AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Claire Contreras (20)


« Penses-tu qu’on doive écouter son cœur en toutes circonstances ? Est-il même possible de ne pas l’écouter ? »
Réponse : Parfois, quand on ne l’écoute pas, les conséquences sont plus graves dans la réalité qu’elles ne le sont dans notre esprit.
Commenter  J’apprécie          10
Je ne peux pas dire que je me sens plus complète quand il n’est pas là, mais avec lui, j’ai l’impression d’être une version plus achevée de moi-même. C’est peut-être cela qui m’a toujours attirée chez Oliver ; il me rend heureuse et fière de ce que je suis et je n’ai pas besoin de changer de personnalité ou de faire semblant quand je suis avec lui. Je n’ai qu’à être moi-même, tout simplement, et jamais le fait de l’être ne m’a fait me sentir aussi bien.
Commenter  J’apprécie          10
-Et toi, Stelle, qu’est-ce que tu veux ? Tu veux que je t’embrasse, tu veux qu’on baise, tu veux te persuader que c’est moi l’ouragan qui veut ravager ta vie ?

La voix toujours aussi rauque, il se frotte contre mes fesses. Un autre gémissement m’échappe, malgré moi. Il se tait, je rouvre les yeux. Je me dégage et je me retourne vers lui. Il me regarde, les yeux mi-clos, les cheveux emmêlés, sexy en diable.

