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Critiques de Enid Blyton (498)
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Le club des cinq, tome 4 : Le club des cinq..

Anciens lecteurs du Club des cInq, relisez plutôt l'ancienne version, la réedition a gommé toutes les "difficultés" supposées de la langue (passé simple remplacé par le présent, phrases écourtées et j'en passe...). Bien dommage car ce sont ces "difficultés", ces mots un peu compliqués que l'on ne comprenait pas toujours qui nous plaisaient!

Une grosse déception!
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Le Club des Cinq en roulotte

Encore une bonne aventure du club des cinq, maintenant des six avec l'arrivée de Jo la petite gitane; c'est toujours une écriture soignée, destinée aux plus jeunes de l'époque (parution en 1952), avec du fond, de la forme, un gentil suspense, et des héros très, très attachants.
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Le club des cinq, tome 11 : Le club des cin..

Une aventure bien ancienne des cinq puisque ce livre est paru au début des années 50. Ils sont en vacances chez M. et Mme Penlan chez lesquels l'ambiance est assez électrique malgré la gentillesse de Mme Penlan. Aventure totale avec souterrain, angoisse, et succès de la bande. Très réussi.
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Le club des cinq, tome 18 : Le club des cin..

a la ferme des trois pignons les vacances s,annonce calme pour François,Michel,Claude, Annie et leur inséparable chien Dagobert.mais une rencontre avec un mystérieux antiquaire, un richissime américain et son fils l,insupportable junior, avec un vieillard qui ressemble au charlemagne des livres d,

histoire, avec friquet le caniche et zoe la pie voleuse.va les entrainer dans une sensationnelle course au trésor.

une aventure avec de nombreux rebondissements pour toute la famille.
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Le club des cinq, tome 4 : Le club des cinq..

un livre pour tout les enfants.a la fois histoire policière et mystère.une série qui peut amener a la lecture

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Le mystère de Monsieur Personne

The Rat-and-Tap Mystery

Traducteur ou Adaptateur : ?

Illustrations : Jeanne Hives

Edition Hachette : 1961



ISBN : Inexistant à l'époque



Enid Blyton, nous le savons tous, fut un écrivain pléthorique. Outre le célèbre "Club des Cinq" et, pour les plus jeunes, le pantin "Oui-Oui", elle imagina une série de "Mystères" dont les protagonistes principaux changent selon les cas. "Le Mystère de M. Personne" appartient quant à lui à la série dont les héros sont les jeunes Verdier, Nelly et son frère, Roger, avec leur cousin, Eric, surnommé "Toufou", toujours accompagné de son épagneul, grand amateur de brosses et de balais, Crac, et leur ami, Sylvain Lambert, avec sa guenon Virginie, tous deux rencontrés lorsque Sylvain vivait dans un cirque et ne connaissait pas ses parents (Cf. "Le Mystère du Vieux Manoir"). C'est l'un des livres préférés de mon enfance probablement parce que, vous le savez, j'ai toujours eu un faible pour le fantastique. Et, qu'on le veuille ou non, il y a bien une note fantastique - qui ne s'explique pas et que je ne vous révèlerai pas) dans ce volume dont toute l'action se situe lors des vacances de Noël, au milieu d'un troublant linceul de neige qui cerne tout : voitures, maisons, routes et bien sûr silhouettes qui passent - à moins qu'elle ne rôdent.



Sauvé par le père de Sylvain, M. Lambert (Mr Martin en langue originale), de devoir supporter ses enfants mais surtout Toufou et Crac pendant les vacances, M. Verdier, leur père et oncle, accepte avec empressement de les voir rejoindre leur grand ami Sylvain et sa petite guenon dans une maison secondaire des Lambert, le Manoir de Toquatoc. Un nom bien étrange, tout le monde se le dit - ce qui signifie que Toufou n'est pas le seul à le clamer comme à son habitude.



