Citations de Claire Martin (III) (16)
Ces Messieurs sont de plus en plus ridicules. Que s'imaginent-ils que nous faisons avec la belladone ? Que nous volons sur des balais les nuits de pleine lune ?
Côme Laverse du Rondeau.
Il vécut dans les arbres.
Il aima toujours la terre.
Il monta au ciel.
Il ne suffit pas de lire des livres pour changer le monde. Il faut aussi tenter d'incarner nos idées.
- Tu souffres parce que tu es seul, et que tu regardes les autres s'épanouir à tes pieds. Mais cet isolement, c'est toi qui l'as choisi, Côme ! Si tu es si malheureux dans les arbres, tu n'as qu'à en descendre.
- Si je descendais, je perdrais tout intérêt à tes yeux. Et de toute manière, ce n'est plus une option pour moi. Je serais totalement inadapté dans le monde que tu fréquentes.
- Si tu m'aimais vraiment, tu serais capable de mettre ton petit orgueil de côté pour me rendre heureuse. Tu ferais des sacrifices. Le véritable amour est abnégation.
- Je ne crois pas il ne peut pas y avoir d'amour si l'on n'est pas soi-même, et de toutes ses forces. (p.98-99)
Tous ces types en armure feraient mieux de prendre un bon bouquin, au lieu de se taper dessus !
Quand une femme souffre, il est de notre devoir de lui venir en aide, même si c'est contraire aux règles !
J’ai remarqué que dans certains cas, prendre soin des autres peut aider à se soigner soi-même.
La guerre, quelles que soient les idées pour lesquelles on la fait, n'apporte jamais que désolation.
- J'ai cru comprendre que tu t'étais fait de nouveaux amis ? Des petits gueux en loques, voleurs de fruits ! En voilà d'excellentes fréquentations !
- Ce n'est pas de leur faute, père, ils sont pauvres !
- Certes, mais toi ? Nous t'avons toujours tout donné, tu hériteras d'argent, de terres, de titres... Tu devrais avoir honte !
- Rien à faire de tous ces trucs de vieux ! Moi, il me faut la liberté, l'indépendance...
- Ce n'est pas être indépendant que de s'approprier le labeur d'autrui ! Tu n'es que le lierre sur le chêne ! (p.28)
Il faut savoir que le fauteur de troubles orthographiques est un être ronchon. Il déteste qu'on lui dise qu'il a commis une faute. Non pas qu'il est dans le déni, mais l'éducation nationale lui a tellement tellement mis le nez dans ses travers qu'il en fait une allergie.
(page 96)
- Moi, je pense qu'aimer n'est pas synonyme de posséder. L'amour ne doit pas restreindre la liberté.
- C'est bien joli, ces grands idéaux, mais dans la pratique, ça engendre beaucoup de souffrance... L'amour doit apporter le bonheur et la sérénité. Pas des montagnes d'angoisse et de rancoeur. Sinon ça ne sert à rien.
- Mon pauvre Côme, tu n'as rien compris. C'est justement les incertitudes qui rendent l'amour intéressant ! Il n'y a que comme ça qu'on peut préserver la passion. (p.96)
Oh mon dieu, mais quel âge à cette petite ?? Il paraît qu’on a encore brûlé une trentaine de sorcières, hier !
- Tu as raison, c’est vraiment atroce… Difficile de croire qu’une enfant puisse être au service du diable… Mais nous devons garder foi en la justice de l’Église. L’inquisition a sûrement de bonnes raisons de…
Je comprends sa colère, mais elle doit apparenter à se maîtriser.
Ce qui compte, c’est de faire profil bas ! La discrétion, c’est le seul moyen de ne pas avoir de problème et d’assurer notre mission auprès de celles qui comptent sur nous.
J'ai remarqué que, dans certains cas, prendre soin des autres peut aider à se soigner soi-même...
(page 32)
Écoute,Come,ça fait trois jours que tu es perché la haut ,ça devient ridicule !