Un nouveau diptyque de la série BUCK DANNY « Classic ».
Encore une réussite tant pour les dessins que pour le scénario.
Le contexte de la guerre froide permet de créer une aventure très originale, émaillée de détails historiques méconnus, mêlant nos héros avec le cinéma hollywoodien des années cinquante et l’espionnage.
Je ne développerai pas plus l’histoire afin de laisser au futur lecteur le plaisir intact de la découverte.
André LE BRAS, Frédéric MARNIQUET et Frédéric ZUMBIEHL confirment leur talent et démontrent, si cela était encore nécessaire, qu’ils ont repris avec succès le flambeau des créateurs de la série (G. TROISFONTAINES, V. HUBINON et J.M. CHARLIER).
Sans oublier la qualité des couleurs : Valeria « Tenaga » ROMANAZZI et Ketty FORMAGGIO qui participent grandement à l’agrément de la lecture.
J’attends avec impatience le tome 2 de ces nouvelles aventures.
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Buck, Tumb rt Sonny profitent de deux semaines de vacances, mais ce dernier va très vite les contacter pour un plan génial aux yeux de tous : être engagés sur un plateau de tournage.
Hoard Hughes cherche en effet des pilotes pour son dernier film avec Ava Warner en personne.
Mais une fois les premières impressions passées, notre trio va se retrouver au cœur de ce qui ressemble à une vendetta de la mafia, ou même, d'une scène d'espionnage orchestrée par les russes.
Ces derniers, sur ordre de Staline en personne, avaient déjà tenté d'assassiner John Wayne sur une film précédent, au seul motif d'incarner l'esprit américain.
Nos héros vont-ils arriver à déjouer cette conspiration ? ...
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Excellente surprise que ce nouvel album des chevaliers du ciel (en fait, cette critique concerne le diptyque de cet album + le précédent) . On retrouve tout l'univers des héros d'origine mais adapté à l'époque. Les Mirages III sont remplacés par des Mirages 2000. Les femmes ont maintenant un rôle autre que secondaire. Laverdure, toujours fantasque, apparaît moins caricatural que dans les vieux albums. Enfin, le sujet évoque l'invasion d'un pays balte par la Russie, malheureusement d'actualité. Le dessin est soigné et réaliste avec des vues d'aéronefs très réussies. Le tout en fait pour les fans un véritable régal. Un nouveau souffle pour cette série légendaire.
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Avis rapide :
Intro intéressante avec des personnages forts. Malheureusement, le fait que l’histoire est publiée en plusieurs tome dessert le récit. 50 pages c’est trop peu pour construire quelque chose de convainquant sur un seul volume. À voir ce que cela donnera pour la suite.
Visuellement impeccable, Olivier Jolivet excelle dans ce domaine !
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Suite des aventures de Tanguy et Laverdure en Khuranie : un prototype russe a été volé, un peu malgré eux, par Laverdure. Le situation est explosive, car cet incident risque de dégénérer en guerre. Pour éviter cela notre duo d'aviateur propose un plan plutôt dangereux qui impliquerait de se faire un allié du coté d'un aviateur russe pour rendre l'avion tout simplement à la Russie. Sauf que la CIA, les khuraniens veulent récupérer la technologie et que quelques russes veulent aller jusqu'à l'incident avéré.
Cela va être compliqué pour récupérer le Sukhoi et ensuite le rendre.
Rien que de très classique même si cela s'avère être des intrigues très proches de situations actuelles, ce qui constitue une idée initiale plutôt forte. Après le traitement est parfois - un peu - incohérent (l'idée d'aller dialoguer avec l'aviateur qui a cherché à les détruire, quand même il fallait y penser!).
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Mea Culpa, quand j'ai vu le résumé, je me suis dit que cette BD allait être un remake de "Nimitz" ou de "Philadelphia Experiment", mais il n'en est rien et je ne regrette nullement mon achat, c'est même une très agréable surprise.
Une expérience scientifique est sur le point de révolutionner le vol et le déplacement des avions ou autres missiles et fusées.
La société privée qui fait les tests a besoin d'un avion de chasse, et la NAVY leur confie un F-18 pour une quinzaine de jours.
Reste à trouver un pilote assez casse-cou pour accepter la mission, et c'est Duncan "Dunk" Miller qui s'y colle.
