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Critiques de Frédéric Hermel (35)
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Un jour, j'ai été heureux

Comme une révélation au sens religieux, Frédéric prend brutalement conscience du bonheur qui fut le sien vingt ans plus tôt, lorsque l’avion pour New-york lui permettait de retrouver l’amour de sa vie, la merveilleuse Allisson. C’est grâce elle que Manhattan et Brooklin se sont parées des nuances qui accompagnent le bien-être et de plénitude. La rencontre lors d’un mariage, les premiers moments ensemble, puis le sentiment amoureux, toute cette période l’a comblé. Jusqu’à ce qu’une séparation soit inéluctable , quand l’amour ne s’accommode plus des sacrifices personnels.



Au coeur de tout ce bonheur, pourtant, revient un épisode douloureux de l’enfance, la mort accidentelle du père qui fera de lui pour de nombreuses années, « le petit garçon qui a perdu son papa »



Récit du bonheur et du malheur, dont les alternances sont la trame du tissu de nos vies, ces confidences, qui donnent au récit une allure autobiographique, sont fort bien évoquées : l’auteur suscite par la tonalité qu’il donne au texte une avalanche d’émotions. L’empathie est là, à chaque ligne, optimiste comme l’amour ou pessimiste comme le deuil. Difficile de rester indifférent.



Frédéric Hermès a l’art de se raconter, de mettre en scène les épisodes fondateurs de son enfance puis de sa vie d’adulte. Il en résulte un roman émouvant.



216 pages Fayard 3 mai 2023

#Unjourjaiétéheureux #NetGalleyFrance




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Un jour, j'ai été heureux

Dans un récit autobiographique, Frédéric Hermel raconte principalement son amour pour une Américaine, Allison, rencontrée en 2002 à New York. ● Je me suis demandé comment ce livre insipide, sans aucune tension narrative malgré les vaines tentatives de ne pas raconter chronologiquement, au style scolaire, pouvait avoir été édité. ● Comment l’auteur peut-il croire que son histoire personnelle insignifiante va nous intéresser ? Que son attirance pour les « humidités féminines » va nous ragoûter ? ● Le chapitre sur Jérusalem est complètement hors de propos, on dirait que l’auteur l’a inséré là parce qu’il n’avait pas assez de matière par ailleurs, le livre étant particulièrement court (119 pages en édition électronique). ● J’ai donc googlisé l’auteur et je me suis aperçu qu’il était connu comme journaliste sportif et avait déjà écrit deux livres, l’un sur Zidane (titre éponyme, 2019) et l’autre sur… la France (C’est ça la France, 2021)… ● Pour ma part, je ne le connaissais ni d’Eve ni d’Adam, mais sa petite notoriété doit bien l’avoir aidé à caser ce pauvre opus chez Fayard d’où tous les auteurs fuient depuis l’arrivée aux commandes d’Isabelle Saporta… ● Je remercie #NetGalley et les éditions #fayard de m’avoir permis de lire cet ouvrage. #ChallengeNetGalleyFR #unjourjaieteheureux.
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Un jour, j'ai été heureux

Frédéric Hermel va se raconter tout au fil d’un récit autobiographique. Il va ainsi nous parler d’Allison, un amour de jeunesse, retracer les commencements de cette histoire et l’évolution de leur amour malgré la distance. En effet, Allison est américaine et vit a New York.



Inutile de tergiverser bien longtemps, ce récit m’a profondément émue et c’est un véritable coup de cœur. Avec une sensibilité à fleur de peau et une grande acuité dans la description de ses sentiments, Frédéric offre un récit qui touche profondément son lecteur.



Dès le départ, j’ai été passionnée par la manière habile de raconter de l’auteur. Il va littéralement se livrer et ce n’est pas un exercice facile. Grâce au recul dont il peut maintenant faire preuve, il peut ainsi nous faire part de ses ressentis avec une belle générosité et il est impossible de ne pas ressortir très ému par ce beau récit, qui parlera sans doute à beaucoup de ses lecteurs.



En effet, Frédéric abord un sujet universel tel que le souvenir d’un premier amour. Il le fait avec beaucoup de justesse et d’authenticité. Mais Frédéric va également nous livrer d’autres passages personnels qui m’ont profondément touchée. Il se livre à chaque page.



Ce récit est également une invitation au voyage, puisque Frédéric nous retranscrit les endroits visités au gré de ses retrouvailles avec Allison, mais également les voyages personnels effectués au fil des ans.



La plume de l’auteur m’a touchée d’une manière indicible. Il n’est jamais aisé de retranscrire des sentiments personnels, et Frédéric a réussi cela avec beaucoup de brio. En peu de pages, les émotions transparaissent à chaque phrase.



