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Critiques de Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (178)
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Casse-Noisette et le roi des souris

Marie reçoit pour Noël un beau Casse-Noisette. Or celui-ci s'anime pendant la nuit. En effet, une guerre est en cours contre le roi des souris...



J'ai lu ce conte pour mieux connaître l'histoire car je suis allée voir le ballet. Je l'avais déjà vu à la télé mais je voulais les détails. Or si ce conte est bien la version originale, le ballet a été adaptée de la version de Dumas, elle-même inspirée de celle d'Hoffmann mais pourtant avec de notables différences (l'héroïne par exemple s'appelle Clara).



Le conte d'Hoffmann est lui aussi enchanteur notamment la description du pays des sucreries même si cela n'arrive que vers la fin.



L'intrigue nous transporte dans un univers où les jouets prennent vie la nuit et se font la guerre. Notre petite Marie va voir ces choses et Hoffmann peut alors introduire son thème, le passage de l'enfance à l'adolescence avec le premier émoi amoureux.



Aussi le conteur nous manipule bien car à la fin on ne peut dire si tout cela est dans la tête de Marie ou si c'est réel. Mais peut-être est-ce juste une façon de nous montrer que certains gardent leur âme d'enfant et la magie de la vie même quand ils grandissent.



Bref un joli conte et surtout un ballet magnifique sublimé par la somptueuse musique de Tchaïkovski !
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Casse-Noisette et le roi des souris

Etant une grande fan de Noël, je tenais vraiment à lire ce classique. Il est très court et heureusement car j'ai été un peu déçue. Je m'attendais à vraiment l'apprécier et ce fut pas le cas. Je suis tout de même contente de l'avoir lu et d'avoir, maintenant, les références concernant Casse-Noisette.
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Casse-Noisette et le roi des souris

Je me souviens de la toute première fois où j'ai entendu parlé de ce conte. C'était dans le dessin animé Barbie et le casse noisette. J'avais beaucoup apprécié l'animation et l'histoire enchantée. C'était donc une évidence lorsque j'ai aperçu cette petite bd en section jeunesse.

Les dessins sont très colorés et bien faits. Les bulles de dialogues sont innovantes, on dirait de la fumée.



Quant à l'histoire.... et bien je dirais qu'elle démarre bien mais par la suite elle est redondante. J'avoue que l'imagination débordante de Marie m'a déroutée. J'ai pris cet amour pour casse noisette et ces aventures avec les souris comme étant de la pire folie, et ça m'a mise mal à l'aise. C'est sûrement dû à l'âge et au recul que l'on prends avec le temps. Quoiqu'il en soit j'ai trouvé ça trop rocambolesque et étrange. Je ne pense pas que ce soit cette bd qui pose ''souci'', à mon avis c'est seulement le conte auquel je n'accroche pas....

Ceci dit, j'avais adoré l'adaptation cinématographique, alors c'est peut-être l'autrice qui rend l'oeuvre vraiment enfantine....?



Peu importe. J'ai tout de même apprécié la sincérité de la petite Marie, sa douceur, sa droiture ainsi que sa fidélité.
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Casse-Noisette et le roi des souris

Avant d’être un merveilleux ballet signé Tchaïkovsky créé en 1892, Casse-Noisette et le roi des souris est un conte publié en 1816 que l’on doit à un auteur romantique allemand, Ernst Theodor Amadeus Hoffmann mort en 1822, mort dans le dénuement le plus total.



Popularisé par Alexandre Dumas, c’est LE conte de Noël par excellence et un grand classique pas forcément si facile d’accès pour les plus jeunes. Aussi, je trouve que l’adaptation par Natalie Andrewson en bande dessinée est une très bonne idée.



L’autrice et illustratrice américaine revisite ici l’histoire originale d’Hoffmann avec ses princesses malfaisantes et ses folles aventures féériques. Ce récit à la fois fantastique et onirique, fait la part belle à l’amour, aux rêves et au monde de l’enfance.



Le graphique nous propose sans cesse des allers et retours entre l’imaginaire et le réel, les rêves et le quotidien, et respecte vraiment bien le récit originel.



Je trouve les graphismes bien adaptés aux enfants et le parti-pris de l’autrice très moderne est bien vu d’autant qu’il ne dénature pas l’oeuvre d’Hoffmann.



Il y a du rythme, des chapitres pas trop longs qui donnent sans cesse l’envie d’aller plus loin, le langage est celui d’aujourd’hui, à la portée des enfants, tout en étant soutenu.



J’ai bien aimé aussi les couleurs chaudes choisies par Natalie Andrewson et j’ai vraiment passé un bon moment en compagnie de Marie, du Casse-noisette et du parrain Drosselmeyer.



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Contes d'Hoffmann, précédés d'une notice sur la..

