Eiko Kadono

Les rayons du soleil nageaient comme des gouttelettes vert clair derrière ses paupières.

La sorcellerie est un mystère invisible, tandis que le tour de magie est un mystère visible.

ça t'arrive à toi aussi, non ? De te sentir comme...abandonné.

Parce que ... si on enlève sa gentillesse à la sorcière, il ne reste que sa robe noire.
Et si on enlève sa gentillesse au chat de la sorcière, il ne reste que sa fourrure noire.

Tu as deviné. Quand je suis là, c'est comme si tout mon corps était détendu. Je me sens bien.
J'ai la sensation que mon coeur et mon esprit peuvent aller loin, très loin .... C'est mon coin de promenade préféré.

C'est le b.a.-ba du système D. Il faut être un peu foutraque et avoir plus d'un tour dans son sac, sinon ça tourne au micmac !

Kiki propulsa le vaisseau spatial au loin. Le chapeau fendit l’air, comme kidnappé par le vent. Elle se lança aussitôt à ses trousses, mais eut le plus grand mal à le suivre. La course folle du chapeau ralentit enfin. Le couvre-chef virevolta lentement dans le vent, avant de se poser en douceur au sommet d’un arbre solitaire au milieu d’un grand jardin. La sorcière se dépêcha de le rejoindre. Un cri d’enfant s’éleva tout à coup depuis une maison à proximité. « J’ai réussi ! » Kiki immobilisa son balai dans le ciel et jeta un coup d’œil à travers la fenêtre. « Maman ! J’ai réussi ! J’ai réussi ! Écoute ! cria un petit garçon, un violon à la main, en se tournant vers le fond de la pièce.

« Les hommes ordinaires ont une fâcheuse tendance à étiqueter comme méchant ce qu’ils ne comprennent pas. J’étais persuadée que tout ça, c’était du passé … »

"Pour moi, ce ne sont pas les changements du monde qui font disparaître la magie. Ce sont les sorcières qui ont toujours été beaucoup trop discrètes. Maman, tu dis toi-même que je dois être réservée, effacée. Moi je n'ai pas envie de vivre en prêtant constamment attention à ce que les gens pourraient bien dire. Je veux faire tout ce dont j'ai envie."

Ça voudrait dire que c'est le sang qui vole? demanda-t-il, les yeux ronds.

Une sorcière et une ville forment une paire, mais ensemble, elles ne font plus qu'un.

C'est extraordinaire d'avoir un endroit où rentrer. p.237

Les hommes ordinaires ont une fâcheuse tendance à étiqueter comme méchant ce qu'ils ne comprennent pas... p.70

Viens par ici. Ne fais pas ton timide et dis-moi quand quelque chose ne va pas. À partir de maintenant, je n'ai plus que toi, et tu n'as plus que moi. p.39

Pour moi, ce ne sont pas les changements du monde qui font disparaître la magie. Ce sont les sorcières qui ont toujours été beaucoup trop discrètes. Maman, tu dis toi-même que je dois être réservée, effacée. Moi je n'ai pas envie de vivre en prêtant constamment attention à ce que les gens pourraient bien dire. Je veux faire tout ce dont j'ai envie. p.29

Ce n’est pas gentil de dire que les chats noir corbeau sont banals !

Un jour, sa mère lui avait dit que toutes les couleurs du monde étaient réunies dans le noir des sorcières, que c’était la couleur la plus appropriée pour elles, qui avaient toujours fait leur possible pour rendre service aux autres, et ce, depuis la nuit des temps.

La petite sorcière, elle, regardait Tombeau avec admiration. Il avait réglé son problème si vite et avec une telle facilité ! Elle n'aurait jamais pu penser à cette astuce.

Son ami Tombo est très gentil

Pour tout te dire, je pensais suivre des cours de cuisine cet été. Dans la ville à côté de celle d'à côté de celle d'à côté.