Enid Blyton a marqué mon enfance avec Oui-Oui tout d'abord puis Le Club des Cinq. Je garde encore en tête les folles aventures de Claude et ses amis, toujours accompagnés de Dagobert.
Mais cette série La Forêt Enchantée, j'étais passée à côté. Un grand merci au challenge BBC et à Gwen de m'avoir replongé dans mon enfance.
Un roman très sympathique où trois enfants, Jo, Fanny et Bessie, accueillent leur cousin Richard et lui font découvrir leurs amis, habitants de l'Arbre de tous les ailleurs. Oui, un arbre qui permet d'accéder à d'autres mondes merveilleux.
Fées, lutins, gnomes, farfadets, gobelins et autres elfes font partie de leur quotidien.
Moi, j'opte pour le pays "Comme il vous plaira" :)
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Au détour d'une brocante, je suis retombée en enfance devant quelques volumes reliés cuir de la fameuse série du Club des cinq.
Ma dernière lecture des aventures des quatre garnements et leur chien date de plus de 30 ans. Quel regard mes yeux d'adulte allaient-ils poser?
Ce fut une bonne surprise.
Nos compères se retrouvent ici à passer des vacances dans une roulotte en compagnie d'un avaleur de feu, d'un contorsionniste, d'un dresseur de serpents.... et vont, par le plus grand des hasards, participer à la libération d'un scientifique récemment enlevé.
Cette série, qui s'adresse à de jeunes lecteurs depuis une soixantaine d'années, fleure bon l'enfance du passé. Celle où l'on s'amusait avec à moitié rien, où les portables n'existaient pas, où l'on n'avait pas peur de laisser ses enfants camper avec des amis, celle où s'adresser à des inconnus n'étaient pas un risque mais bien une preuve de sociabilité... Ces lectures restent sans doute intéressantes pour les enfants d'aujourd'hui, même si pour eux, c'est vraisemblablement de la vraie fiction surannée.
A travers un vocabulaire facilement compréhensible mais riche, Enid Blyton aura conquis plusieur générations d'enfants et se laisse encore lire avec le sourire une fois adulte.
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Anciens lecteurs du Club des cInq, relisez plutôt l'ancienne version, la réedition a gommé toutes les "difficultés"supposées de la langue (passé simple remplacé par le présent, phrases écourtées et j'en passe...). Bien dommage car ce sont ces "difficultés", ces mots un peu compliqués que l'on ne comprenait pas toujours qui nous plaisaient! Dans cet épisode également, une langue pauvre...
Une grosse déception!
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Enlèvement d'un membre du club des cinq! Voilà un événement terrible que les autres vont devoir gérer très vite pour retrouver, espérons sain et sauf, le brave Mick. Donc une enquête qui les touche de très près et pour l'aboutissement de laquelle ils vont donner le meilleur d'eux-mêmes. Un très bon opus de cette ancienne série jeunesse.
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le dieu inca suivie du trésor du galion d, or nous raconte en bande dessinée les aventures du club des cinq.
sur un scénario de serge Rosenzweig et des dessins
de Bernard dufosse.
au programme rire 😆 et aventures pour toute la famille.👍
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Un matin comme tous les autres, la mère de Jo, Bessie et Fanny leur annonce que leur cousin Richard viendra s'installer à la maison, puisque la mère de ce dernier est très malade. Jo, qui a sensiblement le même âge que son cousin est ravi et très content : il aura enfin un garçon avec qui s'amuser ! De suite, il prépare sa chambre, lui fait de la place dans son armoire, et l'attends avec enthousiasme. Lorsque ce dernier arrive, tout le monde est enchanté, sauf peut-être le principal intéressé : c'est qu'il arrive de la grande ville et cette maison au milieu de nul part, à l'orée d'une forêt, lui paraît bien ennuyeuse ! Mais bien sur, il en sera rien....
Une forêt enchantée avec des personnages plus grands que nature qu'ils l'habitent... et cet arbre, majestueux, magique, l'Arbre de Tous les Ailleurs. Ils croiseront pendant leur périple rocambolesque à la fois une fée, un hibou porteur de message, un Bonhomme Casseroles, la Dame Lessive.... bref, autant de personnages fantastiques qui égailleront cette aventure.
C'est un petit bijou de livre jeunesse, que j'ai cherché bien longtemps pour le Challenge BBC. Je l'ai trouvé au détour d'une recherche Internet en fichier PDF et je suis bien contente d'avoir persisté... C'est le genre d'histoire que j'aurai aimé me faire raconter par la voix douce de ma mère, le soir avant de dormir.... Je suis plus que certaine que mes rêves auraient été merveilleux !!!! Les illustrations sont plutôt sommaires, surtout en noir et blanc, mais les quelques rares en couleur sont très porteuses de sens... Elles sont collées sur le texte, et nous permettent de très bien se faire une idée des toutes ces aventures ! Bref, si vous avez la chance de vous le mettre sous la main, n'hésitez pas... l'enfant en vous vous en sera reconnaissant !!!
