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Critiques de Drew Karpyshyn (78)
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Mass Effect, tome 3 : Retorsion

Ce troisième roman se passe deux ans après le tome 2 : « Ascension » et juste après le troisième opus du jeu vidéo (selon la chronologie indicative en fin d'ouvrage).



Comme à son habitude, l'auteur nous résume, à l'aide d'un prologue explicatif, les faits s'étant déroulés dans les jeux vidéos.

Nous apprenons donc que nous allons faire connaissance avec les moissonneurs, ces immenses et impitoyables vaisseaux doués d'intelligence et coincés dans les abîmes. Ultimes ennemis de l'humanité dont les actions seront le cœur de ce roman.



On retrouvera également Kahlee Sanders, toujours à la tête de son école pour biotique, David Anderson (découvert dans Révélation), devenu diplomate, mais qui reprendra vite du service actif et Paul Grayson (voir tome 2), « démissionnaire » de Cerberus et employé d'une nouvelle venue : l'Asari Aria T'Loak, reine pirate, régnant sans partage sur la station Oméga.



Encore une fois, nous avons un récit très rythmé, avec plus d'action que dans le second tome (et plus de cadavres et une consommation assez ahurissante de médi-gel (très pratique ce truc là...)).

Une virée du plus bel effet dans l'univers de Mass effect.



Pour le bémol : Une histoire et un scénario très simples voire anémiques, on ne comprend pas trop pourquoi l'homme Trouble veut absolument Grayson pour ses expériences, mais il est vrai, que sans cela, pas d'implication de Kahlee et d'Anderson et donc pas d'histoire.



Conclusion, un troisième livre très divertissant, qui n'a d'autre prétention qu'un agréable et plaisant moment de lecture (et on n'en demande pas plus).

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Mass Effect, tome 1 : Revelation

La présentation de l'éditeur ne sert pas le livre. Celui-ci est beaucoup plus intéressant.

Je ne connais pas le jeu vidéo, mais cette novélisation est, pour moi, une réussite dans le sens où j'ai immédiatement accroché à l'univers proposé ainsi qu'à l'histoire de ce premier tome.



Le background : Plusieurs civilisations extra-terrestres ont profité de la technologie d'une race disparue depuis 50.000 ans, les Prothéens, pour essaimer dans la galaxie. Ces races forment une communauté galactique, présidée par le conseil de la citadelle, qui loge dans un immense artefact des prothéens.

Ils utilisent une technologie permettant de voyager plus vite que la lumière ainsi que des relais cosmodésiques (sortes de porte des étoiles pour vaisseaux spatiaux, permettant le voyage instantané dans la galaxie).



L'espèce humaine est la petite dernière du groupe. Après avoir découvert sur mars la technologie prothéenne et un relais cosmodésique aux alentours de pluton, l'humanité va s'unir produisant la charte de l'alliance humaine. Elle va découvrir les autres races, en commençant par une guerre (dite la guerre de premier contact) avec les Turiens, guerre, à laquelle il sera rapidement mis un terme par le conseil de la citadelle.



Le lecteur n'est absolument pas perdu dans cet univers, car l'auteur, qui n'est autre que l'un des principaux auteurs du jeu vidéo, pose et explique son univers dès les premiers chapitres du roman.

De plus une chronologie en fin de livre résume les principaux événements de Mass effect et situe les différents tomes du jeu vidéo et des livres en préparation.



L'histoire : Elle se passe en 2165 soit 18 ans avant le jeu vidéo et 17 ans après la découverte sur mars , L'alliance (l'humanité), commence déjà à rivaliser avec les grandes races, pourtant présentes depuis 3.000 ans sur la citadelle pour la plus ancienne. L'alliance s'est fait une réputation d'espèce agressive prédisposée à l'opposition. Alors qu'elle conduit des expériences interdites sur une base secrète, cette dernière est attaquée. Le lieutenant Anderson est alors chargé d'enquêter pour en trouver les commanditaires. Le conseil de la citadelle charge un de ses super-agent (un spectre) d'en faire autant de son côté. Mais le commanditaire n'a pas l'intention de se laisser démasquer sans réagir.



Ce que j'en pense :

Les races extra-terrestres ne sont pas présentées comme des béni oui-oui, intellectuellement, diplomatiquement, ou criminellement inférieures aux humains. C'est un plus.

Le style est simple, efficace, direct. De la violence et de l'action, pas de temps mort. On ne s'ennuie pas une seconde et l'univers proposé est clair et bien expliqué.

Un peu de sf militaire, des soldats avec boucliers cinétiques et énergies (pour coller au jeu vidéo?), des organisations mercenaires multiraciales (au sens galactiques du terme), juste assez de vocabulaire technique et "scientifique" pour expliquer l'univers.

Un livre d'action et d'aventure extrêmement divertissant.



