Florence Guiraud

Récemment, je vous avais parlé de "L'histoire de la girafe blanche qui voulait ressembler à une vraie girafe", qui évoquait le thème de la différence. De la même autrice, je vous parle aujourd'hui de "Le carnaval de la savane", qui évoque le thème du harcèlement. Mon 5 ans en est moins friand, mais je le trouve tout aussi beau et percutant.



Nous retrouvons Albina la girafe blanche, mais qui a un rôle très minime dans cet album. Ici, c'est Malou la plus petite des autruches qui joue le rôle principal. Pour fêter la fin de la sécheresse, tous les animaux de la savane se réunissent pour participer au carnaval annuel. À quelques jours du grand défilé, l'excitation bat son plein. Tout le monde est occupé à la préparation de son déguisement. Seule Malou reste à l'écart, l'air triste et malade avec toutes ses plumes manquantes. Son meilleur ami, Okazou le tisserin, s'inquiète beaucoup pour elle et même si elle refuse de lui parler, il compte bien comprendre ce qui lui arrive. Jamais il n'aurait imaginé que la grande autruche, nouvellement arrivée sur le territoire, et le rhinocéros noir auraient pu être responsables de l'état de Malou. Il est temps de prévenir les autres et d'agir avant qu'il ne soit trop tard...



Au niveau des dessins, cet album est très beau, très coloré. Les représentations de la savane sont sublimes, les animaux également, très réalistes, leurs expressions et regards éloquents. Je souligne la superbe quatruple page à la fin, représentant le défilé des animaux déguisés.



Toutes ces couleurs, en adéquation avec celles du carnaval en préparation, détonent pourtant avec les malheurs de Malou, cette pauvre petite autruche qui se fait harceler et racketter sans cesse. Florence Guiraud aborde d'une jolie manière un sujet grave et délicat, dans lequel elle délivre un message très important : il faut absolument en parler, quelles que soient les menaces que l'on subit.



Conseillé à partir de 3 ans, cet album ravira les petits et grands par sa beauté, tout comme par ses thèmes abordés (harcèlement, racket, menaces, entraide, solidarité, amitié).







[Edit : Je viens de me rendre compte à l'instant que Florence Guiraud, ce jour 19 juillet, fête ses 65 ans. Même si je ne la connais pas, rien ne m'empêche de lui souhaiter un joyeux anniversaire ! :-) ]

L'albinisme est une maladie génétique héréditaire qui se traduit par une absence de pigmentation dans la peau, le système pileux et l'iris des yeux. Elle touche les mammifères, dont les humains, mais aussi les oiseaux, les poissons, les amphibiens et les reptiles. Ils sont dits albinos.



Albina, la girafe blanche, vit très mal sa différence. Un jour qu'elle attrape un coup de soleil à force de contempler son reflet dans l'eau, elle a l'idée de se servir du soleil pour obtenir de belles tâches dorées en se plaçant au bon endroit. Seulement, rien ne fonctionne comme elle le voudrait. Qu'elle se place derrière ou sous un arbre, dans les hautes herbes ou dans les branches des fougères, son pelage ressemble à celui d'un léopard ou d'un zèbre, est strié telles les plumes d'autruche, ou se transforme en peau de croco... Rien qui ne ressemble à celui d'une girafe... Albina, bien triste à l'idée de ne jamais ressembler à ses congénères, abandonne tout espoir. Mais un événement va changer la donne, sa couleur blanche va s'avérer être très utile pour tous les animaux de la savane. Albina deviendra fière de sa différence.



Cet album, conseillé à partir de 3 ans, n'est pas dans la bibliothèque de mon cadet, mais a été emprunté je ne sais combien de fois à la bibliothèque du coin, la girafe étant son animal préféré depuis l'été dernier.



Il faut dire que c'est une histoire adorable que Florence Guiraud nous conte ici. Elle a une jolie façon d'aborder les thèmes de l'acceptation de soi et de ses différences. Les dessins qui l'illustrent sont superbes, très réalistes, très colorés, avec beaucoup de nuances jaunes orangés pour représenter la savane, le soleil, la chaleur.