Un roman très personnel dans lequel l’auteur se livre avec une grande générosité et beaucoup d’authenticité. A découvrir sans hésiter.
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Un jour, j'ai été heureux

Voici mon retour de lecture sur Un jour, j'ai été heureux de Frédéric Hermel.

Juillet 2002, Brooklyn. Le narrateur se souvient de la première nuit d’amour avec Allison. Il se souvient de la moiteur de la ville, de leurs souffles saccadés, du bruit du ventilateur, des chansons de Madonna qui tournaient en boucle, témoins de leurs caresses nocturnes..

Avril 2022, Paris. Le narrateur comprend enfin combien, alors, il a été heureux. Dix-sept ans qu'il ne l'a pas vu, qu'il n'a pas entendu son accent américain si troublant lui susurrer des mots d’amour. Pourtant, d’elle, il n'a rien oublié.

Et si le vrai bonheur, c’était ça, notre capacité, immédiate ou tardive, à déceler les moments qui comptent ?

Un jour, j'ai été heureux est un roman aux saveurs autobiographiques.

J'ai parfois un peu de mal avec ce genre, ayant l'impression d'être un peu voyeuse d'une histoire qui ne me regarde pas.

Et c'est exactement ce qui c'est passé ici.

C'est une histoire très personnelle, celle du narrateur avec Allison, une belle américaine. Il l'a aimé, d'un amour pur, vrai.. Il s'en rend compte dix sept ans plus tard et il nous raconte son histoire d'amour séparée par l'océan.

A mon grand regret, je n'ai pas accroché plus que ça avec ce roman si personnel que je me suis parfois sentie de trop.

Cela reste une histoire d'amour qui trouvera son public.

Mais je n'ai pas accroché plus que ça avec les personnages. Le narrateur m'a laissé un peu indifférente, de même que Allison. J'ai découvert leur histoire avec curiosité mais je n'ai pas été touchée plus que ça.

Mon avis est assez mitigé sur Un jour, j'ai été heureux. Il est court, se lit très rapidement mais j'ai peur de l'oublier tout aussi vite.

Ma note : seulement trois étoiles.



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Un jour, j'ai été heureux

Ce livre est un joli récit. Oui, je sens que cette accroche est un peu courte, et pourtant, c’est ce que j’ai ressenti à la lecture de ce texte, qui nous raconte, sans fioriture inutile, la première véritable histoire d’amour du narrateur/auteur/personnage principal. Le récit va du présent au passé, de manière très fluide : l’on ne se perd jamais entre les différentes époques de la narration, y compris lorsque le narrateur nous parle de son adolescence. Cette première histoire d’amour a ceci de particulier que c’était aussi un amour longue distance : Allison est américaine et il n’est pas question pour elle de quitter son pays pour vivre en France, pas plus qu’il ne sera question pour le narrateur de s’installer aux Etats-Unis. Ce n’est pas seulement la distance qui peut distendre les liens entre deux personnes, pourtant amoureuses. Les différences culturelles sont là aussi, les rencontres faites entre temps, l’évolution aussi de leurs propres amis – celles du couple qui a permis au narrateur et à Allison de se rencontrer est sans doute ce qui se fait de pire en matière de relations amoureuses, modèle de ce que le narrateur ne veut surtout pas devenir.

Et pourtant… j’ai apprécié la lecture de ce texte, dans lequel le narrateur se livre, nous raconte aussi le processus qui l’a amené à mettre en mots, en livre, son histoire d’amour, jusqu’à un dénouement qui apparaît pour moi comme le point d’orgue du livre. Bref, un livre qui appartient à un genre littéraire qui n’est pas mon préféré, mais un livre que j’ai trouvé très réussi, et qui m’a apporté de bons moments de lecture.
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Zidane

Qui est Zidane ?

Le cadet d'une fratrie qui a grandi à Marseille, Un gamin humble qui a reçu une éducation solide, Un époux et un père très attentif, Un joueur remarquable à Turin et à Madrid, Le numéro 10 de l'équipe de France, L'auteur d'un coup de tête malheureux en 2006 au Mondial en Allemagne, Un entraîneur tout aussi remarquable, Un homme discret, pudique même, mais attaché à ses valeurs simples.



« Mais qui connaît vraiment Zizou ? Un être secret qui cultive la discrétion, un homme adulé qui se préserve et protège les siens, une star qui reste un type normal au milieu de l'anormalité d'un destin exceptionnel. » (p. 15)



Zidane, pour moi, c'est le Mondial 1998. J'avais 13 ans. C'est la seule fois où j'ai su par cœur la composition de l'équipe de France. La seule fois que le football m'a vraiment intéressée. Pourquoi ? Sans doute parce que cet été-là était trop long et que rien d'autre n'avait su attirer mon attention. Je suis le football d'une oreille plus que distraite, et je regarde un match tous les 4 ans, celui de la finale du Mondial. Bref, tout ça pour dire que je ne cours pas après le ballon rond.



