Gabriel Katz

Je tente cette BD parce que c'est Gabriel Katz, je l'avoue ! Et je ne suis pas déçue, j'ai passé un bon moment et je veux lire la suite . On est dans de la fantasy plutôt classique : le royaume de Némes subit une petite crise financière, les gens commencent à se révolter et pour apaiser la colère on oblige les fils de bonnes familles à partir aussi en guerre. C'est ainsi que Araes et navel partent vers la frontière nord, un coin tranquille et sans danger. Mais dans la forêt , sans spoiler, il se passe un évènement qui va changer Araes. Il n'est pas plus sympa, non ^^ En même temps on suit un autre peuple aux faces bien dégueu , des volcaniens ou barbares selon le côté où l'on se place, qui décident d'attaquer le nord....Une bonne guerre arrive donc et je pense que le jeune Araes va se démarquer. Un scénario classique mais efficace ! Les dessins me plaisent sans être non plus excellents et les personnages sont encore un peu mystérieux mais clairement prometteurs ! A suivre donc ....

En Résumé : J’ai passé un moment de lecture assez sympathique avec ce premier tome d’une nouvelle trilogie, mais j’attendais peut-être un peu plus de ce roman de Gabriel Katz. L’histoire n’est pas mauvaise pour autant, on y retrouve les qualités de l’auteur avec une intrigue efficace, bien menée avec de nombreux rebondissements et sans temps morts. Mais voilà, j’y ai aussi retrouvé les lacunes de l’auteur qui, ici, commencent à se ressentir à travers une intrigue par certains aspects un peu trop simpliste, manquant de densité et traitée parfois un peu trop rapidement et facilement pour complètement me fasciner, surtout dans un sujet aussi intéressant que les guerres de religion. L’univers se révèle toujours aussi solide avec de nombreux aspects intéressants, mais cela fait cinq tomes qu’il est développé et j’ai du mal à vraiment me l’approprier, comme s’il lui manquait un peu de vie. Les personnages sont travaillés et soignés, mais tombent un peu trop dans certains stéréotypes et ont par conséquent du mal à en sortir et surtout du mal à surprendre. La plume se révèle simple, efficace et entrainante. Puis arrive le final qui apporte son lot de surprises et son cliffhanger, un final qui donne un minimum envie de lire la suite.





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Nous sommes la veille de Noël en Écosse et dans la famille de Scott, c'est une tradition et donc tout la famille se réunit. Absolument toute. Même ceux critiqués par tous, également ceux avec qui personne n'a de contact le reste de l'année. C'est à se demander si certains sont heureux de se retrouver là. L'ambiance dans ce manoir semble tellement pesante. C'est pour cette raison que Scott a la bonne idée de prendre une auto-stoppeuse sur son chemin, histoire de bousculer tout ce triste monde. Parce qu'il n'en peut plus de cette famille taiseuse remplie de secrets et qu'il espère que ce changement sera un bon coup de pied dans la fourmilière.



J'étais pleine d'entrain face à cette couverture, ce résumé mais je dois avouer que cette lecture n'a pas été à la hauteur de mes espérances. J'en attendais sûrement autre chose. J'ai éprouvé de la difficulté à entrer dans la lecture tout en étant patiente car certains livres demandent à un peu plus de temps. Malheureusement, j'ai l'impression d'être restée en retrait tout au long du roman. Je ne me suis pas attachée au personnage de Scott dont on ne sait finalement que peu de choses, l'auto-stoppeuse quant à elle, bien que sa présence soit un vrai chamboulement pour le patriarche, elle ne dit presque rien et est un personnage qui a peu de profondeur à mon sens.



Ce n'est pas pour autant une déception, il y a une ambiance délicieuse pesante, des revirements de situation et un secret très bien gardé, cependant il y a des rencontres livresques qui ne fonctionnent pas, ne nous touchent pas.
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En préambule, je dois dire, que c'est la deuxième série de Gabriel katz que je lis.

Le puits des mémoires avait été pour moi, une bonne découverte.

Donc, j'ai débuté Aeternia, en me réjouissant de me retrouver dans un univers connu.



Nous suivons, Leth Marek gladiateur qui prend sa retraite après des années d'invincibilité, pour consacrer du temps à ces enfants.

Pour cela, il déménage avec sa tribu à Kyrenia pour entamé sa nouvelle vie.

En parallèle ont suit également les traces de Varian, jeune homme qui vas s'engager comme novice à Kyrenia dans le but de devenir prêtre de la grande déesse.

