Enid Blyton

j'ai découvert les aventures du club des 5 a l âge de 11 ans puis je l ai lu a mes enfants qui a leur tour l on lu au leurs s y bien qu'il on appelé leur chien 🐶 Dagobert

Biquette est la meilleure pâtissière de la région. Frère Ours, ce grand gourmand aimerait bien un baba au rhum aussi immense que lui. Mais les enfants de Biquette proposent un concours pour gagner le gros gâteau. « Si quelqu’un réussit à faire jaillir de la poudre de perlimpinpin d’un rocher, tu feras un baba aussi gros que Frère Ours. Mais ce sera le gagnant du concours qui aura le droit de le manger. » (p. 7) À votre avis, qui gagnera le concours ? Jojo Lapin, évidemment ! Mais je ne vous dirai pas comment il a fait jaillir la poudre de perlimpinpin.



Après s’être régalé du fameux baba au rhum de Biquette, Jojo Lapin doit encore et toujours déjouer les vilains tours de Frère Ours, Maître Renard et Compère Loup qui aimeraient le faire cuire une bonne fois pour toutes ! « Il faut que je me venge de tous les tours que ce coquin de Jojo Lapin m’a joués dans le passé.il y a trop longtemps que ça dure ! » (p. 60) Heureusement, Jojo Lapin peut compter sur son oncle Gros-Lapin, sur son amie Séraphine la tortue, mais surtout sur sa malice ! Ce n’est pas demain que les trois vilains larrons mangeront du civet de lapin !



D’un livre à un autre, les aventures de Jojo Lapin se ressemblent un peu. Il met en échec les mauvais plans de Maître Renard et de ses acolytes et il aime prendre du bon temps avec ses amis. Un peu gourmand, un peu tricheur, un peu filou, Jojo Lapin n’est pas un héros sans peur et sans reproche. Mais comme il est le plus malin, ce n’est que justice qu’il triomphe des trois balourds qui lui cherchent des noises.

Un peu de nostalgie: aucun souvenir de l'histoire proprement dite, mais que de souvenirs de mes lectures de tous ces délicieux romans qui m'ont initié à la lecture avant mes 10 ans. Claude, Dagobert et les autres m'ont beaucoup accompagné dans mes jeunes années, et j'y repense parfois avec nostalgie.

Maître Renard, Compère Loup et Frère Ours sont trois idiots affamés. Si seulement ils pouvaient se mettre Jojo Lapin sous la dent ! Mais le rusé lapin a plus d’un tour dans son sac, qu’il s’agisse de clouer la queue de Renard sur son toit et de voler son repas ou de faire croire aux trois affreux que les maisons sont hantées. Jojo Lapin est aussi toujours le premier à tirer ses amis d’un mauvais pas ou d’un piège tendu par les trois vilains compères.



Mais c’est une chose de jouer des tours à de vilains bonhommes, c’en est une autre de faire des caprices. Parfois, Jojo Lapin est pris à son propre jeu de garnement. « Allons, Jojo, sois beau joueur ! On ne peut pas gagner à tous les coups ! » (p. 43) Heureusement, le lapin est aussi malicieux qu’il a bon cœur.



D’un livre à un autre, les aventures de Jojo Lapin se ressemblent un peu. Il met en échec les mauvais plans de Maître Renard et de ses acolytes et il aime prendre du bon temps avec ses amis. Un peu gourmand, un peu tricheur, un peu filou, Jojo Lapin n’est pas un héros sans peur et sans reproche. Mais comme il est le plus malin, ce n’est que justice qu’il triomphe des trois balourds qui lui cherchent des noises.

Le clan des sept, ces premiers livres de la bibliothèque rose que l'on dévorait à l'époque où internet n'existait pas, durant ces sixties magiques, époque heureuse, pour les enfants en tout cas, s'ils aimaient un peu l'aventure policière, il y avait de quoi se régaler.

Et dans cet exploit du clan des sept, les héros font un peu comme Balzac, ils observent leur environnement, mais à la différence de l'écrivain qui y trouvait son inspiration, eux trouvent moyen d'observer des événements en apparence anodins qui vont les conduire à mener et réussir une nouvelle enquête passionnante pour leur public.

Eh oui ! Je retombe en enfance et ça fait un bien fou !



