, les intempéries et les morts contribuent à saper l’ambiance de cette expédition maritime sans retour, ce sont surtout la transformation psychologique et le nouvel état d’esprit de Jeronimus qui préfigurent le drame qui se profile au fil des pages. Petit à petit, le père de famille s’efface au détriment d’un psychopathe visionnaire, sournois et calculateur.



Après avoir étalé son talent dans les déserts d’Abdallahi, Jean-Denis Pendanx démontre qu’il a également le pied marin et livre à nouveau un graphisme de toute beauté. Les splendides peintures plongent le lecteur dans l’ambiance d’époque et rendent souvent tout texte superflu. La mise en images du naufrage du Batavia sur les récifs des îles Albrohos au large de l’Australie est à ce titre tout bonnement époustouflant.



Du grand art !
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Jeronimus, tome 1 : Un homme neuf

Après l’excellent diptyque d’"Abdallahi", Christophe Dabitch et Jean-Denis Pendanx s’attaquent à l’histoire véridique du Batavia au XVIIe siècle.



Pour ce faire, les auteurs nous font suivre les pas de Jeronimus : un personnage qui à l’inverse de ceux de la série "Abdallahi" a réellement existé. L’histoire de cet apothicaire frappé par le malheur et se retrouvant au bord de la ruine, permet au lecteur de faire connaissance avec l’Amsterdam d’antan, ainsi qu’avec la VOC : La Compagnie néerlandaise des Indes orientales, l’une des entreprises capitalistes les plus puissantes qui ait jamais existé.



Après une première partie d’album qui nous plonge dans l’atmosphère de l’époque, Jeronimus va embarquer à bord du Batavia afin de commencer une nouvelle vie. Le périple de ce navire hollandais appareillant pour l’Inde, permet au talentueux duo de retranscrire la vie à bord du navire, ainsi que les tensions grandissantes entre les membres d’équipage. Malgré un Jeronimus qui commence petit à petit à tirer son épingle du jeu et à se découvrir des talents de manipulateur, ce premier tome est surtout à considérer comme une introduction très efficace à une aventure qui s’annonce palpitante par la suite.



Au niveau du graphisme, le travail de Jean-Denis Pendanx est à nouveau de toute beauté. De splendides peintures qui plongent le lecteur dans l’ambiance d’époque et rendent souvent tout texte superflu. Du grand art !
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Azimut brutal

Nul besoin d’avoir fait 41 fois le tour de la terre ni d’avoir dormi dans des igloos pour se sentir voyageur et aventurier. C’est ce que nous écrit Christophe DABITCH dans ce singulier récit de voyage dans lequel, dès le préambule, il prévient son monde quant à son choix de « marcher » sur le 45e parallèle nord en France : « À égale distance du pôle Nord et de l’Équateur, entre les grands froids et les grands chauds, on dit de ce parallèle qu’il incarne la tempérance et l’équilibre, un rapport d’échange ».



Christophe DABITCH, natif de Bordeaux et déjà auteur de plusieurs livres, a (un peu) préparé son parcours, ce sera certes ce désir de suivre au plus près le 45e parallèle nord en France, mais de l’effectuer dans le département plutôt rural de la Dordogne. Vous possédez toutes les données avant de vous glisser dans les pas de Christophe et ses trois compagnons. Suivez-moi.



Christophe DABITCH est en effet accompagné de trois amis : Nicolas pour la postérité derrière son appareil photo, Frédéric au son et Patrick aux godasses, l’autre marcheur. Le périple va se faire au jour le jour, pas trop de plan défini, un vrai désir d’une aventure unique. Alors les quatre z’amis vont improviser, dormir chez l’habitant. S’ils ont décidé de chausser les pompes de randonnée en octobre, c’est qu’à cette époque-là il est plus aisé de glaner des fruits, plein de fruits, mûrs et juteux, car le quatuor souhaiterait être le plus proche possible de l’autosuffisance et de l’entraide.



Bien sûr, dans pareil exercice les rencontres ne manquent pas, elles sont même quotidiennes devant l’aspect un peu « original » du but. Les habitants questionnent, mais interviennent aussi : « Dans les discussions autour d’un verre, il est assez étonnant de parler du parallèle nord, car on ne peut presque rien en dire ni rien en tirer, sinon la certitude de son passage à l’endroit où nous nous trouvons. Ces habitants savent que le 45e passe par là, quelque part, parfois même précisément au croisement d’un champ, d’un bois, d’une rue. Ils en connaissent la présence et je sens que quelque chose les y relie ». Salut fraternel aux autos et leurs autochtones pour une balade poétique (la langue est bien menée, bien traitée, elle n’en sortira que grandie).