Pendant ce temps un nouveau culte apparaît qui vas rentrer en confrontation avec le culte de la grande déesse.



J'ai retrouvé en partie ce qui m'avait plus dans le puits des mémoires, une écriture dynamique, de l'humour et surtout des interactions entre les personnages qui fonctionnent bien, notamment les dialogues.

Un bon rythme, une écriture fluide.

j'ai passé un moment agréable.



Malheureusement, il y a plein d'éléments qui viennent tempéré le plaisir de lecture, j'ai trouvé que les péripéties allaient à une vitesse précipitée sans que ça impact réellement les personnages.

Notamment, un personnage confronté à un traumatisme énorme, qu'ont vois triste pendant un cours passage et qui après, je trouve et vite attiré par les jupons d'une femme.

Pour un autre, il vit logiquement une énorme désillusion et s'adapte je trouve très rapidement.



Le texte manque de respiration, sa donne une impression de superficialité un peux gênante.

Du coup, j'ai pas été vraiment impliqué avec les personnages.

Leth Marek, ma paru très caricaturale comme personnage, sans nuances et franchement assez crétin.



La thématique des guerres de religion peut être passionnante mais la encore je trouve que c'est juste effleurer en surface.

Le texte est sympathique, après je suis convaincu qu'il y avait de quoi en prenant le temps, en approfondissant les personnages, les thématiques, d 'emmener cette écrit vers des horizons plus riche, plus profond.



Aeternia est un divertissement sympathique vite lu, un plaisir immédiat, sûrement adapté pour découvrir la fantasy où pour respirer entre deux œuvres plus exigeante.

De Gabriel Katz, j’avais adoré la trilogie du Puits mais moins aimé La maîtresse de guerre et Aeternia.

La part des ombres représente un entre-deux. Pas besoin d’avoir lu les autres séries pour y retrouver sans déplaisir deux anciennes connaissances: Kaelys, la maîtresse de guerre, et Le danseur, croisé dans Aeternia. Ils font ici figures de super- heros, venant en aide à la population opprimée de Goranie. Personnages attachants, blessés par la vie mais à l’humour salvateur, notamment au regard des piètres performances des Goraniens. Un premier tome réussi: j’ai aussitôt chercher à me procurer le second!

Découverte grâce à Babelio, la trilogie de Gabriel Katz consacrée au Puits des mémoires offre un pitch original : suivre un trio d’amnésiques dans un monde, dans lequel, ceux-ci en connaissent aussi peu que le lecteur.



Nous voici plongés en pleine dark fantasy. Bien que très différente, l’ambiance fait directement penser aux Annales de la Compagnie Noire de Glen Cook. Il va ici souvent être question d’hommes vivant par les armes, de mercenaires, de changement de compagnie, de traque et bien entendue de quelques créatures mystérieuses (qui sont ici limitées au champ de la nécromancie).



La narration est omnisciente, descriptive et tout à ait adaptée. L’on pourra reprocher aux premiers chapitres de trop verser dans le descriptif, mais tout cela n’est que temporaire. De même la présence d’une carte en début d’ouvrage aurait été de grand secours. Sans en révéler davantage, le dénouement est classique, trop peut-être… l’auteur a voulu placer un dernier coup de théâtre mais celui-ci n’offre pas grand-chose de neuf ou d’utile, sinon de susciter l’envie d'enchaîner avec la suite. Mais cette envie-là était déjà bien présente.



L’histoire est assez classique (un groupe d’amnésiques est chassé à travers un royaume dont ils ne connaissent pas grand-chose), mais offre de belles surprises. L’humour tient ici une place importante. Les passages humoristiques sont utilisés à bon escient et contrebalancent la noirceur de l’ensemble. Comme la magie ne tient ici qu’une place relativement secondaire et que le roman se révèle aussi court qui bien écrit, il sera idéal pour qui souhaite se familiariser avec le genre. La comparaison avec un thriller est ici tout à fait adaptée : il sera impossible de lâcher ce livre. Il s’y passe toujours quelque chose. Si certaines séquences sont un peu prévisibles, d’autre sont surprenantes.



Notre trio de personnages est aussi sympathique qu’attachant, nous voici avec trois hommes, ayant probablement versé dans la violence dans un moment ou un autre de leur existence, qui vont très rapidement former un trio qui ne sera pas sans faire penser aux célèbres mousquetaires d’Alexandre Dumas. Karib, Olen et Nils disposent chacun d’une personnalité qui leur est propre. Si elles paraissent un peu stéréotypées : le non violent, le joli cœur et le taciturne, le développement de l’intrigue et notamment la recherche de métiers va nous offrir de belles surprises.