Une palpitante préquelle du jeu vidéo Mass effect, plusieurs fois récompensé et best-seller sur la liste du New York Times (publicité sur la couverture du livre).
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Mass Effect, tome 2 : Ascension

Le background est désormais connu (grâce à la lecture de Mass Effect, T1 : Revelation).

Plus précisément, Saren, spectre renégat (voire le premier tome), aux commandes d'un mystérieux vaisseau a attaqué la citadelle avec une armée de Geths (robots humanoïdes rebelles découvert également dans le premier tome) et a été défait par Sheppard, devenu le premier spectre humain. Mais cette situation (décrite dans le prologue) reste très secondaire pour l'histoire.



On ne peut que regretter de ne pas en savoir plus sur la situation décrite à la fin du premier tome.

Ce qui fait que si l'on est familier de l'univers de Mass effect, ce tome peut tout à fait se lire indépendamment.



L'histoire se passe 18 ans après le premier tome, soit juste après le premier opus du jeu vidéo.

On retrouve Kahlee Sanders héroïne du premier volet, désormais à la tête d'une école pour biotique humain. Gillian, une élève, est le jouet d'une organisation pro-humain, Cerberus, et Sanders est contrainte de "s'enfuir" avec elle pour la protéger.

Dans cette histoire on fait la connaissance des Quariens, créateurs malheureux des Geths, une race somme toute assez sympathique. On découvre également Oméga, station équivalente de la jungle, sans loi ni règles...



Karpyshyn Drew maîtrise indéniablement son univers et sait nous raconter une histoire. Le style est fluide et facile d'accès. L'histoire est suffisamment rythmée pour que l'on ne s'ennuie pas, les personnages sont bien dessinés.

Mais tout cela manque d'un petit souffle épique, l'histoire reste basique, sans surprise.



Conclusion : Un bon roman de space opera, agréable à lire et très divertissant, mais pas au niveau du tome 1 que j'avais adoré.
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Un agréable space op .



Ce roman est une bonne surprise et même si je ne connais pas le jeu de près , je me suis risqué à entreprendre cette lecture mouvementé sous licence .



L'intrigue est bien structurée et les personnages bien que un rien clichés et quelquefois très prévisibles , sont fonctionnels et attachants néanmoins .



Certains aspects concernant l'univers et qui viennent évidement du jeu , sont véritablement spectaculaires ou intrigants .

Certaines scènes d'actions sont remarquablement construites et très « absorbantes « et des descriptions pointues contribuent à crédibiliser solidement l'univers d'une façon générale .



Finalement , nous sommes embarqués dans une histoire bien rythmée , assez surprenante et qui tient autant de la SF militaire que du thriller , avec des aliens et des factions sur le mode : en veux-tu , en voilà ....



L'univers est conceptuellement bien pensé dans ses aspects futuristes , tout en étant assez légers quand même sur le plan des mises en œuvre mais cela fonctionne bien dans l'ensemble .



C'est un assez bon petit moment de space op au final ...



L'arrière-plan jeu vidéo ne crée pas un cadre trop contraignant qui génèrerait un cadre narratif « prison « pour ce roman qui reste donc léger et spontané et c'est très appréciable .



Bref : c’est un véritable roman et , un pas mauvais du tout .

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Mass Effect, tome 1 : Revelation

En tant que possesseur de la trilogie Mass effect sur console, je me devais de lire le roman qui nous plonge cette fois sans joystick dans un univers très profond où se croisent de nombreuses races.

L'Humanité a fait un bond technologique avec la découverte d'artefacts prothéens, une espèce disparue depuis plusieurs milliers d'années, et est désormais membre du conseil galactique.

De la S-F pure et bien ficelée qui m'a rappelé de belles heures de jeu avec le Commandant Shepard, à lire!
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Star Wars - Dark Bane, tome 1 : La Voie de ..

"La voie de la destruction", est le premier volet de la trilogie Dark Bane, une série de trois romans, se déroulant dans l'univers de "Star Wars".

Il permet de développer avec intelligence les concepts, déjà explorés dans les films-la Force, le Côté Obscur, etc., tout en proposant un roman passionnant, avec des personnages charismatiques qu'on a plaisir à suivre et dont les doutes, les émotions, les réflexions, intéressent.

Par ailleurs, l'auteur a un style d'écriture assez intéressant, qui insuffle à l'histoire un rythme noble et majestueux, qui m'a bien plu. Il y a même parfois, quelques fulgurances de style, plutôt intéressantes. L'auteur ne néglige rien, prend bien le temps de développer chaque intrigue, de donner de la consistance à chaque personnage, pour que tous, aient une vraie profondeur, des doutes, des émotions.

Mais, à mon avis, ce qui constitue la plus grande force de son livre, ce qui en fait une grande réussite, est surtout la manière dont il dépeint, le long cheminement de son personnage principal, sa lente transformation en un être majestueux et impitoyable, l'incarnation même du Côté Obscur de la Force. Il lui donne une histoire complexe, qui le fait évoluer progressivement, pour devenir l'homme qu'il sera. On peut d'ailleurs dire que "La voie de la destruction", est avant tout, un roman d'apprentissages, avec des mentors, qui découvrent au héros une part de ce qu'il sera, un héros qui prend progressivement son indépendance, pour se construire par lui-même, des moments fondateurs, qui changent du tout au tout le héros et l'amène à changer.