Le nom du manoir, bien isolé et bien chaud, vient d'un conspirateur catholique espagnol qui se serait caché entre ses murs au temps de Cromwell et dont on n'a jamais retrouvé la trace. De temps à autre, son esprit, qui n'a pu trouver la paix, "frappe" dans tout le manoir mais surtout à la porte de celui-ci, agitant d'une pichenette un vieux heurtoir en bronze qui, pourtant, pèse son poids, et cela annonce presque toujours un malheur. Bref, le manoir est hanté, en conclut notre Toufou, ravi, on le devine, si enthousiaste même qu'il commence lui-même, dès le soir de son arrivée, à tapoter les murs pour voir si, par hasard, il ne trouverait pas la cachette où mourut le pauvre Espagnol. Le tout suivi par un Crac aussi débordant de zèle que son jeune maître.



Mme Merlin [= Mrs Tickle, soit littéralement Mme Chatouiller, ce qui fait s'étouffer de rire notre incorrigible Toufou], la gouvernante du manoir, supplie le garçonnet de se faire un peu plus sage et, ramené à la raison notamment par Sylvain, qu'il admire, Toufou s'exécute. Dès le lendemain, les enfants retournent aux jeux de neige. Ils construisent notamment un igloo et un bonhomme de neige, qu'ils dénomment M. de La Froidure, et puis s'en vont déjeuner ...



Et c'est là que tout commence, si l'on peut dire. Comme une lente reptation de l'Inconnu vers les isolés du manoir ... Les coups reprennent, le bonhomme de neige s'en vient regarder à la fenêtre de la cuisine, etc, etc ...



Evidemment, tout se terminera bien et de façon très matérialiste. Mais cela n'empêche pas Enid Blyton de glisser dans son texte, à un endroit X, une remarque qu'il vous faudra traquer et qui prouve qu'au moins l'un des faits enregistrés n'est pas dû aux bandits, complices habituels de l'auteur pour régler ses intrigues. Mais attention ! Une remarque que l'on peut "zapper" très facilement car elle se fond à merveille dans une ambiance lourde de plancher en bois ciré, de meubles anciens qui pourraient prendre vie comme dans une nouvelle de Dickens, d'isolement assourdissant dans la neige qui envahit tout ... une parfaite ambiance de mystère, au sens le plus pur du terme.



A lire et à relire. A faire découvrir, si possible, dans les éditions des années soixante et à conserver précieusement dans une section spéciale de votre bibliothèque. A côté par exemple du "Mystère du Vieux Manoir" ou encore du "Mystère des Gants Verts". L'un des meilleurs livres de son auteur, si l'on est prêt, bien sûr, à faire abstraction des ficelles d'usage. Bonne lecture ! ;o)
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Le Clan des Sept, tome 7 : Le Clan des Sept..

Ce livre jeunesse est distrayant et plutôt bien écrit. On suit les personnages dans leurs péripéties avec plaisir.



Pour autant, je ne me suis pas attachée à ces jeunes héros. Je les ai suivis un peu en retrait. Ce n'est pas une histoire qui m'a laissé un souvenir impérissable.
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Le club des cinq, tome 7 : Le club des cinq..

C'est le premier livre "Le club de Cinq" que j'ai lu. "Le club des Cinq" n'est pas ma série de de livres préférée, mais elle sera toujours très agréable à lire.
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Oui-Oui et l'anniversaire des éléphants

Venez que je vous en raconte une bien bonne, ça s'est passé pour de vrai, en Sibérie.

Il était une fois un cirque polonais qui traversait la Sibérie en hiver avec sa ménagerie. La caravane roule dans la steppe glacée, mais le feu se déclare dans une des roulottes, où sont logés 2 éléphants (on soupçonne qu'ils fumaient en cachette)

Aussitôt, l'alerte est donnée, les pachydermes sont évacués et se mettent à danser le kazatchok dans le blizzard pour se réchauffer, car il fait -35°.

Les autorités du village voisin se réunissent pour faire face à ce drame: des éléphants menacés d'hypothermie fatale.

