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Critiques de Daniel Adam (14)
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Lucid casual

 Lucid Casual était une petite fille de six ans qui très tôt prenant conscience du monde qui l’entourait se mit à l’aimer et le comprendre.

Lucid Casual éditait un journal imprimé en un exemplaire.

Lucid Casual avait un grand ami, Rachid Billancourt qui la considérait comme la femme de sa vie, du moins jusqu’au prochain Noël.

Lucid Casual avait des arguments et une logique qui laissaient en général ses interlocuteurs sans voix, ils vous laisseront aussi de même 😁!

Lucid Casual entrait en première année de l’école primaire 😊.



D’une écriture simple et émouvante, Daniel Adam écrivain belge dont c’était le premier livre , à travers le regard de Lucid « la reporter », nous raconte une rentrée des classes vécue à hauteur de marmots. Des marmots non encore arrivés à devoir faire les choix cruciaux de leur vie , si ces choix existent vraiment 😊 servent de cobayes à leur institutrice madame Madame😊!

Adam est un pessimiste le sourire aux lèvres 😊! Ses projections de vie dans le futur au réalisme magique et les vies adultes vu des yeux d’enfants sont d’une noirceur tragi-comique. Beaucoup de poésie dans une prose qui donne au récit une dimension onirique, « Les yeux des enfants clignèrent et des milliers de libellules s’envolèrent de leurs cheveux dans un grand nuage bleu…. ».

Un très joli moment passé avec Lucid, Rachid,William, Pierre, Vladimir, Richard, Olivia….. ne vous en privez pas, c’est délicieux ! Et un grand merci à latina, ma copine babeliote Cécile, pour la découverte de cet auteur insolite et truculent !





« L’homme ne peut jamais savoir ce qu’il faut vouloir car il n’a qu’une vie et il ne peut ni la comparer à des vies antérieures ni la rectifier dans des vies ultérieures »

( Kundera / L’insoutenable légèreté de l’être )

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Où dans le ciel ?

« Je m’accroche à des détails pour ne pas tomber à l’intérieur de moi ».

Juché sur un échafaudage, Pierre révise sa vie et le résultat n’est guère encourageant, comme lorsqu’il était à l’école, d’ailleurs. Il a vite décroché pour travailler à l’usine, sur un échafaudage, notamment ; ses parents sont morts ; son frère est mort ; Jean, son meilleur ami est mort. Où sont-ils ? Dans le ciel ? Où, dans le ciel ?



Les détails s’échappent et il se souvient, donc il tombe à l’intérieur de lui.

« Quand je repense à ces temps-là, j’ai la mémoire fragmentée, comme un puzzle auquel il manque toujours une pièce. Jean, c’était moi en mieux, la pièce manquante. Du coup j’y tenais autant qu’à moi-même. Quand il est mort, moi aussi ».

C’est vrai qu’il n’est pas joyeux, Pierre, c’est le moins qu’on puisse dire.



Et pourtant que c’est agréable d’être emporté par un narrateur profond et désespéré !

L’écriture poétique de l’auteur n’y est pas pour rien, alors qu’il décrit la vie on ne peut plus prosaïque de son héros : usine, pauvreté, solitude.

D’amour, il n’a pas manqué, mais il n’a pas pu le retenir. Il est tout seul.



J’ai adoré lire lentement ce livre bref qui fait écho en nous. Combien de fois ai-je eu les larmes aux yeux !

Je ne connaissais pas cet écrivain belge qui est également auteur de pièces de théâtre, mais je peux vous assurer que je n’en resterai pas là.

Merci aux éditions du Cerisier pour ce cadeau, cette parenthèse de vie, petite aux yeux du monde, mais si profonde quand on s’y attarde, juché sur un échafaudage ou tout simplement dans son salon.



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Une machine de rouge

Ce livre très petit par la forme et le nombre de pages est pour moi un chef d'oeuvre d'humanité et de tendresse.



Quelle poésie se dégage de ces courtes « nouvelles » !

Mais sont-elles vraiment des nouvelles ? J'ai eu l'impression de lire la vie d'un homme, ou du moins ces moments forts ou quotidiens où l'émotion affleure, où le coeur s'épand dans un regard.

Quelle mélancolie, quelle nostalgie !

Daniel Adam relate souvent les moments difficiles : le divorce et la garde des enfants, la perte d'un amour, d'un ami, la mort. Et c'est beau. Oui, c'est beau !