S’il y a une chose qu’on ne peut pas enlever à Hoffmann, c’est son enthousiasme pour les arts. Tous les arts, sous toutes leurs formes, du plus populaire au plus classique. Partout dans son œuvre on trouve des allusions aux arts musicaux, plastiques et littéraires, quand ils ne sont pas eux-mêmes le fond du sujet. Outre la musique et le dessin, il touchait à tout (avec plus ou moins de bonheur) : le conte de noël pour enfant (Casse-Noisette), des histoires de fantômes, de château hanté, à lire au coin du feu (Le Majorat), le roman policier (Mademoiselle de Scudéry), le drame (Marino Falieri), la comédie italienne (Salvator Rosa), etc.

L’art est l’unique moyen, si l’on ne supporte pas de se résoudre à un bas matérialisme, d’accomplir l’idéal sur terre ; il permet toutes les folies. Encore plus, l’art n’est que de l’idéal. Ce n’est pas le genre qui détermine la hiérarchie des arts, c’est l’idéalité que l’artiste peut y mettre. Une peinture d’Histoire qui n’est pas inspirée par l’Idéal sera inférieure à un paysage ou même au simple tonneau d’un artisan qui excelle dans son travail. C’est la morale, si j’ai bien compris, du conte intitulé « Maître Martin, le tonnelier et ses apprentis ».

Dans ce dernier conte on retrouve des thèmes autour desquels Hoffmann a beaucoup tourné : l’Italie, la patrie de l’art et de l’amour, et aussi celui de l’amoureux épris d’une jeune femme sous l’emprise d’un autre homme (souvent un père). On les retrouve aussi dans un autre conte étrange qui mérite d’être lu : La Cour d’Artus. Mais, pour moi, son meilleur conte est L’Homme au Sable, c’est la concrétisation de tout ce que peut accomplir une imagination exaltée.
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Contes fantastiques

Je viens de découvrir l’œuvre d’E.T.A. Hoffmann en lisant plusieurs de ces contes fantastiques.



Je connaissais évidemment l’auteur de par sa renommée et il faut tout de suite dire que contrairement à sa réputation et la dénomination de « contes fantastiques » désignant ses textes, l’auteur est loin de se cantonner à ce style qui est même absent de plusieurs des récits que j’ai eu le plaisir de parcourir.



S’il faut vraiment le classer, c’est sans doute dans la catégorie « romantique », qui se manifeste notamment par un des éléments communs à tous ses textes : la présence d’une femme aimée qui est toujours idéalisée pour ne pas dire déifiée. D’autre part, ces personnages principaux (masculins) sont presque toujours des héros pétris des plus nobles sentiments, même lorsque qu’ils flirtent dangereusement avec la folie. Le preux chevalier est toujours prêt à donner sa vie pour défendre sa princesse, quand bien même il se trouve simultanément dans le rôle du « dragon » agresseur.



Malgré cette tendance romantique qui pourrait présager une psychologie des personnages un peu simpliste, c’est au contraire un des points forts de cet auteur de réussir à dépeindre toutes les contradictions et dilemmes de l’esprit humain, sans pour autant sombrer dans l’extrême inverse en donnant dans le voyeurisme et le côté « trash » de la littérature contemporaine. J’ai d’ailleurs constaté cette même qualité chez les principaux auteurs classiques du fantastique (Gogol, Maupassant, Gautier…) qui réussissent à dépeindre avec finesse et justesse les errements intérieurs de l’être humain. Ainsi peu importe que les personnages soient victimes de phénomènes fantastiques ou simplement de leur imagination, on frissonne quand même avec eux.
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Contes fantastiques

J'apprécie beaucoup les contes fantastiques écrits au XIXème siècle. Ainsi j'ai apprécié les contes de Th. Gautier (par exemple la cafetière), Villiers de L'Isle-Adam, A.E Poe, O.Wilde et mon préféré Guy de Maupassant. Mais je n'avais jamais lu Hoffmann. Je suis tombée sur l'exemplaire des contes fantastiques édités par Maxi-livre au fin fond de mes combles. Donc je l'ai lu. J'ai aimé particulièrement les 2 contes : L'homme au sable et Bonheur au jeu.



Ce sont des contes qui mettent très souvent en scène une belle jeune fille, des vieillards inquiétants, de jeunes hommes, romantiques ou cyniques ou passant d'un statut à l'autre. Et du fantastique ou bien une psychologie qui se trouble fortement pour certains personnages ?



C'est écrit avec l'élégance du XIXème siècle donc il y a un petit côté désuet que personnellement j'apprécie.



A (re)découvrir !
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Contes fantastiques

On a toujours tendance à comparer, à préférer la première version des nouvelles fantastiques qu'on a découvert.