Il y a quelques jours, en classe, une élève s'étonnait que le prénom Claude puisse être féminin.J'ai donc évoqué la Claude du " Club des cinq" ( en réalité Claudine), persuadée que les jeunes ne connaissaient plus ces aventures pour lesquelles je me suis passionnée durant mon enfance.Eh bien si ! Plusieurs élèves en avaient lues.Cela m'a fait plaisir.



Je suis donc montée au grenier chercher un des nombreux livres de cette série, que je réserve à mes futurs ( très bientôt !) petits-enfants...



J'ai redécouvert la fine équipe: François le sérieux, celui sur qui on peut compter, Mick l'espiègle, Annie la douce, Claude , le garçon manqué, et bien sûr Dagobert, le chien.On retrouve aussi Jo, la petite gitane, qui apparaissait déjà dans un autre roman.Il est question de vacances en roulotte, vacances troublées par la disparition mystérieuse de deux savants.



Le livre est bien écrit, le style agréable, riche et cependant adapté à un jeune public.Même si cette série peut sembler un peu démodée, elle garde une fraîcheur et un attrait indéniables.Et l'aventure est toujours présente.Je vais la conserver précieusement...

Une critique comme un lointain souvenir d'enfance : mes quelques livres de la bibliothèque rose, dont celui-ci, sont partis à la poubelle à une époque où je n'avais pas la place de les recueillir. J'aurais au moins préféré qu'on les donne à quelqu'un. Ils connurent un autre sort, ce n'était pas mon choix. Il y a prescription. La série des Malory school m'a fait rêver, aux alentours de mes dix ans, dans mon ennui sans fin, à la condition de pensionnaire. Enfin, je pourrais partager mes envies d'aventure ! Enfin, je pourrais nouer des amitiés éternelles, qui ne seraient pas brisées par un déménagement ou un confinement dans la prison de la maison de famille. Malory School, ce monde clos, était symbole d'évasion. Les filles les plus intrépides transgressaient les lois, s'échappaient la nuit du dortoir pour résoudre des énigmes, se frottaient au danger, même mortel, mais en réchappaient toujours, solidaires malgré les conflits et les jalousies. Ah ? Ca se passait en Angleterre ? Un détail qui m'a échappé, tant je me projetais dans ses héroines qui n'étaient que des enfants de mon âge.Elles avaient des secrets, comme moi, mais les partageaient parfois, rien ne semblait insurmontable. L'uniforme était symbole d'égalité. Par ailleurs, les pages résonnaient de rires, de gourmandises. Les élèves travaillaient, certes, mais toute la scolarité était secondaire.Seuls primaient les rêves, rêves d'amour, de destins exceptionnels, de mystères. L'enfance ne finirait jamais, mais on avait envie qu'elle finisse...

J'ai connu l'internat quelques années après. Ce ne fut pas Malory School. Le scénario a connu des ratés. Mais, aujourd'hui, si je pense à ce "Sauvetage à Malory School", je songe à cette évasion qui n'a pas de prix, l'évasion de la lecture...

Cet été les Cinq sont envoyés à la ferme au bord de la mer chez M. et Mme Penlan à Trémanoir. Les quatre cousins et leur compagnons Dadobert sont heureux de ces vacances en liberté. Ils souhaitent profiter des joies de la mer, des promenades en vélo et du bon air. Ils ont décidé, pour cet été de ne pas se donner de sensations fortes et d’éviter les mystères. Mme Penlan les accueille avec gentillesse, heureuse de préparer des repas et des goûters gargantuesques. M. Penlan, le fermier, armoire à glace, peu loquace et un peu intimidant, laisse les enfants sur leurs gardes. Bientôt une troupe de comédiens vient s’installer à la ferme pour, comme chaque année, donner un spectacle dans la grange. Mais une fois encore les Cinq vont se retrouver entraîner dans une aventure faite de passage secret, d’histoire de pirates et de quelques frayeurs…


Lien : http://leslivresdegeorgesand..

Cela fait longtemps que ce titre me tentait mais que ce livre était introuvable. L'occasion m'a enfin été donnée de le lire et j'ai savouré ce moment!

Enid Blyton a bercé mon enfance avec les "Oui-Oui", les "Aventures de jojo Lapin", le "Club des cinq", le "Clan des sept", ou encore la "Famille tant-Mieux" lus dans la collection bibliothèque Rose ou Verte selon le cas.