La Traque est donc une bonne pioche, un ouvrage sympathique, qui s’il ne réinvente pas le genre offre de bons moments de lecture et une ouverture vers un monde de l’imaginaire.

Un tome 2 qui monte d'un cran par rapport au tome 1.

Je me suis bien régalé à lire les aventures et les retournements de situation, ici. Je me suis habituée aux réactions "modernes" de ces personnages évoluant dans un environnement médiéval, et finalement, ça donne un mélange plutôt agréable, même si un peu surprenant. Je ne spoilerai pas, je ne peux en dire plus, mais il y a des choses qui sont réellement impensables et qui n'auraient jamais pu avoir lieu dans le "vrai" moyen-âge... Est-ce que c'est fait exprès, je ne sais ni, mais en tous les cas, c'est pas mal !



La tension s'intensifie, les personnages gagnent en épaisseur, les surprises sont nombreuses. Et il y a de l'humour, c'est vraiment un très bon moment de lecture. A la fin du tome 1 je n'étais pas pressée de continuer, mais finalement, j'ai bien fait d'ouvrir ce tome 2.



C'est bien écrit, le style est meilleur que dans le premier. J'ai tourné les pages sans m'en rendre compte, et je suis arrivée très rapidement à la fin. Pas d'autre solution hier soir que d'ouvrir le tome 3, du coup !

:)

Dans ce livre nous retrouvons les ingrédients qui avaient fait d’Aeternia une très bonne lecture. Un pitch simple mais efficace, une écriture qui joue avec les émotions, des surprises qui sillonnent votre lecture, bref, vous ne vous ennuierez pas avec un livre de Gabriel Katz sous la main. Ou alors, c’est que vous vous attendiez à quelque chose de plus épique et là, vous risquez de rester sur votre faim. Mais attention, ce n’est que le 1er tome et les suivants promettent une fameuse épopée pour nos trois protagonistes amnésiques. Entre rire et suspens, entre cruauté et franche amitié, laissez vous tenter par ce 1er tome, ne serais-ce que pour découvrir la Fantasy de manière modérée, et si vous êtes un connaisseur du genre, cette lecture saura vous distraire sans prise de tête.


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En Résumé : Cette anthologie du festival Trolls & Légendes s’est révélé finalement assez sympathique à découvrir, nous proposant 10 textes assez variés avec comme point central, excepté pour la nouvelle de Robin Hobb qui traite d’un tout autre sujet, le Troll. Entre humour, dérision, aspect épique ou encore ambiance angoissante le Troll nous dévoile ici ses multiples facettes. Alors certes je n’ai pas été conquis de la même façon par tous les textes, certains me laissant même de marbre, là où d’autres on se sont révélés très réussis et surprenants, mais dans l’ensemble cette anthologie se révèle divertissante et permet aussi par la même occasion de découvrir quelques auteurs de l’Imaginaire, leurs plumes et leurs univers.





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Quelle claque ce roman! Autant, j'avais eu presqu'un coup de coeur pour le premier tome, autant celui-ci, je l'ai dévoré en un après-midi! J'ai tout adoré : l'univers qui se précise et se resserre sur le royaume de Woltan, l'intrigue qui dévoile enfin l'identité de nos trois héros et de nombreux rebondissements, le style d'écriture très fluide et qui donne envie de poursuivre, l'humour (rares sont les livres qui m'ont fait rire aux éclats comme celui-ci!), la psychologie des personnages qui les rendent d'autant plus attachants! Que dire aussi du cliffhanger de la fin : non, c'est inhumain, il faut que je connaisse la suite! Non, je ne peux pas attendre le troisième tome qui sortira en poche dans un mois! Bref, j'ai largement préféré ce tome au premier et j'espère que le troisième me fera autant vibrer!

Albert a 15 ans est un orphelin qui passe d'une école à une autre, cible à chaque fois tant des professeur que des élèves. Quand il croise Solange, fille d'une tondue, ils s'accrochent l'un à l'autre. Ils vont construire leur vie ensemble. Chaque été, ils vont tuer, d'abord par accident, puis petit à petit de manière de plus en plus élaborée.