La solution apparait rapidement sous la forme de 2 tonneaux de vodka (russe ou polonaise?), mélangés à de l'eau chaude, que nos éléphants ont siphonnés illico, en guise de grog. Cette méthode est connue désormais sous le nom de cocktail sibérien, moi j'y mets un peu de jus de citron et du sucre de canne.

Sacré Oui-Oui, à ta santé!

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Le club des cinq, tome 4 : Le club des cinq..

Je pense que cette auteure est à la source de mon gout de la lecture ... Un must-read ... Mes enfants en sont fans aussi
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Oui-Oui décroche la lune

🚘 « Le petit pantin commença à réfléchir, tant et tant que le grelot de son bonnet bleu se mit à tinter. Puis il hocha la tête et le grelot tinta de plus belle. »

(P.10)



🚘 Alors qu’il se promène dans son petit taxi jaune par une belle soirée d’été, notre petit pantin international répondant au doux sobriquet de Oui-oui entend des lamentations, que dis-je, des hurlements de peur, que dis-je !, des coin-coin effrayés ! Ne voilà pas que Lili la cane est confrontée à un terrible spectacle : la lune est tombée dans sa mare et plus moyen de batifoler tranquillo. Oui-oui s’interroge, comment cette lune a-t-elle pu atterrir dans cette mare et comment diable l’en sortir ?! C’est à ce moment que le gendarme intervient, de son rire gras et méchant, se foutant éperdument de la cane et du pantin (méfiez vous des gendarmes) prodiguant cette bien triste morale : ce n’est pas avec un filet à crevettes qu’on peut pêcher la lune. Comprendra qui voudra. Moi j’érige cette morale au rang de maxime fondamentale et règle numéro un de ma vie.



🚘 Voilà, la première nouvelle se termine sur ce triste constat : la tête de Oui-oui a pour seul usage de séparer ses deux oreilles (pas celle de l’âne Hi-han qu’il trouvera par terre plus tard, non, et d’ailleurs j’en profite pour te dire ceci, à toi lecteur : laisse pas traîner tes oreilles) et n’abrite malheureusement aucune matière grise. Échec total au test du reflet d’un astre dans un milieu aqueux.



🚘 La sortie à dix avec les neufs petites poupées dans le bois pour jouer à cache-cache ne fait que confirmer ce triste constat : Oui-oui est vraiment stupide. Alors que la grande poupée blonde, mère de toutes ces demoiselles, l’a pourtant prévenu « tâchez de revenir à dix ! », mais il n’en a que neuf dans son petit, tut tuuut, taxi. Oui-oui échoue misérablement au test d’algèbre : si je est un autre, alors je n’existe pas ? Le cœur sur la main de Oui-oui ne rattrapera malheureusement pas le vide intersidéral qui raisonne dans sa tête.



🚘 Bon, vous l’aurez compris, ce cru m’a encore une fois ravie et m’a sortie de ma torpeur du lundi soir. Je dis oui aux poupées dans les bois, oui aux autos qui s’envolent, oui au plein de taxi qu’on fait avec de la tisane (qu’ont mis les auteurs dans leurs verres ?!), aux rossignols qui donnent l’heure. A Oui-oui, je dis oui.



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Le club des cinq, tome 4 : Le club des cinq..

"le club des cinq" et "le clan des sept" : deux séries qui font partie de mes excellents souvenirs de lecture d'enfance (dans les années 1975-80). Le sentiment d'amitié, d’aventure, les personnages qui ont chacun leur caractère bien individualisé en font de très chouettes bouquins. Par ailleurs, je ne sais pas si les enfants des années 2020 aimeraient ces livres autant que je les ai aimés car le monde dans lequel ils évoluent est vraiment très différent !
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Le Clan des Sept, tome 7 : Le Clan des Sept..

Un bon divertissement dans les années 60 avec la bande des sept, le clan, confrontée à des péripéties policières bien structurées pour le public des jeunes de l'époque.