Une autre chose qui m'a bien plu, est la réflexion, que Bane, mène tout au long du roman, autour du Côté Obscur de la Force. Drew Karpyshyn, parvient à donner à ses réflexions un vrai sens, et à les intégrer parfaitement au roman.

Un beau roman, bien écrit, avec de beaux personnages et une intrigue intéressante !
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Star Wars - Dark Bane, tome 1 : La Voie de ..

J'ai eu le plaisir de découvrir ce premier tome bien lu sur Youtube. Un pote m'avait dit lit Star Wars plutôt que de regarder les films et il a bien raison. Le propos va plus loin, est plus contrasté et percute bien plus que les images d'Épinales cinématographiques qu'on nous en offre. Ce roman d'apprentissage est celui d'un homme broyé par un système, battu par son père et doté d'un pouvoir... Par ras-le-bol d'être maltraité, il va se libérer de ses chaînes en s'enchaînant à d'autres, la confrérie du côté obscure. Très vite, sa présence dans cette meute défiante fera sensation et il n'aura d'autres choix que de détruire ce désordre organisé. La défiance ne mène nulle part, sauf vers l'autodestruction. Fatalement résumé comme c'est moins fin, mais il y a de ça. Dark Bane n'est pas un gros méchant Sith ni un sage chaotique, mais un individu fracassé qui utilise le système et ses capacités pour arriver à ses fins. Il préfère se plonger dans des livres de sagesses ancestrales plutôt que de surfer sur des vagues néo obscures qui font briller des valeurs comme des pompons dans un manège intergalactique sans fin. Dark Bane aime mettre un terme pour recommencer. Je vais poursuivre, en audio ou en livre, parce que ça me plaît bien !
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Mass Effect Révélation reprend à son compte la trame scénaristique mise en place pour (l’excellent) jeu vidéo Mass Effect.

L’auteur, Drew Karpyshyn, a officié comme scénariste sur ce dernier, et offre au lecteur l’opportunité de se replonger dans cet univers riche et travaillé.

L’intrigue du livre prend place plusieurs années avant les évènements présentés dans le jeu. Mass Effect Révélation pourra donc séduire autant les amoureux de la licence que les nouveaux-venus.

Si l’ensemble reste un brin convenu, et qu’on n’échappera pas à quelques clichés propres au genre aventure/action, on suivra néanmoins avec plaisir les aventures d’Anderson, menées tambour battant. C’est rythmé, ponctué de scènes d’action et le lecteur ne s’ennuie pas une seconde.

En somme, une exploitation de licence qui en donne pour son argent. Pas de tromperie sur la marchandise : c’est un livre apéritif, à déguster comme un bon gros blockbuster au cinéma.



À qui s’adresse ce livre ?

- Aux amoureux de la licence Mass Effect

- À tous les fans de space-opera, de science-fiction/anticipation

- À ceux qui aiment les récits d’aventure.
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Mass Effect, tome 2 : Ascension

Salut les Babelionautes

Dans ce tome deux, Drew Karpyshyn a fait faire un bond de quelques années et je regrette que l'Auteur n'est pas jugé utile d'écrire comment le Spectre renégats a pris le contrôle des Geths, les robots humanoïdes créés par les Quariens, qui les ont chassés de leur Planète.

Pour quelqu'un comme moi, qui n'est pas familier du jeu dont est inspiré cette trilogie, c'est un Space Opéra basique.

Heureusement qu'il a conservé le personnage de Kahlee Sanders, qui assure par sa présence un lien avec le tome 1, sinon je l'aurai regretté.

Mais d'autres personnages viennent au devant de la scène, Gillian une enfant biotique humaine, qui est l'enjeu d'une confrontation entre l'Alliance Humaine et une organisation visant la domination de la galaxie, et cela en voulant créés des super soldats.

Cette Organisation qui se donne comme nom Cerberus, nom du gardien des Enfers dans La mythologie grecque, est dirigé par un homme qui croit à la supériorité humaine sur les autres Races Extraterrestre présente dans l’Univers.

La encore la plupart de l’action se passe a la surface des planètes, c’est pourquoi je regrette tant que Drew Karpyshyn n’est pas plus développé l’attaque par les Geths de la citadelle, énorme station spatiale qui est le siège de l’autorité Galactique.

Le dénouement de ce tome deux ouvre la porte aux Moissonneurs, qui vont surement être très présent dans le tome trois, merci a Eric Betsch qui a pris la suite de Cédric Degottex pour la traduction.
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Salut les Babelionautes



Je n'ai jamais joué a Mass Effect et donc j'ai lu ce premier tome de Drew Karpyshyn comme on découvre un nouvel Auteur.