Frédéric Hermel est correspondant pour L'Équipe et RMC à Madrid. C'est là qu'il a rencontré Zinédine Zidane. « Il ne me doit rien et je n'exige rien de lui. Je recherche uniquement les clés de la compréhension au travers d'une relation de confiance qui autorise toutes les questions. » (p. 250 & 251) On sent toute son admiration pour le sportif – pour l'athlète même –, et pour l'entraîneur, mais surtout pour l'homme qui n'a jamais oublié d'où il vient. C'est compréhensible : le bonhomme a l'étoffe des icônes modernes. Toutefois, je déplore une tendance appuyée au panégyrique. « Avec Zidane de Marseille, c'est la France qui triomphe. » (p. 289) En outre, même s'il ne faut pas attendre le décès d'une personnalité pour en parler, je ne suis pas convaincue de la pertinence d'écrire la biographie d'une personne toujours vivante. À mes yeux, le vrai intérêt de ce livre tient dans les nombreuses phrases de Zinédine Zidane, données en interview ou en confidence. En fait, c'est cela que j'aurais voulu lire : un long entretien entre le journaliste et le sportif, sans que les propos passent par le prisme de l'interprétation et de la reformulation.



Enfin, je n'ai pas apprécié le portrait qui est fait de Véronique, l'épouse de Zinédine. Elle a sans doute consenti au sacrifice de sa propre carrière de danseuse et de ses aspirations personnelles pour se dévouer entièrement à son mari. Mais la façon dont cela est présenté m'a semblé terriblement paternaliste et machiste, comme si cela allait de soi. Quoi qu'il en soit, la relation de couple entre Véronique et Zizou ne regarde que ces derniers : c'est assez indélicat de l'avoir présenté dans un livre.



Voilà un livre qui s'adresse sans aucun doute aux fans du footballeur et aux amateurs du ballon rond. Avec moi, le but est manqué.
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Zidane

Nombre d’ouvrages consacrés à l’icône Zinedine Zidane ont chanté les louanges du footballeur à la technique hors paire et à la carrière unique, qu’il s’agisse du terrain hier, ou du banc de touche du Real Madrid aujourd’hui.



Mais aucun n’a jamais été aussi complet et pertinent que ce Zidane , sous la plume de Frédéric Hermel,



Et ce, grâce à une relation privilégiée qui s’est étalée sur dix-huit années sans interruption aucune ; une forte amitié, pour ne pas dire complicité, a rapproché très vite le natif du nord de la France et l’enfant de la Castellane, cette cité de Marseille où Zizou a vu le jour entouré des siens, Smaïl et Malika, les parents nés en Kabylie, et les trois frères et la sœur qui l’ont couvé d’amour et d’affection, lui, le petit dernier de la fratrie qui a vu le jour le 23 juin 1972.



De ce père ouvrier et de cette mère au foyer, Yazid – deuxième prénom réservé aux intimes – a hérité d’une éducation résumée par les recommandations de Smaïl qui tiennent en trois mots prononcés le jour où à 15 ans, il quitte le cocon familial pour rejoindre le centre de formation de l’AS Cannes : «Travail, sérieux et respect».



Ce sera désormais le credo qui va forger sa personnalité et celle de ses quatre garçons qu’il a su élever en compagnie de son épouse Véronique, fille d’immigrés espagnols.



Les maîtres-mots de ce paternel dont il n’a jamais oublié le passé de travailleur manuel qui a connu la faim et le froid de ce fameux hiver 54 popularisé par l’appel de l’abbé Pierre, vont l’accompagner toute sa carrière et sa vie durant.



Frédéric Hermel conte avec chaleur et précision les différentes étapes de la jeunesse de «Yaz» marquée par la rencontre amoureuse avec Véronique et l’amitié indéfectible qui le lie à David Bettoni, aujourd’hui son adjoint au Real Madrid.



C’est Véronique qui sera de bon conseil à ses côtés pour écarter ces êtres toxiques attirés par les stars. Car Zidane, sans doute le Français le plus connu dans le monde, est un mythe, une icône mondiale, un modèle.







Extraordinaire footballeur, aujourd’hui entraîneur adulé au palmarès unique avec les trois Ligues des champions (2016, 2017, 2018) consécutives avec le Real Madrid, sa destinée est hors normes, jalonnée de succès incroyables et de coups de sang mémorables.



Ainsi de son rapport à la politique qui le fera sortir de sa réserve naturelle à deux reprises : en 2002, Bruno Gollnish, un des leaders du Front National( rassemblement national présentement ), le catalogue de fils de harkis. La réponse est cinglante : «Eh bien mon père n’a jamais combattu contre son pays, c’est clair ? Mon père est un Algérien fier de l’être, et moi je suis fier que mon père soit un Algérien !»