Il a d'ailleurs déjà fait connaissance avec Lucie Delosnier, le génie des math qui a conçu le programme, mais cette rencontre était plutôt glaciale, d'où la surprise quand on leur apprend qu'ils vont faire équipe.
Mais les vols d'essais ne sont pas synonymes de succès, et après un vol mouvementé par un orage électro-magnétique, notre duo improbable passe du ciel de Floride, à celui de la Marne, en France, plus d'un siècle plus tôt, en 1917...
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Bande dessinée d'aventure et d'armée très classique, peut être trop.
On y trouve ce que la couverture laisse à penser, de l'aviation, des ennemis, une fuite, la lutte du bien contre le mal et même des espions... mais au final peu d'imagination.
Une aventure de Buck Danny, trop "classic"
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Sonny est aux mains de Sato, et Buck Danny mène les opérations pour le retrouver.
Une piste mène vers une nébuleuse société d'aviation, détenue par le milliardaire Horace Khan, et Tumbler a pour mission de l'infiltrer pour y dénicher tout renseignement qui pourrait s'avérer utile pour retrouver Sonny et Sato.
Mais une autre option existe, mais nos héros ne semblent pas y avoir pensé... et si le plan de Sato était justement que Buck le retrouve ?
Un épilogue d'un diptyque très palpitant, et truffé de rebondissements.
Une histoire très intéressante aussi, le sujet étant novateur, utiliser de nouveaux systèmes de guidage, tout en infiltrant les programmes sophistiqués qui contrôlent les avions en vol... Bref, on vient de passer une nouvelle étape, qui rend l'habilité des pilotes à maîtriser leurs appareils, obsolète.
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Une histoire d'avion, sans zèle
Autant le 1er volume de ce Buck Danny "Classic", était plutôt réussi, autant cette suite est gâchée par un scénario paradoxalement touffu mais inconsistant et un découpage particulièrement raté.
Dès la deuxième planche, ça bat de l'aile. La 1ère bande montre les pilotes américains, la 2ème, les russes, sans que rien ne les distingue, et ça devient incompréhensible.
Le scénario recommence vers la fin où on passe sans transition du combat tant attendu entre Danny et le soviétique au couteau entre les dents, à un autre combat opposant ces 2 mondes. Le tout est expédié rapidement et la fin arrive de manière bousculée, comme si les auteurs s'étaient rendus compte que la pagination prévue se terminait.
Entre temps, on voit Béria manigancer, des chinois nationalistes aider les Américains, un nord-coréen passer à l'ennemi avec son MIG, Sonny se faire enlever...Et tout ce petit monde vole, mais surtout la vedette, à Buck Danny, assez peu présent.
Le dessin ne progresse guère depuis le 1er volet : honnête, mais avec des mains parfois, qu'on ne souhaiterait pas à son pire ennemi.
Bref, à force de plafonner, cette histoire d'avion finit par décrocher et partir en vrille.
Il ne manquerait plus qu'une faute d'orthographe grossière et..."nos base" (sic). Bon, ça aussi, c'est fait !
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C'est risqué Korsakoff !
D'emblée, nous voici transportés au ciel que transpercent les Sabre de type E que Buck, Sonny et Jerry, testent avant une éventuelle production en série.
Si les prototypes donnent satisfaction, ils restent encore en dessous des Mig 15 que l'URSS met à disposition des Nord-coréens. Tanguck et Laverdy sont donc envoyés en Corée pour poursuivre les essais en configuration de combat réel.
Mais le Petit Père des Peuples a des espions partout et pour garder la maîtrise du ciel, il décide d'envoyer sur le théâtre des opérations, ses meilleurs éléments zélés. En secret bien sûr, les Soviétiques ne voulant pas apparaître officiellement.
A la tête de ces volants rouges, on trouve le colonel Korsakoff, un as de la chasse aérienne à l'ambition démesurée. Pour devenir un héros, il se met en tête d'abattre le meilleur pilote américain du moment : Maver...Buck Danny.
Danny/le Rouge. le duel s'annonce sanglant !
A priori, c'est le type même de la vraie mauvaise idée. Les reprises de séries mythiques donnent rarement de bons résultats et là, faire revivre Buck Danny soixante-sept ans après ses débuts, semblait destiné à creuser ce sillon.