Je n'avais pas prévu d'en dire davantage sur ce bel album... jusqu'à hier soir, quand mon aîné, qui aime prendre ma place de temps en temps, s'est proposé de le lire à son frère et qu'il fasse une remarque plutôt pertinente. Car en effet, il ne lui aura pas fallu longtemps pour lever les yeux et s'exclamer : "Mais c'est n'importe quoi ce livre, la girafe, elle bronze à l'envers !". Après avoir compris ce qu'il a voulu dire, il me faut admettre qu'il a raison : Albina bronze bel et bien à l'envers ! Les parties de son corps cachées par les différentes espèces de végétation bronzent alors que celles exposées en plein soleil restent blanches. Je dois dire que ça m'en a fichu un coup, je l'ai lu à mon 5 ans de très nombreuses fois sans que je n'y fasse jamais attention... Et maintenant que je le vois, je le trouve d'une évidence tellement flagrante que je ne vois plus que ça...



Ça change le nombre d'étoiles que je prévoyais de lui donner mais c'est un très bel album quand même, avec de très très beaux dessins et une adorable petite histoire.

N’y allons pas par quatre chemins : Curieux mammifères est le plus beau documentaire qu’il nous ait été donné de lire depuis longtemps. Époustouflantes, les immenses illustrations de Florence Guiraud rendent grâce à la beauté et à la diversité des membres de la grande famille des mammifères. Leurs compositions attirent intelligemment notre attention aux étonnantes formes de nez, trompes, cornes, queues, pelages et autres cuirasses qui permettent aux différentes espèces de s’adapter à leur environnement. Mais surtout, elles restituent comme aucune autre les frémissements, la douceur, la vulnérabilité aussi, de ces animaux dont elles nous font sentir si proches…



Ces graphismes émouvants vaudraient à eux seuls le détour (comme d'habitude, j'en ai posté quelques extraits sur le lien ci-dessous). Cela dit, la qualité du texte est à la hauteur – il ne nous arrive pas souvent de lire (et relire !) un documentaire de bout en bout ! Florence Guiraud propose des éclairages complémentaires, combinant informations sur l’évolution, anecdotes historiques et restitution de croyances et mythes relatifs à certains animaux… Mais surtout, on ne peut qu’être ébahi des super pouvoirs des différentes espèces. Il y a celles qui voient à des kilomètres dans le désert, celles qui plongent à 900 mètres de profondeur, celles qui réalisent des bonds fabuleux, celles qui disposent d’un radar naturel pour se mouvoir de nuit… Ce documentaire sort des sentiers battus en nous faisant découvrir de nombreux animaux dont nous ignorions jusqu’à l’existence : une mine d’informations aussi stupéfiantes que réjouissantes !



Cet enthousiasme est à la mesure du désarroi ressenti en constatant que l’histoire est toujours la même. La recherche du profit et les superstitions alimentent le braconnage, le commerce d’ivoire, de fourrures, de cornes, contribuant ainsi à faire disparaître ces espèces une à une. À l’image du pangolin, au bord de l’extinction : traqué pour sa viande et ses écailles, il s’immobilise enroulé lorsqu’il se sent menacé et les braconniers n’ont plus qu’à se pencher pour le ramasser…



Un majestueux cabinet de curiosité dont chaque double page charrie sa dose de grains dans le sablier de notre conscience. Indispensable !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..

J'adresse mes remerciements à Babelio et aux Éditions du Jasmin qui m'ont permis de lire...et de réfléchir avec ce petit album de vingt-cinq pages pour les 4-6 ans.

Après une 1e lecture, je suis restée dubitative...quelque chose me dérangeait.

Ce n'étaient pas les dessins que j'ai toute de suite apprécié : gais, enjoués, des couleurs sans agressivité, des détails fantaisistes sur lesquels on s'arrête avec plaisir, tels les petits animaux de compagnie du petit roi (traversant les pages comme des amis fidèles). Ce n'était pas le texte dont le langage simple et le choix des mots est bien adapté à cette tranche d'âge...





Deux jours après j'ai fait une ré-lecture...même impression d'insatisfaction.

Et j'ai compris ce qui me contrariait.