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un bon petit livre pour enfants qui mélange actions et péripéties rocambolesque.
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Un bon livre pour lire le soir à ces enfants avant de s'endormir.
La mise en route est un peu longue.
Mais l'histoire devient vite palpitante.
J'ai lu l'édition originale.
Il n'y avait donc pas les simplifications de vocabulaire et de grammaire de l'édition récente
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Le club des cinq partent en vacances dans la campagne anglaise chez des fermiers les Penlan, vivant près du bord de mer. Pendant leur séjour, les enfants entendent parler d'une ancienne histoire de pirate se servant d'un phare pour tromper les bateaux qui serait mystérieusement en activité ces derniers jours. En même temps, une troupe ambulante, les Barnies, vient loger chez les Penlan pour faire quelques spectacles. Le club des cinq décident de résoudre le mystère du phare.
Très bon livre jeunesse qui même s'il dat edes années 50, reste encore très sympathique à lire.
Il m'a rappelé certaines ballades faites plus jeune lors de vacances à la campagne ou au bord de l'eau.
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qui ne connait pas le fameux club des cinq, François et Nick, et les filles Annie et Claude et le chien 🐶 dagobert.les cinq vont campé sur la lande. Mais le, endroit n'est pas si tranquille qu'il le croyaient. des gens font des fouilles dans le voisinage pour y retrouver les vestiges d'un camp
Romain. certains indices mystérieux, conduisent à une vieille chaumière, en ruine ou l'on fait des découvertes inattendu,n, ayant rien de commun avec l, antiquité.
et voilà le club des cinq sur une nouvelle piste , et une enquête palpitante, dans laquelle il va se distinguer.. pour toute la famille 👍
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Un très bon épisode du Club des Cinq. Drôle et tendre, bien rythmé, avec toujours du mystère mais jamais trop, il nous fait passer un très bon moment. C'est l'un de ceux auxquels je suis le plus attaché. Blyton en profite même pour montrer une image, certes convenue, mais vraie : celle d'un capitalisme débridé, prêt à tout pour l'argent, qui oppresse tout, nihiliste, pour qui les sentiments n'existent plus… Bon, d'accord, c'est pas une grande référence en la matière, mais tout de même…
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J'ai déjà commencé à méditer cette petite chronique, il y a un certain temps. C'est assez rare que j'y réfléchisse pendant tant de temps, car je fais confiance en la spontanéité. Ma réflexion est parti de ce constat : le fait que rare soit les jeunes à lire Le Club des Cinq, n'est qu'un des nombreux symptômes de l'abandon de l'activité nommée littérature. Et, ayant fait ce constat, j'ai décidé de faire d'une digression une part essentielle de ma critique. Une digression ? Une digression ? Il me semble que cette digression est en rapport avec Le Club des Cinq, pusqu'elle en explique l'utilité. Est-ce donc une digression ? Bon, peu importe. J'en viens à cette fameuse… euh… digression, nommons-là digression, au moins on aura un nom à lui donner. Quelle est l'utilité de cette œuvre, qui n'est pas littérairement exceptionnelle, quoique sympathique ? Le grand avantage des œuvres, tels que Le Club des Cinq, est d'être une initiation à la littérature. Donner à un enfant de sept, huit ou neuf ans, un Club des Cinq, c'est faire commencer sur une bonne voie une vie de lecteur. Et en ces temps, cela est plus urgent que jamais, car nos jeunes-c'est une évidence-lisent moins. MAIS POURQUOI ? Que s'est-il passé ? Eh bien d'autres occupations l'ont supplanté. Je pense à la télévision et aux autres appareils du même type. Au risque d'offenser notre culte du progrès ( mais le progrès est une chose toute relative ; en 1945, Le Monde se félicitait du progrès technologique que constituait la bombe atomique ), je dirais que ces changements n'ont pas eu que de bons effets, et qu'ils en ont eu aussi de très mauvais. Ces appareils, parfois utiles, sont souvent mal employés. C'est souvent le cas pour les jeunes. L'on expose les jeunes trop tôt à ce genre d'appareil, lorsqu'il n'ont pas encore la maturité nécessaire pour les utiliser. Et ce n'est pas sans risque. Si un jeune regarde n'importe quoi à la télévision, sans le recul nécessaire, il est évident que cela aura des conséquences néfastes. L'on pense à la télévision, mais l'on peut aussi penser aux téléphones, qui sont maintenant de véritables ordinateurs de poche. Les risques sont multiples : la dépendance, bien entendu, mais aussi le cyberharcèlement, par exemple. Il vaut mieux réfléchir à deux fois avant de décider d'offrir à un jeune garçon ce genre d'objet. A l'inverse, la lecture est une activité enrichissante, et sans risque. Lire couramment, c'est user couramment de nombre de ses capacités intellectuelles. La littérature déploie l'imagination. Et tandis que le spectateur, devant sa télévision, est généralement passif, le lecteur est à l'inverse, actif : il fait sa lecture, il construit son expérience littéraire. Il imagine, il ressent, etc. La lecture d'un livre peut être une expérience très intense. A l'inverse, devant la télévision, il n'y a même pas besoin de ressentir. Il suffit d'attraper un flot d'images et de sons. Voilà pourquoi le Club des Cinq est utile.
j'en arrive maintenant à ce roman : il est agréable, pittoresque, rien n'y est prévisible. C'est une lecture pleine d'agrément.