Je ne garde pas un souvenir extraordinaire de ces nouvelles, j'ai préfère Gauthier ou Maupassant mais celle-ci restent des classiques et la version allemande de nos auteurs français. On est impressionné, il y a de l'effroi et des histoires passionnantes mais le texte a vieilli et est parfois complexe. J'ai toujours cru que Hofmann était un auteur du XVIIIe siècle et pourtant il écrit bien au XIXe avec un style déjà dépassé pour l'époque.

L'ensemble est satisfaisant mais peut paraître long.
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Contes fantastiques

Je me suis décidée à lire ce livre parce que je trouvais que cette lecture allait de paire avec le premier livre de contes fantastiques que j'ai chroniqué pour ce mois de juin: le Roi des Chats. Malheureusement, contrairement à ma précédente lecture, celle-ci est loin de m'avoir enchanté. Les histoires sont relativement sympathiques, mais le style littéraire de l'auteur, beaucoup trop ampoulé à mon goût et ne convenant que moyennement à ce genre de contes fantastiques, m'a grandement ralenti dans l'avancée de ma lecture, au point que les dernières pages ont été difficiles à terminer.



Parmi les 4 contes, mon préféré est sûrement le premier: L'homme au sable. Je l'ai trouvé relativement conforme à ce que j'attendais de ce livre: un peu sombre, parfois angoissant, entrainant le personnage principal -et par la même occasion le lecteur- à travers son obsession, sombrant jusqu'à la folie. Si ce livre est à lire, c'est pour cette histoire.



Le second à m'avoir relativement plu est le dernier: Maître Martin. Et pourtant, c'est celui qui m'a donné le plus de fil à retordre: je me suis endormie plusieurs fois, et cet après-midi, je préférais même faire autre chose que d'en terminer les 10 dernières pages. Ce qui m'a dérouté, c'est qu'il ne contenait rien de fantastique, à part une vague prédiction -qui pouvait être interprété n'importe comment. de plus, le déroulement de l'histoire était pour beaucoup prévisible;: finalement, c'était quand même assez décevant.



Le troisième en terme de préférence était le second conte: Bonheur au jeu. C'est quand même loin d'être une réussite à mes yeux, je n'ai pas accroché. le thème en est l'attrait du jeu, son addiction et les conséquences que cela engendre dans la majorité des cas. C'est une thématique et une atmosphère que je n'aime pas du tout. C'est un monde que je connais trop bien pour l'avoir côtoyé de trop près, en tant que spectatrice; un monde que je ne comprends pas et qui ne m'a jamais attiré.



Quant à la Cour d'Artus, je n'ai pas aimé. C'est le conte le plus court des trois et le moins intéressant de mon point de vue, même si, finalement, j'ai bien apprécié la fin, ça n'a pas suffit à le remonter dans mon estime. Au milieu, il est trop lent et on n'a l'impression que les personnages restent aussi figés que les personnages du tableau du conte.



Bref, vous l'aurez compris, une lecture plutôt décevante.
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..
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Contes fantastiques

" L'inventeur, ou du moins le premier auteur célèbre qui ait introduit dans sa composition le FANTASTIQUE ou le grotesque surnaturel, était si près d'un véritable état de folie qu'il tremblait devant les fantômes de ses ouvrages. " C'est ainsi que Walter Scott présenta son contemporain et peut-être rival, tant il est vrai que celui-ci aimait, dans ses contes, qui avaient lancé alors une véritable mode, jouer avec le surnaturel et les peurs qu'il suscite. On y croise non seulement des revenants, des esprtis qui rôdent la nuit, ou qui sortent des souterrains, comme dans un roman noir, mais aussi parfois le diable, sous la forme d'un personnage grotesque et ricanant, Hoffmann ajoutant la satire au drame. Des visions s'accompagnent d'une profonde mélancolie et des troubles de l'esprit. Mais Hoffmann avait aussi un goût quasi mystique pour l'art, la peinture et la musique qu'il pratiquait également, et aimait donner pour cadre à ses anecdotes et récits les villes et les paysages, aux couleurs plus douces et plus chaudes, de l'Italie, et c'est souvent que l'amour y triomphe, après maints combats et péripéties, des forces les plus obscures.
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Contes fantastiques

L’action de ce conte se déroule dans la Venise du XVIII° siècle.



Appréciant E. T. Hoffmann, j'ai retrouvé avec plaisir et délectation tous les ingrédients chers à celui ci c'est à dire noirceurs de certains personnages, sorcellerie, complots, héros orphelin doutant de lui-même, amours contrariés entre les héros, dénouement tragique, ambiance glauque.



Grand public. A lire absolument.

