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Citations de David Prudhomme (91)


Des tatouages en veux-tu en voilà... Les gens s'écrivent dessus parce qu'ils n'ont plus rien à se dire !
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Tout change, rien ne change... Les adultes rêvent et restent les enfants qu'ils ont toujours été...
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L'homme affiche ses atouts, la femme ses appas.
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Les adultes rêvent et restent les enfants qu'ils ont toujours été.
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Vois-tu, en voiture, tu rentres dans le paysage, en train tu l'accompagnes.
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Y a à voir et à regarder..
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Allo Seb? Oui... J'y suis, ... Oui... Chez Rembrandt. Oui, avec Jeanne, on déambule. Hein? Si j'avance sur le bouquin? Un peu, j'ai l'impression de marcher dans une BD géante. Sur tous les murs il y des cases. Tous les formats, les styles. Des lecteurs de partout, venus du monde entier, plus fort que Tintin!
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Les américains pouvaient aller n'importe où en Europe et ils ont choisi Grangeroux !
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Paris-Madrid, une heure et demie !
Du camping au supermarché, pareil !
Il n'y a rien qui te gène ?
(p. 97)
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Vois-tu, en voiture, tu rentres dans le paysage, en train tu l’accompagnes …
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Quelques fumeurs de haschich ont rencontré la mort,
lui demandent si aux enfers les gars s'amusent encore.
Dis, la mort, c'est comment, la vie au fond de la nuit ?
Y a du fric dans l'hadès ? On y boit du raki ?
Y'a des chansons ? Du bouzouki ? Des fêtes ?
Des coups fumants ? des coins sympas pour les rébètes ?
Dis-nous, y'a des poupées chez toi, des bonnes frangines
qui prennent leur pied, soufflant le hash par les narines ?
Dis-nous , la mort, soit bonne : les clodos, pauvres mecs,
ils picolent aux enfers, ou sont au régime sec ?
Ceux qui arrivent chez toi dans la plus noire déprime,
ils guérissent, dans l'hadès, ou plongent au fond de l'abîme ?
Prends cette poignée de kif, du fort, du parfumé :
c'est pour nos potes en bas, qu'ils puissent un peu fumer.
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Un peu, j'ai l'impression de marcher dans une BD géante. Sur tous les murs il y des cases. Tous les formats, les styles. Des lecteurs de partout, venus du monde entier, plus fort que Tintin!
Et tu vois ce qui me plaît surtout, c'est d'observer les gens qui regardent les oeuvres.
Les salles de musée deviennent de grandes histoires en volume. (p.8)
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Paris-Madrid, une heure et demie! Du camping au supermarché pareil! Il n'y a rien qui te gêne?
p.97
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Les vacances, c'est comme des petits morceaux de retraite.
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Quelques traits faits il y a a 30.000 ans, en une heure, peuvent totalement chambouler nos constructions intellectuelles contemporaines.
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Les dessinateurs sont des sismographes : ils enregistrent les émotions et les restituent.
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Je me suis adapté à tout. Ils nous ont adoptés. Maintenant, chaque nuit, je remâche nos mots à ces âmes bien nées qui aiment sentir par procuration le piment que nous, les Rébètes, on avalait par poignées. Nos brûlures étaient bien réelles. Il n'en reste qu'une écume, une mélancolie, des assiettes cassées... Nous étions des petits poulpes des bas-fonds. A la bile bien noire. Ils ne pouvaient pas nous aimer quand nous étions vivants, dans nos eaux sombres. Une fois sortis de notre jus, nous sommes devenus comestibles. (extrait de la fin, propos d'un des personnages vieillissant qui se souvient de cette époque alors qu'il joue et chante dans une taverne d'Athènes)
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Regardes les hommes du port autour de nous. Ils viennent s’étourdir des vérités qu’on leur chante
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- Hum... Vous allez à Port Nawak ?
- Oui.
- Vos papiers aussi... c'est votre chance. Vous y habitez ?
- Non.
- C'est votre deuxième chance... (p. 24)
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J'ai fréquenté des plages moins fréquentées.
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