Donc nous nous trouvons dans un Space Opéra qui commence par la rencontre avec les Artefacts d'une Race Extra-terrestre, qui apparemment ont disparu, mais cette découverte va propulser l'Humanité dans la conquête des Étoiles.

Mais la rencontre avec les Turiens va commencer par une Guerre, mais la Galaxie est contrôlée par un conseil Galactique ou les trois Races dominantes ont chacune un membre.

Ce triumvirat va s'interposer et, après la résolution du conflit intégrée l'Humanité, qui devient de fait membre de la communauté Galactique.

L'Histoire proprement dite commence vraiment au moment ou un appel de détresse est capté par un vaisseau de l'Alliance (nom que se sont donnés les Humains).

A partir de là, tout va vite s’enchaîner, car les commanditaires de cette attaque l'ont organisé pour cacher un énorme secret.

Pour le moment il n'y a pas d'affrontement Spatial, tout se déroule sur la surface des planètes ou a l'intérieur de la citadelle, l'énorme base Spatiale qui est le siège du triumvirat.

La description des E.T. est bien faite, suffisamment pour qu'une image apparaisse dans ce qui me sert de cerveau.

Ensuite nous avons les personnages principaux, le lieutenant Anderson, la Technicienne Kahlee Sanders et le spectre Saren.

Les spectres sont les membres d'une espèce de Police Galactique sensée faire appliqué la Charte qu'ont signés les espèces en faisant parties.

Après une course poursuite planétaire avec pas mal d'action, ce roman se termine sur une grosse interrogation quand au devenir de ces trois personnages.

Merci au Traducteur, Cédric Degottex, qui a si bien traduit ce premier tome.
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Star Wars - The Old Republic, tome 3 : Revan

On s'attaque ici à une icône de Star Wars (pour les jeux vidéos) : le personnage de Revan. Le schéma de la narration est similaire aux tomes précédents de « The Old Republic », on suit une intrigue du côté de Revan et en parallèle une autre du côté d'un seigneur Sith : Scourge. Et les deux histoires se rejoindront dans la phase finale du livre. Sur la forme, le livre est un peu répétitif par rapport aux tomes précédents et manque parfois d'originalité. Sur le fond, en revanche, on découvre ce personnage de Revan qui est vraiment intéressant et peu ordinaire (un Jedi marié, qui est revenu du côté obscur, qui fait maintenant cavalier seul et n'est plus avec l'Ordre Jedi etc...) et sa quête pour retrouver ses souvenirs disparus qui donne envie de tourner les pages pour connaître la suite.

Je m'attendais néanmoins à en découvrir plus sur ce personnage, son passé, sa corruption etc... or on ne s'attarde dans ce livre qu'à la deuxième parti de sa vie. Il y a de bons passages de combats et l'intrigue qui se dévoile peu à peu au fil de l'histoire nous montre un aspect qui me rendait curieux depuis un certain moment : l'origine de l'empereur de cette « Vieille République », de son règne et de son pouvoir et ça en fait un très bon point pour le livre. La fin nous laisse sur une légère frustration car elle ouvre sur encore beaucoup de questions, on aimerait connaître la suite et avoir des réponses, peut-être sont elles cachés dans les innombrables autres tomes de cette saga ?...
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The Old Republic : Annihilation

Quatrième et dernier tome de la série « The Old Republic », « Annihilation » fait suite au premier tome si on suit l’ordre chronologique (dans l’ordre : Revan (tome3), Complots (tome 2), Alliance Fatale (tome 1) et Annihilation (tome 4), oui… c’est compliqué).



Eh bien, globalement c’était un roman sympathique (et la série aussi pour généraliser), qui reprend les mêmes schémas de narrations développés dans les précédents tomes (présentation des personnages, contextualisation avec les enjeux, puis on plonge dans l’action, sabre laser, blaster tout ça). Standard donc mais assez efficace, car même si l’auteur reste assez classique, il n’y a pas de temps mort dans le récit.



Néanmoins, s’il n’y a pas vraiment de points originaux dans la forme de la narration, les personnages et l’intrigue en générale le sont un peu plus. On ne suit pas directement un Jedi en personnage principal comme on en avait pris l’habitude mais un agent du Service de Renseignement de la République. Et c’est assez original pour le faire remarquer car du coup on observe la République et l’Empire d’un point de vue nouveau, plus axé sur le côté stratégique, logistique, en nous ouvrant les portes des services internes de ces deux puissances, tout en restant simple et efficace dans la façon de les décrire.



Les relations entre les différents personnages sont également bien développées. Que ce soit entre Theron, le Grand Maître Jedi Satele Shan, Jace Macom ou Teff’ith, tous les liens qui les unis sortent un peu des schémas classiques et emmènent des enjeux supplémentaires à l’intrigue.