«Des mots repris par tous les médias qui ne seront pas du tout appréciés par la communauté harkie, écrit Frédéric Hermel qui poursuit : logique. Le sujet est grave en lui-même. Extrêmement grave pour Zizou puisqu’il touche à l’honneur de son idole, de son modèle, de son guide.



Accuser son papa de trahison envers sa patrie lui paraît insupportable et je sens que là se dessine l’une des nombreuses frontières que Zinedine ne laissera jamais franchir. J’apprendrai petit à petit à déceler les autres. Smaïl est intouchable. C’est tout».



D’ailleurs, Zidane qui ne parle pourtant jamais de politique, appellera pour le second tour de la présidentielle de 2002 à ne pas voter pour Jean-Marie Le Pen. Il récidivera en 2017 à propos de sa fille Marine.



Le journaliste écrivain Frédéric Hermel passe en revue toutes les personnes qui ont marqué son existence et raconte avec force détails sa vie au quotidien, ses motivations actuelles, écrivant ceci : «J’affirme après des décennies d’amour du football et dix-huit saisons de marquage journalistique de ce sport, de décryptage sensitif et cartésien, que Zidane deviendra encore plus grand entraîneur qu’il n’a été joueur».



Ce que confirme Msaidié, l’entraîneur en second au Real Madrid : «Zidane a ce truc essentiel dans notre métier, c’est qu’il synthétise très vite. Les idées sont limpides, les concepts bien choisis et très clairs. Il sait où il veut aller, comment il veut y aller et possède en lui cette capacité de le transmettre.



C’est simple à comprendre pour les joueurs et pour nous aussi qui travaillons auprès de lui. Avec Zizou, il n’y a pas de palabres et, en même temps, il pose beaucoup de questions, demande conseil, laisse aux autres la possibilité de s’exprimer et permet la confrontation des idées.»



Cette réflexion pertinente sur l’entraîneur recoupe parfaitement tout ce que cet ouvrage raconte de l’être intime qui se dissimule derrière la star.



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Un jour, j'ai été heureux

#Unjourjaiétéheureux

#NetGalleyFrance !



Tout d'abord un peu surprise par le contenu de ce livre, j'ai très vite pris du plaisir à le lire. Frédéric Hermel nous raconte une partie de sa vie d'adulte, de sa rencontre avec Allison lors du mariage de son amie à son retour à New-York 20 ans plus tard.

Chaque chapitre commence par une date, un lieu et le titre d'une chanson de Madonna, on sait donc dès le départ où se situer par rapport à l'histoire, viennent ensuite les différentes rencontres faites par l'auteur et tout particulièrement celles avec Allison, on suit également de loin le parcours professionnel de l'auteur jusqu'à l'écriture de son livre.

J'ai beaucoup aimé ce livre, on sent la sincérité de l'auteur, il n'y a ni colère, ni révolte, juste la constatation d'un échec sentimental et un petit goût d'amertume.
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Un jour, j'ai été heureux

Un jour j’ai été heureux est le premier roman de Frédéric Hermel, journaliste sportif bien connu des fans de foot pour son ouvrage sur Zidane. Dans ce récif a forte connotation autobiographique, écrit à la première personne, il se remémore un temps lointain pendant lequel il a entretenu une idylle sporadique avec une américaine, alors qu’il vivait à Madrid.

L’auteur brode sur cette histoire un très court récit, pas désagréable à lire, mais qui manque de profondeur. Un morceau de vie raconté, semble-t-il avec sincérité, mais qui ne m’a laissée indifférente. Les années passent mais il ne se passe pas grand-chose dans ce roman. Qui, en vieillissant, n’a pas la nostalgie de moments de bonheurs anciens et qui ne regrette pas d’en avoir si peu profité ? Est-ce suffisant pour en faire un roman ?

#Unjourjaiétéheureux #NetGalleyFrance
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Un jour, j'ai été heureux

Parfois, un roman c'est comme une personne que l'on rencontre. Il y a des affinités qui se créent tout de suite et à d'autres moments, on ressent un malaise sans qu'il se soit passé quelque chose de particulier. Ça peut être un regard, le son du voix... Et on ne peut pas toujours l'expliquer rationnellement mais on sait qu'on ne pourra jamais réellement apprécier cette personne. Je vous dis ça car c'est ce que j'ai ressenti avec ce roman. Dès les premières pages, j'ai su qu'entre lui et moi, ça n'allait pas être le coup de cœur.



Pourtant, nous sommes face à une histoire d'amour que l'auteur a vécue et qu'il nous raconte donc avec sincérité. Et les histoires amoureuses, ça plaît, surtout quand il y a des obstacles sur le chemin. Mais là non. Ce n'est pas non plus une terrible déception ou une lecture ennuyeuse, loin de là mais je pense que l'écriture de l'auteur est assez clivante, ce qui fait que l'on peut se sentir réellement touché par son histoire ou au contraire, rester de glace.