C'est Albert qui est le narrateur de l'histoire, même si quelques chapitres entrecoupent son récit du point de vue de Solange. Alors que le récit d'Albert est vivant, déborde de l'amour qu'il porte à Solange et de son sentiment seul avec elle contre le reste du monde, ceux consacrés au point de Solange sont détachés et froids.

On se prend vite au jeu de cette histoire d'amour bancale, où le meurtre semble être un moteur puissant pour continuer à avancer. Parce que si Albert raconte son amour pour Solange, il dévoile aussi tout les travers de la société que le couple affronte, et l'on en vient presque à penser que les monstres ne sont pas ceux que l'on croit.

Quand à la fin, surprenante, elle m'a cueillit de manière totalement inattendue.

Une lecture prenante et agréable.

Il m'est arrivé rarement de rester scotché à un livre. Cela m'est arrivé lorsque j'ai entamé le cycle de L'assassin Royal ( Robin Hobb) ou lorsque j'ai commencé le Fils de brumes ( Brandon Sanderson) ou encore avec La couronne des 7 royaumes ( David B Coe).

Quand je dis scotché, c'est au point de ne plus pouvoir lâché le bouquin, d'oublier ce qui m'entoure et ne plus pouvoir sortir de l'histoire.

Pourtant cette histoire n'a rien de bien exceptionnelle. L'auteur nous plonge sur les pas de ses trois personnages, ayant perdu la mémoire et devant survivre malgré eux dans un monde qui leur est totalement étranger. Ils vont même devoir se défendre face à des poursuivants qui en veulent à leur vie.

Voilà le point de départ de ce récit concocté par Gabriel Katz. On voit alors plusieurs enjeux se dessiner, outre le fait pour les héros de retrouver leur mémoire, et donc leur personnalité, mais également leur place au sein de ce monde qui devient hostile. Ils vont devoir faire usage de tout ce qui leur reste, de compétences et de qualités dont ils se souviennent pas posséder pour évoluer sur le chemin de l'amnésie.

Tout au long du récit et des rencontres, des éléments viendront nous en apprendre plus sur les personnages ainsi que sur cette amnésie dont il souffre tous. L'auteur s'attache alors au quotidien et concentre le récit sur la détresse de ses personnages, révélant peu à peu ce qu'ils sont en se gardant bien de nous dire qui ils sont. Ainsi c'est leur personnalité qui apparaît au fil des événements. C'est également ce qui les lie tous les trois et qui renforce le lien. Cette amnésie est le seul élément qu'ils ont en commun et qui devient le socle à leur survie. Ils se découvrent petit à petit, chacun en leur fort intérieur, mais également les uns par rapport aux autres, et ainsi naît un immense respect entre les trois compères.

Et c'est ce qui fait la force du récit, Gabriel Katz instaure tranquillement une ambiance, une atmosphère à son histoire, passant tantôt de la légèreté, tantôt à la tragédie, sans oublier un brin d'humour.

On ne pourra que s'attacher au destin de ces trois amnésiques, lâchés dans la nature, à la recherche d'eux mêmes, la fluidité de l'écriture de l'auteur aidant à se perdre sur leur pas.

je découvre là un auteur avec ce livre, et il m'est d'ores et déjà acquis le fait que je ne me contenterai pas de cette trilogie...

Après avoir dévoré les deux premiers tomes du Puits des mémoires et sans trop avoir attendu, je termine, avec un léger pincement au cœur, la découverte de cette fabuleuse trilogie avec ce dernier tome, Les Terres de Cristal.



Après les révélations sur l’identité de nos trois comparses préférés dans le tome précédent, Gabriel Katz ne nous lâche pas encore dans ce tome-ci, les révélations et surprises seront encore au rendez-vous. Bien que j’aie malheureusement trouvé ce tome-ci moins prenant que les tomes précédents (faut dire que la barre était assez haute), l’auteur sait nous tenir en haleine et nous épater.



Ce qui va clairement me manquer dans cette trilogie c’est l’humour de l’auteur. Et qui illustre le mieux cette patte humoristique si particulière de Gabriel Katz ? Nils, Karib et Olen, bien sûr. Nos trois protagonistes continuent leurs évolutions personnelles dans ce tome-ci. Maintenant que l’intrigue se termine et que les secrets se révèlent, nos personnages doivent maintenant penser à se faire une place dans ce monde qu’ils connaissent si peu. On se rend réellement compte de ce qui les lient malgré leurs grandes différences de caractère. C’est avec beaucoup de nostalgie et une émotion certaine que j’ai quitté ce trio infernal !