J'ai découvert "l'arbre de tous les ailleurs" adulte (et sur Babelio!) et j'ai trouvé ce titre formidable. Je n'avais qu'une envie, le lire.

Je suis persuadée que j'aurais adoré si j'avais pu le lire enfant... Il recéle tous les ingrédients que j'aime dans ces histoires : des personnages fantaisie tels des lutins, des fées, des magiciens; des cabanes ou maisonnées extraordinaires où il fait toujours bon vivre et où l'on peut savourer des patisseries savoureuses; des aventures rocambolesques invraisemblables à la limite du reve mais auxquelles on croit le temps de l'histoire (c'est si bon de rever!). Les méchants ne sont pas franchement méchants, juste très vilains.



Bref ça ne manque pas, à chaque fois je retrouve mon ame d'enfant et que c'est bon!!!!

En vacances pour une semaine chez papi et mamie, la lecture est un rituel avant une bonne nuit de sommeil. Pour cette année, un petit tour dans les livres de jeunesse de Papi, qui sentent bon le vieux papier, et ma petit-fille choisit un livre d'Enid BLYTON - "histoires du fauteuil à bascule".

douze petites histoires qui laissent libre-court à l’imagination.

Toutes ces histoires contiennent une morale, elles sont

un bon support pour différencier le bien du mal et transmettre des valeurs essentielles.

Suite à cette lecture faite à haute voix, Papi, nous avoue qu'il n'avait pas terminé le livre étant petit, et qu'il est content d'avoir entendu toutes les histoires....

Quel sera le prochain choix de ma petite-fille dans mes "nombreuses reliques de jeunesse" et dont je n'arrive pas à me séparer.

Un livre qui a marqué votre enfance....



Après avoir réfléchi longtemps, ça ne peut être q'un club des 5 . Cette série fut la passion de mon enfance autour de 10ans, j'ai lu tous ceux de la bibliothèque, ce fut le premier livre que j'achetai avec mon argent de poche! 3,50 francs le livre et 0,50 francs d'argent de poche par semaine ...il m'a fallu économiser et être têtue ( ce que je sui



Dagobert étant blessé Claude décide de partir camper seule quelques jours avant que sa cousine n'arrive. ( Et oui, les enfants pouvaient aller camper sans que l'on s'affole, ni qu'une ligue des mamans parfaites ne demandent l'interdiction du livre ...) Quand Annie arrive, elles vont visiter une maison en ruines et découvre un garçon de leur âge, qui fait des fouilles archéologiques et a aussi un petit chien.Mais des choses étranges se déroulent la nuit, sans cela ce ne serait pas le club des cinq ! Heureusement François et Mick vont arriver et une fois le club au complet en route pour l'aventure .



En lisant ce roman , j'ai retrouvé tout ce que j'aimais dans cette série. Tout d'abord il y a Claude, féministe avant l'heure et qui refuse de s'en laisser compter, Mick le gars sympa, François est un chouille trop sérieux et Annie un poil pleurnicheuse et puis Dagobert le chien de Claude , son chien à elle toute seule , le chien que j'aurais voulu.



Une fois ce livre refermé, je me suis dit que cette série m'avait sans doute marquée plus que je ne l'avais pensé jusque là, mon caractère très "claudien", mon goût pour les polars et ma tendresse pour la Bretagne , j'ajouterai le plaisir à aller me balader avec un sac à dos - formatée par le club des cinq ! Incroyable
Lien : http://theetlivres.eklablog...

Recueil d’histoires d’Enid Blyton. Illustrations de Jeanne Hives.

J’ai retrouvé avec plaisir ce cher Jojo Lapin, toujours prêt à jouer un bon tour à Maître Renard ou à se moquer de Compère Loup et de Frère Ours. Il n’a pas son pareil pour échapper aux vilains pièges que lui tendent ces trois affreux. « C’est bien ce que je pensais. Renard m’attend à dîner, mais il sera, lui, à table, et moi, je serai dans son assiette ! Je n’aurais même pas mis le nez à la porte, le temps de dire ‘carotte !’, et hop ! il me jetterait dans sa marmite ! » (p. 10) Qu’il s’agisse de faire croire qu’il dissimule un trésor ou de se faire inviter à un pique-nique, Jojo est plein de malice et d’idées pour se sortir de toutes les situations !« Avec Jojo, le plus malin des lapins, on n’a jamais le dernier mot ! » (p. 105)



Ce recueil n’est pas très différent de tous ceux que j’ai déjà lus, mais il m’est toujours agréable de retrouver les héros de mon enfance, surtout quand il s’agit d’un joyeux lapin tiré à quatre épingles !

