J’ai découvert Outlander grâce à la série et depuis je vis une fabuleuse histoire d’amour avec cette saga. Il s’agit de Claire, infirmière de la WW2, qui décide au lendemain du conflit de partir en lune de miel avec Franck, son mari, en Ecosse. Au pays des légendes, Claire ne vas pas échapper au fantastique puisqu’elle va se retrouver plonger 200 plus tôt dans les Highland et va faire la rencontre de Jamie... et la s’en suit une merveilleuse épopée pleine de rebondissements. Je dois bien avouer que j’ai eu du mal a accrocher au début mais l’histoire m’intriguait tellement que je n’ai Pu me résoudre à fermer le livre. J’ai continué et je suis totalement conquise. La plume de Diana Gabaldon est addictive! Je conseille vivement cette saga!
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Ce premier tome, malgré son épaisseur, se lit plutôt vite et facilement. J'aime l'idée de départ de ce roman et j'ai beaucoup apprécié le personnage de Claire. Mais voilà, je m'attendais à un côté plus historique, plus de détails, je trouve que la romance prend beaucoup trop de place ici.
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Ce fut une lecture compliqué, même si l'histoire est vraiment intéressante et pleines de rebondissements, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. J'ai trouvé ce roman beaucoup trop long avec des longueurs, et notamment certains chapitres plats.
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Une jeune infirmière, au lendemain de la seconde guerre mondiale se trouve soudainement projetée dans les Highlands à la veille d'un soulèvement contre les anglais, 200 ans avant son époque...
Elle devra s'adapter à un mode de vie qu'elle ne connait pas, dans une époque qui lui est étrangère de moeurs, de langue, de croyance. Mais elle finira par trouver quelques compensations à son sort...
Un roman divertissant, agréable à lire, même si l'histoire d'amour prend vite le pas sur l'histoire de fond et l'Histoire en générale.
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J’ai trouvé ce livre dans une boîte à livres, comme c’est une romance historique et que j’en ai entendu beaucoup de bien, j’ai voulu le lire. Je précise que je n’ai pas regardé la série donc je ne comparerais pas.
Malheureusement, j’ai plusieurs choses à reprocher à l’histoire. Déjà, le début est long à se mettre en place. Il faut attendre 70 pages pour avoir le voyage dans le temps. C’est un peu ennuyeux.
Ensuite, je suis mitigée parce que je comprends qu’elle ne veut pas dire la vérité concernant l’endroit d’où elle vient. Elle a certainement peur qu’on la prenne pour une folle. Mais d’un autre côté, dire la vérité, à au moins une personne qui serait susceptible de la croire, lui aurait évité pas mal d’ennuis, je pense.
Je trouve également, qu’elle ne pense pas assez à rentrer chez elle, qu’elle n’a pas l’air de trop paniquer de ne pas pouvoir rentrer… Personne ne lui manque ? Elle n’a pas peur ? Parce que connaître les livres d’histoire et le vivre en réel, c’est deux choses différentes, je pense.
Elle s’adapte trop vite. Avec 200 ans d’écart, ils parlent de la même façon ? Je suis sceptique… Et puis, ils sont complaisant ces Ecossais. Ils la prennent pour une espionne ou au moins pour une ennemie puisqu’elle est anglaise et ils font tout pour parler sa langue pour qu’elle comprenne tout ? Il lui offre le gîte, le couvert, une place dans le château ? Ca ne me semble pas totalement cohérent…
Je pense que l’auteur a pris quelques libertés pour pouvoir placer correctement son histoire. Enfin, ce n’est que mon avis…
Bref, je n’ai pas apprécié ma lecture et c’est vraiment dommage…
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Lecture faite en audio.
Ayant regardé la série Netflix à sa sortie, le roman me tentait depuis un moment. Mais étant un petit pavé de 500 pages, j’ai préféré l’écouter plutôt que de le lire. Côté audio, écouté en vitesse 1.5, j’ai beaucoup aimé la diction ainsi que les variations de tonalité en fonction des personnages. Des effets de voix permettent en prime d’accentuer le texte.
Côté roman, j’ai beaucoup aimé l’histoire. Nous commençons le roman avec Claire juste après la Seconde Guerre Mondiale. Mais très vite, nous sommes plongé•e•s dans l’Écosse du XVIIIe, après que Claire ait touché un Monolithe durant un voyage romantique avec son époux. Le roman est ensuite à l’image de la suite, plein d’action en de rebondissements. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde lors de mon écoute, et j’ai aimé découvrir cette Ecosse, suivre Claire et Jamie, ainsi que les jeux politiques du roman.
J’ai hâte de pouvoir écouter le tome 2.
/!\ TW présents dans le roman.
