Pour raconter les camps de la mort du Vietminh, pour que l'on sache enfin quel était ce régime qui se réclamait bien fort de la célèbre clémence de l'oncle Hô.
Parce que le Vietminh a fait aussi bien que les nazis ; parce que dans l'horreur et le génocide, ce n'est pas le nombre des victimes qui importe, c'est l'acte, c'est l'idéologie, la perversion, le fanatisme.
Entre Hô Chi Minh et Hitler, comme la différence ne peut être que quantitative, elle n'existe pas.
Si la vérité des camps n'éclate pas un jour, l'Histoire ne sera que mensonge.
Les Viets ne sont jamais mécontents de voir s'éteindre un grand malade ou un infirme.
Ce sont des témoins gênants, les preuves de leurs mauvais traitements qui disparaissent ainsi.