Récemment lu dans une ancienne édition, trouvée dans une boîte à livre. Alors bien sûr cette lecture a le parfum de l'enfance. D'une enfance perdue car au-delà du style propre à l'auteure il ne fait aucun doute que certains clichés n'ont plus leur place dans les éditions plus récentes.



Dagobert mascotte d'une prose de jeunesse devenue immorale, qui l'eut cru alors ?

Ma série préférée lorsque j'étais petite! Dolly arrive dans un pensionnat de jeunes filles où l'ambiance est à la fois studieuse et chaleureuse. Les profs sont chouettes, les pensionnaires sympathiques, le rêve de toutes les écolières!

Un livre estampillé "Ma première bibliothèque rose"! A donner aux enfants de C.P. ou mieux encore, le lire à ceux qui ne maîtrise pas la lecture. Ce texte au vocabulaire très simple, n'apportant que de l'évasion, mais pas d'enseignement. Léger, léger...

Apprenant que « le Club des Cinq en embuscade » est la dernière histoire de la série écrite par Enid Blyton avant que la maladie d'Alzheimer ne l'emporte, j'ai eu envie de replonger dans cette lecture d'enfance avec un autre regard, aussi à la recherche de mes émotions d'enfant.



Je lis ici l'édition de 1978 avec les belles illustrations de Jean Sidobre qui a immortalisé les héros dans leur look seventies très lié à la série télévisée diffusée au cours de ces années-là dans les émissions vedettes que furent « Les Visiteurs du mercredi » et « Croque-vacances ». Puisque le texte des éditions des années 2000 est remanié, expurgé, modernisé, c'est essentiel de le préciser ! On est encore dans un monde qui prend son temps ! Enid Blyton écrit pour des enfants pour qui la lecture est l'un des principaux « divertissements » ; pour des enfants qui ne sont pas nés avec une télécommande, une tablette ou une console en main. Donc, la mise en place est assez lente. La romancière pose tranquillement son univers, sachant que son lectorat fidèle aime à retrouver ses amis du Club des cinq. le noeud dramatique n'intervient pas avant la moitié du livre ! Puis arrive un cirque (une figure qui revient régulièrement dans l'oeuvre) et Enid Blyton s'ingénie avec délice à croquer de nouveaux personnages. Enfin, quelque chose arrive : une tentative de vol des plans de la nouvelle invention du père de Claude (là encore, un thème récurrent) et nos jeunes partent à l'aventure. Claude n'en fait qu'à sa tête, prend des risques et, dans cette dernière aventure, prouve avec brio qu'une jeune fille peut être plus courageuse que les garçons !



Une lecture plaisante mais un peu déstabilisante, je l'avoue ! Dans mon souvenir, le rythme était plus trépidant ! Surtout, le voleur est rapidement démasqué ! Mais est-ce dû à mon regard d'adulte ?! Certainement ! Et il me faut aussi me rappeler que donner les clés au jeune lecteur pour qu'il se sente aussi malin que les Cinq faisait sans doute partie du plaisir offert par Enid Blyton à ses fans… Je vais relire prochainement un autre opus de la collection pour comparer…

Résumé :

C’est le début des grandes vacances, le Club des Cinq est chez M et Mme Gauthier . D’habitude, ils passent leur vacance a Kernach, chez leur cousine, Claude Dorsel, mais cette fois pour changer, ils restent dans la région.

Cinq minutes plus tard, des roulottes et des caravanes passèrent, c’était celles du cirque de l’étoile. Deux fox terrier avaient remarqué la présence de Dagobert et eurent tout de suite envie de jouer avec lui.

Dans leurs aboiements ils réveillèrent les enfants et rencontrèrent un jeune garçon du nom de Pancho, les enfants eurent tout de suite envie de devenir ami .