Ce sont les parents et grand-parents qui accordent tout à ce petit roi : un nième animal de compagnie (et pas le moindre ! par son père), pas besoin d'aller à l'école (sa mère), des bonbons à volonté ( sa grand-mère), une escapade plutôt dangereuse (son grand-père). Mais ce sont quand même les parents (et dans une moindre mesure, les grand-parents) qui sont sensés tenir leur rôle éducatif, qui sont sensés savoir dire "non".

Oui, je sais bien que l'idée de l'album est de démontrer à l'enfant qu'on ne peut pas toujours combler ses désirs, mais un enfant de 5-6 ans (même s'il ne l'admet pas toujours), le sait déjà !

Je m'imagine lire ce livre à un enfant de cet âge (je n'en ai pas "sous la main", sinon j'aurai essayé)... Je pense qu'il va me dire : "mais ils sont c***, ces parents !" ( pour rester dans le langage si délicat qu'ils apprennent dans la cour de récré de la maternelle).





Je m'imagine aussi raconter la rencontre du petit roi avec la petite fille qui sait s'opposer à lui !

À ce moment, je me suis sentie en parfaite accord avec l'auteur ; une amitié, ce n'est pas acquiescer bêtement. Une véritable amitié (qui est quand même une forme d'amour...pourquoi les parents du petit roi n'en sont pas capables ?) est faite de franchise...il faut savoir dire "non" et "oui" à un(e) ami(e).

Et c'est finalement cela que j'ai retenu de cet album...





Les quatre étoiles sont pour les belles illustrations vivantes : j'ai remarqué aussi que les visages des parents et grand-parents sont dépourvus d'expressions, tandis que les sentiments du petit-roi et de la petite fille sont clairement dessinés.

Quatre étoiles aussi, non pour ce que l'album veut peut-être (sûrement ??) démontrer, mais pour la façon subtile d'aborder la définition de l'amitié.

Albina la girafe se sent seule : elle est différente car sa peau est blanche. Décidée à ressembler aux autres girafes, elle utilise plusieurs stratagèmes pour avoir la peau bronzée et tachetée mais ne récolte que des moqueries. Trouvera-t-elle enfin sa place dans la savane ?

Un album qui met en avant la difficulté à vivre sa différence en prenant comme héroïne une girafe albinos, ce qui n'est vraiment pas courant dans la littérature jeunesse.

Florence Guiraud réussit à retranscrire les émotions dans son personnage : la tristesse, la solitude, la honte, la résignation et puis enfin la fierté et la dignité.

Une belle découverte !

Pauvre petit roi ! Quelque soit la personne à laquelle il s'adresse, quelque soit la demande qu'il formule, même des plus insensées, il obtient toujours un Oui. Tant et si bien qu'il fini par penser que tout le monde reste indifférent à ce qui est bon pour lui et qu'il rêve d'entendre enfin un Non. Bien démuni face à cette situation, il décide d'aller se promener dans la forêt toute proche, sur son cheval bleu, dernière chose que son père lui ait accordée.C'est là qu'il rencontre une petite fille qui cueille des mûres. Il la trouve si mignonne qu'il lui demande un baiser. Quelle n'est pas sa surprise quand il s'entend répondre un Non bien appuyé ! C'est le début d'une belle amitié, celle qui sait dire Non aussi bien que Oui, une véritable amitié...

Mon avis : Cet album parvient très judicieusement à joindre l'utile à l'agréable ! L'agréable, c'est une histoire bien sympathique dont les illustrations sur fond blanc se révèlent très colorées sans jamais agresser l’œil. En cela, je suis un peu moins attirée par la première de couverture qui présente un fond orange qui flatte moins les personnages qu'elle présente. L'utile, c'est que cette histoire est un excellent prétexte pour délivrer un message, thème d'ailleurs souvent demandé en médiathèque par des parents un peu dépassés par les exigences de leurs petites têtes blondes. Il suggère aux enfants - je pense même pouvoir ajouter sans hésitation "et à bon nombre de parents de la génération de l'enfant-roi" - que contrairement à ce qu'ils pensent en général le fait de tout obtenir ne rend pas forcément heureux. Que pour grandir on a besoin de limites. Et puis, quelle belle définition de la véritable amitié, celle qui sait aussi bien dire non que oui !