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J'ai trouvé l'idée de l'intrigue et l'époque géniale, premier tome un peu long pour certaines actions un trop grand contraste entre l'érudition du personnage de Claire er sa soi-disant naïveté quand elle se met dans des situations périlleuses ça peu être agaçant! Ses hésitations aussi et remords. Peut-être que dans les prochains tomes le personnages évoluera en même temps que l'histoire?... Le personnage de Jamie est très bien campé, je le trouve attachant. A la fois viril et plein de tendresse. Il un passé assez lourd qui rend ses mouvements d'humeurs plus "légitimes " bref quand même hâte de connaitre la suite
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Livre de chevet . Après avoir regardé la série je m abandonne dans la lecture de cette auteur . Histoire intrigues amour sont réunis pour suivre claire et son amoureux. Le côté petits caracteres et l épaisseur du livre peuvent freiner l envie de commencer mais ayant vu le film notre curiosité prends le dessus pour continuer et de remémorer les moments vus à l écran .
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Le début me semblait prometteur, le pitch intéressant ...mias je suis déçue. C'est pas mal, mais pas transcendant. Je ne comprends pas les critiques mirobolantes. Assez cru, dur, sanglant ...qui me rappelle la série "Games of thrones" . Pour les fans, cette série pourrait leur plaire.
Je ne lirai pas la suite.
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J'ai apprécié la thématique de ce livre avec la plongée historique au XVIIIEME siècle mais je suis un peu déçue par la deuxième partie du livre trop tournée vers la romance entre Claire et Jamie. Il y a ensuite moins d'intérêt historique et moins de personnages secondaires. L'approche est très manichéenne entre Jamie le gentil et Randall le pervers et méchant anglais. Je ne pense pas continuer cette saga.
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Outlander - Le chardon et le tartan (Diana Gabaldon), 1991
Ce roman est le premier tome d’une saga mi fantastique mi historique, ou peut-être inclassable en ce qu’elle est finalement plutôt une romance. À la fin de la deuxième guerre mondiale, une infirmière anglaise prend des vacances en Écosse et « passe les pierres », c’est à dire qu’elle se retrouve, par une force supérieure et magique, deux siècle plus tôt.
Ce personnage principal, Claire Randall, dotée d’une forte personnalité, est une héroïne typique des fictions américaines, une recette à succès en quelque sorte, comme Michaela Quinn, femme qui fut mon « idole » lorsque j’étais adolescente. Une femme qui fait fi des conventions et des usages à une époque où ses semblables ne sont que des femmes décoratives ou domestiques. Naturellement, l’écrivaine est américaine : Claire, comme Michaela Quinn, sont de fortes têtes, des femmes savantes qui convoitent des fonctions masculines, qui travaillent comme des hommes, néanmoins elle reprennent leurs places de femmes fragiles et prudes dans leurs rapports sentimentaux. On peut bien vouloir devenir médecin ou partir en guerre, mais de là à prétendre à des mœurs légères ou à une liberté sexuelle …
L’ensemble est assez mièvre tout en répondant aux fantasmes féminins courants. L’homme est fort, grand, protecteur mais assez rude et rustre sexuellement, toutefois cultivé et intelligent, doux et amoureux mais quand même très viril, bestial jusqu’à « punir » sa femme de coups de ceinture sur le cul. Et c’est là toute l’hypocrisie de ces romans américains. C’est sans doute très mal de fouetter un peu le cul de son amante contre son gré, mais suffisamment émoustillant pour que la scène soit décrite jusqu’au détail. Et si Claire se rebiffe un peu, elle oublie bien vite cet « incident ». Après tout, elle l’aime follement et il baise bien. C’est d’ailleurs dommage qu’il faille l’excuse des mœurs des highlanders d’il y trois siècles pour oser une scène de domination sexuelle.
Lorsque l’héroïne traverse les pierres, on s’attend légitimement à plonger avec elle dans l’Ecosse du dix-huitième mais on réalise bien vite que l’on tombe plutôt dans une romance historico-érotique, où les deux amants baisent même lorsque leur vie est menacée. C’est d’ailleurs admirable, cette façon de penser au sexe quand on est sur le point de se faire assassiner. Admirable ou … peu plausible. Tout semble tiré du cliché : l’homme si fort qu’il parait immortel, ultra protecteur et loyal, gentleman invincible et excellent amant, mais quand même suffisamment viril et brut, affolant au lit. On est clairement sur de la romance pure, finalement. Une romance dans les Highlands au dix-huitième siècle, entre un Highlander - un lord, pas un paysan ! - et une infirmière née deux siècles après lui. Le reste n’est qu’un décor maladroit à une histoire d’amour, à en juger par les nombreux anachronismes et approximations historiques (une chasse aux sorcières avec plusieurs siècles de retard notamment).