Une rencontre au hasard, deux nationalités différentes, une relation à distance, un attachement fort et sincère, un amour qui se vit plus qu'il ne se dit. Ce roman a des qualités appréciables mais la personnalité des deux protagonistes pour lesquels j'ai ressenti peu d'empathie et la manière de raconter ce bout de vie ont eu raison de moi. Au point de me demander si toutes les histoires ont besoin d'être racontées puis partagées ?
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Un jour, j'ai été heureux

Ce roman est, apparemment, un peu Autobiographique.



C'est l'histoire d'un homme et d'une femme qui s'aiment, mais seulement à distance. Dès qu'ils essayent de vivre ensemble, ça ne va plus.



Il y'a quelques longueurs à mon goût, bon j'avoue que les histoires de ce genre ne bougent pas assez à mon goût.



Je vous recommande ce roman, si ça ne vous dérange pas qu'il n'y ait pas d'action.
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Zidane

Lire une biographie d’une personnalité publique, de surcroit un sportif, encore en vie, ne fait pas partie de mes priorités. Je porte très peu d’intérêt à ces vies souvent banales. Seulement, quand le personnage en question est le plus grand, le plus célèbre et le plus mystérieux d’entre eux et que le livre est écrit par un journaliste que j’adore, je me laisse tenter.



Dans les médias, Frédéric Hermel sait communiquer avec talent son enthousiasme et sa passion pour le ballon rond. Consultant privilégié du Real Madrid, il a toute la légitimité pour parler du cas Zinédine Zidane. En effet, il n’est pas juste un observateur ou un historien du footballeur. Il a une eu la chance de le côtoyer de très près durant toutes ses années madrilènes, soit 18 ans. Pendant cette période où il a été tour à tour le meilleur joueur du monde et le meilleur entraineur du monde, Frédéric Hermel était sur ses pas. Il peut ainsi nous raconter son enfance, sa vie intime (sans être trop intrusif), son caractère, ses exploits, ses défaites, un décryptage du phénomène.



Alors que l’on pense que seul le talent suffit, l’auteur nous montre à travers ce portrait de notre Zizou national, tout le travail, les rencontres, les privations mais aussi la chance nécessaire pour devenir une légende bien au-delà du sport ! Même s’il n’hésite pas à égratigner la star avec des anecdotes relatives à leur relation ou à son comportement, Frédéric Hermel n’en reste pas moins amoureux de son sujet. Il ne s’en cache pas et son adulation se ressent dans toutes les pages. On peut donc considérer que son témoignage n’est pas complètement objectif. Mais il n’en reste pas moins passionnant si l’on s’intéresse au football et à un de ses plus illustres représentants.
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Zidane

Je ne suis pas une fan de football, loin sans faut, tout d'abord je déteste les commentaires des spectateurs, qui jugent," estiment que", adulent, condamnent. C'est particulièrement pénible à entendre en cours de match TV, donc je ne regarde pas. Sauf de grands événements comme la Coupe du monde.

Et pourtant, j'ai eu envie de découvrir ce portrait de l'icone Zidane, l'homme derrière le numéro 5. Car le parcours de l’adolescent provençal, cet enfant de Castellane issu d'une famille modeste intrigue, séduit surtout quand on réside à 2 pas de Marseille.

Salaire mirobolant pour frapper dans un ballon, héros de la France pour avoir ramené la coupe du monde football, tout semble disproportionné.

Alors comment un homme parvient-il à passer de l'anonymat à la lumière des projecteurs braqués sur lui, faire rêver et rester humble ?

C'est ce qu'il semble.

Zizou est-il donc ce qu'il parait malgré les sommes fabuleuses qui tombent dans son escarcelle et cette popularité qui peut faire tourner les têtes et changer les individus ?

C'est la réponse à ces questions que j'attendais découvrir à travers cette lecture.

Fréderic Hermel est correspondant pour L'Équipe et RMC à Madrid. Un passionné du ballon rond et un fan inconstatable de Zinedine Zidane, dont il suit la carrière depuis de nombreuses années et dont les liens semblent être amicaux. Il nous offre ainsi l'image de son Yazid. Il nous en brosse son portrait à travers ses propres émotions de chroniqueur footballistique. L'auteur vit ce milieu intensément et l'on ne peut le blâmer d'offrir une analyse qui comblera des milliers de fans, de tous ceux qui ont encensés l'icône : oui pour beaucoup : " Avec Zidane de Marseille, c'est la France qui triomphe. » Il l'ont pensé très fort avant de passer à autre chose et à un autre, tel que Kylian Mbappé.