- « Bonjour »

- « Salut tu es avec le cirque ? » dit François

- « Oui »

- « Tu fais quoi au cirque ? » intervient Claude

- « Je suis dresseur de chevaux » répond le garçon

- « Où allez-vous comme ça ? » dit Annie

- « Au lac vert nous allons faire des représentations » répond le jeune dresseur



Soudain un chimpanzé sauta sur l’épaule de notre ami.

- « Je vous présente Bimbo , c’est le chimpanzé du directeur, il est très intelligent et fait beaucoup de bêtises »

- « Il est mignon » dit Annie

- « Je dois vous laisser au revoir » dit le petit homme

- « Comment tu t’appelles ? » rétorque Mick

- « Pancho et vous ? »

- « François, Mick, Annie et moi Claude et Dagobert mon chien, mais tu peux nous appeler le Club des Cinq »



Mick eu une idée : « et si on allait au lac vert » …



Mon avis :

La fin de l’histoire est intéressante pour le reste je vous laisse apprécier par vous même.

Ce genre d’histoire ne faisant pas partie de ma bibliothèque de base, mon avis ne peut pas être très objectif et positif.

Le club des cinq a été en dessin animé, en film... Mais le mieux c'est bien entendu les romans. On est toujours content de retrouver les cinq aventuriers dans leurs péripéties ! J'adore cette série de petit livre que mon père lisait quand il était enfant. Il m'a dit un jour quand j'avais 7-8 ans d'aller fouiller dans sa bibliothèque chez ses parents, et j'ai trouvé le club des cinq avec tout les livres de la série; J'y ai passé beaucoup de temps a lire.

Je connaissais Enid Blyton pour les "Oui-Oui" et "Le club des cinq" de mon enfance et j'ai retrouvé avec plaisir sa façon de raconter dans "L'arbre de tous les ailleurs".

Rien de vraiment écologique dans cette histoire, bien que vivre dans un arbre pour des personnages imaginaires peut être un hymne à la nature.

Quand le cousin Richard arrive chez Jo, Bessie et Fanny pour y passer quelques temps car sa maman est malade, le petit citadin ne se doute pas des aventures qu'il va vivre.

Il faut dire que toute la famille connaît les habitants de l'arbre de tous les ailleurs dans la forêt enchantée. Les amis des enfants, Rond de Lune, Soyeuse et le Bonhomme Casseroles vont les accompagner dans les pays imaginaires qui passent au-dessus des nuages et qu'ils peuvent atteindre grâce à cet arbre magique équipé d'un toboglisse. Mais ces pays ne sont pas toujours accueillants pour l'équipée. Heureusement, le lutin Grognon, Dame Lessive et Maiquiescedon peuvent venir à la rescousse. Et puis, pour les réconforter il y a toujours des biscuits Pouf et des Petits Pains Pétillants.

Je regrette juste que les filles soient toutes un peu sottes ou peureuses, même la fée Soyeuse qui n'utilise pas ses pouvoirs, et les femmes, la maman et Dame Lessive, cantonnées aux tâches ménagères. Heureusement, il y a une charmante sorcière qui tricote des bas avec de la fumée verte.





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Pour les vacances de Pâques, les Cinq ont obtenu la permission d'aller camper. Chaque enfant a sa bicyclette et tous les jours, après avoir parcouru quelques kilomètres, ils choisissent un endroit plaisant où dresser leur tente pour la nuit. Pour une fois, ils étaient bien partis pour que aucune aventure ne croise leur route mais il a fallu qu'ils fassent connaissance de Richard Quentin, un garçon de leur age. Richard est le fils d'un homme riche qui a pas mal d'ennemis.

Des malfaiteurs ont projeté d'enlever le jeune Quentin mais par erreur, c'est Mick, qu'ils font prisonnier à sa place. En voulant le libérer, François, Claude et Annie, vont eux aussi être captifs de la bande d'individus. Richard Quentin va faire partie de cette aventure et lui qui est menteur, peureux et lâche, va pour la première fois de sa vie faire preuve de courage. Au contact des Cinq, il va devenir un autre garçon.

- (Tome 8 paru en 1949. Traduction française en 1957) -

Illustrateurs principaux pour livres à couverture cartonnée : années 50, Simone Beaudin ; années 60, Jeanne Hives ; années 70, Jean Sidobre (illustrateurs différents pour les rééditions abrégées aux textes simplifiés, livres à couverture souple)