Ce troisième et dernier tome conclut parfaitement une série formidable et rondement menée. Tout en nous délivrant les réponses que l’on attendait, Gabriel Katz nous propose un dernier tome rempli d’actions et de rebondissements. On passe un fabuleux dernier moment avec nos trois personnages hauts en couleurs pour un final mûrement réfléchi (mince, ce « dernier chapitre » était énorme) !

Un excellente mise en bouche que ce premier tome !

Trois hommes ,prisonniers ,arrivent à se libérer suite à un accident . Problème : aucun des trois ne sait qui il est, ni pourquoi il est prisonnier. Et déjà ,des gardes sont à leur recherche....

L'intrigue est passionnant ,elle nous tient en haleine tout le long . Ils sont les hommes les plus recherchés du royaume et ,sans connaitre leur nom ni leurs capacités ,ils vont devoir échapper aux recherches.Des réponses sont données au fur et à mesure du livre ,ce qui est agréable .

C'est un auteur que je découvre et je suis ravie de ce premier tome de cette aventure de fantasy. ça se lit très vite et je regrette de ne pas avoir acheté les deux autres tomes en même temps.

En Résumé : J'ai passé un bon moment avec ce livre qui offre une histoire, certes classique dans son développement, mais vraiment captivante par la présentation de ces personnages amnésiques à la recherche de leurs passés. Le livre démarre fort et même si le rythme se dilue au fil des pages, laissant un peu de côté la traque pour la quête d'identité, il reste tout de même soutenu et efficace, happant facilement le lecteur. L'univers se révèle certes sans surprises et déjà-vu mais s'avère solide et offre un cadre efficace, à défaut d'être surprenant, à nos héros. Je reprocherai par contre une certaine naïveté principalement dans certaines réactions des personnages. Concernant les protagonistes ils se révèlent vraiment intéressant différents et pourtant complémentaires et on s'attache facilement à eux le tout porté aussi par des personnages secondaires intéressants même si parfois ils manquent de profondeurs. La plume de l'auteur est percutante et entrainante et sait emporter le lecteur même si, parfois, j'ai trouvé certains dialogues un peu simplistes voir inutiles et un peu trop de familiarité dans la façon de parler des personnages, le roi parlant de la même façon que le paysan.



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Autant le dire tout de suite ; tout me plait dans ce livre : le papier, le format, la somptueuse couverture qui nous met directement dans l'ambiance glaciale de Woltan sans même avoir lu une ligne, et bien sûr, j'ai adoré l'histoire qui ne se lit pas mais qui se déguste...Un coup de cœur ? Certainement !

Cela a donc été un grand plaisir de retrouver Nils (Jeroam ou Ajnar), Olen (Hroald) et Karib (Giver) dans leur quête d'identité. Les fugitifs gagnent en charisme et vont devoir faire des choix importants sans vraiment y être préparés...

En même temps que nos fugitifs, nous allons découvrir Woltan, ses mythes, son architecture et ses dirigeants. Attendez-vous à un défilé de nouveaux personnages, et si je peux me permettre un petit conseil : prendre des notes ne sera pas de trop. Attendez-vous aussi à prendre quelques baffes bien sympathiques lorsque vous allez découvrir certaines choses...impossible d'en dire plus, sauf que c'est ironique à souhait (je pense notamment au chien, c'était vraiment fort :) !) .

Avec ce livre, Gabriel Katz confirme qu'il a beaucoup de talent et une belle imagination . Sa plume est efficace, pleine d'humour et d'ironie. Le scénario est en béton et vraiment surprenant. Ce qu'il y a de bien aussi, c'est que dès l'instant ou certaines interrogations trouvent leurs réponses, une multitude de nouvelles questions se posent aussitôt, et cela jusqu'à la dernière page !

Allez, comme j'aime bien chipoter, je dirais que la seule chose qui manque un petit peu dans ce livre, c'est une carte des Terres du Nord. Bien entendu ce n'est pas vraiment indispensable, puisqu'au fil du bouquin nous pouvons cartographier nous-même le royaume de Woltan.

Pour finir, je conseil cette trilogie à tous, que vous soyez amateur du genre ou pas, c'est du plaisir garanti à chaque lecture. Que ça va être long d'attendre le troisième et dernier volume...

J'ai repéré ce livre depuis un petit moment et j'ai eu de la chance d'être sélectionné pour le recevoir lors de la masse critique mauvais genre.