Et enfin, l’intrigue justement, à l’image des autres points dont j’ai parlé, c’est classique mais avec quelques points originaux. Confrontation entre République et Empire, combat entre Jedi et Sith, super-arme de destruction massive, bref la recette qui fait le succès de la saga. Cependant, l’auteur arrive à renouveler cette recette en nous proposant des axes originaux (hein, Star Wars VII…) qui rendent ce moment de lecture agréable et divertissant.

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Mass Effect, tome 1 : Revelation

J'avais vraiment beaucoup apprécié les jeux mass effect. En revanche, je n'avais jamais lu aucun roman tiré d'un univers vidéoludique hormis ceux du sorceleur, mais dans ce cas ce sont les livres qui ont inspiré les jeux video. Révélation est donc différent, car il raconte un pré-quel du premier mass effect. Qu'en ai-je pensé ?



Je connaissais la réputation de Drew Karpyshyn, l'écriture efficace des mass effect m'avaient mis en confiance et j'étais motivée à étendre ma connaissance de l'univers très fouillé de cette série de jeux vidéo. le livre parvient dans un premier temps à éviter d'être superflu : il raconte une véritable histoire dont il est fait quelques références dans les jeux, apportant des informations bienvenues, mais n'est pas non plus indispensable à la compréhension des scénarios des jeux. Un premier très bon point.



Nous suivons un jeune capitaine Anderson, mentor du héros dans les jeux, qui se lance dans une mission ardue pour l'alliance. L'auteur met en place son univers avec une grande habileté. Ceux qui ne connaissent pas les jeux ne seront pas perdus. Ceux qui ont joué aux ne seront pas lassés par les répétitions du lore : elles sont faites de manière assez efficace pour être complète sans trop en faire. On saisit rapidement les rôles et les enjeux du consortium ainsi que les motivations des différentes parties en présence.



Ainsi, l'auteur exploite à merveille son univers pour sortir une histoire haletante, dynamique et intrigante. L'écriture, sans fioritures, fait un bon travail. La plume est efficace et accrocheuse, ce qui permet de suivre les actions sans se perdre. Au contraire, les séquences de combat sont assez claires.



Pour les connaisseurs, c'est un plaisir de retrouver quelques visages connus de la série de Jeux video. David Anderson bien sûr, mais aussi Saren ou Kahlee Sanders. Révélation offre justement des informations intéressantes qui présentent les personnages sous un nouveau jour.



En somme, un livre qui remplit ses objectifs. Sans forcément être le livre de SF du siècle, Révélation offre une histoire haletante et est un très bon complément au matériel original. Karpyshyn s'affirme comme un conteur efficace avec une grande maîtrise de son univers et des personnages qui le peuples, le tout pour nous offrir un récit cohérent et dynamique.
Lien : https://www.lageekosophe.com
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Un livre lu avec plaisir il y a deux semaines et, à ma courte honte, déjà oublié...



Dérivé du jeu vidéo "Mass effect' (que je ne connais pas), ce roman est davantage un bon produit marketing qu'une œuvre originale. Un jeune officier de la flotte spatiale humaine - qui m'a semblé très lisse - est chargé d'enquêter sur la destruction par des terroristes d'une base scientifique. Principale suspecte : une jeune femme, qui a quitté les lieux juste avant l'attaque. Une intrigue bien ficelée et joliment menée, de manière très linéaire, dans un univers travaillé et très cohérent. Hélas, on n'échappe pas aux clichés ! Le héros est une sorte de gendre idéal, ne se distinguant que par quelques fières affirmations de courage militaire, la jeune femme ne se démarque guère plus... Et sincèrement, le dénouement de l'histoire d'amour (que vous avez déjà vu poindre, non ?) prête à sourire...



Une lecture de détente, que je recommanderais sans hésiter pour un après-midi de pluie dans un camping bruyant.



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Mass Effect, tome 3 : Retorsion

Salut les Babelionautes



Arghhh !! je viens de terminer le tome trois de Mass Effect, Rétorsion, et je m’aperçois que ce n'est pas une trilogie et qu'il y a une suite, traduite ou pas, ça je n'en sais rien.

quoi qu'il en soit, j'ai continué ma découverte avec ce tome trois, ou comme je l'ai écris les Moissonneur font une entrées fracassantes.

Cette fois c'est Paul Grayson qui est au cœur de la tourmente, capturé par les sbires de l'homme Trouble, il est soumis a des expérimentations dans le but de comprendre la technologie des Moissonneurs qui grâce a des nanoparticules parviennent a faire de leur captifs des armes.

Le plus étonnant pour moi c'est la capacité qu'ils ont de dirigés ceux qu'ils ont transformés, même ci ceux ci sont a l'autre bout de la Galaxie, pratiquement sans aucune latence dut aux distances faramineuses.

J'ai retrouvé avec joie notre duo, qui c'était éloigné l'un de l'autre, mais que les événements vont une fois de plus réunir pour lutter contre cette nouvelle menace.