Public : à partir de quatre - cinq ans

Si vous voulez vous rendre sur le book de l'auteure, Florence Vandermarlière, vous pouvez suivre cette adresse :

http://florencevandermarliere.ultra-book.com/book

Si vous voulez vous rendre sur le site de l'illustratrice, Florence Guiraud, vous pouvez suivre cette adresse :

http://www.florenceguiraud.com/

Cette histoire est sous forme de Petits contes du tapis. Pour ceux qui ne connaissent pas c’est un album, qui une fois déplié fait 75 cm de large, façon kamishibaï et qui ne montrent que des images sur papier cartonné. Le texte lui est sur une seule page au dos. Celui-ci est très coloré avec des illustrations simples. L’histoire d’un singe rusé. Pour les 3/7 ans.

Un très joli documentaire à rabats qui présente 40 animaux, par ordre alphabétique.

Chaque animal a sa double page:

-à gauche, les infos essentielles : famille, répartition géographique, alimentation, prédateurs, "le sais-tu?",, "qui es-tu?"...

-à droite : un joli dessin de l'animal, et, sous le rabat, apparaît le squelette de l'animal avec sa petite "histoire d'os".

Malin, original et très intéressant.

A première vue, cet imaginer m'a bien plu avec son système d'onglets, le petit jeu qui l'accompagne et ses dessins un peu à l'ancienne.

J'ai apprécié qu'il y ait une page réservée aux insectes et des animaux peu connus qui changent des habituels «animaux de la ferme» déclinés de toutes les façons dans les livres pour jeunes enfants. Les petits seront contents, à l'école, avec les autres de leur âge, de pouvoir donner des noms d'animaux que personne ne connait.



Cependant, en y regardant de plus près, mon avis est devenu plus mitigé. En effet, j'ai été frappée par l'irrégularité de l'ouvrage. Les petites phrases qui accompagnent la grande image ne sont pas toujours très heureuses, certains dessins sont franchement ratés, particulièrement dans les animaux de la terre (alors que les insectes sont plus réussis) et pour certains animaux, rares, pour une mystérieuse raison, une seule partie de l'animal est représentée (que penser des poussins par exemple, deux enchevêtrés et pas représentés entièrement. Très difficiles à identifier pour un petit enfant).



En bref, si l'idée de départ est sympathique, a un côté imaginatif bienvenu et que l'aspect légèrement suranné des dessins a son charme, il manque une certaine homogénéité de la qualité et de la logique de représentation pour que ce livre soit vraiment bien et adapté.

Un album imagier pour découvrir les fruits en s'amusant : soulever les volets, frotter et sentir.

Une idée originale, un livre plein d'interactions au format tout en longueur.

Les illustrations sont très colorées et le texte prend la forme de petites devinettes pour trouver le bon fruit.

Par contre, les odeurs de synthèse ne sont pas toutes très réalistes, c'est bien dommage.

Voici un très très beau documentaire qui permet d’en apprendre beaucoup sur les couleurs, leurs symboliques passées et actuelles, leurs nuances, leurs différents noms, leur histoire aussi. C’est un vrai travail autour de l’art pictural.



Ce livre accordéon peut se prendre dans un sens comme dans l’autre mais offre différentes lectures. D’un côté il y a un incroyable nuancier qui s’étale et permet de se rendre compte visuellement de la richesse et de la diversité des couleurs. De l’autre, il y a sept double pages qui se consacrent à une couleur chacune et nous apporte un lot d’informations réparties en rubrique disséminées au sein de magnifiques illustrations monochromes.



C’est à la fois une mine d’information, un très bel objet à contempler.
Lien : http://boumabib.fr/2016/03/1..

Un très joli ouvrage pour tout apprendre à nos enfants sur les fruits, les légumes et les plantes. Idéal pour un exposé.

L'auteur nous propose ici un imagier nature. 7 onglets pour 7 grandes familles : légumes, fruits, fleurs, insectes, oiseaux, animaux de la mer et animaux de la terre.