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un bon moment a passer
en famille, une aventure
touchante et drôle.
pour toute la famille.
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J'ai régressé le temps d'un livre...Que cela est agréable de se replonger dans un des premiers livres (ou série) que l'on a lu...Mais j'avais oublié certains détails...A cette époque les enfants buvaient de la bière quand ils se restauraient...si si véridique...plusieurs fois dans le livre...;)
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Totalement décevant par rapport à l'original que j'ai lu dans ma jeunesse. Des passages ont étés coupés. Le livre est écrit au présent comme si les enfants d'aujourd'hui ne connaissaient plus l'imparfait et le passé simple ou comme s'il fallait leur faciliter la lecture. Jamais je n'achèterai ces livres devenus "politiquement corrects" à mes enfants ou petits enfants, plutôt chercher et payer plus cher pour retrouver les originaux. Enid Blyton doit se retourner dans sa tombe.
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Jojo Lapin en a vraiment assez que Maître Renard, Compère Loup et Frère Ours lui courent après pour le faire cuire. À la longue, c’est usant ! « Le pauvre Jojo avait fort à faire s’il ne voulait pas finir à la casserole ! » (p. 6) Un rien le fait sursauter. Alors, il court, il court, il court et à force de courir, il inquiète tout le monde. Mais oui, pourquoi court-il ainsi à perdre haleine ? Et quand Maître Renard, Compère Loup et Frère Ours se mettent aussi à courir, tout ça ressemble férocement à l’arroseur arrosé. Il est comme ça Jojo ! « Il était bien décidé à continuer à se moquer d’eux, tout en échappant à leurs marmites. » (p. 18) Les trois affreux restent avec l’estomac vide et ils ont la la dent dure, bien fâchés de voir que Jojo Lapin a plus d’un tour dans son sac et qu’il s’en sort toujours. Et finalement, à entendre le récit des aventures de Jojo Lapin et des mésaventures de Maître Renard, Compère Loup et Frère Ours, tout le monde craint un peu le rusé lapin : Jojo Lapin, il ne faut pas l’embêter, sinon il se rebiffe !
Les aventures de Jojo Lapin, en un sens, c’est assez répétitif : les gros vilains tendent des pièges et échafaudent des plans qui n’aboutissent jamais et le lapin en jaquette échappe toujours aux traquenards qu’on dresse sur son chemin. Répétitif, certes, mais bigrement réjouissant, surtout parce que ce n’est pas vraiment moral. Donnez une tape à Jojo Lapin et il vous répond avec un gourdin. Finalement, ce ne sont pas vraiment des histoires pour les enfants !
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Un hommage à Enid Blyton et particulièrement au club des 5.
Issu d´une famille dans laquelle on lisait peu, j´ai l´impression, fausse sans doute, que sans le hasard d´une rencontre avec un livre du Club des 5, je ne serai pas le même aujourd´hui.
Au départ d´un voyage de retour de vacances en train , je devais avoir 7 ans, six longues heures d´ennui m´attendaient, l´éternité à cet âge. On m´avait mis dans les mains un livre: un des club des 5 et je pense le premier puisque les 5 faisaient -difficilement- connaisance avec Claude et Dagobert d´un coté et ses cousins de l´autre.
Dans mon souvenir, J´ai commencé à lire et quand j´ai relevé la tête le train arrivait Gare de Lyon. Depuis ce jour, dont j´aime à penser qu´il a trés heureusement orienté ma vie, le livre est un ami.
D´où cet hommage à Enid Blyton dont j´ai lu tous les club des 5... dont celui dont la couverture d´origine figure ci-joint.
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En ces temps troubles, j'avais besoin d'un retour insouciant en enfance. J'ai tant rêvé petite de cette grotte de sable fin où les cinq campent cachés de tous. Vraiment je les enviais ces cinq là de vivre tant d'aventures excitantes et d'avoir tant de liberté. Pensez donc : une île déserte, un vieux château avec des souterrains, une épave et même une grotte où se réfugier avec ses cousins, et pas d'adultes !
Quand une nouvelle cuisinière acariâtre arrive à Kernach avec son mari patibulaire et leur fils sournois, les cinq montrent les dents (surtout Dagobert) et ne se laissent pas faire. Ils fuguent sur LEUR île pensant trouver tranquillité, mais comme toujours l'aventure les attend là-bas après le trésor découvert dans le 1er tome.
J'ai retrouvé avec plaisir ces aventures désuètes qui m'ont redonné quelques heures mon âme d'enfant.
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