Encore une fois je trouve dommage que l'action se déroule sois sur une planète sois sur des stations spatiales sans aucun affrontement Spatial.

On sent que le jeu doit être addictif si le déroulement du récit lui est fidèle, de toute façon, je ne sais pas sur quel type de console il est dispo, a moins qu'il existe une version PC je ne pourrais pas m'en rendre compte de moi même.

Merci à Éric Betsch qui a assuré la traduction de ce troisième roman de Mass Effect.
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Star Wars - Dark Bane, tome 1 : La Voie de ..

Peu après Noël, tandis que je me promenais dans mon paisible petit village, une scène m’a longuement fait réfléchir : deux enfants, sabres laser flambants neufs fièrement dressés, étaient en plein conciliabule pour décider en avance de l’issue du combat à venir … A vrai dire, ils n’ont pas eu à débattre bien longtemps : le petit Sith en herbe a déclaré « je suis le méchant, je suis plus fort, je gagne », et le petit Jedi a vivement approuvé « ouais, les gentils ils gagnent jamais », avant de protester « mais la prochaine fois c’est moi le méchant ! ». Les gentils ne gagnent jamais, les méchants sont les plus forts. Quelle drôle de philosophie pour des enfants de sept ans ! Lorsque j’avais leur âge et que les autres enfants et moi jouions à Star Wars au terrain de jeu (avec des branches en guise de sabres laser), tout le monde voulait être un brave et noble Jedi, et non un vicieux et sanguinaire Sith : certains rentraient même chez eux en boudant si le tirage au sort les avait désigné comme méchants ! Les choses ont décidément bien changé, en l’espace de quinze ans : visiblement, désormais, les enfants sont bien plus fascinés par le Côté Obscur que par le Côté Lumineux ! Mais en observant les romans de l’Univers Etendu … je pense qu’on peut dire que ce n’est pas seulement les enfants : on suit bien plus de « héros » Siths que de Jedi ! Et je me demande bien ce qu’il faut en conclure sur notre monde …



Comme son ivrogne de père avant lui, Dessel trime du matin au soir au cœur des mines, à extraire à coup de marteau-piqueur le si précieux mais si résistant cortosis. Comme son ivrogne de père avant lui, Dessel trime nuit et jour pour tenter de rembourser sa dette à la Compagnie Minière. Mais contrairement à son ivrogne de père, Dessel compte bien quitter cette planète désolée un jour ou l’autre : il le sent au plus profond de son être, son destin n’est pas de pourrir ici. Prenant son mal en patience, Dessel attend le jour où prendra fin cette existence de misère et de servitude : son étrange instinct ne lui a jamais fait défaut. Mais voici qu’un jour, Dessel est contraint de fuir précipitamment Apatros : pour éviter que la justice de la République ne lui mette le grappin dessus pour avoir assassiné l’un de leurs officiers (peu importe que cela soit de la légitime défense), le mineur rejoint les rangs de l’armée Sith. Devenu sergent de la Marche Obscure, troupe d’élite de la Confrérie des Ténèbres, Dessel est cette fois-ci bien loin d’anticiper le nouveau tournant que va prendre son existence : lorsqu’il est mis aux arrêts pour insubordination (peu importe que sa mutinerie ait évité un échec cuisant à la Marche Obscure), l’ancien mineur ne voit pas d’autre issue que la mort … Mais à sa plus grande surprise, le voici envoyé à l’Académie Sith de Korriban, pour faire partie de l’élite de la Confrérie des Ténèbres : un Seigneur Sith. L’ascension de Dark Bane a commencé …



Qui dit « Star Wars » dit généralement « action » : on s’imagine aussitôt des batailles spatiales trépidantes, des combats acharnés au sabre laser, quelques explosions spectaculaires pour faire bonne mesure … Si c’est là tout ce que vous venez chercher dans un roman estampillé « Star Wars », je crains que celui-ci ne vous apporte pas entière satisfaction : l’auteur nous offre ici un récit qui se rapproche bien plus du roman initiatique qu’autre chose, même s’il nous accorde quelques scènes de bagarre pour ne pas trop nous dépayser. La sempiternelle lutte entre le Côté Lumineux et le Côté Obscur n’occupe ici qu’une place secondaire, à l’arrière-plan : le véritable enjeu est tout ailleurs, bien moins ostensible, bien moins visible. Tandis que cette guerre s’éternise et s’enlise, tandis que d’un côté comme de l’autre les forces se rassemblent et misent sur la même stratégie, celle de la force du nombre, pour prendre l’ascendant sur son adversaire, le jeune Dessel, devenu Bane, entame son apprentissage. Il traine derrière lui les souvenirs âpres d’une enfance abusée, d’une vie toute entière de rude labeur, de misère, d’avilissement, de servitude. Il aurait pu, comme tant d’autres, comme son propre père, se laisser briser par cette existence morne et monotone, pénible et humiliante. Sombrer dans l’alcool, dans la frénésie des jeux et le cercle vicieux des dettes qui n’en finissent pas de grossir jusqu’à perdre tout espoir de pouvoir les rembourser un jour. Jusqu’à perdre tout espoir tout court.