Une même présentation : page de gauche : 12 vignettes avec un dessin et sa légende et page de droite une illustration pleine page avec un texte poétique comme une comptine, ce qui rythme bien la lecture.

Un livre facile à manipuler et agréable à regarder. Je m'interroge cependant sur l'interêt de citer la cicindèle champêtre, la cétoine dorée ou du fou à pieds bleus. De même il est domage qu'on ne vois que la tête du lion ou le bec du toucan pourquoi pas l'animal en entier ? .

A la fin une surprise : un memory qui propose de jouer avec huit paires de dessins. A partir de 4/5 ans.

Merci à Casterman et Babelio pour l'envoi de ce documentaire.

Grâce à cette dernière opération Masse Critique de Babelio, j'ai eu l'occasion de critiquer mon premier live jeunesse, avec Odeurs, ça sent bon la fraise, la banane, le citron de Florence Guiraud.

Il s'agit donc pour les enfants de découvrir les fruits à travers leurs odeurs et des textes rigolos.



J'ai beaucoup aimé le côté interactif du livre qui permet d'apprendre tout en s'amusant.

Le format est original, les illustrations très réussies et les textes courts, pertinents et drôles.

Les deux seuls bémols que je mettrai à ce livre seraient les suivants: les odeurs sont assez artificielles et sentent plutôt le bonbon aux fruits que les fruits eux-mêmes. De plus, pour les jeunes enfants, il ne semble pas très évident soulever les caches afin d'accéder aux senteurs.



En résumé, un concept intéressant et amusant mais qui gagnerait à être amélioré dans son ergonomie.

C'est une encyclopédie plutôt originale qui décrit 40 animaux (rhinocéros, girafe, lion, chien, chat, kangourou, vautour, requin blanc…) avec un rabat permettant de découvrir le squelette de l'animal.

La description est faite de petites informations (taille, espérance de vie, répartition géographique, nom latin, prédateurs, anecdotes, info étonnante…) et d'une présentation en un petit paragraphe. C'est intéressant, pertinent et on s'amuse à découvrir un squelette qui change totalement la physionomie de l'animal ! J'ai repéré toutefois quelques « incohérences » dans cette représentation des squelettes (pourquoi la langue du tamanoir est blanche comme si il y avait un os ? Pourquoi les cornes du rhinocéros ou du bélier n'apparaissent pas ?). Malgré ces petites erreurs, l'ouvrage est très bien réalisé et plein de découvertes étonnantes.

Avez-vous remarquer que la lune change de forme tous les soirs, dit l'écureuil au cochon, au chat, au paon et au singe?

C'est bizarre, n'est-ce pas...

J'aimerai bien savoir pourquoi, pas vous?

Et les cinq amis grimpent tout là haut dans le ciel pour découvrir ce mystère.

Livre animé, les pages sont du plus petit format au plus grand, pour découvrir le mystère de la lune et ensuite du plus grand format au plus petit. On y découvre les amis de l'écureuil, qui ont chacun leur idée sur ce mystère.
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..

L'originalité de ce livre jeu est l'association des devinettes, des odeurs et du graphisme. Un album qui permet à coup sûr de partager un moment de complicité autour de la découverte.

Beau livre avec des images sympatiques.

Pas mal, mais je trouve qu'il y a des élements un peu dure et peu commun pour un enfant (comme le cardinal, le grand tétras). Cependant, mon fils a bien aimé les différents ongles et le petit jeu à la fin du livre.

Et pourquoi la lune n'a pas tous les soirs la même forme ? Chacun y va de son hypothèse, et aura sa réponse ! Un très joli livre, à la fois poétique et drôle, imaginatif et bien joli.

Superbe histoire que cette aventure d'une girafe blanche, malheureuse parce que différente. Tous les moyens sont bons pour récupérer des taches, mais le soleil ne la tache jamais comme il faudrait et tous les animaux tachetés finissent par se moquer d'elle. Finalement, cette girafe différente va trouver son utilité et révéler qu'elle est indispensable aux autres...



Un bien bel album, joli et avec une belle histoire. Le thème de la différence n'est jamais évident à traiter, un peu rebattu dans les albums mais celui-ci s'en sort honorablement.