Avec Pascal Ory, Farid Abdelouahab
A l'occasion de la publication de l'ouvrage : Pascal Ory, Ce Côté obscur du peuple. Lectures pour temps de catastrophes (Bouquins)
Les systèmes politiques modernes sont à peu près tous fondés sur la souveraineté populaire. Avec son dernier livre Ce Côté obscur du peuple, Pascal Ory questionne certaines figures comme le populisme ou l'anarchisme de droite, le fascisme ou la Collaboration. Il démontre qu'il existe un « bon usage des catastrophes » en se fondant sur quelques idées simples : l'Histoire est une science expérimentale ; en Histoire il n'y a pas de causes, rien que des effets ; à des questions politiques on ne peut donner que des réponses politiques ; la souveraineté populaire n'est qu'un postulat et dans la définition stricte de la démocratie, il n'y a pas de place pour la liberté.
Farid Abdelouahab
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Carnets de voyages de grands explorateurs
James Cook, James Clark Ross, Ernest Shackelton, Jean-Baptiste Charcot....
Les grands noms des explorateurs qui ont bravé les dangers et les tempêtes pour repousser plus loin les limites de la connaissance de notre planète demeurent à jamais inscrits dans l'Histoire.
Ces aventuriers de la conquête des pôles ont contribué, grâce aux récits de leurs expéditions, à nous faire découvrir les immensités des territoires de glace. Ils étaient accompagnés d'artistes de talent qui, tels John White ou Adrian Wilson, ont rapporté de ces périples de magnifiques carnets qui nous permettent de revivre leurs exploits....
(extrait de la quatrième de couverture de l'album paru aux éditions du "Reader's Digest")
Les écrivains et les cinéastes ne s'y sont pas trompés : le rêve, cette parenthèse où le temps et l'espace changent de nature au gré de l'inconscient créateur, permet toutes les libertés, toutes les déraisons, et mille constructions de châteaux fabuleux dans les mirages de l'esprit, mais aussi des dangers terribles et des précipices sans fond. Derrière les rêves de voyages impossibles se cache peut-être le désir profond d'une quête de soi et d'une nouvelle naissance, au-delà de l'illusion de ce monde.
Ray Bradbury raconte une anecdote de son enfance qui semble tout droit sortie d’un comics: alors qu’il a douze ans et qu’il vit à Waukegan dans l’Illinois, un personnage de carnaval, « Mister Electrical », pointe sur lui une sorte d’arme en lançant la sentence suivante : « Tu dois vivre éternellement ». C’est ce jour-là qu’il décide de consacrer son existence à l’écriture…
Le sultan ne se lasse pas des amusements toujours renouvelés. Il échange des volées au tennis, tape du pied dans le ballon rond, s'adonne à différentes figures de gymnastique ,manie le sabre et s'initie à l'escrime et, un jour ,enfin, enfourche sa première bicyclette.