Le récit est court, direct vif et percutant, la plume de Mody est vraiment particulière, vive et acerbe et d'emblée j'ai aimé suivre le personnage de Solange, dont le père est allemand ce qui est mal vu à l'époque et ce personnage d'Albert également qui est un jeune orphelin.



Cette rencontre et leur destin de tout jeune en tant qu'apprenti dans un salon de coiffure jusqu'au jour ou ils vont monter tous les 2 leur propre salon de coiffure.



Et puis ils vont un peu bouger de lieu et les choses vont un peu dérapé une première fois puis de multiples fois par la suite, mais selon eux ce n'est jamais vraiment de leur faute.



J'ai aimé suivre leurs répartis, leurs péripéties mais malheureusement nous ne les suivons pas durant un très long moment vu la longueur de ce récit.



Une jolie découverte.

Une suite qui vaut le déplacement. Même si j’avais apprécié le tome 1, j’avais émis pas mal de critiques à son égard, justifiées ou non et surement à cause de mes hautes attentes dues à son prix des Imaginales 2013, mais pour ce tome 2, j’ai vraiment été enthousiaste de retrouver les trois héros amnésiques que sont Nils, Karib et Olen. Généralement, c’est l’inverse qui se produit : on apprécie la découverte du premier, on s’ennui un peu au tome 2, et l’apothéose arrive au tome 3. Pour le coup, on inverse les deux premiers, mais on espère du coup que le tome 3 reste à sa place.

En fuite vers le plus puissant royaume du monde d’où ils semblent tous les trois être originaires, la course-poursuite avec l’Albinos et les cavaliers de Cristal leur apportera certes nombre de réponses à leurs interrogations, mais également encore plus de questions. Des révélations surprenantes, des chemins qui se séparent et de nouveaux repères à prendre pour les héros comme pour nous. On se sent vraiment impliqué dans la vie de chacun des trois compères et on se sent aussi investi qu’eux pour démêler les intrigues dans lesquelles ils sont fourrés. Cependant, le manque d’action me pèse un peu et j’ai hâte que le cache-cache entre les trois compères et l’Albinos prenne fin. Pour finir, le final et sa révélation ne pourront QUE vous donner envie de vous jeter sur le tome 3 pour savoir comment tout cela va se conclure.

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Benjamin Varenne est un loser. Un comédien sans cachet qui joue les vigiles pour payer son loyer. Un type sans envergure quoi. Alors quand il se place en sauveur auprès d'une jolie danseuse, il en fait un max.

J'ai beaucoup aimé ce roman qui mêle humour, aventure. Benjamin est un héros décalé, plein de charme, mais toujours à prendre la mauvaise décision au mauvais moment. Çà le place dans des situations pas possible, mais toujours très drôle. Ses aventures sont très sympa à suivre, pleines de rebondissements et sans une trace d'ennui. Le tout assaisonné d'un peu de suspense et d'un épilogue un brin inattendu.

Au final, un roman très plaisant à lire !

Je ne sais plus qui parmi mes nombreux ami(e)s lecteurs ma conseillé cette trilogie mais je l'en remercie.

le début effectivement fait penser a "la mort dans la peau" de Robert Ludlum mais la comparaison est illusoire car nous sommes dans un monde moyenâgeux ou la Magie est bien présente.

Quatre hommes enfermés dans des caisses en bois se réveille après qu'un accident est fracassé l'attelage qui les transportait, l'un deux est mort et les trois autres ne se rappelle de rien.

Très vite ils s'ont confrontés a des mercenaire qui tentent de les capturer vivant et la! contre toutes attentes et malgré qu'ils sont quasiment nus ils parviennent a les vaincre.

Arrivés la je me suis dis que la ficelle était un peu grosse mais quand au fil du récit l'on en apprend un peu plus sur leur véritable identité on commence a comprendre qu'ils ne sont pas de vulgaire criminel.

Nous suivons leur périple qui leur fera endosser différents déguisement pour échapper a tous les chasseurs de prime alléchés par la récompense mise sur leur tête.

J'aime bien Olen, le Don Juan qui papillonne autour de tous ce qui porte jupons, Nils et son sang froid qui leur sauve la mise a plusieurs reprises et Karib qui se veut porteur de morale tous en étant un Mage de Guerre.

Bon! vous avez compris j'Aime!!

Et je repars illico pour Hélion histoire de voir si nos trois énergumènes vont pouvoir échapper a leur poursuivant.