Véritable aquarelliste de la vie, l'auteur belge nous emmène auprès des familles heureuses, là où lui n'est qu'un « vieux wagon sur une voie de garage, squatté par le remords, rouillé par le bonheur des autres » ; sur les sentiers le long du canal, où il croise son ami venant de mourir, qui lui fait un signe de la main, et « en disparaissant doucement, sa vareuse bleue s'est mélangée au ciel » ; à l'aéroport, prologue des absences difficiles à supporter ; au cimetière, où les adultes murmurent des mots tendres pendant que les enfants jouent et rient…

L'auteur relate l'absence et le manque, que ce soit des personnes ou du ciel rouge de l'aube qui se détache des fils électriques pour vivre sa vie.

« le rouge était parti. Il ne restait plus que les pinces à linge sur les fils électriques, et encore, elles s'envolaient pour un rien ».



Quelle mélancolie, oui, mais quel amour de la vie, de ces moments précieux que l'on veut garder à tout prix, parce qu'ils sont heureux, parce qu'ils sont tristes.

Vraiment, je vous recommande la lecture de ce minuscule recueil où la sensibilité nous enveloppe et nous colore le coeur …en rouge ?

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Lucid casual

Vous, les adultes, avez-vous encore des sueurs froides en songeant à votre premier jour à la « grande » école ? Ou bien sautez-vous de joie en vous rappelant la nouvelle maitresse, si gentille, la classe remplie de gadgets de tout poil, et LA récré ?



Ce roman, paru en 2001, est certainement la réminiscence des jours d’enfance de l’auteur, des jours d’école. Il a sûrement été un peu perturbé, car toutes ces anecdotes sont grinçantes, caustiques même. La maitresse n’a pas du tout de sens pédagogique ; dans les enfants, il y a un grand brûlé, il y a des harceleurs, il y a un orphelin à qui ses grands-parents font croire que ses parents sont encore vivants ; pas un arbre dans la cour de récréation sinistre ; les livres d’école sont tout abîmés etc.

Et pourtant l’amour existe, l’amitié aussi. Lucid Casual y veille, cette petite fille qui a réponse à tout, et qui veut devenir reporter.



J’ai aimé ce roman, mais pas tout le temps ; il m’a émue quelquefois, vraiment émue ; il m’a fait sourire souvent (ah les jeux de mots et les réparties espiègles de l’auteur, ainsi que les projections dans le futur des enfants! ) ; mais il m’a irritée lorsqu’il se perdait dans la fantaisie la plus totale.



Cet objet littéraire non identifié vaut la peine d’être découvert, ne fût-ce que pour se rappeler cette première fois que tout le monde a expérimentée.

Merci à mon amie Idil qui m’a si gentiment proposé ce roman après avoir lu que Daniel Adam était un auteur qui m’intéressait !

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Eaux perdues

Difficile épreuve que la grossesse….pour un homme!

Dans ce court texte, comme sont généralement les textes publiés chez Onlit, est abordé le difficile passage (pour le héros de cette histoire) à la paternité. les raisons en sont multiples, personnelles et ancestrales. La perspective d’être responsable d’un nouvel être vivant fait ressurgir de vieux démons qu’il n’est pas difficile de ressusciter au gré de la moindre allusion, un grenier qui a abrité un pendu, ou le souvenir d’un sévère traumatisme .



Beaucoup de sensibilité et d’authenticité dans ces confidences, ce qui n’exclue pas l’humour, qui est la meilleure arme contre l’angoisse.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Bruxelles Midi

Bruxelles midi est un recueil de 10 nouvelles rédigées par 10 auteurs différents et dont le titre illustre le thème : la gare de Bruxelles midi.





Rencontres ratées, rendez-vous impromptus, ou échanges sexuels tarifés, c’est le lieu de tous les possibles, même si pour certains Bruxelles Midi n’existe pas. La traversée des rails est une activité à haut risque et certains en feront les frais. D’aucune s’incarne dans toutes les silhouettes, d’autres survivent à même le sol au bon coeur des passants, mais risque-t’on d’y disparaitre?

Chaque texte jette un regard unique sur ce grouillement de vie qui anime les quais d’un gare. L’observateur peut devenir l’observé, et la stratification de la société y explose, dans un côtoiement aléatoire. La diversité des styles d’écriture accentue l’originalité du point de vue. J’ai particulièrement apprécié «Evidemment je n’ai rien vu», pour la présentation progressive du personnage dont on ne perçoit pas immédiatement l’identité, et «Alexandra revue et corrigée» pour l’atmosphère mystérieuse qui s’y installe insidieusement. Mais j’ai aussi apprécié «Transaction en cours « : lorsque le virtuel prend corps, l’apparence peut surprendre.

L’ensemble témoigne d’un vrai travail de rédaction, soutenu par une écriture riche et recherchée, avec cependant pour certaines nouvelles un caractère original mais abstrait qui m’a fait perdre le fil.