Sexy ? L’adjectif semble avoir été inventé pour lui. La photo d’Oliver Hart illustrant la définition de « sexy » dans le dictionnaire. Mais cette fois, je ne me laisserai pas distraire…
Commenter  J’apprécie          10
Cela ne sert à rien de croire en la destinée si vous êtes trop têtue pour la laisser vous guider.
Commenter  J’apprécie          00
Mon cœur battait de plus en plus vite et approchait de la zone dangereuse. Nous étions si proches ! Je sentais presque la chaleur de son corps. J’aurais facilement pu fermer les yeux et me pencher en avant, afin qu’il presse ses lèvres sur les miennes et glisse la langue dans ma bouche.
Commenter  J’apprécie          00
Lorsqu’il me regardait comme ça, comme s’il ne voyait plus que moi, mon cerveau avait du mal à fonctionner normalement. Le paquet de chips était tombé, tandis que la bouteille de Coca tremblait dans ma main droite. Mon sac à main avait glissé de mon épaule à mon coude. Mon cœur s’était mis à battre plus vite lorsqu’il s’était dirigé enfin vers moi et avait pris mon visage entre ses mains.
Commenter  J’apprécie          00
De toute façon, même les dingues ont leur place dans ce monde.
Commenter  J’apprécie          00
Pour écrire ce livre, Mia va à la plage, je me suis inspiré d’une fille que j’ai aimée. Une fille qui m’a autant aimé que blessé. Mais ce qu’elle m’a apporté avant tout, c’est de l’espoir. Elle était présente quand tous les autres m’ont tourné le dos, et parfois, on n’a pas besoin de plus… que la présence de quelqu’un.
Commenter  J’apprécie          00
La jalousie me collait à la peau comme les paillettes agaçantes d’une fête de nouvel an.
Commenter  J’apprécie          00
Ce devait être la solitude qui me faisait faire n’importe quoi. Le fait de ne pas avoir mes amis et ma famille autour de moi pour me sommer de cesser de jouer les nunuches et de sortir avec quelqu’un d’autre. Mais je n’avais personne avec qui sortir.
Commenter  J’apprécie          00
Me trouver un mec n’est pas un problème. C’est le garder qui en est un.
Commenter  J’apprécie          00
Je n’ai jamais compris pourquoi les gens se croient obligés de se rendre à un mariage accompagnés. Est-ce par peur de passer pour des nazes parce qu’ils ne sont pas en couple, alors qu’une personne de leur entourage est justement en train de se marier ? Moi, je n’avais pas peur d’être seule. Je n’avais pas besoin de la présence d’un homme auprès de moi pour savoir ce que je valais, merci bien.
Commenter  J’apprécie          00
Selon moi, les événements importants d’une existence se produisent afin que nous mesurions nos progrès dans la vie. Les mariages en font partie. Lorsque toutes mes amies commencèrent à se marier, et que je me retrouvai seule dans mon coin, comme la fille qui fait typiquement tapisserie, je compris que toutes les personnes qui faisaient partie de ma vie avançaient un peu plus vite que je ne le voulais.
Commenter  J’apprécie          00
Je me dis que j’avais aimé cette fille toute ma vie, et je savais que je l’aimerais jusqu’à la fin de mes jours. Peu importe que je sois obligé de retourner à New York et de me marier avec une quasi-inconnue, ou que mon avenir soit entre les mains de son père, ou que le bébé qu’elle attendait soit le mien. Rien n’importait plus que la perte de la personne la plus précieuse de toute ma vie. Quoi que nous réserve l’avenir, quoi qu’il me réserve, je savais que je ne la récupérerais pas. Je ne la méritais pas.
Commenter  J’apprécie          00
La vie est ainsi faite. Je ne pouvais pas attendre de Mia qu’elle comprenne. Je n’espérais pas qu’elle comprenne, mais en la regardant faire son sac, comme j’avais regardé la première femme de ma vie faire son sac des années plus tôt, je ne pus m’empêcher de me demander ce que j’aurais pu faire pour que ça n’arrive pas.
Éviter de coucher avec cette fille de mon cours de poésie. Ça, c’était une certitude. Une évidence. Mais même avant ça, je regrettais de ne pas m’être accroché un peu plus à Mia. Je regrettais de ne pas lui avoir parlé davantage. Je regrettais de ne pas l’avoir suppliée de m’accompagner. Si seulement je pouvais essuyer les larmes sur son visage. Mais elle ne me laissait pas l’approcher.
Commenter  J’apprécie          00
Tu es drôle, gentil, tu as un talent de dingue, et tu es tellement beau que c’est parfois douloureux de te regarder.
Commenter  J’apprécie          00
C’est un peu comme les gants de base-ball. Plus ils sont abîmés, mieux c’est.
Commenter  J’apprécie          00
Maman avait le look d’une maîtresse d’école sexy. C’était ce que disaient tous les gamins avec qui j’avais grandi : ma mère était carrément baisable, un peu comme ces profs canon qui les faisaient fantasmer, avec ses longs cheveux blonds ondulés et ses lunettes de bibliothécaire.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai peur. Je suis morte de trouille à l’idée de voir Oliver revenir dans ma vie, parce que la dernière fois que je l’ai laissé s’y immiscer, je ne m’en suis pas sortie le cœur intact.
Commenter  J’apprécie          00
Chapitre 4 :
" J'essaie de me souvenir de quelque chose que j'aurais pu oublier, mais je ne trouve pas.
Si tu me vois, ce serait où ?
Chez Vic.
Savais pas que tu venais.
Dimanche = football
Je fronce le sourcils, en essayant de me rappeler depuis combien de temps je n'ai pas regardé un match avec eux.
Vic oublie toujours que je vis temporairement chez lui.
Ah ?
Disons que, ce matin, j'ai dû m'habiller en vitesse et quitter la maison nettement plus tôt que prévu pour un dimanche.
LOL. Désolé. Et où tu es, là ?
Sortie prendre un petit déj.
Tu veux passer ? Tu peux même finir ta nuit ici, si tu veux.
Là je me fige et regarde l'écran, les yeux ronds.
Enfin... je n'ai pas voulu dire : avec moi.
Je commence à taper un message, mais je suis en train de l'effacer lorsque le sien me parvient.
Bon, écoute, comme tu ne réponds plus, je t'appelle.
Le téléphone vibre une seconde après et je décroche en me grattant la gorge pour m'éclaircir la voix.
- Ce n'est pas que je voulais... enfin...
Sa voix. Dieu, que j'aime sa voix. Elle est grave, profonde. On dirait toujours qu'il vient de se réveiller.
- Pas de souci. Tout va bien, merci.
- Je ne crois pas qu'on se soit jamais parlé au téléphone.
- Il ne me semble pas non plus.
Et j'ajoute pas le reste de ma pensée : Parce que tu es un salaud, parce que tu es parti, sous prétexte que j'étais la meilleure amie de ta sœur, parce que tu ne voulais aucune relation amoureuse, à aucun prix.
- Eh bien, voilà qui est fait. Bon, je voulais juste que tu ne prennes pas mal ce que j'ai écrit... À moins, bien sûr, que l'idée ne te déplaise pas. Auquel cas, ce ne serait ps pour me déplaire, moi non plus.
..."
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Claire Contreras (54)Voir plus

Quiz Voir plus

Autobiographies de l'enfance

C’est un roman autobiographique publié en 1894 par Jules Renard, qui raconte l'enfance et les déboires d'un garçon roux mal aimé.

Confession d’un enfant du siècle
La mare au diable
Poil de Carotte

12 questions
147 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}