Cet homme de paille va leur en faire voir, mais ils triomphent toujours.
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Le Clan des Sept, tome 12 : Le télescope du C..

Le clan en possession d'un télescope offert par l'oncle de l'un d'eux ne manque pas d'observer les alentours et de découvrir des événements étranges au niveau d'une fenêtre. Des petits voyeurs ces sept! Mais leur but n'est pas de simplement observer, ils veulent enquêter et ne manquent pas leur objectif dans cette petite aventure jeunesse.
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Le club des cinq, tome 10 : Le club des cin..

Une nouvelle aventure du club des cinq que j'ai relu avec plaisir.



Les cinq partent donc camper dans cette nouvelle aventure. Ils partent en camping avec l'un de leur professeur. Tout se passe bien, ils nous donne envie de retrouver notre jeunesse et de faire du camping, juste en profitant. Ils vont se faire un nouvel ami qui va vivre l'aventure avec eux. Cependant, peut-etre est-ce le temps qui a fait ses oeuvres mais j'ai trouvé certains personnages un peu niais, surtout Annie qui est vraiment gnan-gnan et au final on l'a trouve héroïque alors qu'elle a pas fait grand chose. Sinon c'est toujours aussi sympa à lire et ça replonge en enfance !

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Malory School, tome 1 : La rentrée (Les Fille..

Bien avant Harry Potter, Enid Blyton nous a ouvert la porte de l'univers des pensionnats anglais, grâce à sa saga "Malory School", dont "les filles de Malory School" est le premier volet.

Dolly, une jeune fille droite et volontaire, rentre à Malory school pour la première fois. Elle est un peu nerveuse, mais s'intégrera vite dans cet univers exclusivement féminin. Même si les professeurs ne badinent pas avec la discipline, quelques chipies parviennent toujours à se glisser dans les failles pour créer des mini-drames qui pimentent le quotidien des pensionnaires.

On s'attache très vite aux personnages, que l'on va retrouver au fil des six tomes. J'avais dévoré cette saga quand j'étais petite, je les relisais inlassablement.
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Le club des cinq, tome 1 : Le club des cinq..

En lectrice compulsif (et quand il n'y a pas grand chose d'autre à faire pendant les vacances chez mamie), je suis allée fouiller dans la bibliothèque de la chambre de mon père. Et là que vois-je : le club des cinq (et pas qu'un seul). De fait, autant commencer par le début, et découvrir les premiers pas du club. François, Michel et Annie partent en vacances chez leur oncle et leur tante où il font la connaissance de leur cousine Claude. Le premier contact est difficile mais les enfants deviennent vite inséparables. Accompagnés du fidèle Dagobert, ils se lancent à la recherche d'un trésor perdu. Un beau souvenir de lecture.
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Le club des cinq, tome 5 : Le club des cinq..

j'avais longuement hésité à lire ce tome-ci des aventures du club parce que je ne comprenais pas le mot "en péril"... mais la 4e de couverture m'ayant décidée, je suis entrée dans l'histoire très inquiète dès la disparition de Mick, mon préféré !
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Le club des cinq, tome 1 : Le club des cinq..

Dans ce volume fondateur du club des cinq, sont exposés les relations familiales et les caractères de chacun. Ceux-ci sont bien marqués et l'on aura plaisir à voir l'évolution choisie par l'auteur, pour chacun d'entre eux.

De même on découvre le cadre qui sera bientôt familier aux enfants et Dagobert : la villa des mouettes, la ferme et l'île de Kernak.

Les péripéties se succèdent, le rythme ne faiblit pas, les rebondissements s'enchaînent pour faire un véritable roman d'aventures.

La réussite est totale, surtout dans cette version des années 60 dont le syntaxe et le vocabulaire n'ont pas encore été édulcorés, voire massacrés.

La syntaxe est soignés, les conjugaisons variées et adaptées pour constituer un écrit solide, loin de ce qui est proposé actuellement voire même de certains romans de soi-disant auteurs actuels.