N'hésitez pas à découvrir ce titre téléchargeable gratuitement ici :

http://www.onlit.net/index.php?option=com_k2&view=item&id=586:bruxelles-midi



Soutenu par BELA, le site multidisciplinaire des auteurs francophones, qui accueille 500 auteurs francophones de Belgique

http://www.bela.be
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Bruxelles Midi

Il s'agit d'un recueil de 10 courtes nouvelles écrites par 10 auteurs différents, ayant toutes en commun le contexte géographique de la gare internationale de Bruxelles-Midi.



Le recueil a l'avantage appréciable d'être disponible sous format numérique, gratuitement. Les nouvelles sont hétéroclites dans leur ambiance et leur style, souvent surréalistes à la belge, et fournissent presque toutes une dizaine de minutes de lecture divertissante. Lorsqu'on attend le train par exemple.



Appréciable aussi pour le lecteur belge ou étranger fréquentant la gare en question, cela est plus parlant.



Agréable.



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Eaux perdues

Dans ce roman, l’auteur partage avec nous les questions que se pose le futur papa, qui n’a pas eu de modèle paternel. Que va-t-il transmettre à son enfant ? Comment devient-on père ? Quel projet mettra-t-on en place pour cet enfant ? Daniel Adam explore les relations familiales, des relations parents-enfants aux liens qui unissent les membres d'une fratrie, pour se questionner sur la paternité et les responsabilités qui y sont irrémédiablement liées.



Eaux perdues pose la question essentielle de la filiation, qui redessine la généalogie familiale en plaçant les jeunes parents et le futur enfant dans une continuité qui les dépasse. La justesse du récit et des personnages nous plonge dans les tourments de ce futur père, nous faisant ressentir son désarroi et sa peur de ne pas être à la hauteur. Une belle découverte que celle de Daniel Adam.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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Où dans le ciel ?

Un échafaudage, ça sert à prendre de la hauteur. Et c'est ce que fait Pierre en ce dimanche matin printanier. Il grimpe pour regarder sa vie.

Pierre a abandonné très vite l'école : elle n'était pas faite pour lui ou...inversement. Il a donc dû trouver du travail très jeune, et s'est retrouvé engagé dans une confiturerie. En haut d'un échafaudage, mais au bas de l'échelle sociale. Et on sent que cela lui pèse. Il se sent maladroit.

Chaque court chapitre est l'occasion d'évoquer les souvenirs.

Son illumination musicale, ce court instant de grâce offert par Monsieur Micha, son instituteur. Stoppé net par le claquement du piano qui se referme, un bruit qui accompagnera Pierre toute sa vie.

Ses parents trop tôt partis dans l'explosion de leur maison, faisant de lui un orphelin encombré de la considération des voisins.

L'amitié indéfectible de Jean, trop tôt parti lui aussi.

La bibliothèque de Max et ses pépites, surtout 100 ans de solitude.

L'amour tendre et respectueux de sa femme Béatrice.

Son emportement contre la pièce de théâtre social à laquelle Max l'a invité. Pierre sait que ce n'est pas la vérité.

- Ça ne parle pas d’usine mais de ce que les gens comme eux pensent de l’usine, comme un combat entre les gentils et les méchants (…)

- On va le remplir avec quoi, Max, le fossé ?

- Le fossé ? Quel fossé ?

- Celui qui nous sépare.

C'est un texte plein de la poésie du regard de Pierre sur sa vie, mais aussi empli de regrets et de révolte.



J'essaye de me souvenir de ce que j'aimerais oublier.



Un bien beau texte à savourer.
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Lucid casual

Lucid Casual est un livre que j'ai acheté au moment où je commençais à lire plus intensivement, mais sans trop savoir quels seraient les genres que je préférerais, et en mélangeant un peu les auteurs. En achetant ce livre dans ma librairie d'occasion Montoise préférée, je pensais acheter un livre d'un Adam, oui, mais un Olivier et pas un Daniel… J'ai donc pas mal rechigné à le lire, comprenant par après mon erreur. Il avait juste l'air bizarre et avait une couverture peu engageante, pour moi (et qui après coup, n'a aucun rapport avec l'histoire). Je l'ai lu en vitesse, et sans rien comprendre, et en me demandant quoi faire de ce livre. Je l'ai ensuite oublié pour finalement le repêcher quand j'ai commencé à chasser les livres que j'avais lus mais pas critiqués sur babelio.



Au final, j'ai été très agréablement surprise. Le style de l'auteur est vraiment chouette, plein de tournures de phrases drôles et de jeux de mots (c'est sans doute ce qui m'était passé par dessus la tête à la première lecture). De plus, le sujet est très intéressant : le premier jour de la première année primaire d'une classe d'enfants.