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Contes fantastiques

Un genre en création mais qui est bien vieilli avec quelques thèmes (trop) récurrents.
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Contes fantastiques

D'une écriture hallucinée et inspirante, ces contes semblent être faits de la substance même des récits populaires et opaques qui nous fascinent et nous échappent à la fois. Paradoxes délicieux entre symbolisme et candeur, simplicité et fantaisie, pittoresque et intemporel, ils nous frappent notre imagination comme ils ont frappé celle de nombreux auteurs et artistes européens du XIXème siècle, notamment Nodier, Gauthier, Nerval, Andersen, Pouchkine...



Sans conteste, l'un des plus grands monuments de l'univers du conte.
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Contes fantastiques

Hoffmann convoque les esprits d'Ossian, les spectres, le sphinx, un charlatan et d'autres mythes universels.

Et le basilic, herbe aromatique que j'utilise en cuisine et qui, ici est un animal mythique (souvent représenté par un petit reptile).



C'est une belle écriture, le fantastique est omniprésent. Ma seule réserve est la narration. J'ai du mal avec les témoins et le style indirecte.



Le conte que je préfère est "le vase d'or.
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Contes fantastiques

Les contes d'hoffmann ont, malgré un lyrisme profond et un amour de l'art qui les élève, des accents sombres et inquiétants : ils peignent les vices et les tourments de l'âme humaine et l'on croit y déceler parfois les yeux étincelants d'un démon. Ils sont à l'instar d'une tragédie grecque truffés de prémonitions fatales et de rêves sanglants. Des spectres errent au milieu des débris, des couloirs d'un vieux château féodal, isolé sur une terre inhospitalière, au bord d'une mer qui mugit. Au milieu des masques de la pantomime des courtisans émaciés et grimaçants ne sont plus que colère et avarice. Hoffmann y met en scène des êtres difformes qui ressemblent à des insectes, des monstres de foire, des aventuriers sanguinaires, des femmes bavardes et cruelles, des mendiantes et des sorcières. Et quand deux amants s'aiment d'un amour absolu, il n' y a que la mort pour les réunir. Hoffmann a été souvent qualifié par ses contemporains de génie bizarre, faisant de son inspiration une sorte d'idéal contrastant avec les tristes vicissitudes de son existence. La traduction de Loève-Veimars fit en France la fortune de ces contes, qui frappèrent alors par leur singularité et leur modernité, leur richesse d'évocation et leur grande qualité musicale, emportant l'adhésion de Gautier, Nerval, Sand et de Baudelaire.
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Contes fantastiques

E. T. A. Hoffmann (1776-1822) avait de nombreuses cordes à son arc, mais c’est surtout en tant qu’écrivain qu’il a acquis une durable célébrité. J’avais depuis longtemps envie de découvrir ses contes, qui sont très renommés pour leur ancienneté et leur originalité. Finalement je me suis lancé. Mais je suis déçu ! tellement déçu que j’ai abandonné ce livre en cours de lecture. J’ai très moyennement apprécié pas les histoires racontées, et le style m’a paru vieillot. A choisir, je préfère cent fois les contes d’Edgar Poe (qui, eux-mêmes, sont écrits dans un style qui peut déplaire à certains).
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Contes fantastiques

Il ne faut pas chercher autre chose de fantastique hoffmannien, une meilleure compréhension d'Hoffmann en France en soulignant dans une courte étude consacrée, avant Freud qui pensait que la source du merveilleux ne se trouve pas ailleurs que dans l'esprit de l'homme, dans son inconscient, dans ses rêves.

Ce sont des nouvelles qui illustrent assez bien le combat souterrain de l'homme en proie à ses démons, et exigent une lecture au second degré.
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Contes fantastiques, tome 2

Pas vraiment réussi à rentrer dans les histoires. Déçu du décalage entre titresceg les histoires...
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Contes nocturnes

Ces contes sont nocturnes à plus d'un titre. Leur ambiance sombre, inquiétante, mystérieuse et passionnée nous plonge au coeur d'une nuit où tout semble possible, où des poupées prennent vie, où des assassins rôdent dans des forêts italiennes, où des morts violent des femmes devenues folles. Ils sont nocturne aussi par leur complexité, comme si s'emboîtaient dans des cauchemars épars des histoires variées, aventureuses, toujours nouvelles, au point que le lecteur, souvent, s'y perd, comme dans le noir. La nuit, comme ces contes, est à la fois fascinante et ennuyeuse. On s'y noie, on s'y délecte et rien n'est plus agréable que de retrouver enfin la lumière du jour.
Lien : http://www.lie-tes-ratures.c..
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Contes nocturnes

Je reste un peu sur ma faim, frustrée car beaucoup de récits restent obscurs. C'est le cas notamment de "La maison déserte" pourtant prometteur et dans une moindre mesure du "Majorat". Le plus satisfaisant est "Ignace Denner" qui flirte entre gothique, fantastique et horreur.
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