La psychologie est peu subtile, tant que c’en est agaçant. Elle se limite souvent à une sorte de « Show don’t tell » qui vaut encore mieux que lorsque l’auteure tente de livrer les pensées intérieures des personnages : alors qu’elle risque d’être brûlée vive à l’issue de son procès pour sorcellerie, les pensées de Claire sont à la plaisanterie. Il n’y a pas une once d’angoisse ni de panique, pas plus que de révolte intérieure. Les introspections sont complètement ratées, rien ne sonne vraisemblable. C’est que, même dans un roman fantastique, un lecteur exigeant attend de la plausibilité, au moins psychologique.
Le tout dans style plat, et parfois même maladroit. Pas d’intelligence ni de fulgurances. La belle infirmière traverse des pierres magiques, remonte le temps, se fait enlever par des Highlanders grossiers et brutaux, mais qui ont du cœur (!), et elle ne se sent nullement chamboulée.
Même en tant qu’infirmière, Claire est à peine crédible, pas plus qu’en femme qui remonte le temps. Elle se réveille deux-cent ans plus tôt et elle n’est ni révoltée, ni désespérée ni dépaysée : les écossais du 18ème s’expriment dans un anglais parfait, et elle s’adapte aux coutumes et vêtements d’époque sans en être même moindrement importunée.
C’est un divertissement pur, donc. On ouvre le livre, on se laisse aller à accepter toutes ces incohérences et facilités ( Claire Randall, d’ailleurs, se retrouve nez à nez, et dès sa remontée dans le temps, avec l’ancêtre de son époux, lequel ressemble au mari à s’y méprendre) au profit d’un moment d’abandon et de paresse comme devant une série télé, et on le referme en s’étant simplement distrait, en n’ayant rien appris et en l’oubliant bien vite. À moins d’avoir le goût des mièvreries et de continuer à se laisser bercer par cette histoire d’amour chimérique à la façon d’un enfant qui voudrait vivre à Poudlard ou dans le château de la reine des neiges…
Cette saga a eu un grand succès, jusqu’à faire l’objet d’une série mondialement prisée. Il est donc une multitude (de femmes ?) que cela fait rêver. Elles s’évadent ainsi, sans doute, se figurent faibles et fortes à la fois, et dans les bras d’un homme puissant et tendre à la fois, qui leur assurera une protection indéfectible mais qui saura les brutaliser un peu quand même dans l’intimité. C’est compréhensible, d’une certaine manière. Fuyant un quotidien morne, on se berce de légendes et de ce qui tient du proverbe. On vit une passion amoureuse houleuse par procuration. Pour ma part, j’ai été plus fascinée par l’amour entre Anne Pingeot et Mitterand, en ce qu’il est plus réaliste d’abord, mais également bien plus élevé.
J’avais ouvert ce roman dans l’espoir d’y étudier la façon d’écrire américaine, qui me paraît spécifique en ce que l’intrigue est souvent relativement bien ficelée. Je n’en n’avais pas d’autres attentes que celles de l’étude, au juste, ni d’a priori négatif d’ailleurs, même s’il est vrai que je me défie, par expérience, des œuvres à large succès. Je n’ai pas pu observer quoi que ce soit de bien mené, de pertinent, de prenant. Non, c’était un mauvais choix, j’aurais dû relire un roman de Paul Auster pour cela. J’ai donc acheté « Écriture » de Stephen King, qui répondra sans doute mieux à mes questions que ces romans de pure distraction.
Et n’arguez pas, pour me contredire, que cette saga s’est venue à des millions d’exemplaires. Non seulement je m’en moque, mais c’est peut-être même encore pire : c’est généralement , pour moi, l’inverse d’un gage de qualité.
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Je vous conseille vivement de ne pas regarder la série et de lire le livre d'abord. J'ai fait le contraire et franchement, à certains moments, je m'ennuyais. Pourtant, le livre reste assez passionnant et intime. J'adore la complicité du couple et ce petit voyage dans le temps nous fait voyager (c'est le cas de le dire). Par contre, je trouve que le casting n'est pas adapté aux personnages du roman à l'exception de Murtagh (l'acteur est assez sympa) mais Jamie me semble bien fade par rapport au jamie du Roman.
Cela se lit bien mais j'ai beaucoup traîné (sans doute parce que je connaissais déjà le dénouement)
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J'ai déja fait une critique sur la série littéraire d'Outlander , mais je souhaite me concentrer sur le premier qui est mon incontestable préféré pour plusieurs raisons pertinentes d'etre lues. Premièrement, l'histoire se passe en Écosse , une région que j'aime bien , qui est le lieu de base de toute la saga supposément , mais au fil de l'histoire l'Écosse s'est perdue pour disparaitre remplacé par les Caraibes , la France et la Caroline du nord. Deuxièmement, c'est là que l'histoire d'amour est au plus fort par la suite elle sera enfoui par un tas d'aventures sans queue ni tete. Dernièrement, les intrigues et les batailles sont fortement interréssantes alors que ensuite elles le sont moins. Le deuxième livre m'a beaucoup plus aussi. Je tiens à dire que la saga me plait tout de meme énormément
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En préambule, je vais tout de suite préciser que je ne connais pas la série adaptée de cette saga. J’ai trouvé ce bouquin dans une boîte à livres et le résumé m’a plu. La 4ème de couverture promettait un mélange de romance et d’aventures sur fond historique avec une petite touche de surnaturel. Aucune de ces promesses n’est tenue, j’ai été très déçue par ce roman.