Ce témoignage, à la limite de l'idolâtrie, laisse toutefois entrevoir, par des nombreuses phrases d'interview, de confidences, du célèbre footballeur et de nombreux amis, ou autres personnes ayant croisé sa route, un homme proche de ce qu'il veut bien laisser voir. Ce qui rend le témoignage touchant malgré qu'il mette un peu trop l'accent sur la relation privilégiée dont jouit le journaliste et qu'il ne se lasse pas de nous répéter inlassablement.

Dans certains passages, Frederic Hermel aborde la vie familiale, les choix de Véronique sa femme, évoque ses enfants. Dans le quotidien ZZ se veut discret et ses enfants le sont. C'est une certitude confirmée par les propos de l'auteur et mon neveu qui étudie dans le même lycée que les enfants Zidane scolarisés au lycée Français de Madrid.

Malgré le fait que l'auteur est un grand admirateur de l'icône ( c'est une évidence frappante au fil des pages) qu'est devenu le petit Yazid de Marseille, on ne peut nier le charisme de ce dernier qui tient une grande place dans le coeur des madrilènes et autres amoureux du ballon rond. C'est approche qu'il faut voir dans cette analyse de Zidane par le journaliste.

Personnellement, je suis frappée par le charismatique du personnage, celui qui marche droit dans ses bottes avec sa force et ses faiblesses, ses coups de boules et ses cartons rouges qui font de lui ce qu'il est : "Juste un homme" que le destin à propulsé aux milieux des étoiles et qui s'efforce tant bien que mal de faire du mieux qu'il peut, moqué, critiqué et encensé, touchant des cachets astronomiques, mais peut on en vouloir aux autres de gagner de l'argent en tapant dans un ballon ?

Là encore,l'auteur nous offre l'envers du décor. Certes cela semble facile, mais on oublie les blessures et les conséquences physiques, les entraînements que vivent les joueurs et ce qu'une conditions physique défaillante implique.

L'avenir de Zidane est au beau fixe, l'homme présenté par l'auteur ne se contente pas du peu. C'est l'image qu'il donne et pourquoi ne pas y croire ? Parfois les gens sont vraiment ce qu'ils paraissent.

Donc, forcement en fin de lecture, on ne peut qu'apprécier davantage le personnage au delà de l'icône,malgré la sensation prégnante que l'auteur n'est pas des plus objectifs. Mais la personnalité de Zidane qui transparaît entre les lignes prend le pas sur un soupçon de manque d'objectivité de l'auteur.

Le journaliste sportif enchante son lecteur de sa belle plume poétique et de ses jeux de mots et rend cette lecture des plus plaisantes.


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Un jour, j'ai été heureux

Une "bluette" rapide à lire et tout aussi rapidement oubliée !



Après "C'est ça la France !" et "Zidane", le journaliste sportif Frédéric Hermel se lance dans une romance avec ce récit autobiographique intitulé "Un jour, j'ai été heureux" qui sera publié le 3 mai prochain aux éditions @fayard que je remercie ainsi que @NetGalleyFrance.



Il ne s'agit pas d'un roman, mais plutôt d'extraits de journal intime racontant une "bluette" entre Fred et Allison, une jeune femme de 25 ans rencontrée à Brooklyn vingt ans auparavant. Des rencontres furtives : de leur première rencontre en 2001 lors d'un mariage d'une amie à leur rupture en 2005. Plutôt banal, je dois dire...



Entre deux "tranches de vie" un peu mièvres, Fred nous révèle la mort tragique de son père quand il n'avait que 13 ans tandis qu'Allison évoque le décès de sa sœur jumelle. Mais, que vient donc faire ce chapitre consacré au voyage solitaire de Fred à Jérusalem dans ce récit à l'eau de rose ? Un peu hors sujet, je trouve...



Quant à la fin de cette bluette, elle n'est guère plus originale que l'ensemble de ce journal intime...



Alors, moi aussi "Un jour, j'ai été heureux", mais pas le jour où j'ai lu ce récit insipide !
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Un jour, j'ai été heureux

Un récit autobiographique qui emmène le lecteur à Brooklyn, faire la connaissance d’Allison.



❤️ Alerte au coup de cœur !❤️



Frédéric, après avoir vécu de nombreuses années en Espagne, est de retour en France. Il savoure ce retour au bercail. Et se souvient…



5 juillet 2002, 355 Leonard Street, Brooklyn. Frédéric se réveille dans les bras d’Allison, 25 ans. Son premier amour.



Avec beaucoup de délicatesse et une plume que j’ai trouvé très poétique, l’auteur va nous parler de cette relation si spéciale. Allison vit à New York, Frédéric à Madrid, ils vont vivre une histoire à distance, avec tout ce que cela implique : le manque, la magie des retrouvailles, la capacité (ou pas) à gérer l’éloignement.