On consacre à peu près un chapitre par enfant qui se retrouve, pour la première fois, coincé dans une pièce avec une instit', des choses à comprendre et à retenir, alors que le soleil brille dehors. Parfois, on fait une petite incursion dans le futur, juste pour voir comment l'un ou l'autre mourra, combien de fois il se mariera, comment il se comportera avec ses enfants au vu de son enfance. C'est très touchant et très intéressant. On parle un peu de madame Madame aussi, l'institutrice que les enfants appellent Madame, pensant que c'est son prénom, et qui rajoute la distinction polie de "madame" avant… Madame Madame donc, qui est un peu sévère et qui ressemble à presque toutes mes madames à moi, celles à qui j'ai eu à faire toute ma vie.



L'auteur étant belge, beaucoup de concordances se font entre ce qu'il raconte et ce que j'ai vécu. Le doigt sur la bouche pour forcer les enfants à ne pas parler/crier/chanter (biffer la mention inutile), les sorties à la piscine où tout le monde est forcé de se déshabiller dans la même pièce (ça vraiment, je ne comprendrai jamais), ou les tartines de gouda jeune le midi.



Cette lecture a été une très belle suprise.
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Bruxelles Midi

Suite à ma première incursion chez les auteurs de nouvelles wallonsavec "entre chien et loup" voilà un second recueil, toujours chez Onlit, toujours gratuit et toujours en version électronique.



10 nouvelles, éditées en 2012, dont le thème commun est "Bruxelles Midi" (le nom d'une des gares de Bruxelles, la gare "internationale" en fait, celle où arrivent les Thalys). Cette fois ce n'est pas un recueil lié à un concours comme " entre chien et loup", donc pas de prix à la clef. On y suit donc badauds, voyageurs, prostituée, SDF.. dans une gare la plupart du temps prise comme allégorie de la rencontre, du déplacement.. ou de l'immobilisme au contraire, de la fin du voyage pour une SDF qui ne peut pas aller plus loin par exemple.



Au final, j'ai moins apprécié ce recueil que Chien et Loup. Le thème de la gare - et une gare très précise en plus- est plus limité sans doute, donc on a moins d'approches différentes, la preuve est que les 2 nouvelles que j'ai préférées sont celle sur le rat et celle sur le meurtrier. Enfin, j'ai lu le recueil le mois dernier, et ce sont les seules (avec transactionencours) dont j'ai encore une net souvenir.. j'ai du feuilleter à nouveau les autres pour en parler, alors que je me souviens pas mal de celles de l'autre recueil.. La plupart de celles-là sont plus anodines. Je déteste dire quelque chose comme ça, mais voilà, pour 7 nouvelles sur 10; la sauce n'a pas pris: trop attendu, allégoriques, mais d'une allégorie peu surprenante.. donc, je conseille plutôt Chien et Loup à ceux qui voudraient tenter l'un des deux recueils.



(pour le détail des nouvelles, suivre le lien ci-dessous)
Lien : http://chezpurple.blogspot.f..
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Où dans le ciel ?

on rentre progressivement dans la vie du protagoniste qui un dimanche matin remonte sur l'échafaudage de l'Usine où il a longtemps travaillé ayant abandonne l'école très jeune. A chaque chapitre nous partons dans ses souvenirs au travers de ses amitiés avec Jean et Max, ses parents et un peu sa femme. On s'attache petit à petit à cet homme qui se pose des questions existentielles en retraçant son parcours, ses regrets , son échec scolaire pour lui à l'origine de sa situation, son éveil au monde grâce aux rencontres qui lui font découvrir un autre milieu social. Une écriture fluide et poignante sur une réalité de la vie : le conditionnement du milieu où l'on nait et le rôle que l'école devrait jouer pour accompagner vers le haut au lieu d'abandonner les plus faibles au travail à l'usine.
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Où dans le ciel ?

Un roman court écrit à la première personne qui nous plonge dans la vie de Pierre .

Il aura suffit d’un échafaudage pour que les pensées du personnage s’envolent vers son passé .

Les chapitres se succèdent à vive allure tout comme notre esprit .

Une écriture fluide et agréable. Un mélange de roman poétique et théâtral à la fois.



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Eaux perdues

Ce roman sur la paternité sort des sentiers battus.

La vie a malmené ce futur papa et malgré l'amour, les souvenirs et les blessures perturbent ce qui est généralement accepté comme "un heureux événement".

Comment devenir père quand on en a pas eu un ?



Avec une écriture très visuelle, parfois à la limite de la poésie, Daniel Adam traduit les appréhensions, les peurs, les doutes.



Un roman d'une rare sensibilité.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr
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