A mon sens, si « le chardon et le tartan » échoue sur tous les tableaux c’est parce que le roman ne raconte rien et que ce rien est mal raconté. Le récit manque de maîtrise narrative ainsi que de vrais personnages.
L’élément surnaturel, déclencheur de l’histoire, est finalement très sous-exploité. Claire, l’héroïne, ne semble pas avoir de grandes difficultés à s’acclimater au quotidien de l’Ecosse du XVIIIème siècle. Mais bon, admettons, je n’aurais pas vraiment été gênée par le fait que l’auteure délaisse l’aspect surnaturel de l’histoire et qu’il ne serve finalement que comme déclencheur. Le problème, c’est qu’elle le délaisse mais pas totalement. En effet, aux 2/3 du récit, alors que cet aspect était quasi-oublié, l’élément surnaturel réapparait (lorsque Claire découvre qu’il y a une autre femme comme elle, venue du futur) pour ensuite être de nouveau mis sous le tapis. Alors, je ne doute pas que cet aspect sera développé dans les autres tomes de la saga mais comme je ne les lirai pas, je ne le saurai pas. Et puis, j’aime bien qu’un auteur donne tout dès le 1er tome. Je n’aime pas avoir l’impression qu’il en garde sous le coude pour la suite de sa saga.
Le côté romance du roman ne m’a pas séduite non plus. Pourtant, ça aurait pu être pas mal cette idée de triangle amoureux à travers les siècles. Le hic, c’est qu’à aucun moment, je n’ai cru aux doutes de Claire. J’ai tout de suite été persuadée qu’elle donnerait sa préférence à Jamie. Ce ne serait pas tellement dérangeant si cette histoire d’amour était emballante. Ce qui n’est pas le cas. D’une part parce que les personnages manquent d’épaisseur et de charisme, franchement ils m’indifféraient totalement, d’autre part parce que la romance dépeinte est à la fois mièvre et dérangeante. Mièvre avec ces dialogues assommants et ces descriptions qui rappellent toutes les deux pages combien Jamie est séduisant. Et puis ces scènes pseudo-érotiques, bon sang qu’elles sont ennuyeuses, plates et sans saveur ! Dérangeante avec ces passages où la brutalité de Jamie est excusée du fait de l’époque. Que Claire accepte sa destinée de femme du XVIIIème siècle avec tout ce que ça peut impliquer, qu’elle accepte de subir pour survivre, d’accord, je peux l’envisager. Mais l’auteure semble prendre ce parti et s’en amuse presque et va en faire un sujet de plaisanterie entre les personnages. Et là, j’avoue que ça a du mal à passer.
Echec également sur le tableau de l’aventure historique. Je ne connais pas suffisamment le contexte pour pouvoir pleinement juger de la crédibilité du récit d’un point de vue historique mais tout ça m’a semblé bien léger. Mais ça c’est plutôt secondaire. Dans un récit d’aventure historique, c’est surtout le côté aventure qui doit primer. Peu m’importe que le contexte historique reste à l’état de décor, peu m’importe s’il y a des invraisemblances tant que le récit est échevelé, plein de péripéties et qu’il va sur un rythme trépidant. Or, « le chardon et le tartan » est mou et lent. Il y a bien des péripéties mais qu’est-ce qu’elles sont répétitives… En gros, 9 fois sur 10, la péripétie consiste à une tentative de viol subie par l’héroïne. D’ailleurs, Gabaldon, c’est quoi son problème avec le viol ? Toutes les 20 pages, Claire se retrouve les vêtements en lambeaux, arrachées par les mains libidineuses d’un bonhomme. Sans parler du viol subi par Jamie dans le dernier tiers du roman avec moult détails dans les descriptions. Outre le fait que j’ai trouvé ces détails pas nécessaires, il m’a semblé peu crédible qu’un homme raconte cela avec tant de facilité en omettant aucun détail, surtout à l’époque.
J’aurais pu donner encore mille raisons qui font que je n’ai pas aimé ce roman. Mais mon billet est déjà trop long, je vais m’arrêter là. Et vite oublier ce bouquin.
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J'aurai préféré un peu plus d'histoire et moins de romance mais c'est quand même un livre plaisant qui nous fait voyager dans les Highlands (Nord de l'Ecosse).
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