De 1983 à 2022, l’espace-temps est proposé dans le désordre, tel les dés qui tombent, aléatoirement, quand on les lance. La vie est comme une partie de dés. On ne sait jamais quelle combinaison on va avoir.



Ce roman a été un vrai coup de cœur. Déjà, pour la description de New York, de Brooklyn, des new-yorkais. Cette ville me manque tellement. J’avais vraiment besoin de retrouver tout cela, même par procuration. J’avais l’impression d’entendre les sirènes des pompiers et de sentir les odeurs des stands à hot dog.



« Tout le reste de l’appartement sentait bon New York et la culture américaine, avec ce canapé vert deux places qui accueillerait si souvent nos ébats et avec cette grande table ovale en bois foncée entourée de six chaises dépareillées. Au mur, une affiche correctement encadrée de l’une des œuvres les plus célèbres du MOMA, celle de la boite de soupe Campbell d’Andy Warhol. »



Ensuite, pour la plume, poétique, précise, retranscrivant parfaitement les émotions des personnages. J’ai été envoûtée dès le départ, il s’est passé un truc, j’avais l’impression d’être entourée d’une bulle de coton quand je lisais. J’étais dans le livre, il m’absorbait toute entière, j’étais avec Allison et Frédéric. Cette sensation vient probablement du fait que le récit est autobiographique, donc authentique, mais aussi parce le sujet de l’amour est universel. Peu importe le type d’amour que l’on vit, on ne peut que s’identifier aux personnages. On sait ce qu’ils ressentent, on les comprend.



Les personnages sont peu nombreux, tout tournant essentiellement autour de Frédéric et d’Allison. Quelques chapitres plus personnels à Frédéric permettent de mieux le connaître. On a un peu moins d’affinités avec Allison, il est clair que dans sa relation avec Frédéric, c’est ce dernier qui fait le plus d’efforts. Cela donne à réfléchir sur la qualité de l’amour que l’on offre à l’autre, quelquefois de manière moindre, sans en avoir forcément conscience.



« J’avais souvent eu peur, et là, je ne craignais plus rien. J’avais touché le bonheur. »



Outre le thème de l’amour, Frédéric creuse le sujet du bonheur, de notre propension à le reconnaître lorsqu’il frappe à notre porte. Bien souvent, ce n’est qu’après que l’on se rend compte qu’on l’a touché du doigt sans le savoir. Des réflexions oh combien justes, un brin philosophiques, pour nous permettre de se remettre en question. Suis-je heureuse, là, tout de suite ? L’ai-je été il y a une semaine, un mois, un an ? Quand ? Avec qui ? Car, bien souvent, le bonheur est accompagné. Et ce bonheur est-il stable et durable ?



« Un jour, j’ai été heureux » est une ode à l’amour et au bonheur, à prendre le temps de faire le point, pour reconnaître cet état émotionnel que l’on recherche tous et à le savourer lorsqu’il se présente.



Un roman qui se lit vite, trop vite. Mais un roman que l’on n’oublie pas.



« C’est au moment d’attraper le journal et de m’asseoir sur le canapé de velours gris que l’évidence de ce bonheur enfoui a éclaté. Un jour, j’ai été heureux, et je ne le savais pas. »



Je remercie les Éditions Fayard et NetGalley pour cette lecture.



#Unjourjaiétéheureux #NetGalleyFrance #challengenetgalley #FrédéricHermel #Fayard






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Un jour, j'ai été heureux

🥺 Nostalgique



En trois mots : amour - passé - autobiographique



« Un jour, j’ai été heureux. Et ce n’est que vingt ans plus tard que je m’en suis rendu compte. »



➡ Un jour il a été heureux et il nous raconte cette histoire d’amour qui l’a tant marqué… Ce roman m’a clairement amenée en dehors de ma zone de confort mais il faut parfois prendre des risques !



« La solitude, la véritable solitude, n’est pas d’être seul mais de n’avoir aucun souvenir du deux. »



➡ On alterne les temporalités, passé, présent, ce qui permet de comprendre petit à petit ce qui est arrivé à notre narrateur sans pour autant se perdre dans les différentes années.



➡ Côté histoire, l’ensemble ne m’a pourtant pas réellement passionnée. Il y a un passage précis qui m’a beaucoup touchée mais malheureusement cela n’a pas été le cas de l’histoire d’amour.



« Le bonheur ne se reconnaît pas tout de suite. Le malheur, lui, montre immédiatement son visage. »



➡ Il faut reconnaître que c’est bien écrit, fluide et qu’il y a de belles réflexions. Ce n’était pas du tout une mauvaise lecture mais je n’en garderai pas un souvenir impérissable.