Mais Dessel a toujours su qu’il n’était pas comme tous les autres : il ne finira pas comme eux, asphyxié par la poussière des mines et les dettes écrasantes. Il en est intimement convaincu : il est promis à un brillant avenir, il accomplira de grandes choses. Il ne sera pas un mineur anonyme parmi des milliers d’autres : on se souviendra de lui. Ce refus de se lamenter sur son propre sort, cette détermination à améliorer sa condition ne peuvent que forcer l’admiration … Mais il y a chez Dessel une noirceur qui ne trompe pas, une violence contenue qui ne fait aucun doute : c’est bien par le Côté Obscur qu’il se laissera attirer. Sa force de caractère s’accompagne d’un mépris dédaigneux pour ceux qui sont plus faibles que lui : selon lui, qui a su gardé la tête haute en dépit de toutes les humiliations, ceux qui se laissent broyer par l’accablement et la lassitude ne méritent aucun respect. Le fort survit, le faible périt. Autant dire qu’il avait déjà tout compris avant même d’intégrer l’Académie Sith … Il ne mettra d’ailleurs pas bien longtemps à saisir que les « Seigneurs Sith » se sont eux aussi égarés, qu’ils ont piétinés les préceptes du Côté Obscur, englués dans leur obstination à anéantir l’Ordre Jedi. Loin de se laisser berner à son tour par les beaux discours et les enseignements vides de sens de ces Maitres aveuglés et fourvoyés, Bane réalise qu’il est de son devoir d’expurger le Côté Obscur de cette gangrène, de le ramener à sa grandeur passée. Lui, Dark Bane, sera le premier d’une nouvelle génération de Sith, puissants, craints, invincibles.



Mais avant d’en arriver là, notre anti-héros doit embrasser tout entier le Côté Obscur. Il doit se débarrasser des derniers reliquats de doute ou de culpabilité, mais aussi les ultimes traces d’attachement ou de loyauté. Il doit se libérer des dernières entraves qui l’empêchent de devenir un véritable disciple du Côté Obscur. Et cela ne se fait pas sans heurt, sans douleur : si Bane s’apprête à devenir l’un des Siths les plus implacables, sournois et ambitieux de toute l’histoire du Côté Obscur, il n’en reste pas moins avant tout un jeune homme avec ses peurs et ses faiblesses. Bane ne se transforme pas du jour au lendemain en Parfait Grand Méchant : cela se fait doucement mais sûrement. Et c’est très précisément cela que j’ai trouvé si intéressant dans ce roman : j’ai beau désapprouver les choix de Bane, je peux les comprendre, car ils ne tombent pas de nulle part. Ils s’insèrent dans un cheminement psychologique très juste et suffisamment lent pour être profond. De Dessel à Bane, de Bane à Dark Bane, la transition se fait très subtilement : aussi surprenant que cela puisse paraitre au vue du contexte, j’ai eu en tête cette image fort poétique de la chrysalide qui se fait papillon, imperceptiblement. On ne peut discerner le moment où s’opère la transformation, même en observant attentivement : on ne peut que la constater le moment venu, lorsqu’il est déjà trop tard pour comprendre comment on en est arrivé là. Je dois vraiment avouer être très agréablement surprise, car je ne m’attendais pas à une telle finesse dans un roman « Star Wars » !



En bref, vous l’aurez bien compris, cette trilogie commence très fort, et même si j’étais plutôt « blasée » à l’idée de suivre encore une fois un disciple du Côté Obscur, je dois vraiment reconnaitre avoir été bluffée par ce premier tome. Je trouve ça fascinant de voir (re)naitre l’Ordre Sith tel qu’on peut le connaitre dans les films, d’apprendre comment est (ré)apparue cette fameuse « Règle des Deux » (que nous allons visiblement explorer plus encore dans le second opus, si j’en crois le titre). On sort vraiment du schéma horriblement manichéen du Bien contre le Mal, des Ténèbres contre la Lumière, on sent qu’il y a une véritable tension à la limite de la dépendance entre les deux : l’un ne peut en réalité pas exister sans l’autre, et en s’efforçant de s’éliminer mutuellement, ils risquent bien, effectivement, de disparaitre l’un et l’autre. Loin de sombrer dans la facilité en nous présentant un Méchant Pur et Dur, l’auteur nous invite à faire la connaissance d’un jeune homme tourmenté, tiraillé entre l’ambition et la certitude d’être amené à faire de grandes choses, et la crainte de son propre pouvoir et de ses propres actions. Certains trouveront assurément cet opus ennuyeux, car l’auteur nous propose effectivement quelque chose de relativement « calme » et donc d’irrémédiablement « lent », mas pour ma part, je l’ai trouvé particulièrement passionnant. Et pour ne rien gâcher, l’auteur a une très belle plume : on est dans un style vraiment soigné, délicat, presque noble, qui ajoute encore plus de profondeur au récit, et c’est fort bienvenu !
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Star Wars - Dark Bane, tome 1 : La Voie de ..