Surprise : ça tient la route (si on peut dire) et si on n'atteint pas le niveau du tandem Charlier/Hubinon, on s'en approche.
Les éditions Zéphyr ont eu la bonne idée de lancer cette collection « Classic » dont la vocation est de se glisser dans les interstices laissés par le duo sus-nommé. Au cas présent, l'action se déroule donc juste après "Ciel de Corée" publié en 1954. Malin !
Les Rouges sont méchants, les Américains sont braves et ont la mâchoire carrée, les Chinois petits rusés et cruels...S'il y en avait, les Italiens seraient voleurs et les Français...euh, non, pas les Français.
Dans ce 1er volume, Buck Danny est présent, mais c'est surtout Sonny Tuckson qui se distingue. Par ses habituelles gaffes bien sûr, aussi bien en voiture qu'en avion, mais aussi par son sens du pilotage et on appréciera le tête-à-cul qui lui permet de sauver un de ses camarades.
Le trait de Jean-Michel Arroyo ne possède pas la finesse de celui d'Hubinon, mais il est solide (en dehors de quelques mains peu crédibles morphologiquement) et modernise la série. le scénario de Frédric Zumbiehl ne révolutionne pas la BD, mais il s'inscrit bien dans le projet de continuum. C'est du "à la manière de".
L'histoire est à suivre, ce qui est logique puisqu'en Corée, encore et encore, c'est que le début... (désolé)
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Si vous avez envie d'un roman d'aventures avec des méchants, des bagarres, des belles femmes et de l'humour, alors c'est le bon livre !
Les personnages sont sympathiques, cela m'a fait penser aux premiers Belmondo, les tribulations d'un Chinois en Chine ou l'homme de Rio, par l'action et la parodie.
J'ai passé un bon moment avec ce roman, j'espère qu'il aura une suite…
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Du Mexique au Vatican en passant par le Pérou et les États-Unis, Angela et Noa nous entraînent dans une course contre la montre à la recherche de Ö, un lanceur d’alerte sur le web qui cherche à réveiller nos consciences. Humain ? Ange ou Démon ?
Nos 2 principaux protagonistes enquêtent en parallèle jusqu’à se réunir dans une chasse à l’homme haletante au péril de leur vie.
Un livre qui remet largement en question notre monde, nos gouvernements dirigés par l’argent, les lobbys, la religion mais aussi notre individualisme matérialiste, en soulevant le questionnement de l’effet de masse, des moutons que nous sommes.
Comment un petit groupe d’individus peut arriver à imposer un nouvel ordre mondial écrasant la majorité soumise par des médias muselés ?
Satyre d’une triste réalité où nos consciences sont éteintes, où plus personne ne se pose de questions, vautrés dans nos canapés, passifs pendant que notre monde bascule lentement mais sûrement.
Un thriller ésotérique effréné écrit d’une main de maître, qui se dévore, qui force la réflexion, avec un dénouement aussi fantastique qu’inattendu !
Il ne faut que quelques pages pour être absorber dans l’histoire et n’en sortir qu’à la fin, pas indemne.
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Bande dessinée à l'humour poussif, dont les inventions tournent autour de jeux de mots tous plus caricaturaux les uns que les autres. Chez nos amis allemands, les "V" se transforment en "F" et les "c" et autres "ss" en "z". Voici "Foizy"...
A une époque, nous le faisions dans les cours de récréation. Jadiz...
Ne mérite pas le détour et sera difficile à revendre dans n'importe quelle foire aux livres d'occasion.
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Plusieurs morts "de peur", des gros industriels, qui, par leurs activités, font du mal à la Terre. Tom Neil, ancien militaire, est le petit-fils d'un de ces industriels fortuné. Il hérite de ce patrimoine, ainsi que ses frères et sœurs. Mais lui ne souhaite pas prolonger cette activité. Il se lie avec Jen Summum pour savoir qui est cet Ange Exterminateur. Et de l'autre côté, on a Diane Kane, protectrice de la nature, qui va devoir protéger un petit albinos africain qui est un enfant-sorcier.
Dans ce livre, on aborde plusieurs sujets, la politique et l'environnement, le développement personnel avec des moments philosophiques, de la terreur, de la quête de vérité, du fantastique, ...
Un livre surprenant que je recommande !
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