Merci aux éditions Fayard pour ce service de presse numérique dans le cadre du challenge NetGalley.
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Un jour, j'ai été heureux

"Mieux faut avoir des remords que des regrets!" clame l'aphorisme; c'est pourtant un regret que nous annonce le titre de Frédéric Hermel.

Sans surprise, ce texte autobiographique se présente comme un roman d'amour. Encore une roman d'amour, me suis-je dit... mais un roman que j'ai pris plaisir à lire tellement sa composition est originale. L'auteur et narrateur nous offre un patchwork des moments importants de sa vie et surtout de sa relation avec "sa petite américaine", la belle Allison.

Sous couvert d'une bande audio contextualisée, leur histoire se dévoile au rythme des titres de Madonna. Grand écran et dolby stéréo, le kaléidoscope de souvenirs et d'émotions !

Balloté dans les multiples voyages transatlantiques où les amants se retrouvent, le lecteur devient le confident du narrateur, et pour une fois les sentiments amoureux sont analysés, décortiqués par un homme. Ce n'est donc pas un énième roman d'amour ! C'est un roman autobiographique sensible et inspiré. #Unjourjaiétéheureux #NetGalleyFrance !



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Un jour, j'ai été heureux



Une histoire universelle, l’amour, la distance, les difficultés, tous ces petits riens qui nous rapprochent et nous séparent.

Et puis, un jour le constat, que l’on a touché au bonheur, mais qu’on ne le savait pas….alors, pourquoi, ne pas tenter par tous les moyens de le reconquérir.

Voilà, si vous aimez aussi le voyage, que vous aimez NYC, Madrid ou Jerusalem, que vous avez envie d’y aller, ou de retrouver des sensations vécues là-bas, ce roman vous comblera.

C’est une bulle de nostalgie, c’est pétillant et frais, un roman idéal pour l’été.

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C'est ça la France !

« Donnez-moi la main, je vous emmène dans votre pays... »



C’est par ces mots que se termine l’avant-propos du livre que j’ai eu le plaisir de lire pendant 3 ou 4 jours. J’ai découvert dans les pages culture d’un hebdomadaire, le portrait de Frédéric Hermel, journaliste qui m’était inconnu et donc de son dernier ouvrage que je me suis empressé d’acheter.

Car l’article était fort bien écrit...



Si je vous cite quelques têtes de chapitres comme : le pain, la marinière, le bal du 14 juillet, le calendrier des postes, la difficulté de la langue française, le couscous ou la laïcité, nul doute que vous saurez où l’auteur nous emmène, d’autant que le titre parle de lui-même, et son sous-titre encore davantage : « Petit musée joyeux d’un peuple pas comme les autres ».

Certains pourraient qualifier le livre de "chroniques ordinaires d’un peuple grincheux" ou "particularismes bien franchouillards" mais ce serait une énorme erreur. Il s’agit ici d’un livre d’amour, amour pour notre patrimoine, nos rendez-vous, nos habitudes, notre langue si belle, notre gastronomie ou nos élans rassembleurs. Au fil d’une petite trentaine de chapitres de 4 à 6 pages, Frédéric Hermel nous fait redécouvrir ce qui fait notre culture et qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Lui qui vit depuis trente ans en Espagne, et revient heureusement souvent « chez nous » sait d’ailleurs ce qu’il en est. Ce n’est pas uniquement une “Lettre à France” comme le chantait Michel P. mais un rappel joyeux de ce qui fait de nous un peuple à part.

Peuple composé de gens aussi différents que les Bretons, les Alsaciens, les Ch’timis et les Méditerranéens ou encore les Auvergnats (et j’en passe), mais qui se réunissent invariablement autour de fêtes laïques ou non, d’événements sportifs, de repas, de livres, dans des bistrots ou des paysages aussi variés que ceux qui les habitent et surtout de petites fiertés nationales que d’autres finissent par nous envier.

Si vous avez envie de passer un bon moment plein de sourires et de tendresse, n’hésitez pas à vous plonger dans ce livre qui fait vraiment du bien, surtout en ce moment, et nul doute qu’à votre tour, vous aurez envie de le partager autour de vous.

(M).



P. S. J’ai omis de vous signaler que c’est écrit dans un français particulièrement soigné, d’une grande limpidité et que contrairement à beaucoup d’autres ouvrages (de plus en plus, malheureusement), il n’y a ni faute de syntaxe, de grammaire ou de coquilles qui viennent enlaidir et dénaturer le texte. Et ça me tenait à cœur de vous en faire part.
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Un jour, j'ai été heureux

J’ai rencontré l’auteur lors du salon du livre du 16ème arrondissement de Paris en 2023 et je me suis laissée convaincre. J’ai beaucoup aimé ce 1er roman: gai, frais, entraînant. J’ai apprécié le ton, l’écriture, l’histoire et passé un très bon moment.
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