Premier tome de la trilogie de Dark Bane, j'ai trouvé ce premier livre réussi sur plusieurs points.

On découvre tout d'abord un personnage qui succombe petit à petit au côté obscur. Loin du passage au côté obscur d'Anakin Skywalker (évidemment en roman on a plus de temps), la transformation de Des en Bane, puis en seigneur Bane puis en Dark Bane passe par plusieurs phases qui permettent de comprendre cette montée en puissance dans le côté obscur et dans la Force. C'est plutôt bien décrit avec un récit passionnant.

La philosophie Sith du passage de la confrérie de seigneurs Sith en la philosophie de Dark Bane de la règle des deux est aussi bien argumentée et intéressante.

Le récit est aussi assez original en s'intéressant aux adeptes du Coté Obscur de façon plus profonde (on suit un peu les Jedi mais le nombre de chapitres consacrées à eux est très faible). On découvre une philosophie Sith passionnante, loin du simple méchant qui lutte contre les Jedi et qui sème la mort.

La description de l'entraînement Sith est aussi très passionnant, tout comme les différents personnages, notamment Dark Bane, le seigneur Kas'im (Maître d'arme) et Githany…

Enfin, on a droit à un peu d'histoire des Sith avec notamment les Sith que l'on rencontre dans le jeu Jedi Knight : the Old Republic ; un jeu que j'ai joué sur PC et qui avait une histoire excellente ; j'ai été ravi de retrouver des allusions à cette période de l'Univers étendu de Star Wars.

Malgré quelques petits défauts (la découverte de l'apprentie de Dark Bane tombe vraiment dans la facilité), j'ai été agréablement surpris par une histoire prenante et passionnante qui met un peu plus en lumière l'arrivée d'un seigneur à Sith comme Dark Sidious (alias Palpatine).

Un tome qui pourrait se suffire à lui-même, j'espère donc que la suite ne gâchera pas ce très bon premier tome.
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Très bon livre et très bonne adaption d'un jeu vidéo (ce qui se sent dans les scène d'action ( qui commencent en infiltration pour terminer en fps quand ce n'est pas directement le cas...)

Se laisse lire agréablement, les personnages sont intéressants voire attachants ( pour le héros Anderson évidemment) et les méchants le sont vraiment et disons robustes et difficiles à abattre...

Bref même si je n'y trouve pas la profondeur d'un Halo (par Greg Bear) un très bon livre d'action pure à conseiller surtout en livre de vacance.... Les deux suites déjà éditées sotn dès lors à conseiller également.
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Ayant fini les la Saga compléte sur console, je me suis alors rapproché de Mass Effect en version "littéraire" cette fois.



Connaissant de quoi il s'agit dans sa globalité, on a ici, dans ce promier tome, la véritable histoire de l'Amiral David Anderson, avant même le rôle que l'on connait de lui dans le premier opus sur console. On en apprend davantage sur les différentes Races, et sur la venue de chacune progressivement au sein de la Galaxie, notamment et plus particulièrement celle de l'Humanité.



L'auteur mélange donc avec brio l'univers propre de la licence avec une enquête captivante de notre héros visant à defendre coûte que coûte son espèce, et la place qu'elle occupe au sein de la communauté galactique.



De l'action du début à la fin, des évenements et des détails qui coïncident parfaitement avec ce que l'on a découvert sur console auparavent, et surtout, une héroïne Kahlee Sanders, au centre même de cette fameuse enquête, que l'on aimera de plus en plus au fil de l'histoire, et que l'on retrouvera dans les tomes suivants ...
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Mass Effect, tome 1 : Revelation

Le quatrième de couverture ne raconte pas bien le livre.



La civilisation terrienne (l’Alliance) s’est déjà fait sa place au soleil en utilisant la technologie des Prothéens et est même vue comme le jeune loup, ambitieux et agressif.



Une base secrète de l’Alliance sur Sidon est attaquée. Le lieutenant Anderson est chargé d’enquêter. Il retrouve rapidement la scientifique Kahlee Sanders, seule survivante de la base et ensemble partent à la poursuite des commanditaires.



Tout le volume est un jeu de piste à la poursuite de ces mystérieux commanditaires.

L’univers est très détaillée, les races extra-terrestres sont très humaines dans leur façon d’agir et leurs motivations.



Les personnages secondaires, Saren, le Spectre et Skarr, le mercenaire krogan sont bien décrits et honnêtement, plus réalistes que le lieutenant Anderson.



Le livre est basé sur le jeu vidéo, que je ne connais pas.



L’histoire est simple, un peu trop linéaire même et l’intrigue plutôt simpliste et manque pas mal de souffle épique, quand on compare à d’autres space-opéras.

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