Certains diront que l'on n'a que des bons sentiments, que les méchants sont punis, que les bons triomphent mais c'était la conception de l'époque et certainement plus positive des publications actuelles qui tendent par trop à valoriser les valeurs de violence, l'absence de solidarité, d'entraide.



J'ai relu ce livre pour le confronter aux images qu'il me restait ou plutôt au ressenti que j'avais conservé. Je m'attendais à être déçu et pas du tout, j'ai compris pourquoi j'avais tant aimé ces séries puis celles des Michel, des Six compagnons. On y trouve de l'entraide, la vie en groupe si importante à cet âge tout comme les relations d'amitiés. J'y ai trouvé une intrigue, un décor et un écrit faisant la part belle au rythme, à la richesse de la phrase et aux descriptions si favorables à l'imaginaire en permettant des constructions mentales. J'ai tellement aimé que je pense que je vais m'en refaire un de temps en temps... et aussi relire quelques uns des autres séries que j'avais aimé alors !



Un roman que je donnerais encore à lire à des enfants d'une dizaine d'années.
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Le club des cinq, tome 1 : Le club des cinq..

"Five on a treasure island" of 1942.

C'est au début des années 40 que le premier tome de la série "The Famous Five" est paru en Angleterre. Naturellement, l'action ne se passe pas en Bretagne comme ce sera le cas dans les traductions françaises.

Pour ses jeunes héros, Enid Blyton a choisi la région du Dorset. Elle s'est inspirée des ruines du véritable château de Corfe pour créer l'univers où évolueront les jeunes aventuriers. "Corfe Castle" est donc devenu dans l'imaginaire, "Kirrin Caste", se trouvant sur "Kirrin Island", la petite île de Gorgina qui préfère qu'on l'appelle George... tout le monde aura compris qu'il s'agit de Claudine, la Claude à nous les français.

Dans la version originale, aucun lieu, aucun prénom, aucun nom et même beaucoup de détails de l'histoire ne sont semblables à la traduction française. le nom de famille de Claude n'est pas Dorsel mais Kirrin tout comme sa propriété (propriété qui vient du côté du père et non de celui de la mère comme dans la version française). Ce n'est pas non plus son papa qui est le frère de Madame Gauthier (comme dans la version française) mais les deux pères qui sont frères (*)

Dans ce premier tome, Claude va faire connaissance avec ses cousins qui viennent passer l'été à la Villa des Mouettes (Kirrin Cottage) pour la première fois. Une grande amitié va naître entre ces enfants de 10 à 13 ans.

François, 13 ans (Julian) ; Michel dit Mick (Richard dit Dick) 11 ans tout comme Claude et Annie (Anne) à peine 9 ou 10 suivant les tomes. Il ne faut surtout pas oublier Dagobert (Timothy) qui est le cinquième membre de l'équipe.

Une vieille épave remontant des profondeurs après un violent orage, une carte au trésor indiquant un parcours à suivre sous les ruines du château de la petite île de Claude, des malfaiteurs s'intéressant à l'affaire... tel est le premier mystère à résoudre pour le club des 5 !

(Tome 1, paru en 1942 ; traduction française en 1962)

(illustration, Jeanne Hives)



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(*) : Dans la version française, monsieur Dorsel et madame Gauthier sont frère et soeur, donc tout est simple pour expliquer les noms de famille différents.

Dans la version originale anglaise, il y a beaucoup de contradictions. Les deux pères étant frères, ils devraient porter le même nom de "Kirrin" tout comme la propriété bretonne que le père de Claude aurait hérité étant l'ainé. Tout cela a créé des problèmes à Enid Blyton qui a regretté d'avoir fait les deux pères des frères dans son premier tome. Il en résulte que au fil des livres, parfois Claude et ses cousins se nomment tous "Kirrin" mais dans certains volumes, les cousins portent un autre nom de famille...
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