D’ailleurs, qu’est-ce donc que ce 45e parallèle nord ? L’auteur se pose pour nous éclairer, et en profite pour donner quelques détails sur le méridien de Greenwich, comment et pourquoi il a été choisi en tant que référence en 1884.



Et puis des rencontres, des milieux, des bouts de nature qui font décoller la machine à remonter le temps : évocation de temps plus ou moins anciens, souvenirs dilués, une petite digression hors sujet, pleine de tendresse ou d’horreur (cette maison noire rappelant la Bosnie et des dizaines de massacrés dans la population civile pendant la guerre civile). Mais la nature reprend ses droits : l’odeur, les animaux (en liberté ou domestiqués), les arbres, les prairies, les traces de l’homme, les ponts traversés au-dessus des rivières et ruisseaux. La campagne est pleine de surprises : séquence voyeurisme avec un inconnu habillé en femme dans son jardin, ou encore cette aire de golf comme venant d’un autre monde et d’une époque futuriste : « Avec parfois des îles étranges, comme ce golf, caricature verdoyante de perfection et de maîtrise avec son idéologie de tondeuse à gazon, où l’on éprouve le soudain désir d’être chef d’une armée conquérante de taupes ». Car l’auteur ne manque pas d’humour et il le fait partager.



Quelques paragraphes sur la science, l’astronomie, la rotation de la Terre, et puis le retour sur les chemins cahoteux et secs de Dordogne. Petites touches du témoignage du passé par des constructions faites jadis de la main de l’humain et qui représentent aujourd’hui une période révolue, comme anachroniques.



Et d’abord, ce n’est pas que de la marche, mais une recherche plus spirituelle vers un bien être, une fatigue positive, la satisfaction de la souffrance physique. C’est un sacerdoce mais aussi un besoin vital, une pause dans le quotidien : « La marche devient un travail absolu qui occupe les jours, une répétition rassurante, un mouvement qui nous transforme en nomades sortis de nos vies. Nous sommes socialement en suspension, en récréation, et presque plus rien d’autre, sinon le repas chaud du soir, ne compte. L’alternance d’épuisements et de souffles retrouvés joue son rôle ».



L’auteur va nous présenter quelques figures disparues, comme celle d’Albert DADAS qui a porté dans sa vie, en fin de XIXe siècle, la marche sur un piédestal de marbre, en faisant une sorte de divinité. Quand DABITCH sort de ses rêveries, c’est pour croiser des randonneurs outillés et harnachés se rendant à Compostelle. Mais aussi (et surtout ?) pour admirer les arbres, véritables héros de cette marche : « Un chêne se penche lourdement sur le pré. Un autre, au tronc blanchi, dégarni, dont certaines branches tordues se dressent encore, est à terre ».



En fin de volume, par les simples informations offertes il est possible de recréer cette randonnée à laquelle nous a invité l’auteur : toutes les communes traversées, tous les lieux-dits (certains avec des noms assez croquignolets) sont cités. Puis le marcheur, épuisé, semble touché soit par la grâce soit par une insolation en fournissant quelques interprétations que pourrait penser un extra-terrestre en atterrissant sur le parallèle numéro 45. Court exemple pour donner l’eau à la bouche : « Représentant de la sous-espèce noble, qui déclare : ‘La Révolution a beaucoup pris à ma famille, vive la République !’ (cas étrange, à placer en observation) ».



Laissez-moi vous livrer le fond de ma pensée : Un homme qui en pleine randonnée, de surcroît à but inutile, cite comme référence Edward ABBEY, a tout de suite droit à mon plus grand respect, il se pourrait même que je le tutoie assez promptement.



Ce petit bouquin de moins de 130 pages, qui se lit d’une traite avec une bouteille de flotte fraîche et un peu de tabac à rouler, fait du bien en cette période printanière, il est sorti fin 2018 aux petites éditions Signes et Balises dont nous reparlerons par ailleurs très prochainement tant pour la qualité des choix littéraires que du matériau (superbe papier épais et format poche à couverture soignée en couleur). Allez zyeuter leur catalogue, il donne soif d’aventure ! Et munissez-vous de bons godillots de marche et de jumelles.



https://deslivresrances.blogspot.fr/
Lien : https://deslivresrances.blog..
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Azimut brutal

Tout d'abord,je remercie Babelio et les éditions "signes et balises" de m'avoir permis de decouvrir ce livre dans le cadre de la masse critique.

Un petit livre empli de poésie et de douceurs. Ce fut un plaisir de déambuler avec l'auteur et ses comparses le long du 45e parallèle.

La seule chose qui m'a un peu dérangé et dérouté ,ça a été les retours en arrière. J'avais du mal a suivre le cheminement a force,mais ce n'est pas très grave. Je pense que c'est le genre de livre qu'il faut lire 2 fois afin de.bien comprendre tous les tenants et aboutissants.
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